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Lord Perhaps On The Roof
a répondu
07-10-2014, 22h18
Quel courage
! C'est sympa, continue comme ça !
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Lithu
a répondu
07-10-2014, 22h04
Allez hop, seizième partie.
Musique
Seizème partie - Hiver 2990 T.A. à Été 2991 T.A.
(Tours 44 à 46)
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Hiver 2990 T.A.
En ce début d'hiver, un jeune général du nom de Hathor fut adopté par Noruinivion. Il quitta Barad Har,, pour aller gouverner Linhir conformément à la mission dont on l'avait chargé.
Les relations avec les elfes s'aggravaient encore et toujours.
Dans les territoires réoccupés depuis peu - en Harondor mais aussi à Minas Ithil - quelques constructions furent achevées, tantôt économiques tantôt culturelles.
Les ateliers de fabrications d'équipement militaires s'étaient agrandis pour s'adapter aux besoins. Plusieurs centaines de soldats, notamment des archers, avaient achevé leur formation et étaient prêts à partir pour le combat. A Dol Amroth, un petit ost embarqua dans un Númérramar - un bateau plus petit que les grands Pallaran construits à Pelargir, mais fort suffisant pour le transport de troupes en des eaux sécurisées.
A l'extrémité Nord de l'Ithilien, non loin des marais, Mistnir rencontra un ost du Mordor qui lui barrait le passage. Il y avait de la brume et de la neige, et à dire vrai on ne voyait pas bien loin.
Spoiler:
Les forces gondoriennes entendirent l'approche ennemie bien avant de distinguer la forme sombre de leurs corps d'armée. Les cavaliers harcelèrent leurs ennemis qui étaient plus limités encore qu'à l'habitude pour y réagir. Les archers gondoriens tiraient à l'aveugle, infligeant des pertes réduites à leurs ennemis. Finalement, les corps d'infanterie des deux armées entrèrent au corps à corps.
Spoiler:
Dans les mauvaises conditions météorologiques du combat, il était impossible aux orques de réaliser qu'ils étaient tout de même en léger surnombre. Aussi, quand ils commencèrent à être mis en difficulté face aux épéistes et qu'ils furent encore harcelés par les cavaliers, ils fuirent plus vite encore qu'on n'eut peu l'espérer, croyant probablement les hommes plus nombreux qu'ils ne l'étaient. Quoi qu'il en soit, quelques uns parvinrent à s'échapper dans le froid, mais la tempête cessa, et les rayons du soleil qui perçaient à nouveau, même faiblement, facilitèrent largement la poursuite, au grand dam des fuyards.
Spoiler:
Au Sud de la rivière Harnen, Durven mit à nouveau le siège sur Gobel Ancalimon.
Printemps 2991 T.A.
La froide saison fut plus calme que les années précédentes. Au début du printemps, l'idée d'établir une certaine paix faisait son chemin. Mais tout restait prévu pour continuer la guerre, comme la promotion d'un nouveau général, Anborn, que l'on estimait plus pour les hommes de qualité supplémentaires qu'il allait amener avec lui que pour autre chose.
Dans le Sud, la guerre continuait tout de même. Le château peu défendu de Gobel Ancalimon était dirigé par un haut dirigeant ennemi, le Prince Musab. Si d'aventure il devait être capturé, l'on comptait bien le rançonner. L'assaut fut prompt. Les lanciers ennemis qui gardaient les murs commencèrent à être la cible des traits de l'archerie gondorienne.
Spoiler:
Très vite, les épéistes furent sur les murs grâce à leurs échelles, certains arrivant sur des portions non défendues. Les sudérons se repliaient déjà.
Spoiler:
Les dúnedains prirent calmement le contrôle des accès de la place, et déplacèrent leurs troupes vers le centre. Le combat s'engagea finalement dans l'étroite intersection de deux rues, entre la cavalerie ennemie et le gros de l'infanterie. Les lanciers sudérons étaient restés en arrière. Ils furent attaqués par un groupe de miliciens épéistes qui arrivait par l'autre côté avec pour but initial de prendre à revers les hommes du Sud.
note 1
Spoiler:
Spoiler:
Les lanciers haradrims offrirent une vaillante résistance, mais furent vaincus, et permirent enfin de prendre à revers la cavalerie ennemie. Celle-ci, engluée, était loin de pouvoir exploiter toute sa mobilité, mais excellemment équipée elle avait bien résistée jusqu'alors.
Spoiler:
Mais attaqués des deux côtés, fourbus, et peu nombreux, les derniers sudérons furent défaits rapidement. Parmi eux, leur prince trouva la mort.
Spoiler:
La place était désormais sous le contrôle du Gondor. Elle fut pillée sans grande hésitation.
Alors que le solstice approchait, un diplomate oriental vint proposer des accords commerciaux avec son pays. Ceux-ci bénéficieraient surtout au commerce avec la région d'Umbar. Les négociations se poursuivirent cordialement, jusqu'à ce que le Gondor accepte la proposition améliorée qui lui était faite, et lui assurait un paiement immédiat.
Spoiler:
Eté 2991 T.A.
Arveleg, qui errait entre la Moria et l'Anduin, fut reçu par Haldir. Ils eurent une discussion cordiale. Arveleg souhaita conclure un échange de cartes, mais les elfes se refusaient à toute idée de transmettre une fois de plus les leurs. Finalement, le diplomate gondorien accepta la proposition elfe d'or contre les informations du Gondor. Dénethor le lui avait dit, "que l'ennemi connaisse nos terres, nos forteresses, et qu'il tremble" ; peu lui importait donc si les elfes risquaient de revendre l'information à d'autres, si le Gondor en tirait un intérêt suffisant.
Spoiler:
Dénethor, cependant, avait autre chose à l'esprit. Les orques du Mordor avaient mis le siège sur Minas Ithil. La garnison de la forteresse était correcte, mais celle-ci était difficile à défendre.
note 2
L'assaut viendrait rapidement, l'ennemi souhaitait reprendre ce qu'il jugeait comme son bien. Et s'il pouvait aussi abattre le dirigeant ennemi... Quel succès cela ne serait-il pas pour lui. C'était la nuit. L'intendant décida d'une sortie avec sa cavalerie et quelques archers. Il ne comptait pas détruire tout l'ost ennemi, oh non. Ses éclaireurs n'avaient pu qu'estimer ses forces - autour de trois mille cinq cents - mais l'estimation suffisait.
