[Benoît]

Tour 2

L'Europe goûte à la paix que permet l'administration allemande.

[Archange]

Un tour sans aucun panache...

[Benoît]

[RedTovarich]

Le Japonnais n'est pas mieux mais c'est pour mieux tuer son prochain!

[Benoît]

Pense néanmoins à organiser ton aviation pour qu'elle soit plus efficace.
C'est le gros avantage du Japon en Asie, il faut l'utiliser au maximum.

[yahiko]

Tour 2 de l'URSS

Une note confidentielle de Beria que j'avais nommé il y a déjà quelque temps à la tête du NKVD, m'informe de mouvements de troupes allemandes à la frontière. La Wermacht serait actuellement en train de former trois groupes d'armées :
* l'un au Nord, basé en Pologne, constitué de 13 divisions d'infanterie, 3 divisions d'artillerie, et pouvant être soutenue en retrait dans les terres par 6 divisions de panzer et 4 division d'infanterie mécanisée, ainsi que par quelques escadrons de la Luftwaffe.
* l'un au Centre, basé en Hongrie, constitué de 9 divisions d'infanterie, 3 divisions de panzer et 8 escadrons de la Luftwaffe regroupant des chasseurs, des bombardiers et des bombardiers tactiques.
* l'un au Sud, basé en Roumanie, probablement le moins doté des trois, constitué de 7 divisions d'infanterie et de 2 divisions d'artillerie.

C'est nettement supérieur en nombre et en qualité à ce que l'URSS peut aligner pour le moment. Bien évidemment, mes généraux sont en panique. Joukov et Timochenko notamment m'exhortent de prendre l'initiative et de déclarer la guerre aux Allemands pour les prendre par surprise et ainsi les piéger à leur propre jeu. Bien que je comprenne leur point de vue, toute initiative voire toute provocation envers Hitler est hors de question. Ce serait trop dangereux politiquement et militairement. Nous ne sommes pas encore prêts.

Il n'y a qu'à espérer, comme certains de mes diplomates me le laissent entendre, qu'Hitler me contactera pour négocier avant de se lancer dans une attaque sur notre sol.

Malgré tout, vu la situation incertaine, je suis bien obligé d'accorder à mes généraux quelques concessions. Il y aura bien une mobilisation des armées mais nous continuerons à rester discret pour ne donner aucun prétexte aux Allemands. Je pressens bien qu'un conflit avec l'Allemagne est inévitable. Mais le plus tard sera le mieux.

[LeFoureur]

Merci les gars.

[Archange]

TOUR 2 - ITALIE

VENGEANCE !!!!!


Des trois corps d'armées d'infanterie et du corps d'armée blindé qui avait débarqué à Suez le mois précédent, il ne reste rien !

Quand il s'agit de retraiter, les troupes britanniques sont visiblement très fortes pour tout écraser sur leur passage ! De même quand il s'agit de débarquer sur les côtes des colonies italiennes !

Qu'importe nous vaincrons !


La réaction est d'ailleurs immédiate : De l'audace ! Toujours de l'audace !



Nos troupes quittent leur forteresse de Tobrouk et collent au plus prés des lignes britanniques. Nous les écraserons bientôt !

Notre flottille de sous-marins et la totalité de notre aviation s'élancent sur la flotte française, qui tente de rallier Suez en passant par Malte.



VICTOIRE !!

La deuxième bataille est une victoire aussi meurtrière que la première pour les forces des décadentes démocraties ! Tous nos submersibles y sont passés, mais les pilotes italiens méritent à nouveau leur réputation de meilleurs aviateurs du monde !


Sur les autres front : quelques mouvements mineurs, mais de l'audace est prévu pour dans pas longtemps, ça reste le mot d'ordre !

[Benoît]

La victoire nous tend les bras! Alors que Joseph se terre dans son palais en voyant nos troupes parader à ses frontières et ses alliés être vaincus par nos troupes, Adolph et Benito coordonnent ce qui sera le nouvel ordre mondial.

[yahiko]

AVIS A LA POPULATION

La patrie est en danger ! L'Allemagne Nazie, fourbement, sans nous déclarer officiellement la guerre, vient de violer nos frontières et s'est déjà emparée de quelques provinces à l'Ouest.

L'heure est grave.

Tous les hommes en âge de combattre doivent sans plus attendre se présenter à une antenne de recrutement de l'Armée Rouge présente dans chaque quartier de la ville.

Camarade, avec votre force, votre courage et votre sens du sacrifice, la Sainte Russie ne tombera pas aux mains de l'ennemi.

Vive la Révolution ! Vive la Russie !

