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  • Je trouve que les unités de police ne servent à rien.
    Et pour cause : il y a un taux de révolte minimum sur les zones occupées, et bien souvent il est égal au taux de révolte.
    Du coup, mettre des polices militaires est parfaitement inutile dans certaines régions...

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    • Je suis assez d'accord, pour ça que je préfère carrément leur mettre du para dans la gueule !

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      • Bonjour,
        Je démarre à peine cette petite merveille de jeu après avoir roulé ma bosse sur Europa III et CK II et j'aurais une petite question.
        Les brigades AA (Anti-Aériennes) engagent-elles le combat lorsque l'ennemi bombarde une ville où elles se situent ?
        Je m'explique, je sais que l'on peut défendre ses villes avec de l'anti-aérien, je sais aussi que les brigades d'AA réagissent aux unités aériennes quand elles se font attaquer mais ma question concerne le troisième cas ! Car j'aurais dans l'idée d'ajouter de l'AA à mes HQ car ces derniers sont souvent dans de grosses villes (en début de partie du moins) et il pourrait s'avérer judicieux de participer à la défense de mes villes par la même.
        Bref merci de vos réponses et merci aussi pour toutes les petites astuces que j'ai pu glaner sur ce forum, de loin le mieux foutu en ce qui concerne les wargames de la trempe de HoI 3 ou EU 3.

        Mystimba

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        • Non, les brigades anti-aériennes ne font que défendre les troupes, pour te protéger des bombardements stratégiques, il faut bâtir des défenses fixes sur les provinces.
          M'enfin, la meilleure solution reste toujours la domination du ciel par tes propres avions.

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          • La guerre aérienne dans HOI 3 est un pan entier souvent mal perçu et pourtant ô combien déstabilisateur. C'est très intéressant à jouer et ça demande une gestion encore plus pointue que la guerre navale. Les avions ont une "usure" en opération relativement rapide et il faut bien les surveiller sous peine de les perdre. A l'inverse des troupes terrestres qui font une retraite en cas de défaite, les avions continuerons d'attaquer jusqu'à ce qu'ils soient totalement détruis si vous ne les retirez pas d'une mission trop périlleuse. A coté de ça, on peut véritablement faire pencher la balance de son coté si on développe une vraie stratégie aérienne.

            Pour avoir opté sur un jeu de guerre aérien dans différentes partie avec les USA, la tactique peut s'avérer payante et relativement tôt. Ce qui frappe quand on prend les USA c'est la pauvreté du manpower et pendant longtemps ; qu'à celà ne tienne, l'aviation demande du temps et du CI mais très peu de manpower. J'engage les recherches pour poussé ma stratégie et je développe mon potentiel théorique comme matériel durant les longues années soporifiques d'avant guerre. Quand cette dernière éclate, j'ai pour mission de couvrir par les airs depuis l'Angleterre. Le pauvre Allemand va se prendre des couples d'attaques variés qui vont véritablement l'handicaper durant son déploiement en France / Bénélux. Son attaque sera même à de nombreux endroit littéralement stoppée avec des bilans souvent catastrophique et pratiquement impossible à inverser.

            Détruire les dépots de ravitaillement sur la ligne de front, user l'organisation des troupes, apporter un support sur les batailles engagées au sol. Au final, l'ennemi restera cantonner et stopper au nord de la France et user finira pas conclure à un échec de son initiative. Car le mal est sinueux et met du temps à se distiller ; on ne se rend pas bien compte tout de suite quand on est pris pour cible par une stratégie aérienne, au début c'est juste un bombardement qu'on n'arrive pas à endiguer puis très vite se dresse un impact global mais il est trop tard.