Il avait en revanche appris qu'un général quelque peu compétent était à la tête des troupes ennemis. Pour la reprise de Minas Ithil, il était au fond bien normal que l'ennemi engage ses meilleurs éléments, quoiqu'on n'ait vu trace de nazgûl.
Les cavaliers sortirent de la forteresse par le pont.
Spoiler:
Spoiler:
Ils suivirent le chemin entre la falaise et l'eau. L'ennemi n'avait pas disposé de gardes à son extrémité. Surprenant. Les cavaliers contournèrent le camp orque. Même si leurs adversaires préféraient le jour à la nuit, puisqu'ils combattaient face à des humains, ils se reposaient tout de même la nuit.
Spoiler:
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Quand le campement fut attaqué, et le général ennemi tué, ce fut une surprise. Les gardes orques n'avaient donné l'alerte que trop tard. Les cavaliers subirent cependant vite des pertes importantes de la part des archers orques. On ne les avait presque jamais vu au cours des dix années passées, mais cette armée semblait en comporter un nombre conséquent. Un petit groupe de cavaliers fut chargé de donner le change en attaquant l'autre côté du campement. Les miliciens montés qui avaient participé à l'assaut de la partie du camp du général firent mouvement pour aider l'autre groupe, et ensemble ils parvinrent à mettre en déroute les orques qui s'y trouvaient.
Le reste de l'armée ennemie était cependant désormais en ordre de bataille. Il était temps de se retirer. Tout les cavaliers rentrèrent dans la forteresse, où une partie de l'infanterie était prête au combat, au cas où l'ennemi attaque rapidement. Mais ce dernier n'en fit rien. L'escarmouche se concluait ainsi.
Spoiler:
Pendant ce temps plus loin au Nord, aux abords de la vallée d'Udûn et de la porte noire, les osts réunis de Golasgil et Mistnir affrontaient deux petits osts orques, l'un dirigé par un général qui avait des notions de commandement un peu plus évoluées que la plupart. A son malheur, en plus d'affronter des adversaires qui avaient une véritable expertise du commandement et de la tactique, les dúnedains qui faisaient face à ses orques était en nombre, fait plutôt inhabituel.
Spoiler:
Le premier des deux osts du Mordor à engager le combat fut terriblement affaibli par les traits de l'adversaire. Pour un orque, il y avait un archer gondorien... Aussi lorsqu'ils entrèrent au corps à corps face aux épéistes ils étaient déjà bien peu.
Spoiler:
Les troupes du deuxième ost disposaient de catapultes qui firent quelques dégâts avec leurs rochers enflammés. Mais cela restait marginal. Le gros des orques engagea les miliciens épéistes. Les archers après avoir pu placer une ou deux salves, n'osèrent plus tirer par peur de tuer les leurs. C'est alors qu'ils virent les puissants uruks de la garde du général ennemi qui contournaient la mêlée. Ce fut un déluge de feu qui s'abattit sur eux.
Spoiler:
La cavalerie, qui avait déjà bien contribué depuis le début du combat à tuer les fuyards et à affaiblir l'ennemi, acheva les rares uruks qui avaient échappé aux flèches, dont le général adverse. Les derniers orques à lutter rompirent leurs lignes.
Spoiler:
Spoiler:
Enfin, le surlendemain à l'aube, l'assaut fut donné sur Minas Ithil. Les troupes ennemies se massèrent le long du chemin face au pont. Les flèches humaines ne pouvaient les atteindre là-bas.
Spoiler:
La terreur poigna les hommes lorsqu'ils virent les terrifiants trolls couverts de plaques d'acier et armés d'une énorme masse. Cela s'appelait des Olog Hai, mais leur nom n'avait guère d'importance pour ceux qui allaient devoir les affronter sous peu.
Spoiler:
Les forces de l'Oeil restèrent en position toute la matinée. Il y eut de vagues escarmouches sur le pont. Et puis l'ennemi se retira, dans l'incompréhension des hommes.
Spoiler:
L'été s'achevait, et Minas Ithil restait aux mains des hommes. Mais par quel miracle... ?
Note 1 : La signification de "Harad" est d'ailleurs Sud, en langue sindarinne.
Note 2 : J'étais resté là dans l'idée de pouvoir montrer la cité en carte de bataille, mais quand j'ai constaté à quel point elle est injouable, j'ai déchanté : impossible de placer mes archers sur les murs, un seul rideau défensif externe, et si j'envoie mes cavaliers au loin, j'ai une partie du champ de bataille qui est impraticable pour des raisons obscures (ça a l'air d'être du sol tout plat pourtant). Son positionnement par rapport à l'accès à la forteresse est vraiment néfaste quand on souhaite utiliser la cavalerie dont LA force est la mobilité.
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Lithu
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12-10-2014, 22h06
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Lithu
a répondu
06-10-2014, 18h04
Je suis plus loin dans la partie, et je peux te dire : autant la piétaille orque est minable, autant je hais leurs trolls.
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Lithu
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12-10-2014, 22h08
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JC_CESAR
a répondu
06-10-2014, 18h03
C'est vraie que les unité du Mordor sont vraiment trop faible, j'ai bien envie de tripatouiller le descr_unit pour leur donner plus de punch. Car franchement affronté trois full stack d'orc divers et gagner c'est un peux abusé, je me demande à partir de quelle tour le Mordor commence à sortir des unité d'élite avec DAC (troll etc) .
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fauconaigle
a répondu
06-10-2014, 16h58
super récit je trouve le gondor nettement mieux faite et plus jouable dans third age de base.
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Halzum
a répondu
06-10-2014, 11h16
Envoyé par
Lithu
la bêtise de l'IA est souvent la clef
Heureusement que tu ne joues pas sur RTW alors, sinon y'aurait même plus de challenge
.
Envoyé par
Lithu
La question est assez ouverte
Justement, c'est parce que je veux qu'elle soit ouverte
. tu as répondu aux 2 questions que je me posais niveau économie
. Et moi aussi j'adore faire prospérer un petit village en métropole haha
.
Envoyé par
Lith
Mes réponses te conviennent-elles?
