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  • EB II - Aperçu : Swêboz (les Suèves)


    Un changement de climat dans le nord de l'Europe, au début de l'Âge de Fer, a entraîné une série de migrations de peuples de langues germaniques de Scandinavie vers ce qui est aujourd'hui le centre et le nord de l'Allemagne. Les fermes et les communautés de cette région montrent que ces mouvements furent progressifs, familles par familles, bandes par bandes et clans par clans, qui s'installèrent dans des régions inhabitées et établirent des colonies éparses et indépendantes.

    Occasionnellement, des conflits ou des difficultés agricoles conduisirent à des migrations de grande ampleur et des annexions de territoires voisins. La combinaison de ces deux types d'expansion entraîna qu'en 272 av. J-C, des fédérations de clans avec des liens ancestraux communs commencèrent à se rassembler en tribus structurées, et à s'étendre vers le Rhin et le Danube. Le commerce, les raids et d'autres types de contacts les rendirent plus conscient de leurs voisins celtes, et au-delà du monde romain.

    En 272 av. J-C, les Sêmnonoz, les Márkámánnoz, les Lángobárdoz et les Hêrmunduroz formaient le coeur d'un groupe de tribus appelé les Swêboz - peuples qui croyaient partager l'héritage commun de leur ancêtre légendaire Irminaz. À l'ouest et au sud-ouest se trouvaient d'autres groupes tribaux, les Hêruskoz, les Hábukoz et les Háttoz qui montaient en puissance, grâce à leurs riches terres agricoles et aux raids par delà le Rhin. Au nord se trouvaient les anciennes terres des Skándzá, qui voyaient encore des mouvements de population depuis la Mer Baltique vers les terres forestières à l'est et au sud-est des Swêboz . C'était une époque d'opportunité pour des guerriers agressifs et de danger pour ceux n'étant pas capables de repousser leurs rivaux.

    Cette expansion a également entraîné des changements culturels. Le niveau de population s'élevait lorsque les tribus arrivaient dans des terres plus chaudes et plus riches au sud, à l'est et à l'ouest. Les contacts étroits avec les peuples celtes entraînèrent le développement de la métallurgie - favorisée par de gros gisements de fer en actuelle Pologne - et ainsi la formation d'un meilleur armement. Les raids et les annexions agressives des territoires rivaux, quand à eux, causèrent la création d'une élite guerrière pour qui la guerre était une occupation majeure.

    Les anciennes filiations tribales rendaient les clans et les bandes étroitement liés, et changèrent les relations entre les dirigeants et le peuple. Bien que moins hiérarchisé que les sociétés celtes, cette nouvelle élite guerrière devint une force de plus en plus puissante au sein des tribus. L'ancien dirigeant semi sacré/religieux choisi sur la base de ses ancêtres, commença à partager le pouvoir avec les chefs de guerre victorieux. Ainsi le semi-sacré Kuningáz et les Eriloz (ou chef de clan et les nobles qui le soutiennent) pouvaient passer le pouvoir au Hárjánáz élu, qui dirigeait alors la tribu en temps de guerre. Parfois le Hárjánáz était subordonné au Kuningáz. Parfois les deux statuts étaient possédés par le même homme.

    Tous les hommes libres avaient un haut statut au sein de la tribu, et aucun Kuningáz ou chef de guerre ne pouvait imposer une décision sans le support de l'assemblée tribale des hommes libres. Alors que la société germanique changeait, elle restait méfiante et les peuples germaniques se targuaient de leur indépendance, de leur liberté et de leur auto-suffisance.

    Les cadeaux, les fêtes et les anciennes lois de l'hospitalité forgèrent des liens entre les familles et clans, et aidèrent à favoriser les relations entre les tribus. Les vengeances sanglantes étaient communes, mais le prix du sang (payé en bétail) était utilisé pour mettre fin aux violences. Ces tribus avaient une tradition religieuse et un héritage culturel commun, et les chants de leurs ancêtres de l'ancienne Skándzá, et les dieux de jadis étaient partagés par tous. Différentes tribus attachaient une importance différente à différents dieux, et chacune avaient ses propres déités et esprits locaux, mais toutes offraient du bétail et des armes aux dieux dans les lieux sacrés - souvent des bosquets en forêt ou des marais. Le sacrifice humain était courant par temps de famine ou en remerciement pour une guerre victorieuse.