            Celà demande beaucoup de préparation et surtout d'équipement car ce n'est efficace que si on y consacre des moyens. Les chasseurs dont le rôle est d'assurer la supériorité aérienne face à l'unique réaction possible : l'interception ennemie. Et il en faudra des escadrille pour assurer une présence continue car au moindre engagement, si dominante soit votre flotte aérienne, inexorablement vos chasseurs vont perdre en organisation (quand ils restent en état) aussi durant la phase de turn over qui consiste à laisser au repos les unités ayant bien servi, il faudra avoir encore des chasseurs capables de remplir la mission. Au bas mot il vous faudra donc (1) des forces équivalentes à l'adversaire (2) des forces pour maintenir le potentiel défensif malgré les pertes ou les épuisements (3) avoir de quoi porter des coups à la chasse ennemie pour la réduire. Autant dire, au bas mot : 3 fois plus d'avions de chasse que l'ennemi.

            Si la couverture anti interception fonctionne, en avant la mosaïque de moyens. Les attaques au sol peuvent littéralement bousiller une avancer. Le combot de frappes logistique et d'attaque au sol, bien soutenu, casse complètement une ligne posée censée encore avancer. C'était le cas avec l'endiguement de la progression allemande en France. L'ennemi sera fixé sur une ligne de front qu'il ne pourra plus emboutir, ses unités seront usées au niveau du moral et seront privées du ravitaillement qu'il faut réduire autant sur la province concernée que sur la route qui y mène.

            Parfois risquée et couteuse, l'action de bombardement doit être fait très minutieusement, les défense AA font mal aux bombardier et durant certaines phases de bombardement logistique et stratégique, pas mal de plumes volent dans l'opération. Même conseil que pour la chasse donc, prévoir des escadrilles pour le turn over afin de ne jamais cesser le maintien de la pression. C'est une pratique d'usure et de stérilisation, si elle s’interrompt tout l'impact disparait très vite et les temps de réparation / repos des avions est assez conséquent. Il faut être en mesure de toujours pouvoir porter des coups afin de ne jamais perdre l'avantage acquis.

            A dire vrai, très peu de pays peuvent se permettre une guerre aérienne d'envergure, les USA sont évidement les plus enclins à le faire de par la longue phase de préparation mais c'est réellement efficace. Par contre, ça oblige à amoindrir les préparatifs de marine et c'est autant de répit pour le japonais qui lui va ne faire pratiquement que ça et donc créer de son coté un déséquilibre de potentiel.

            L'Allemagne pourrait développer la guerre aérienne, elle a du potentiel en terme de CI / recherche, mais de mon point de vue elle peut largement s'en passer en compensant par une force de frappe au sol redoutable. La chasse lui est par contre INDISPENSABLE et de bon niveau sans quoi les bombardiers stratégiques vont lui laminer le moral (unité nationale).

            Coté défense, pas la peine d'en faire, c'est une relative perte de temps et de ressources. Par contre il m'est déjà arrivé de planquer dans mes groupes d'infanterie des brigades de troupes AA accompagnées d'une brigade d'infanterie et positionnée sur des front que je ne voulais pas être impacté par l'aviation ennemie (en particulier en France, conscient du dégât que ça pouvait faire). Ces divisions allaient sur la ligne de front mais n'engageaient pas le combat, elles étaient là uniquement pour couvrir en cas d'attaque aérienne. Ca marche plutôt pas mal et c'est assez sournois comme protection car l'ennemi ne les remarque souvent pas. [inf] + [AA] + [AA] + [AA] : de quoi se sécuriser un peu la ligne de front quand on engage sur des provinces n'ayant pas de défenses fixes.

            J'aime bien la guerre aérienne mais c'est usant car ça demande une vigilance constante, je la déconseille pour des pays qui ont déjà beaucoup de choses à surveiller tellement la perte d'appareil peut vite se produire sans qu'on ne le remarque. Le tournus imposé par la pratique demande lui aussi pas mal de soin et il faudra veiller à ce que ça pourvoit en ravitaillement, quand on joue hors de ses frontières c'est une donnée à prendre en compte.