Oui c'est parfait
.
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Lithu
a répondu
06-10-2014, 01h09
Envoyé par
Halzum
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Je me pose la question : tes troupes sont pas un peu trop cheaté contre les forces ennemies? A chaque fois c'est une victoire écrasante ou presque
. Et niveau économie tu t'en sors?
Du moment que le jeu estime le rapport de forces défavorable pour nous et qu'on bat bien l'adversaire (c'est à dire qu'on n'a pas trop de pertes et que dans la poursuite on ne les laisse pas s'échapper), ça fait une victoire écrasante. La valeur des orques est nettement surestimée avec ça, alors que celle de la cavalerie lourde des généraux est sous-estimée. (Pour donner un ordre d'idée, d'après le jeu 60 cavaliers lourds d'élite avec un général à 10 étoiles ~= 250 guerriers orques de base)
Il faut aussi tenir compte du fait que, dans la plupart de mes combats, j'ai un général correct (voir excellent avec Golasgil, Boromir et Dénethor qui sont à 10 étoiles et pour les deux premiers offrent des bonus de moral significatifs), alors que mes adversaires n'en ont pas (ou le perdent vite). Les rares fois où j'ai du affronter un bon général ennemi qui avait aussi un ost correct, c'était nettement nettement plus tendu.
Dans ma tactique, je vise principalement à casser le moral ennemi (flèches enflammées (même si ce n'est pas RP c'est une mécanique du jeu) ; charges de cavaleries dans le dos ; ou sur le capitaine adverse) pour le mettre en fuite, derrière la cavalerie nettoie les fuyards et fait le gros des morts.
La victoire dans la vallée de Morgul au tour 41 illustre largement le phénomène : j'ai affronté 4600 orques, à la fin de la bataille j'en avais capturé plus de 2700 et une centaine avaient fui. Si on y ajoute les orques morts durant la fuite, plus de deux tiers ne sont pas morts en combattants. Si ce n'est plus encore avec tout les morts dans l'approche sous les flèches.
D'ailleurs, potentiellement avec trois groupes d'archers et un peu de cavalerie on peut faire des ravages immenses quasi sans perte en fuyant toujours le corps à corps ; quand l'ennemi n'a ni archers (fréquemment le cas du Mordor) ni cavaliers (presque toujours le cas du Mordor, moins du Harad) ni trolls (les trolls massacrent complètement les archers). Il y a un combat qui illustre ça assez bien, avec je crois Golasgil et Faramir, le soir un peu à l'Est d'Osgiliath ; où j'ai 10 morts en tout et pour tout.
Evidemment, la bêtise de l'IA est souvent la clef, très clairement (je l'ai d'ailleurs souligné dans les cas les plus flagrants, parfois de manière indirecte (et RP) en parlant des problèmes de commandement ennemis). Un humain en face m'aurait détruit dans de multiples combats que j'ai remporté. Un phénomène récurrent est que toutes les forces ennemies n'arrivent pas sur mon infanterie en même temps : un ou plusieurs groupes, soit trainassent, soit sont distraits par mes cavaliers. On peut repenser à la sortie que j'ai faite à Umbar avant de vendre la ville, comme illustration ultime du phénomène (leurs cavaliers chargaient mes archers c'était réglé, mais ils préféraient poursuivre mes propres cavaliers avec accessoirement mon capitaine)
Autre phénomène, en se divisant en plusieurs groupes, l'ennemi initialement en surnombre se retrouve en sous-nombre. Sachant que qualitativement, mes épéistes - mêmes s'ils sont miliciens - sont nettement au-dessus de l'orque (et aussi du lancier haradrim ; seuls les corsaires/guerriers sudérons sont embêtants chez le Harad car ils ont un bon moral et des stats honnêtes. Chez le Mordor les gardes du Morannon sont un peu agaçants aussi s'ils entrent au corps à corps, ceci sans parler des trolls qui sont une vraie vraie peine) ; les groupes ennemis se font mettre en déroute les uns après les autres. Si j'ai un groupe de cavalerie pour les poursuivre, ils ne pourront pas reprendre leurs esprits.
Envoyé par
Halzum
Voir le message
Et niveau économie tu t'en sors?
La question est assez ouverte : est-ce que j'arrive à financer ce que je voudrais, ou est-ce que j'arrive à éviter la banqueroute ?
Ca n'apparaît pas forcément beaucoup dans le récit, mais quelque chose que j'adore est le développement des villes. Transformer la petite ville en majestueuse cité aux infrastructures incroyables me fait plaisir. Evidemment, c'est loin d'être accessible. Les constructions ont longtemps été gelées après celle de début de partie, et ensuite une large part s'est faite grâce aux appoints financiers exceptionnels (primes pour un échange de carte, pillage de ville, etc)
Donc par rapport à la banqueroute je n'ai pas de souci : entre les pillages/reventes de bâtiments inutiles (ça rapporte gros) en Harad, et le commerce/les impôts tout à fait intéressants du royaume qui croissent régulièrement, je n'entre jamais en déficit structurel. En face, le Mordor est ruiné par l'entretien de ses troupes pléthoriques, de mon côté je n'ai pas une marge importante mais ça passe : mes capacités de production restent limitées et le combat rogne régulièrement mes troupes, ce qui m'empêche de trop exagérer. Quand je suis juste financièrement, je suis simplement obligé de geler les constructions à regret.
D'ici quelques jours, lorsque j'aurais eu la patience de récupérer les données, les statistiques sur l'économie devrait apporter un éclairage sans doute plus précis et riche sur la question.
Mes réponses te conviennent-elles?
Dernière modification par
Lithu
,
12-10-2014, 22h08
.
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Halzum
a répondu
06-10-2014, 00h28
Envoyé par
Lithu
"les voies de la "sagesse" elfe sont impénétrables"
Je me pose la question : tes troupes sont pas un peu trop cheaté contre les forces ennemies? A chaque fois c'est une victoire écrasante ou presque
. Et niveau économie tu t'en sors?
Sinon comme pour LPOTR, ton système de migration de population est bien pensé!
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Lithu
a répondu
05-10-2014, 18h43
Content qu'il te plaise.
