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  • [Moyen-Age] Héraldique

    Voici diverses citations de Solo à propos de l'Héraldique, ceci peut être utile pour de nombreux moddeurs.

    Spoiler:
    Pour commencer, des précisions sur le vocabulaire :

    Il n'y a en français pas de singulier pour désigner précisément les armoiries. Armes comme armoiries sont exclusivement des pluriels, bien que l'on puisse parler de l'armoirie lorsque c'est le concept même qui est évoqué (disons que c'est aujourd'hui parfaitement toléré). On parlera donc des armoiries (ou des armes) du royaume de France alors que l'on peut dire que l'armoirie est un emblème. Le terme d'emblème justement peut être utilisé pour désigner des armoiries, tout comme celui d'écu, faisant là référence au support le plus courant de l'armoirie (on ne l'utilisera donc que dans ce cas précis).
    L'héraldique, quant à elle, est la science qui s'intéresse à l'étude des armoiries tandis qu'on désigne par blason, l'ensemble des règles qui interviennent dans la conception des armoiries. L'emblématique prends un sens plus général et s'intéresse donc à tous les types d'emblèmes (bannières, surnoms, badges, devises, cimiers, etc), armoiries comprises.
    Les armoiries peuvent avoir un contenu symbolique mais ne sont pas des symboles proprement dit. Un exemple est ici plus parlant :
    On peut dire que la croix est un symbole chrétien mais elle est également un emblème pour les comtes de Savoie.
    Les couleurs portent dans le langage du blason des noms bien spécifiques. On les appelle les émaux et ne doivent pas être confondus systématiquement avec les couleurs qui leur correspondent. La raison en est simple. Ces "émaux" sont des couleurs conceptuelles qui se traduisent de manière presque libre : gueules, le rouge héraldique reste rouge dans tous les cas mais désigne aussi bien un rouge foncé qu'un rouge clair. La nuance entre les tons n'existe donc pas en héraldique (ceci s'applique aussi au style des figures, puisqu'un lion est un lion, quelque soit l'habileté de l'artiste qui le reproduit). Les couleurs héraldiques (je laisse volontairement de côté des cas rarissimes) peuvent être classées en trois groupes :
    - les métaux : or et argent (traduit par du blanc)
    - les couleurs : gueules (rouge, la plus couramment utilisée), sable (noir), azur (bleu), sinople (vert) et pourpre (qui est un gris-brun et non pas pourpre).
    - les fourrures : vair et hermine qui s'emploient uniquement dans le cas de leur représentation traditionnelle (argent et azur pour le vair, argent et sable pour l'hermine).
    Pour terminer, l'armoirie associe un champs (le fond de l'écu) et des figures (on peut même parler de meubles lorsqu'elles n'ont pas une position fixe).

    Les règles du blason et la codification des armoiries
    Il y en a peu à vrai dire.
    Le système héraldique nait au milieu du XIIe siècle et l'armoirie, et en tant qu'image, hérite des caractéristiques de l'iconographie romane. L'usage des couleurs dans les armoiries comme dans l'iconographie médiévale en général se structure autour du code des couleurs romanes. Sans entrer dans le détail, on peut le résumer ainsi : jaune et blanc (clair, brillant) s'opposent aux autres couleurs dont les principales sont le noir (foncé, sale, opaque) et le rouge (teinté, coloré, riche). Le vert comme le bleu n'y jouent qu'un rôle très secondaires par association/confusion avec les deux teintes principales. En héraldique, ce code des couleurs se traduit par une règle toujours respectée (les infractions sont rares), qui veut que l'on ne peut superposer deux couleurs d'un même groupe : un lion d'or ne pourra ainsi figurer sur un champ d'argent tout comme un champ de sable (noir) ne sera jamais chargé d'une figure d'azur, de gueules ou de sinople (bleu, rouge ou vert).
    Pour ce qui est du port des armoiries, il n'y a pas de véritable règlementation au Moyen Age. Chacun est libre d'en faire usage, les armoiries n'étant absolument pas réservées (et ce contrairement à l'image véhiculée depuis la révolution française) aux individus nobles. Dans certaines régions, les armoiries roturières connues dépassent largement en nombre celles des lignages nobles (en Normandie par exemple où tout paysan en possédait).
    Il n'y pas non plus au Moyen Age de règle interdisant de copier celles d'autrui, au contraire. Chacun est libre du choix de ses armes et l'imitation d'armoiries plus prestigieuses prends dans certaines régions (notamment en Dauphiné où les armoiries capétiennes sont portées à l'identique par plusieurs lignages seigneuriaux dès le début du XIIIe siècle) une importance assez grande sans qu'aucune connotation négative ni soit jamais associée.