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            • Effectivement, cela ne marche pas, pour le coup j'ai mis deux divisions (2 INF+ 2AA) en soutien juste derrière les lignes histoire d'intervenir en cas d'apparition de zinc. J'avais par ailleurs déjà amélioré des défenses fixes et commandé 500 Messerschmidt pour Nöel 1939 .
              Pour ce qui est de la réponse ô combien complète d'Aaltar, tu ne fais que confirmer ce que je pensais de la profondeur du gameplay de l'aviation et du jeu de manière générale. Je vais essayer pour le moment un schéma défensif sur le plan aérien histoire de ne pas être pénalisé. Mais à terme c'est une partie du jeu qui m'intéresse. J'aimerai faire une stratégie de bombardement ciblé sur les aérodromes lors de ma future invasion du russe afin de détruire des les premières heures la majorité des forces aériennes russes. Car le chemin jusqu'à Moscou semble long et je n'aurais pas le luxe d'avoir des fuites d'essences en cours de route!

              mais bon, étant à ma première partie et ayant prit l'Allemagne, je tâtonne encore à gérer les armées terrestres. Pour l'aviation j'envoie mes groupes un peu au petit bonheur la chance pour le moment. N'ayant rencontré que les Tchèques et les Polonais, je dois dire que je n'ai pas été soumis à beaucoup de pression. Pour le maritime, j'ai perdu 5 U-boots rapidement, sûrement du fait que je les laisse se débrouiller seuls...La conquête de la France risque d'être différente et va représenter mon premier vrai baptême du feu. Même si l'Italie a percé le front Sud jusqu'à Marseille, ce qui a défaut de m'enthousiasmer, me fait dire que qq divisions française iront plus au sud que prévu.

              Wait&see

              Merci Aaltar pour avoir pris le temps de me détailler autant de choses sur l'aviation !!

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              • Les forces aériennes russes ? Y en a ?

                Très sincèrement, pour avoir déjà fait Barbarossa un bon nombre de fois, j'ai jamais rien eut à foutre de l'espace aérien contre ce zozo là Mais bon, avec l'Allemagne je ne risque jamais la pénurie de pilote tellement je ne soutien pas cet aspect.

                De rien pour les renseignements, il y a encore pas mal de subtilités à percevoir pour l'aviation, les physionomies des escadrilles par exemple. Je trouve quand même pas mal de similitude dans la gestion aérienne avec la gestion navale soit dit en passant et c'est vrai que c'est très intéressant à jouer car ça peut vite couter cher de mal gérer ses déploiments.
                Dernière modification par Aaltar, 20-08-2013, 08h14.

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                • Ha, bon ben pour l'URSS je me contenterai de rentrer dans le lard avec les chars et l'infanterie !!
                  Pour ce qui est des avions j'ai compris qu'on pouvait donner des missions aux escadrilles avec une durée dans le temps et la possibilité d'avoir des cycles jour/nuit. Le tout en décochant l'action continu qui force les avions à rester jusqu'à ce que je vienne faire la police moi-même. Ces options sont plutôt agréable et m'ont permis d'avoir une bonne couverture aérienne contre les bombardiers en tout genre.

                  Par ailleurs j'avais deux petites questions. Hier en attaquant la hollande, j'ai encerclé des unités françaises, et une fois fait, j'ai sonné la charge et les unités françaises se sont vaporisés. Plus aucune trace, à part le rapport de combat: vous avez perdu tant d'hommes, eux ont perdu tant d'hommes et vous avez gagné la bataille. Quid des survivants français dont je n'ai plus la trace sur la carte ? Ils ont été fait prisonniers, morts, téléportation à paris, fuite à la nage ?? . Et si j'avais attendu en les encerclant, ce seraient-ils rendus d'eux-mêmes ?
                  D'autre part je voudrais savoir si il existe un tableau récapitulatif des pertes dans les deux camps en nombres d'hommes et en prisonniers. Le seul que je trouve s’exprime en perte d'IC...J'avoue que cela ne me donne pas vraiment une vision globale sur mes actions et j'aimerai savoir si elles existent quelque part car il y a une différence entre choper 100 000 hommes ou seulement 15 gugusses

                  Merci d'avance pour vos réponses, comme toujours très rapide!