    En 272 av. J-C ces tribus, avec leurs traditions, dieux, chants et leur culture dynamique et expansive devinrent une menace pour les peuples se trouvant au sud et à l'ouest de leur territoire. Les Gaulois connaissaient déjà le danger de ces peuples de par-delà le Rhin, mais peu de temps s'écoula avant que les Romains prirent conscience de ces mouvements - souvent soudains, violents et massifs - de ce peuple infatigable. Ceci mena, aux premiers siècles avant et après J-C, à une série de guerre entre les Romains et les tribus germaniques et, de nombreux siècles plus tard, aux royaumes germains s'établissant sur les ruines de l'Empire Romain.

    Avec la conquête romaine de l'Illyrie, de la Gaule et finalement de la Dacie, les peuples germaniques furent en contact constant avec l'Empire, le long du Rhin et du Danube. Ceci entraîna plusieurs siècles d'échange culturel, de guerre et de commerce, avec des effets sur les deux cultures.

    La nature martiale de ces confrontations et les échanges entraînèrent une accélération des changements de la société germanique, avec des chefs de guerre qui montaient en puissance et en influence, au détriment des formes de pouvoir politique plus anciennes. Les conflits armés changèrent la façon qu'avaient les groupes armés de combattre, devenant plus disciplinés, se battant en formation et suivant des bannières sur le champ de bataille. Les guerriers germains servirent dans l'Armée romaine comme auxiliaires et mercenaires durant cette période, rapportant leur entraînement, leurs connaissances et, bien souvent, leur équipement dans leur terre natale.

    Le commerce lui aussi révolutionna les terres germaniques appauvries. L'ambre étant apprécié des dames romaines, le longue route depuis l'amont du Danube vers la Mer Baltique devint une source de prospérité pour les tribus se trouvant sur son parcours. Les raids sur l'Empire et les pratiques romaines de payer certains chefs pour les monter les uns contre les autres entraîna le paiement de tributs et de riches cadeaux, et ainsi la circulation de monnaie dans les pays germaniques, ce qui permit aux chefs de guerre d'accumuler des richesses, ce qui à son tour attira des guerriers et la puissance.

    Tous ces changements évoluèrent lentement au sein des tribus, où de grands groupes absorbèrent de plus petits qu'eux, alors que d'autres formèrent des alliances ou des fédérations pour se protéger mutuellement, dans un environnement de plus en plus marqué par la guerre. Au IVème siècle ap. J-C, les anciennes et petites tribus existant 600 ans plus tôt avaient disparu, remplacées par de grandes tribus ou fédérations de tribus qui partageaient une identité culturelle commune. C'est à cette nouvelle menace que fut confrontée Rome, alors que la partie occidentale de l'Empire commençait un déclin économique et se désintégrait politiquement au Vème siècle ap. J-C.

    En même temps, les peuples germaniques - stoppés par Rome à l'ouest et au sud, continuèrent à s'étendre à l'est. Au IIIème siècle ap. J-C, des groupes germaniques se déplacèrent vers les steppes de l'Ukraine et se mêlèrent autant qu'ils combattirent avec les Sarmates et les Alains qu'ils trouvèrent là bas. Ces peuples ont eu un profond impact sur les tribus germaniques orientales. Certaines d'entre elles, comme les Quades, les Goths, les Gépides, les Taifales, adoptèrent le style de cavalerie lourde des peuples sarmates. Ces derniers influencèrent l'art germanique, introduisant des styles entrelacés et des motifs abstraits d'animaux qui régnèrent sur ces arts pour les 1 000 prochaines années.

    L'agressivité, l'agitation et la nature guerrière que notèrent les Romains après leurs premiers contacts avec ces tribus restèrent gravés pour le reste de leur histoire, jusqu'à ce qu'au début du Vème, les guerres conduisirent des rois germains, qui revendiquaient des ancêtres semi-légendaires dans les anciennes terres natales de Scandinavie, à s'asseoir sur des trônes en Italie, Gaule, Espagne et Afrique.





    Symbole et nom de la faction



    En cherchant à améliorer la faction des Swêboz dans EB II, l'équipe a pris la décision de réaliser un nouveau symbole de faction. Issu des célèbres bractéates de la période migratoire en Europe du nord, le nouveau symbole montre une représentation du dieu Wotan, considéré d'après Tacite comme le regnator omnium deus des Swêboz.
    Un autre avatar de Wotan se trouve être Irmin, dieu titulaire des Irminones, rapportés par Tacite, Pline et Pomponius Mela comme étant les ancêtres des Suèves, Chattes et Chérusques.
    Ainsi, même si l'artéfact sur lequel est basé le symbole est issu d'une période plus tardive que l'époque du mod, le symbole lui-même est beaucoup plus ancien : le proto-germanique Wōđanaz (et son épithète, Irmin) sont certainement à qui se référèrent Tacite et César lorsqu'ils écrivirent que Mercure était le plus important dieu des Germains à leur époque. De plus, de nombreux bractéates montrent clairement les coupes de cheveux caractéristiques des guerriers suèves.