    La signification des armoiries
    Le choix des figures et des couleurs qui chargent les armoiries peuvent revêtir plusieurs significations. C'est là l'aspect le plus intéressant de l'héraldique puisqu'il impose de déchiffrer ce code social en fonction du contexte historique dans lequel est fait le choix. J'emploie souvent l'exemple suivant pour en simplifier la compréhension :
    On peut voir l'armoirie comme une carte d'identité codée qui ne peut se déchiffrer qu'en connaissant le contexte précis dans lequel elle est conçue.
    Les signification donc, on peut les ranger selon quatre grands types :
    - Symbolique. Je l'ai dit, c'est sans doute le moins courant. La symbolique intervient surtout lorsqu'il s'agit d'armoiries princières. Les armoiries capétiennes par exemple sont sans doute la construction emblématique et symbolique la plus remarquable de toute l'époque médiévale. Il serait bien trop long d'en détailler les raisons ici mais voilà ce qu'il faut comprendre dans le choix fait par Philippe II Auguste (quel roi décidément) et son entourage : le souverain français s'affirme comme un monarque de droit divin, médiateur privilégié entre ciel et terre et premier défenseur du culte de la vierge.
    - Politique. C'est la plus intéressante puisqu'elle fait intervenir les alliances politiques et dynastique de l'individu qui choisit les armoiries. Toujours en reprenant l'exemple des capétiens on peut ainsi observer que les membres de la dynastie vont à leur tour utiliser les couleurs de la monarchie française, or et azur : Bourgogne, Vermandois, Bar, Dauphiné, Dreux/Bretagne, etc. On peut alors dire que les émaux choisis par ces lignages prennent une signification politique. Par élargissement on observe le même phénomène dans la diplomatie. Le comte de Bourgogne lorsqu'il passe au cours du XIIIe siècle du camps impérial au camps des capétiens, adoptent de nouvelles armoiries qui utilisent là encore les émaux or et azur, et non plus l'aigle et les couleurs impériales.
    - Parlante. La plus facile à interpréter. Les armoiries parlantes sont celles dont le choix s'explique par un jeu de mot en rapport avec leur possesseur. On en trouve à toutes les époques, et à tous les niveaux. Les royaumes hispaniques de Castille et de Léon par exemple sont représentés par des armoiries respectivement chargées d'un château et d'un lion. Les Martel en Ile-de-France adoptent des marteaux, les Châteauneuf et La Tour en Dauphiné des fortifications, les della Scalla en Italie une échelle, les Lucy en Angleterre des brochets (luce en vieux français), etc, etc. Elles représentent en général 5 à 10% des cas (c'est en tout cas les chiffres que j'ai constaté dans certains armoriaux médiévaux et dans les régions que j'étudie spécifiquement).
    - Enfin, les armoiries restantes peuvent être regroupées dans une quatrième catégorie. Le choix de leurs couleurs et figures ne répond qu'à des question de gout et à des phénomènes de mode. Cela dépend à la fois de la période et du cadre géographique.

    (à suivre ...)