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                  • Déjà pour la première question: Toute troupes encerclée est détruite au moment de la retraite... C'est un fait que l'IA ou tout joueur ne pourra échapper... Le jeu considère que toute retraite est impossible et c'est d'ailleurs le cas. Néanmoins il y a quelques échappatoires possibles comme être dos à la mer et avoir plusieurs groupes de transport (Les navires j'entends) qui attendent pour réceptionner les troupes en fuite... Bref Dunkerque quoi! Aaltar pourra te faire un joli exposé sur les anglais partants et revenant se battre quelques mois plus tard sur une autre plage!

                    Quant à la seconde: C'est une politique de Paradox de ne pas fournir, par un biais interne ou externe (Il existait un programme pour avoir les pertes mais il n'était plus compatible avec Semper Fi), des données sur les pertes humaines ou des prisonniers pour éviter de "choquer"... C'est la version que je comprends, surtout quand l'on sait que Eu III ou IV avait des rapports de pertes quasi annuelles dans la partie historique!

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                    • Hum voilà qui est embêtant pour comprendre la portée des actions effectuées...Même si je peux comprendre en partie l'argument, il est vrai qu'en gros, il me faudra faire des danses rituelles et attendre que les planètes soient alignés pour que mon grand sachem accepte de dire combien de troupes j'ai réussit à écarter ! :d
                      Nouveau HQ greffé au théâtre: Chef: Druide. Compétences: prédication, art divinatoire. Moyens utilisés: doigt mouillé, cartes, boule de cristal! \o/

                      Pour être plus sérieux, les encerclements fonctionnent bien comme il me semblait et la logique l'emporte. Et je peux donc en déduire que les forces en présence qui ont perdu la bataille sont définitivement mises hors de combat. C'est toujours ça !

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                      • Par ailleurs j'avais deux petites questions. Hier en attaquant la hollande, j'ai encerclé des unités françaises, et une fois fait, j'ai sonné la charge et les unités françaises se sont vaporisés. Plus aucune trace, à part le rapport de combat: vous avez perdu tant d'hommes, eux ont perdu tant d'hommes et vous avez gagné la bataille. Quid des survivants français dont je n'ai plus la trace sur la carte ? Ils ont été fait prisonniers, morts, téléportation à paris, fuite à la nage ?? . Et si j'avais attendu en les encerclant, ce seraient-ils rendus d'eux-mêmes ?
                        Je vais enrichir le propos de Red car il y a une nuance possible et parfois incertaine. Les unités combattent, luttent et meurent, dans le cas où une unité ne parvient pas à remporter la victoire elle va donc céder. Une fois battue l'unité a alors 2 options, soit elle reste sur place, soit elle bat en retraite sur une autre province. Elle peut rester sur place si l'assaillant ne vient pas sur la province qu'il vient de combattre, ça peut arriver sur des grosses lignes de front ou dans des échanges où l'adversaire ne voudrait pas abandonner sa position. Un exemple tout simple, l'anglais défend sur Gibraltar et est bordés d'unités ennemies, il les attaque car les sait plus faible, les bat mais ne se délogera pas de sa propre position pour aller les chasser plus encore. L'ennemi alors battu pourra tout de même rester sur place avec son organisation/moral de moule à attendre un miracle.