[Benoît]

La grande guerre contre l'ennemi soviétique commence

L'opération Barbarossa est lancée, tant sur terre, sur mer que dans les airs. Alors que nos troupes traversaient à peine la frontière, nos bombardiers ont enseveli sous les bombes l'appareil industriel d'Ukraine, coupant toute logistique sur cette partie du front.
L'avant-garde soviétique a été débordée par nos hommes qui ont rapidement fait la différence.



Sur mer également, le fleuron de la flotte soviétique est coulé par le Bismarck.

Leningrad est devant nous, nous marchons vers l'Histoire.

[yahiko]

De l'avis de Kuznetsov dont les troupes venaient de subir une déroute en Biélorussie et de Joukov qui estime que seule Moscou peut être réellement protégée, je donne l'ordre, non sans hésitation, à l'armée de Léningrad d'évacuer et de se replier dans les terres.

Préserver nos forces reste la priorité.

En espérant que les Alliés interviennent en Europe prochainement pour ouvrir enfin de deuxième front dont nous avons tant besoin...

[Benoît]

La guerre se poursuit en Europe là où elle commence faiblement en Asie. Le Fuhreur est mécontent des progrès japonais et a appelé Mussolini pour sa non prise du Caire.





Néanmoins les progrès sont là et vu l'activisme des alliés, Moscou pourrait tomber peu de temps après Leningrad.

[yahiko]

[yahiko]

Tour 4 de l'URSS

Depuis le début de la Grande Guerre Patriotique, nous ne cessions de céder du terrain à l'envahisseur Allemand. Riga, Kiev, Minsk et tout récemment Leningrad, la ville qui portait le nom du fondateur du bolchévisme. C'était la stratégie de Joukov depuis le début. Plutôt que de masser nos troupes à la frontière et de se faire pulvériser dès le début de l'opération "Barbarossa" il m'avait convaincu de laisser l'ennemi venir à nous pour nous donner le temps de mobiliser nos troupes et de manoeuvrer. Car du temps, nous en avions besoin pour déplacer nos troupes à travers l'immense territoire Russe.

Le plan de Joukov qu'il avait mis au point peu avant l'attaque avait beau être l'une des seules voies de survie pour l'URSS, il n'en restait pas moins que le moral des troupes n'était pas au beau fixe à voir tous les territoires occidentaux de notre Mère Patrie sous le joug des Nazis.

Mais l'hiver allait peut-être nous venir en aide. Il fallait qu'il nous vienne en aide. Si nous parvenions à stopper l'avancée de la Wermarcht sur les plaines gelées de Russie, nous avons encore nos chances. Nous Russes sommes habitués aux hivers rigoureux, notre équipement est adapté. Est-ce le cas de l'armée allemande ? Nous devons espérer que ce n'est pas le cas.

Mais l'ennemi avance toujours. C'est tout juste si j'entends le grondement des chenilles des Panzers depuis mon bureau au Kremlin. Heureusement que Joukov est là. Il m'informe que les Allemands, en prenant Leningrad, n'y ont pas laissé beaucoup de troupes pour garder la ville, seulement deux divisions d'infanterie. Est-ce une opportunité ou un piège ? Difficile à dire. Toujours est-il qu'il est tentant de reprendre Leningrad tant sa position est stratégique. J'en discute avec l'Etat-Major. Nous ne risquons plus grand chose de toute façon. Nous devons réagir. Sinon il sera trop tard.

L'ordre est donc donné d'envoyer trois escadrons composés de chasseurs MiG-3 et de bombardiers Iliouchine en soutien à quatre divisions d'infanterie et une division d'artillerie sur Leningrad, le tout dirigé par Kliment Vorochilov qui avait déjà participé à l'évacuation de la ville avec succès le mois dernier. Nous devons être rapide car l'effet de surprise est primordial.

Après plusieurs jours de combats dans la ville, les soldats Allemands finissent par se rendre et nous reprenons la ville avec des pertes minimes. Une victoire enfin ! Et symbolique qui plus est. Pour glorifier cet exploit, la propagande bat son plein. Nous exagérons évidemment l'opposition allemande. Dix divisions SS sont tombées a-t-on répété sur les ondes radios et dans la Pravda. Un petit mensonge est-ce bien grave si celui-ci redonne espoir ?

Afin d'essayer de profiter au mieux de notre initiative, j'ordonne aux divisions basées en Ukraine de reprendre la Bessarabie sur le front Sud qui faute de résistance réintègre sans souci notre giron. Hitler doit désormais avoir conscience que chaque centimètre carré de terrain envahi sera repris par l'Armée Rouge. Les Allemands ne sont plus en sécurité chez nous. L'heure de la contre-attaque a sonnée.

Mais puisse cela être aussi vrai pour les Alliés en Europe de l'Ouest...