    Spoiler:
    Moi je ne parle que d'héraldique médiévale et les couleurs n'ont quasiment aucun contenu symbolique au Moyen Age (et quand elles en ont un, il est tout à fait différent et fait référence à des préoccupations du temps, bien loin de l'écologie). Ce qui ne veux pas dire que les armoiries n'ont pas de signification mais ça j'y reviendrais dessus en complétant la fiche.
    Ce type de symbolique faisant appel à la pureté, le sang ou aux divers éléments ce sont des inventions du siècle dernier tout au mieux (quand ce ne sont pas les types qui pondent ça directement sur leur page internet).


    Spoiler:
    Alors en fait la papauté qui utilise l'association argent/or ça n'est pas si incohérent. Je m'explique. L'héraldique est évidemment strictement codifiée par les règles du blason mais dans quelques cas rarissimes, elle enfreint volontairement ces règles. C'est le cas notamment pour les armoiries du royaume de Jérusalem qui de part son caractère sacré est placé au dessus, voire mis en valeur par une telle association singulière. Les papes récupèreront bien sur cette particularité dans le courant du XIIIe siècle. Ces armoiries d'argent à deux clefs d'or posées en sautoir ont donc bien existé dans le (très) large éventail des armoiries pontificales. Tout ça pour dire que ce choix se justifie très bien même s'il n'est pas représentatif de l'héraldique pontificale dans son ensemble (je ne me suis d'ailleurs pas privé de le conserver pour Invicta).

    Moi honnêtement je ne vois pas le problème qu'il y a à combiner armoiries historiquement correctes (ou du moins satisfaisantes, sachant que la précision n'a jamais été le point fort des hérauts et des artistes) et des couleurs différentes sur la mini carte et les agents. Moi j'ai même poussé le vice jusqu'à leur donner ces couleurs de mini carte uniquement sur les tenues, les bannières ou boucliers gardant les armoiries historiques et franchement je vois pas le problème à moins de jouer moniteur éteint. Après sur le champs de bataille de toute façon l'uniformité des couleurs ne fait qu'ajouter au manque de réalisme (et à côté de ça tu vois des gens qui sont pointilleux sur la longueur des manches ou l'angle d'inclinaison du nasal). Même pendant la guerre de cent ans, les troupes de chaque camps ressemblaient plus à un gigantesque patchwork de couleurs délavées qu'à deux camps bien distincts. Voilà entre autre pourquoi les bannières ont légué ce code de couleur très stricte à l'héraldique : s'il fallait en plus lire du rouge sur du bleu, du noir sur du rouge ou du jaune sur du blanc dans le chaos ambiant ...




    Spoiler:
    Un exemple d'armoiries réalisées à l'occasion d'un mod.



    Spoiler:
    Les comtes de Flandre et de Hainaut portent les mêmes armoiries. Les armoiries au lion de gueules (rouge) écartelées dans le deuxième cas sont celles des comtes de Hollande. Les comtes de Flandre ont cependant porté des armoiries aux couleurs capétiennes lorsqu'ils étaient dans la mouvance des souverains français. Ceci dit si la répétition des couleurs vous embête, ça ne fera pas vraiment avancer le schmilblik puisque ce sont les mêmes que celles des ducs de Bourgogne.
    Les ducs de Bretagne portent également des armoiries du groupe capétien puisqu'ils sont issus de cette dynastie. En tant que cadets de la maison de Dreux, ils en portaient les armes, brisées d'un franc quartier d'hermine. Après tout dépend de vos dates puisque le changement intervient après les années 1340-1350 lorsque les ducs vont commencer à s'affirmer comme dynastie à part entière.
    Les premières armes de la Navarre sont tout à fait identiques à celle de l'empire des Hohenstaufen. Ils les ont changé au cours du XIIIe siècle pour l'écu aux chaines.
    Le royaume de Naples est représenté par les armoiries des Anjou qui font encore une fois partie du groupe héraldique capétien (ce sont en fait simplement les armoiries capétiennes, brisées d'un lambel de gueules). Les armes du royaume de Jérusalem sont associées aux Anjou, et non au Royaume de Naples attention (il s'agit de prétentions affichées non seulement par les angevins mais également par plusieurs autres dynasties).
    Quant aux armoiries de la Sicile utilisée dans M2 elles sont tout simplement anachroniques puisqu'elles reposent sur le drapeau actuel de la région (qui s'inspire lui même d'un symbole, et non d'un emblème, utilisé sur un sceau). Bref du grand n'importe quoi comme d'habitude.
    Les comtes de Savoie ont choisi des armoiries inspirées de la bannière impériale, donc de gueules à la croix d'argent, qui n'ont absolument rien à voir avec le drapeau actuel du Danemark (le royaume de Danemark avait de toute façon des armoiries bien différentes).