Petit remerciement à tout mes lecteurs sans lesquels je crois que j'aurais abandonné depuis quelques temps déjà. Au moment où j'écris ce message, j'ai environ 130 personnes qui ont commencé la lecture du récit à un moment, 70 qui sont allées jusqu'à la 5ème partie et 45 jusqu'à la 12ème. (Sauf si quelques uns ont commencé à lire au milieu m'enfin
)
Aujourd'hui une nouvelle tranche de récit pour avancer dans l'histoire.
(Au passage j'ai aussi corrigé la septième partie)
Musique
Quinzième partie - Été 2990 T.A. et Automne 2990 T.A.
(Tours 42 et 43)
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Été 2990 T.A.
Après avoir repris Minas Morgul, 988 ans après sa perte, le premier acte de l'intendant Dénethor fut de rendre à la forteresse son nom originelle : Minas Ithil ; la tour de la lune.
note 1
Minas Tirith retrouva elle aussi son nom originel : Minas Anor, la tour du soleil.
C'était une sombre page de l'histoire du Gondor qui - espérait-on - se refermait avec le recouvrement complet de l'Ithilien. Et c'eut été volontiers que tout aurait été arrêté là, si chaque dúnedains ne savait avec la plus grande des convictions que les engeances ténébreuses n'auraient de cesse de vouloir la perte du grand royaume. Par le passé, après avoir vaincu Sauron, les hommes avaient vite déserté la terre maudite du Mordor et son mal.
Cette erreur, pour laquelle un si lourd tribut avait été payée, ne devait pas être reproduite. Si l'on parvenait à faire tomber Barad Dûr à nouveau - sans soutien quelconque des autres peuples de la terre du milieu et avec l'ensemble des forces fidèles au mal qui n'était pas encore entrées en action, cela semblait encore bien lointain - ; si l'on y parvenait, il s'agirait de ne jamais laisser plus ces terres sans surveillance et contrôle, quelle que fusse la peur.
La grande peste de 1636 T.A. avait il est vrai joué un grand rôle dans le déclin du Gondor et son repli contraint, mais entre les améliorations sanitaires dans les grandes villes où le mal s'était le plus propagé, et les améliorations agricoles qui avaient tout de même eut lieu depuis, la pensée que cela ne pourrait se reproduire était l'espoir qui habitait chacun.
Après ce succès éclatant, le conseil des nobles promit de mobiliser de nouvelles forces si l'effort était poussé jusqu'à la prise de Cirith Ungol, donnant un délai qui courait jusqu'à la fin de l'an 2994 pour ce faire. Cependant, Dénethor souhaitait avant tout reposer ses troupes, et attendre que l'ennemi vienne s'écraser sur les murailles de la forteresse, avant de s'engouffrer dans son repli pour aller plus loin.
Aussi, il réunit les forces des unités qui avaient subies le plus de pertes, et en envoya une partie en voyage vers le Nord de l'Ithilien, avec Mistnir à sa tête. L'intendant souhaitait que Golasgil réunisse une armée. Il ne savait pas exactement encore où porter le prochain coup cependant : serait-ce vers le Nord et Thoronburg, pour isoler plus encore Dol Guldur et peut-être pouvoir éradiquer les forces qui corrompaient le Sud de la forêt noire ? Ou bien cette tâche reviendrait-elle davantage aux elfes sylvains - qu'ils se montrent de quelque utilité - et l'assaut irait-il vers la Porte Noire, afin de contrôler tout à fait les accès vers le Mordor ? Le temps le lui dirait, songea-t-il sagement.
Les projets longs et coûteux d'améliorations des routes étaient achevés dans les régions qui entouraient les plus grandes villes du royaume : Minas Anor, Pelargir et Dol Amroth. Très vite, le commerce connut une amélioration substantielle, le pavage accélérant la vitesse des convois de marchandise tant lorsqu'ils roulaient qu'en évitant de briser leurs roues ou de les piéger dans un bourbier. Le déplacement des forces militaires était lui aussi facilité, ce qui était plus qu'utile. Il y eut aussi l'achèvement d'une bibliothèque dans la plus grande cité d'Harondor, afin d'aider à la conversion des élites.
La guilde des explorateurs sollicita une énième antenne, à Osgiliath Est encore, qui lui fût cette fois accordée.
Loin de là, au Nord de la rivière Harnen dans les dernières terres encore à peu près sous le contrôle du Harad de ce côté-ci de la rivière, Durven déclencha un combat contre un petit ost ennemi qui comptait lui barrer la route et espérait des renforts rapides. Même avec eux cependant, les haradrims étaient moins nombreux que leurs adversaires...
Les troupes ennemies étaient situées sur la colline d'en face. On les distinguait difficilement avec la pluie.
Spoiler:
Sous une pluie intense, les cavaliers gondoriens parvinrent à charger les archers adverses. Les cavaliers sudérons réagirent rapidement.
Spoiler:
Gênés par leurs propres hommes, ils ne purent cependant affronter leurs adversaires qui fuirent à temps. Les forces sudéronnes se mirent en marche vers celles de l'arbre blanc. Rapidement, les cavaliers ennemis poursuivant ceux du Gondor furent sous le feu des archers.
Spoiler:
Spoiler:
Cependant, alors que les miliciens montés fuyaient en bon ordre toujours poursuivis, les gardes du corps de Durven prirent leurs adversaires de flanc : ils avaient pu s'éloigner assez pour réaliser cette charge. Le commandant adverse périt rapidement. Les flèches se concentrèrent alors sur les lanciers ennemis presque parvenus en haut de la colline. Peu après, les miliciens du Gondor plus reposés contre chargeaient et s'engageait l'usuel corps à corps.
Spoiler:
La déroute des lanciers fut rapide, et les tirs des balistes haradrimes firent probablement plus de dégâts dans les rangs gondoriens que n'en fit toute leur infanterie. Les cavaliers des troupes de renforts ennemis combattaient encore avec vigueur et chargèrent contre la pente les rangs de l'infanterie lourde du Gondor. Sans grand succès cependant. Leur capitaine fut vite mis à bas de sa monture et tué.
Spoiler:
Quelques fuyards furent rattrapés par les cavaliers dúnedains, avant que la bataille ne soit tout à fait achevée. Elle était nette.
Spoiler:
L'été s'acheva sans guère plus de nouvelles dignes de figurer dans ce récit.
Automne 2990 T.A.