                        En cas de retraite imposée (95% des cas peut être) au motif que l'ennemi a attaqué la province pour la prendre, il faudra se carapater ailleurs. Là encore, plusieurs cas de figure. Le cas le plus simple est l'encerclement total, aucune province non occupée par l'ennemi, la sentence est sans appel : destruction pure et simple de la division, l'unité est totalement vaincu et dissoute sur le champ à l'arrivé de l'ennemi sur votre province. Autre option, une province voisine non occupée et sous votre contrôle, y envoyer l'unité permettra peut être de rallier un combat ultérieur, de continuer une manoeuvre de retraite voir de rejoindre d'autres troupes amies. Il peut aussi arrivé que vous soyez encerclé par les des provinces ennemies mais dont certaines n'ont pas de troupes pour les défendre, là il y a quelque chose de pas toujours très lisible. Prenons le cas où elle est ciblée par le joueur qui devait partir en retraite : si vous rompez le combat pour vous y enfuir volontairement cette province peut être acquise lors de votre arrivée, si par contre vous y allez par la force des chose, du genre coup de pied au cul et gueule cassé la retraite est imposée, quand vous arriverez sur la province ennemie votre unité sera dissoute comme lors d'un encercle total.

                        Ce qu'il faut noter c'est qu'on peut détruire les unités de 2 façons : l'encerclement total, aucune possibilité d’échappatoire et la réduction sur pied avec des manoeuvres visant à priver d'options de sorties une unité même si elle n'est pas totalement encerclé. C'est important car une prise de vitesse sur une retraite ennemie peut permettre de la faire disparaitre.

                        Dans une partie actuelle avec le Japon par exemple. En Chine, j'ai organisé mes corps d'infanterie avec 3 div. inf. + 1 cavalerie. Pourquoi ? Tout simplement car je lance mes infanterie à l'assaut des infanteries chinoises et une fois que le combat est remporté je lance la cavalerie pour saisir la province, le résultat est que la cavalerie arrive sur la province vaincue avant que l'infanterie n'aie le temps d'être sur la province voisine, les unités sont alors détruites. Dans le cas où je n'aurais pas envoyé ma cavalerie, l'infanterie arriverait sur une province dont les précédents occupants seront déjà arrivé sur la province voisine. Une troupe en retraite va généralement plus vite qu'une troupe équivalente l'attaquant, c'est ce qui explique qu'on peut trainer sur plusieurs province suite à des retraites une unité pourtant toute déglinguée. Lors d'une attaque de province, ne pas engager toutes ses forces permet en cas de victoire de lancer les troupes au repos conquérir la province, comme elles n'ont pas combattues elles n'ont pas la latence opérationnelle qui fait suite à une engagement. C'est subtil mais ça permet de prendre plus vite possession des territoires et donc d'éradiquer les troupes ennemies plus efficacement. Il n'est pas rare que je couvre certaines campagnes avec des petite division d'inf mot (2 brigades) justement pour aller prendre d'assaut une province dont je viens de remporter le combat, elles en vont pour ainsi dire presque jamais combattre mais elles peuvent faire un gros travail tactique.

                        Les manoeuvres d'éradication sont indispensables à la tenue d'une front important. Barbarossa par exemple a pour enjeu essentiel l'encerclement titanesque et l'éradication d'un maximum d'unité possible. Réussir à faire des poches et à les réduire n'est pas chose facile car l'IA a été boosté sur cette question et joue plutôt bien la retraite y compris en profondeur. Après on peut se lancer dans des longues explications sur la défense en ligne, la défense flexible, la défense en roulade arrière coup de tête fourchette, ou encore la retraite stratégique mais concernant le front russe toujours, coté rouge il faudra éviter de se retrouver avec des armées de 200 000 hommes prises de vitesse et aux perspectives condamnées, la défense flexible est relativement efficace, d'ailleurs c'est plus ou moins ce que joue l'IA sans avoir la logique de préparation d'attaque en simultanée (l'IA masse généralement ces troupes devant, elle ne pourrait pas produire stratégiquement ce qui s'est produit à Stalingrad). Bref, les joies de la retraite peuvent aussi être utilisée avec avantage.