    Spoiler:
    Ce qu'il faut savoir concernant les capétiens et leurs nombreuses armoiries, c'est que toutes les branches affirmaient justement leur appartenance au groupe dans leurs pratiques emblématiques. Dès lors qu'on veut les distinguer, on se heurte à un gros problème puisqu'il faut aller à contre sens de ce phénomène. L'élément commun n'est en fait pas la fleur de lis mais la couleur (le bleu, azur en héraldique). C'est ce qui fait qu'on la retrouve chez tous les descendants (Bar, Vermandois, Dreux, duché de Bourgogne, Viennois, Portugal, etc) et sympathisants (comtés de Bourgogne ou de Flandre) de la dynastie capétienne. Nous on interprète ça en simplifiant les choses et en faisant des Angevins ou des Bourguignons des factions indépendantes du pouvoir capétien, mais dans la réalité, Robert le Sage se considérait lui même comme un capétien à part entière (ses armoiries en sont l'expression la plus parfaite).

    Le sinople est très rare en héraldique, il représente en fait moins de 5% des écus sauf dans certaines régions (comme en Normandie mais ça ne dépasse jamais 10%). Les fourrures (hermine et vair) le sont encore plus. Sans parler du pourpre (qui n'est d'ailleurs pas du tout la couleur moderne mais un gris-brun) qui doit rarement dépasser 1%.

    Moi ce qui me fascine c'est qu'on a aujourd'hui tendance à compliquer les aspects les plus simples de l'héraldique (les couleurs par exemples ou le style qui n'ont jamais, au grand jamais, été fixes) et à simplifier ce qui ne devrait pas l'être (la signification, la distinction entre les différents types d'armoiries, la terminologie). C'est révélateur selon moi de l'empressement qu'on a trop souvent à appliquer nos schémas de pensée à des époques différentes.
    Dernière modification par Stilgar, 07-09-2011, 20h02.

  • #2
    .....
    Dernière modification par Vassak, 01-05-2011, 03h28. Motif: useless question

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    • #3
      Dans le cadre de mon univers de fiction, je décris les armoiries de certaines maisons nobles dans le langage héraldique. J'essaye de rester le plus fidèle possible à l'héraldique traditionnelle (j'invente juste de nouvelles couleurs ou charges, mais je les décris de manière "standard").
      Mon problème est que, malgré plusieurs recherches internet infructueuses, je n'arrive pas à déterminer si, lorsque le champ n'est porteur que d'une seule charge (pour les exemples je prendrai une aigle d'argent et un dragon d'or), il faut dire « à l'aigle d'argent » ou « à une aigle d'argent », et « au dragon d'or » ou « à un dragon d'or »... Pourriez-vous m'éclairer sur la question ?

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      • #4
        Heuuu honnêtement ... J'en ai fait un peu, mais je saurais pas donner une réponse certaine. M'est avis que les deux sont correc', mais instinctivement, je blasonnerais "à l'aigle d'argent" direc' ... On spécifie le nombre si besoin uniquement (genre "aux trois alérions" etc), plutôt, il me semble. Mais je me demande si j'ai pas déjà vu l'autre cas aussi, du coup ...