    Spoiler:


    Dernière modification par ALG, 20-07-2013, 02h29.

  • #2



    Les Communautés

    Village :






    Bourg :






    Gros Bourg :






    Ville :









    Diplomate :




    Espion :




    Assassin :




    Les Agents sur la Carte de Campagne :




    Navire (Hjortspring) :









    Les Guerriers des Swêboz

    Stoinowerponez (Frondeurs suèves)

    Le frondeur germain est un tirailleur léger, utilisé pour harasser, blesser et éventuellement tuer les ennemis à distance. Cette unité est armée d'une simple fronde faite de corde ou de lacets de cuir, d'une poignée de pierres sélectionnées pour leur forme et leur poids, et enfin d'un couteau de mauvaise qualité. Ces hommes viennent des basses couches de la société suève, et puisqu'ils ne sont pas membres à part entière de la tribu, ils n'ont pas le droit d'utiliser un bouclier et une lance, qui sont les symboles des hommes libres dans la société germanique.






    Sakutones/Skeudjonez (Archers longs suèves)

    L'archer germain est un tirailleur léger, utilisé pour harasser, blesser et éventuellement tuer les ennemis à distance. Cette unité est armée d'un arc d'if et d'une poignée de flèches bien souvent à pointes d'os ou bois, mais parfois avec une tête en fer ou en fer trempé. Ces flèches sont transportées dans un carquois de bois, d'écorce de bouleau ou de cuir. Ces hommes possèdent aussi un couteau de mauvaise qualité. Ils sont issus des basses couches de la société suève, et puisqu'ils ne sont pas membres à part entière de la tribu, ils n'ont pas le droit d'utiliser un bouclier et une lance, qui sont les symboles des hommes libres dans la société germanique.
    Historiquement, les Germains commencèrent à utiliser les archers en nombre à la fin de l'Âge du Fer, mais certaines preuves montrent que les tribus germaniques utilisaient l'arc comme arme de guerre, et pas seulement pour la chasse.





    Jugunthiz (Javeliniers)

    Les Jugunthiz (« Jeunes ») forment une unité de tirailleurs légèrement armée, qui fatigue et harasse les formations ennemies avant que la mêlée, et protègent les troupes lourdes, se sacrifiant pour augmenter les chances de survies des guerriers « prouvés » qui se tiennent juste derrière. Ils doivent d'abord faire leur preuve au combat et gagner de l'expérience. Leurs compétences les rendent intéressants pour tendre des embuscades. Chaque guerrier est armé de javelots légers à pointes durcies par le feu, une lance avec une pointe en os, et un petit bouclier de bois ou d'osier.
    Historiquement, les Jugunthiz sont composés de guerriers jeunes et inexpérimentés. Ces hommes doivent faire leurs preuves, ayant une faible expérience du combat rapproché, mais comme tous les guerriers germains, ils sont impatients de gagner de l'honneur.







    Gaisofluxo Frijot (Levée de Lanciers) - Précoces

    Ces hommes sont les guerriers les plus communs chez les Suèves. Ils forment le gros des hommes libres, et sont armés d'une simple lance à pointe d'os ou de fer, protégés seulement par un simple bouclier d'osier ou de bois. ils ne sont pas très bien équipés mais comblent ce manque par l'expérience et l'impatience du combat. Bien que manquant d'entraînement, ces hommes sont des vétérans des combats tribaux, et se batte avec une force et une furie supérieure à celle de leurs voisins.






    Gaisofluxo Frijot (Levée de Lanciers) - Tardifs

    Les Gaisofluxo Frijot tardifs sont mieux équipées que leurs homologues précoces. Ces hommes sont équipés de robustes boucliers de bois, certains renforcés avec des protections en cuir ou en fer. Ils sont tous armés de lances avec une pointe en fer également. Bien que manquant d'entraînement, ces hommes sont des vétérans des combats tribaux, et se batte avec une force et une furie supérieure à celle de leurs voisins.