Au début de l'automne parvinrent une fois de plus des nouvelles d'un mécontentement des elfes sylvains. Sachant que le Gondor avait isolé les forces de Dol Guldur de celles du Mordor, aidant ainsi indirectement les elfes, cela semblait bien surprenant, mais "les voies de la "sagesse" elfe sont impénétrables" disait-on.
Dans l'Est de l'Harondor, Boromir fit piller les bâtiments qui n'apportaient rien au Gondor, tandis que la construction d'un hôtel de ville pour organiser un peu mieux l'administration et diminuer un peu la corruption était déjà engagé.
A Amrun, un peu plus au Sud-Est, l'espion Maenion fut attrapé alors qu'il tentait de s'introduire dans le château. Selon le traitement usuellement réservé aux espions, il fut mis à mort après avoir été torturé pour tenter de glaner des informations sur sa mission. Il apparaissait clairement aux haradrims que le Gondor avait l'intention de porter son offensive jusque là.
Un nouvel ost envoyé lutter contre lui fut affronté par Durven et ses troupes. L'infanterie se terra dans les broussailles, tandis que la cavalerie partit provoquer l'ennemi. Peu après, les archers faisaient feu sur l'ennemi lui infligeant de lourdes pertes, avant que les miliciens ne commencent à trancher de leurs épées les sudérons. Dans la confusion, les cavaliers du Gondor tuèrent le capitaine ennemi. La bataille fut exceptionnellement courte, et les troupes ennemies tout à fait écrasées, permettant à Durven et ses hommes d'avancer jusqu'au pont sur le fleuve Harnen, de le franchir, et de mettre le siège sur la place forte de Gobel Ancalimon.
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A Dol Amroth, Imrahil était songeur. Le royaume avait évolué d'une manière bien surprenante ces derniers temps. Il était bien sûr heureux des victoires répétées contre les corsaires d'Umbar, les tribus haradrims et le Mordor. Mais il s'interrogeait sur l'avenir de la politique intérieure. Son statut lui donnait une autorité peu contestée, mais il voyait bien les discrètes attaques de Dénethor contre la puissance des vassaux du royaume. Pour le moment, celui-ci n'avait pas osé le toucher, mais cela durerait-il, lorsqu'il aurait étouffé les autres résistances ? Il espérait que non, tant pour le maintien de sa glorieuse lignée que pour le bien même du royaume - si lui-même voyait son autorité attaquée, c'est que tous les possesseurs de fiefs du royaume le seraient peu ou prou, et ils ne laisseraient pas ce qui faisait leur richesse et leur titre leur être subtilisé sans réagir. Et alors, le chaos serait proche. Tout ce qui avait été gagné jusque là pourrait être perdu. Il espérait que Dénethor fut assez sage pour comprendre les limites auxquelles il était sévèrement astreint dans son rôle d'intendant. Même un roi légitime, descendant d'Anárion - le frère d'Isildur, fondateur de Minas Anor, et celui dont devait descendre quelqu'un pour prétendre à être roi du Gondor -, n'eut pu faire cela.
Imrahil était un homme noble, à plusieurs points de vue : avec son peuple, lors des rares combats auxquels il pouvait prendre, et enfin par son sens général de la justice.Ce n'était pas un grand commandant. Bien qu'il ait de solides notions de combat individuel, il n'avait guère mené d'armée à la bataille pour acquérir l'expérience tactique indispensable.
Ses pensées devinrent plus confuses, et sa réflexion se perdit dans les limbes... L'alcool le rongeait. C'était cela peut-être plus encore qui l'éloignait du champ de bataille. A l'origine simplement amateur de boissons - comme la plupart des hommes -, il avait fini par boire plus et plus encore pour oublier ses inquiétudes, et ne parvenait plus à s'en priver désormais. Il se voyait s'abîmer plus vite qu'à la normale. Autour de lui, on ne savait pas comment réagir.
Sa glorieuse lignée númenórenne, mêlée d'elfes, lui avait fourni une bonne santé, et une grande longévité, mais le pouvoir de l'alcool était plus grand lorsqu'on l'absorbait en trop grandes quantités.
Dans sa suite, on remarquait l'explorateur issu de la maison de guilde de Dol Amroth, qui était chargé de l'aider pour tout voyage ou expédition qu'il pourrait mener. Un bibliothécaire et un scribe l'accompagnaient aussi, l'aidant à satisfaire sa soif de savoir. Il allait souvent à la bibliothèque - dans les moments où il échappait à la boisson - consulter les récits des temps anciens.
Il se sentait encore assez respecté, mais pour combien de temps ?
Spoiler:
Imrahil, après avoir quitté sa cité le temps de superviser la construction d'une tour de guet pour surveiller la route entre Dol Amroth et Tarnost, recruta quelques mercenaires. Il y avait en effet deux groupes de bandits qui étaient prêts à se mettre au service du royaume pour une somme plutôt restreinte. Et un peu plus au Nord-Est, il y avait un important groupe rebelle qui rançonnait les marchands et faisait sa loi, qu'il s'agissait de mater.
Tandis que Imrahil retournait à sa chère cité, les bandits firent donc mouvement vers le Nord-Est. Le gouverneur de la place de Tarnost, Forlong prit le gros de ses troupes et marcha vers les rebelles. A la limite entre le Belfalas et le reste du Dor-en-Ernil - les terres du Prince en sindarin - ; les deux groupes attaquèrent les rebelles.
Spoiler:
Les miliciens du Gondor firent mouvement pour se placer sur un repli de la colline, afin d'être adossés à la falaise et d'avoir l'avantage de la position sur les rebelles lorsqu'ils approcheraient. Les cavaliers de la garde de Forlong firent mouvement vers les rebelles. De l'autre côté, les bandits arrivaient dans la zone du combat. Le général ennemi fut tué très rapidement, lors d'une charge. Il était plus qu'un capitaine de bande ordinaire, et avait quelque noble sang. Cependant, cela ne l'immunisait guère contre un puissant coup de lance.
Spoiler:
Les bandits entrèrent au corps à corps contre les forces ennemis. Plus en arrière, les archers rebelles, mal équipés, s'étaient mis en position pour tirer sur les bandits, mais ils subirent une charge de dos de la cavalerie gondorienne qui les massacra.