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        • #5
          En fait j'ai vu les deux sur différents sites, mais aucun n'étant particulièrement pointu, je me suis dit que ça pouvait être un simple manque de connaissance ou d'attention et du coup j'en ai pas conclu que les deux étaient corrects... Merci pour la réponse en tout cas !
          Dernière modification par Bombur, 31-12-2013, 14h56.

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          • #6
            Quel univers de fiction ? Déballe !

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            • #7
              Oberian .

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              • #8
                Bon, finalement voilà ce que ça donne, vous en dites quoi (vous préoccupez pas des couleurs et des charges non historiques, y en a qui sont inventées, c'est normal, je demande juste pour la formulation) ?

                Maison Astremer, de nuit à l'étoile à huit rais d'or :


                Maison d'Arak, de nuit à l'araignée renversée et filée d'or :


                Maison Rubis, de gueules au soleil non figuré d'aurore :


                Maison Serrazur, d'azur à l'aigle essorante de sable, allumée d'azur, lampassée de gueules et armée d'argent :


                Maison Sleathroc, d'aurore au château coulissé de fer, maçonné de sable :


                Maison Tissenuit, de forêt à l'araignée renversée et filée d'argent :
                Dernière modification par Bombur, 31-12-2013, 16h10.

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                • #9
                  Maison d'Arak : c'est Or et pas Argent nan ?

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                  • #10
                    Euh ouais, pardon, faute de recopiage, ça .

                    EDIT : Corrigé !

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                    • #11
                      Je veux plus d'infos . Je ne connais pas grand-chose en héraldique, mais si c'est ton univers de fiction, tu peux créer tes propres règles ...

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                      • #12
                        Oui mais moi j'ai envie d'utiliser les nôtres !

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                        • #13
                          Bon, je vais quand même faire mon psychorigide : un puriste de l'héraldique rejetterait des armes superposant deux émaux (sable-azur), utiliserait "or" plutôt qu' "aurore" et "sinople" plutôt que "forêt" (les couleurs de l'héraldique sont invariables dans leur appellation, normalement ; je sais, fictionnel tout ça tout ça, mais bon, je mentionne juste) ; petit doute de formulation aussi : "soleil non-figuré", je me demande si la précision est nécessaire (on préciserait si c'était le cas, surtout si c'est le blason d'une grande famille, donc connu, donc ce sont les autres qui doivent se différencier d'elle), mais c'est foncièrement correct tout de même, a priori. Ah, et, même si, soit, univers fictionnel, je dois avouer que le meuble arachnéen est déroutant (on aime pas trop l'araignée, au MA), mais ça, c'est autre chose Dans l'ensemble, c'est plutôt correct, donc.

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                          • #14
                            J'ai dit que j'inventais des couleurs . Quoiqu'il en soit, aurore est une couleur qui existe (j'ai même été trouver son code RVB ), c'est un synonyme peu usité d'orangé (j'ai fait des recherches ), mais je le trouve plus classe ! Forêt est une nouvelle couleur que j'ai inventée pour la différencier du sinople (verte plutôt clair dans notre monde, en tout cas dans la plupart des cas, même si parfois il est foncé ; dans mon univers en tout cas les deux existe, sinople pour le clair et forêt pour le foncé. Idem pour la nuit par rapport à l'azur. Pour le soleil, le standard est figuré, j'ai lu sur des sites (Wikipédia et des trucs plus spécialisés) qu'il était conseillé de préciser... Et le meuble arachnéen est tout à fait logique dans mon univers où il y en a des géantes, donc qui marquent les esprits ! Oh, et au passage, petit renseignement, la maison d'Arak est née d'une union entre les maisons Astremer et Tissenuit .
                            Par contre je vois pas où j'ai accordé mes couleurs :\ ...
                            Dernière modification par Bombur, 31-12-2013, 16h13.

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                            • #15
                              Tu utilise quoi comme programme pour créer ces blasons Bombur ? Ils sont vraiment pas mal...

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