    Dugunthiz (Lanciers vétérans) - Précoces

    Les Dugunthiz ( ceux qui sont « Fiables » ou « Capables ») forment une unité de guerriers expérimentés; forgés par des années de guerre, majoritairement tribales mais certaines de plus grande ampleur. Ces hommes ne fuient pas le combat, et ont une grande expérience à former le mur de bouclier. Le Dugunthiz précoce est armé d'une sélection de lances et javelots à pointe de fer et parfois à pointe d'os. Leur seule défense est leur bouclier rectangulaire, comme ceux trouvés à Hjortspring.
    Historiquement, les Jugunthiz (Jeunes) formaient la première ligne de bataille, agissant comme un écran et subissant les pertes pour épargner les guerriers plus précieux (les Dugunthiz), qui se tenaient juste derrière. Les Dugunthiz forment le coeur d'une armée germanique, et sont polyvalents. Ils étaient renommés pour leur courage en mêlée, leur arme (gaizaz) est une marque de liberté et d'honneur. Leur gaizaz a une tête étroite et courte, élégante et facile à manier.







    Dugunthiz (Lanciers vétérans) - Tardifs

    Les Dugunthiz ( ceux qui sont « Fiables » ou « Capables ») forment une unité de guerriers expérimentés; forgés par des années de guerre, majoritairement tribales mais certaines de plus grande ampleur. Ces hommes ne fuient pas le combat, et ont une grande expérience à former le mur de bouclier. Le Dugunthiz tardif est armé d'une sélection de lances et javelots, certains étant bardés de fer pour causer d'horribles blessures. Ils portent un bouclier souvent rectangulaire ou ovale renforcé de métal.
    Historiquement, les Jugunthiz (Jeunes) formaient la première ligne de bataille, agissant comme un écran et subissant les pertes pour épargner les guerriers plus précieux (les Dugunthiz), qui se tenaient juste derrière. Les Dugunthiz forment le coeur d'une armée germanique, et sont polyvalents. Ils étaient renommés pour leur courage en mêlée, leur arme (gaizaz) est une marque de liberté et d'honneur. Leur gaizaz a une tête étroite et courte, élégante et facile à manier.







    Ridanz (Cavalerie légère) - Précoce

    Les Ridanz (« Cavaliers ») chevauchent de petits chevaux de mauvaise qualité, bien qu'ils soient d'excellents cavaliers légers. Ils sont utiles comme éclaireurs et tirailleurs. Comme beaucoup de guerriers germains, ils manquent de discipline et peuvent trop désireux d'entrer au combat. Ceci peut les conduire à être têtus et difficile à retenir avant un combat, puisque la gloire personnelle est toujours bienvenue. L'honneur et la réputation se méritent au combat, et parfois la soif de gloire dépasse leur bon sens.
    Historiquement, les tribus germaines n'utilisaient pas fréquemment la cavalerie, et leurs guerriers combattaient majoritairement à pied. Toutefois, certaines tribus étaient connues pour leurs cavaliers, et beaucoup de gens appréciaient l'adresse de la cavalerie germanique. Bien que leurs chevaux n'étaient pas exceptionnels, les cavaliers germains pouvaient manoeuvrer avec efficacité.
    Ces cavaliers n'utilisent pas de selles ni d'étriers par choix, car ils étaient inconnus en Europe à cette époque, introduits plus tard par l'invasion des peuples de l'est. Les tribus germaines furent parmi les premiers peuples à adopter l'étrier, car il permet non seulement à un guerrier de monter à cheval plus rapidement, mais il peut aussi lui procurer à point d'appui pour lancer son javelot. Ils étaient pour la plupart armés d'une lance et d'un bouclier, soutenus par l'infanterie légère se déplaçant rapidement - ce qui permet une grande vitesse et une polyvalence tactique sur le champ de bataille, la cavalerie pouvant percer les lignes ennemies pendant que l'infanterie suivait derrière pour achever les soldats restants.







    Ridanz (Cavalerie légère) - Tardive

    Les Ridanz (« Cavaliers ») chevauchent de petits chevaux de mauvaise qualité, bien qu'ils soient d'excellents cavaliers légers. Ils sont utiles comme éclaireurs et tirailleurs. Comme beaucoup de guerriers germains, ils manquent de discipline et peuvent trop désireux d'entrer au combat. Ceci peut les conduire à être têtus et difficile à retenir avant un combat, puisque la gloire personnelle est toujours bienvenue. L'honneur et la réputation se méritent au combat, et parfois la soif de gloire dépasse leur bon sens.
    Le Ridanz tardif est mieux équipé que son homologue précoce.