                        Notons que pour la guerre navales, il y a des aspects similaires sauf qu'aucun encerclement ne va eradiquer la flotte ennemie, il faudra la réduire, la pourchasser et tenter de la réduire autant que possible. La retraite navale est extrêmement difficile et périlleuse. La raison est simple : en cas de défaite navale vous ne choisissez pas l'endroit de votre retraite et pire encore l'ennemi sait plus où moins vers où vous vous orientez. La solution est de rompre soit même le combat pour déterminer vers où (à défaut d'attendre la fin du combat et d'être poussé quelque pars). Si vous êtes dans la flotte des vainqueur vous allez devoir les suivre pour les rechoper sur la province d'à coté, engager à nouveau le combat et ainsi de suite jusqu'à destruction totale. Le petit conseil donc en cas de flottes importante très menacée : la diviser en 2 et fuir dans 2 directions différentes, avec un peu de chance une des deux unités créer pourra peut être se barrer.
                        Dernière modification par Aaltar, 21-08-2013, 08h15.

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                        • Effectivement je me souviens avoir vu des unités disparaitre après être entrée sur le territoire envahit avant qu'elle ne fuit ! voilà qui peut effectivement grandement changer la donne et faciliter la tâche plutôt que de s'amuser à faire des boucles sur la carte . merci encore pour tes réponses fournies Aaltar, c'est très appréciable.


                          Par ailleurs, quelle politique fonctionne le mieux pour occuper les territoires conquis ? J'avoue qu'avec le gouvernement de collaboration, le gain en CI est plutôt faiblard...

                          Merci d'avance !
                          Dernière modification par MyStiMba, 21-08-2013, 20h59.

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                          • Le soucis qui vient en lien avec la haute du niveau d'occupation est double : dans un premier temps il va pomper un max de ravitaillement et dans un temps plus long il va accroitre les risque de rébellion. Si le second point n'est somme toute qu'anecdotique, le premier lui va faire terriblement douter de la prise de décision. J'avoue que j'ai encore du mal à voir le delta du gain tellement la hausse du CI générée est amputé par une hausse toute aussi importante de la consommation de ravitaillement. Je suis encore très timoré sur cette question et je ne saurais véritablement donner de conseil tellement les perspectives ne sont pas claires.

                            Le gain de CI est de base quasi inexistant, de mémoire il est diminué de 95% au premier stade d'occupation. En gros, quand vous occupez un pays sans changer ce niveau, vous ne touchez que 5% de la CI normalement exploitable.

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                            • Hum, voilà une réponse qui me déconcerte au vu de l'importance de la CI dans ce jeu. J'essayerai différents gouvernements sur différents territoires pour tenter d'y voir clair.
                              Par ailleurs, au niveau du côté allemand, je constate que j'occupe le Bénélux/Danemark/France alors que j'ai annexé l'Autriche, la tchéquie est occupé car l'évènement ne s'est pas déclenché... Ainsi on ne peut espérer annexer si le pays se range auprès des Alliés et son annexion n'est jouable que s'il est isolé (càd ni dans les Alliés et le Komintern) ou si on fait tomber l'ensemble du château de carte d'un camp. Est-ce bien cela ? Auquel cas je trouverai cela contrariant mais au final très réaliste!
                              Je préfère ne pas parler des polonais par respect pour leurs cavaliers morts en héros sur le front est

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                              • Oublie les annexions exotiques, pour la plupart elles sont uniquement le fruit d'event très scriptés, au mieux tu pourras les réussir, au pire tu les rateras mais tu n'en feras pas de différentes que ce qui est initialement prévu. Il faut pour tenter de le faire envoyer du très (trop) lourd en diplomatie mais aussi en espionnage puisqu'il faudra faire monter une faction s'approchant de la tienne et ce ne sera pas chose facile, voir tout bonnement impossible.

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