Spoiler:
Peu après, un groupe ennemi parvint au niveau des miliciens du Gondor qui s'étaient réfugiés sur la colline. Plus fatigués, moins bien équipés, ils n'avaient cependant pas l'avantage et furent vite repoussés. Au coeur du champ de bataille, les bandits ayant subis d'énormes pertes - ils étaient encore moins bien équipés que les rebelles, ils entrèrent en déroute. Cela ne préoccupa guère les forces régulières gondoriennes. La mort des bandits au combat était perçue comme presque aussi bénéfique que celle des rebelles. La cavalerie revint soutenir les miliciens.
Spoiler:
Les forces ennemies subirent de très lourdes pertes. Quelques uns de leurs hommes se réfugièrent en hauteur, mais poursuivis ils furent eux aussi tués. La rébellion était matée.
Spoiler:
Les quelques bandits survivants virent tout de même l'argent qui leur était du payé, avant d'être dispersés. Forlong et ses hommes retournèrent à Tarnost.
Pendant ce temps, dans la Forêt Noire, le diplomate Arveleg parvint devant la terrible forteresse de Dol Guldur. Il avait déjà vu quelques troupes du Mordor qui mettaient le siège à Ost-in-Gil plus au Nord-Est, sans que les elfes du royaume de Thranduil ne paraissent s'en soucier le moins du monde.
Spoiler:
Surmontant sa peur, et grâce au respect qui entourait les diplomates, Arveleg fut reçu dans la terrible forteresse, où il conclut l'échange de cartes entre les royaumes ennemis. Le Gondor souhaitait mieux connaître la situation du Mordor pour l'attaquer, et l'inverse était tout aussi vrai. Nul doute que chaque camp tenta de faire de l'autre le dindon de la farce, mais au final chacun parvint à en tirer quelques bénéfices.
Spoiler:
Arveleg sentit que l'ennemi songea à le retenir si ce n'est le tuer. Mais il put quitter les lieux, se jurant de ne plus aller en ces lieux maudits. Les hommes même corrompus encore avaient-ils le respect minimal pour ces choses, mais le Mordor n'était pas tout à fait dans ce cas.
Alors que l'automne s'achevait, les forces du Harad firent une sortie à Gobel Ancalimon. Durven replia ses troupes, abandonnant le siège. Poursuivi, il engagea le combat quelques lieues plus loin, contre des forces adverses légèrement réduites. Il positionna ses forces le long de la route.
Spoiler:
Il dut rapidement les réorganiser pour mieux faire face aux assaillants, tandis qu'avec ses cavaliers il entamait l'harcélement de l'infanterie adverse.
Spoiler:
Les archers infligèrent de lourdes pertes à leurs adversaires dans leur approche.
Spoiler:
Finalement, s'engagea comme de coutume le corps à corps.
Spoiler:
Comme de coutume, la déroute haradrime fut prompte, et la poursuite des fuyards sanglante.
Spoiler:
Les nombreux prisonniers furent exécutés. Comment prendre la place forte si la moitié de ses anciens défenseurs, épargnés, y retournaient ?
Les premières neiges de plaine arrivaient en Anórien.
Note 1 : J'ai constaté avec surprise qu'un script du jeu le faisait automatiquement, mais c'était dans mes projets de toute façon.
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Lithu
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12-10-2014, 22h09
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Lord Perhaps On The Roof
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05-10-2014, 10h03
GG, j'aime bien ton système
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Lithu
a répondu
04-10-2014, 19h58
Après avoir fini le recueil et le traitement des données de population hier soir, et fait les graphiques, je peux enfin les publier.
note 1
Sixième partie corrigée aussi, il n'y avait pas grand chose à revoir pour cette fois.
Statistiques 1 - La population des villes
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Graphiques
Évolution de la population totale des villes par culture du printemps 2980 T.A. à l'hiver 2989 T.A.
note 2
Spoiler:
En pourcentage des cultures :
Spoiler:
Évolution de la population totale des villes possédées au printemps 2980 T.A.
Spoiler:
Spoiler:
Évolution de la population totale des villes du royaume "restauré" : terres initiales, Andrast (extrémité ouest du royaume), Ithilien ainsi que la côte ouest de l'Harondor et l'île de Tolfalas.
Spoiler:
Spoiler:
Enfin évolution de la population des villes acquises après le printemps 2980 T.A. :
Spoiler:
Spoiler:
Evolution de la population de chaque ville du royaume :
Spoiler:
Sans les villes les plus peuplées afin de mieux voir les évolutions des autres :
Spoiler:
Quelques commentaires sur ces graphiques : -pour la progression globale, on voit l'importance des villes nouvellement acquises sur la progression totale. 30-40% ; sauf à la fin où avec les multiples acquisitions sur le Harad (qui se fait véritablement dépecer) ça passe même au delà de la progression "naturelle"
-je n'ai de cesse de préciser "des villes", parce que vu le nombre de bonhommes qui meurent au combat, s'ils ne venaient pas majoritairement des campagnes je n'aurais plus beaucoup de monde.
-culturellement, les dúnedains dominent logiquement au sein de leur royaume. On remarque cependant qu'avec toutes les nouvelles acquitions, la part des adeptes de Morgoth devient conséquente. Ces vils suppôts de Sauron ne sont pas le meilleur des gages de stabilité.
note 3
-si on regarde les villes (dans lesquelles j'ai intégré "Osgiliath" pour la somme de la partie Ouest et de la partie Est) ; on distingue quatre groupes principaux : les grandes cités beaucoup plus peuplées (et qui dans le jeu ont bien sûr de meilleurs aménagement) avec Dol Amroth, Minas Tirith et Pelargir ; les villes moyennes en plein essor (Linhir, Arnach, Calembel et Lond Galen) ; les diverses petites villes et forteresses qui ne comptent pas beaucoup et croissent diversement, et enfin les petits villages qui évoluent bien lentement (Erech et Drúedan).
-le graphique des villes n'intègre pas les deux villes tout juste récupérées, qui sont vers 4400 et 2700 habitants.