    Historiquement, les tribus germaines n'utilisaient pas fréquemment la cavalerie, et leurs guerriers combattaient majoritairement à pied. Toutefois, certaines tribus étaient connues pour leurs cavaliers, et beaucoup de gens appréciaient l'adresse de la cavalerie germanique. Bien que leurs chevaux n'étaient pas exceptionnels, les cavaliers germains pouvaient manoeuvrer avec efficacité.
    Ces cavaliers n'utilisent pas de selles ni d'étriers par choix, car ils étaient inconnus en Europe à cette époque, introduits plus tard par l'invasion des peuples de l'est. Les tribus germaines furent parmi les premiers peuples à adopter l'étrier, car il permet non seulement à un guerrier de monter à cheval plus rapidement, mais il peut aussi lui procurer à point d'appui pour lancer son javelot. Ils étaient pour la plupart armés d'une lance et d'un bouclier, soutenus par l'infanterie légère se déplaçant rapidement - ce qui permet une grande vitesse et une polyvalence tactique sur le champ de bataille, la cavalerie pouvant percer les lignes ennemies pendant que l'infanterie suivait derrière pour achever les soldats restants.




    Dernière modification par ALG, 13-03-2013, 21h45.

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    • #3


      Les Swêboz en action :

      Cliquez sur le spoiler pour voir toutes les images :

      Spoiler:





























































      [fs=Vidéo d'introduction (à voir en HD 1080p)]
      [/fs]




      Bannières :

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      [/fs]
      Dernière modification par ALG, 27-07-2013, 04h13.

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      • #4
        Et voilà, c'est terminé !

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        • #5
          Le boulot réalisé est génial et j'ai vraiment hâte de tripoter ce mod.
          Par contre je tiens à te corriger, en français on ne dit pas les alans mais les alains il me semble.
          Dernière modification par BourrinDesBois, 13-03-2013, 15h44.

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          • #6
            Oui c'est Alains, mais le reste est impeccable, merci Alexandre !

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            • #7
              Le Grand môssieur, le Grand!

              Alexandre le Normal n'aurait pas accompli cet énorme travail de traduction
              Merci pour la preview, mine de rien les previews se rapprochent de plus en plus dans le temps il me semble...

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              • #8
                Apparemment les factions sont vraiment très travailler (je mis douter mais bon c'est toujours cool de voir sa)

                EDIT Ela: un petit effort sur l'orthographe, ça fait beaucoup de fautes sur une même ligne
                Dernière modification par Elanion, 15-03-2013, 16h37.

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                • #9
                  Envoyé par Elanion Voir le message
                  Le Grand môssieur, le Grand!

                  Alexandre le Normal n'aurait pas accompli cet énorme travail de traduction
                  Merci pour la preview, mine de rien les previews se rapprochent de plus en plus dans le temps il me semble...
                  C'est juste que je me suis mis à traduire des aperçus qui datent de plusieurs mois ou même années .

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                  • #10
                    C'est pas grave ça fait patienter en attendant la sortie du mod.

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                    • #11
                      Miracle !! En bidouillant les liens des vieux aperçus de TWC, j'ai réussi à récupérer la plupart des images qui avaient disparu. Ceci étant, j'ai mis à jour cet aperçu avec ces images récupérées.

                      Réjouissez-vous, car non seulement l'aperçu est complet, mais en plus ça signifie que je vais pouvoir récupérer des aperçus plus anciens, comme celui de Carthage ou des Boïens, avec le moins de pertes possible.

                      Spoiler:










                      Espion :




                      Assassin :




                      Les Agents sur la Carte de Campagne :

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                      • #12
                        Excellent travail ALG. Bon courage pour les prochains aperçus.

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                        • #13
                          Super présentation pour un mod qui s'annonce brillant. Je serais heureux de le tester mais j'espère seulement qu'il sera compatible avec Windows 12 quand il sortira.

                          Sinon plus sérieusement, comment ça se passe pour les phalanges ? Le modèle du "mur de piques" de M2TW est pas franchement idéal pour l'antiquité, non ?

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                          • #14

                            Commentaire


                            • #15
                              Excellent !
                              Franchement faras il faudra un jour que nous dise où tu trouves toutes tes images, parce que tu en as de vraiment fendardes...

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