Images de la carte de campagne en 2989 T.A. pour situer les diverses villes
Extrémité ouest du royaume
Spoiler:
Centre du royaume
Spoiler:
Sud-Est du royaume
Spoiler:
Harondor
Spoiler:
Nord-Est du royaume
Spoiler:
Autour des montagnes blanches
Spoiler:
Présentation du nouveau mécanisme introduit grâce à la console
Je l'ai déjà évoqué deux fois, et puisqu'il est directement lié à ce dont traite cette petite partie spéciale, voici le détail :
Le principe est de pouvoir transférer une population d'une ville à l'autre. Tout joueur de TATW aura constaté à quel point les villages qui mettent 200 tours pour croître sont presque des poids (les sous qu'ils rapportent n'excèdent pas vraiment le coût de leur garnison ; et on ne peut RIEN y faire). En général, soit on subit en se concentrant sur les villes qui servent à quelque chose, soit on s'ajoute généreusement de la population dans ces trous.
Le mécanisme développé ici a pour but de pouvoir rendre ces trous utiles, mais pas gratuitement et de manière cohérente, en tirant avantage d'un fait : les commandes consoles d'ajout de population et d'argent
supportent les nombres négatifs
.
Pour réaliser un transfert de population, il faut une ville de départ et une ville d'arrivée. Il y a un certain nombre de contraintes que je me suis fixées :
-
une ville de départ ne peut pas envoyer plus de (%age misère * sa population) colons vers la région d'arrivée. En pratique, cela veut dire que l'on ne peut trouver des gens pour changer de région que dans les grosses villes, et qu'on ne peut pas trop en envoyer vers plusieurs endroits d'un coup.
-
une région d'arrivée ne peut pas recevoir tout les immigrés du monde sans que cela ne se passe mal : il faut d'une part des infrastructures pour supporter l'accueil, et d'autre part il faut éviter que la population indigène ne se sente envahie. C'est pourquoi - à défaut de simuler une énorme misère dans un petit village et une révolte des habitants - il y a aussi des limites dans le nombre de nouveaux arrivants. Précisément ; à partir du premier tour d'arrivée : 5% max/tour ; 10% max/période de 4 tours ; 25%/période de 12 tours et 50%/période de 24 tours. La dernière limite ajoute une contrainte réelle car les 50% restent calculés par rapport au début de la période.
-
ça coûte des sous. Les pauvres de la région de départ ne vont pas bouger parce qu'on leur dit que ça serait bien sympa de leur part. On pourrait les emmener de force mais ça serait un peu embêtant, et toujours coûteux. Il faut donc leur financer le voyage (1po/tour/habitant (3 si par bateau) avec l'infanterie pour mesurer le temps de trajet) et de quoi s'installer dans la nouvelle région (5/po/habitant). Chaque transfert doit donc être réfléchi pour être efficace.
-
il y en a qui meurent en route. 3% des colons disparaissent par tour de voyage : il ne vaut donc mieux pas les envoyer traverser la moitié de la terre du milieu. Cet effet est simulé en ajoutant moins de gens dans la ville d'arrivée qu'on n'en retire dans celle de départ.
-
le transfert de population se fait cependant de manière instantanée. Parce que gérer l'ajout des gens envoyés il y a 2 tours, et puis là 3 tours, etc serait trop lourd pour un apport nul.
-
enfin sans grand impact, mais il faut que les habitants de la ville de départ soient nettement dúnedains (>75%)
La culture dans la ville d'arrivée ne change pas, tout simplement parce que c'est impossible à faire. En général, les lieux qui bénéficieront de cette arrivée de population vont soit croître pour devenir une ville (et pouvoir alors acquérir une bibliothèque) soit avoir rapidement une bibliothèque, donc ça n'est guère gênant.
Note 1 : Évidemment l'énorme tableau calc ayant servi à faire les graphiques contient des données plus précises que ce qui en ressort, mais je doute que le détail plus poussé soit d'un grand intérêt.
Note 2 : Cela demande de recueillir la population et la culture de chaque ville chaque tour sur 40 tours (
), en lissant les évolutions de la culture pour toujours avoir 100% de total par ville. Même si heureusement la culture de beaucoup de villes ne bouge pas.
Note 3 : Enfin en théorie RP, en pratique TATW vanilla est beaucoup trop facile pour ce qui est de la gestion de l'humeur.
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Lithu
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12-10-2014, 22h09
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Lithu
a répondu
02-10-2014, 21h09
En bas à gauche tu veux dire ? Ce qu'elle indique est pas mal quand on agrandit mais alors on n'a plus la vue d'ensemble. Sinon bon on voit un peu mais ce n'est pas fantastique.
Ceci étant, le recueil des statistiques est monstrueusement long. Sans parler derrière de leur traitement, etc. Je ferais probablement en deux parties, avec ce qui est plutôt civil d'une part (population & tout ce qui concerne l'argent) et ce qui est plutôt militaire de l'autre (forces militaires, morts, nombre de territoires), pour pouvoir mieux répartir la tâche.
Pour maintenir un certain rythme de publication, voici une nouvelle partie normale. J'ai aussi mis à jour la cinquième partie hier soir.
Musique
(un peu courte mais bon ça se relance au moment des combats
)
Quatorzième partie - Printemps 2990 T.A.
(Tour 41)
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Alors que les jours s'étaient à nouveau faits plus longs que les nuits, et que Dénethor se préparait avec ses troupes à reprendre la marche vers l'ennemi, une délégation de la guilde des explorateurs arriva à son camp. Il la reçut et attendit qu'ils s'expliquent sur ce qu'ils venaient demander.
Ils souhaitaient une subvention pour l'agrandissement et l'amélioration de leur structure en guilde de maître explorateurs, qui promettaient-ils rayonnerait sur tout le royaume d'une influence positive. Dénethor accepta. Si l'aide qu'ils avaient apportée jusqu'à maintenant restait réduite, elle était néanmoins appréciée. A mesure que le royaume restaurait sa gloire, il éloignait ses frontières, et si la construction de routes de qualité était centrale pour permettre aux armées de vite se déplacer, une petite aide supplémentaire était bienvenue.
Avant de repartir, la décision de l'intendant couchée sur parchemin et marquée de son sceau, les délégués de la guilde apprirent à Dénethor que le conseil des nobles, satisfait des mesures prises pour conserver Amon Eithel, avait levé quelques troupes de milices d'archer à leurs frais. L'intendant songea à la signification bien étrange que devait avoir le concept d'unité d'élite pour les membres de ce conseil, mais c'étaient toujours des frais de formation en moins et des troupes fraîches plus vite disponibles.
Spoiler:
En ce début de printemps, la construction d'écuries fut achevée à Osgiliath Ouest. La cavalerie avait montré au cours des dernières années toute l'utilité qu'elle pouvait avoir - si quiconque l'avait jamais oublié avec la puissance des rohirrims au Nord - et le royaume avait bien besoin d'en avoir plus aisément.
Dans le Sud du royaume furent aussi achevés les constructions de bibliothèques. Ces régions étaient en grande part voir très majoritairement peuplées d'hommes qui percevaient encore Sauron comme leur dieu. Il s'agissait de briser ces croyances avec la plus grande efficacité possible. La stratégie en place visait à convertir en priorité les élites - la part de la population la plus puissante et la plus aisée à corrompre, et qui hormis les plus hauts dirigeants, restait largement en place. Une fois que les élites auraient retourné leur veste, et à mesure qu'elles rejetteraient avec de plus en plus de véhémences leurs précédentes attaches, il s'agirait de diffuser la culture dúnedaine le plus largement possible dans la population. La victoire nécessaire contre Sauron permettrait de briser le ciment de leurs croyances et d'auréoler le Gondor de gloire, mais cela serait bien insuffisant - le Gondor affrontait les tribus haradrimes depuis des siècles et des siècles. Il fallait réussir le tour de force de leur inspirer le mépris de ce qu'ils étaient jusque là, afin qu'ils aspirent à l'abandonner pour adopter la culture dúnedaine vue comme d'une essence supérieure, plus civilisée, comme le destin inévitable. Bien sûr, une part de la population serait mécontente. Il s'agissait de l'étouffer. Le Gondor aspirait réellement à développer ces régions, et immanquablement cela tarirait les arguments d'exploitation qui auraient pu mener à la révolte comme on l'avait déjà vu. L'attachement aux traditions anciennes demeurerait, mais tant qu'on parvenait à le faire moquer et ridiculiser, alors la situation serait bien maîtrisée. A terme, si cela réussissait, plutôt que de rejeter leurs nouveaux maîtres, ils les défendront.
Note 1
En ce début de printemps aussi, les derniers bateaux haradrims furent coulés dans l'estuaire du fleuve Harnen. N'ayant plus de port de guerre, seulement des ateliers incapables de produire mieux qu'un bateau de pêche, le Harad ne serait plus une menace de ce côté.
En Ithilien, Mistnir à la tête de son petit groupe combattit un ost orque un peu plus important en nombre.
Spoiler:
Alors que les troupes ennemies avançaient sous la couverture des arbres, vers l'infanterie gondorienne disposée sur la colline, Mistnir contourna l'ennemi avec ces cavaliers, et parvint à tuer le général ennemi, un orque dont le nom ne restera pas dans la postérité, et dont la garde aurait du être couverte par quelques troupes supplémentaires en arrière. Alors qu'émergeant de la forêt, les orques commencèrent à être la cible des archers humains, la cavalerie s'attaqua aux catapultes amenées par les troupes du Mordor.
Spoiler:
Elle s'éloigna rapidement alors qu'un groupe de guerriers orques les chargeait. Un peu plus tard, un autre groupe d'orques chargeait lui aussi, mais l'infanterie humaine. Les épéistes contre-chargèrent tandis que les archers continuaient de cibler leurs adversaires plus en arrière.
Spoiler:
Mistnir et sa garde vinrent rapidement prendre de dos les orques pour saper leur moral et leur infliger des pertes sans grand risque. Ils se replièrent rapidement.
Spoiler:
Et peu après, menèrent une charge similaire contre le reste des troupes ennemies arrivées au corps à corps, le premier groupe ayant été mis en déroute. Il ne fallut guère de temps pour voir les orques fuir en tout sens, pourchassés impitoyablement par les cavaliers. La victoire était totale.
Spoiler:
Les adversaires capturés furent exécutés - l'heure n'était pas aux sentiments, et encore moins contre les orques.
A l'extrémité des marais des morts eut lieu un combat entre des troupes menées par Golasgil et un groupe orque quelconque. L'infanterie orque fut très vite massacrée, cependant le groupe comptait aussi quelques trolls qui tentaient de déplacer leurs catapultes dans le marais. Vers la fin du combat, ils abandonnèrent leurs engins définitivement inadaptés au terrain pour combattre au corps à corps. Heureusement les archers les blessèrent ou tuèrent avant le contact, et ils ne firent ainsi pas trop de dégâts.
note 2
Spoiler:
Un peu plus à l'Ouest, Halon (un général sans grande importance qui devait prendre le rôle de gouverneur de Malgalad et de sa région) fut attaqué par un groupe du Mordor, mais il put éviter le combat ses troupes étant simplement plus mobiles. Au passage, il massacra les servants d'une catapulte, laissés en arrière par le corps d'armée principal, qui progressaient avec difficulté dans les terres marécageuses.
Spoiler:
Alors que l'été approchait eut lieu dans la vallée de Morgul le plus grand combat depuis bien longtemps. L'armée humaine était sous un triple commandement : Dénethor, Mistnir et Faramir. L'intendant était bien sûr le commandant en chef. En pratique cependant, il dirigeait surtout la cavalerie avec l'aide de Mistnir. C'était Faramir qui se chargeait du commandement de l'archerie et de l'infanterie, bien que suivant les consignes établies avant le début de la bataille. L'aura de son père galvanisait les hommes dont il avait la charge et lui permettait de mettre en oeuvre efficacement la tactique voulue. Au total, les forces de l'arbre blanc réunissaient plus d'un millier et demi de combattants.
En face, les orques alignaient deux armées complètes de plus de deux milles soldats chacune, pour plus de quatre mille six cents ensemble, ayant ainsi près de trois orques par humain.
Spoiler:
Les gondoriens disposèrent leurs troupes sur une énorme bosse, adossée à la montagne. Leurs adversaires ne pourraient donc pas les envelopper. Une partie de l'accès à la bosse était presque à pic, offrant une protection efficace contre les assaillants qui devrait emprunter un passage plus réduit alors que les archers pourraient abuser de cette position. Les troupes d'infanteries couvraient toutes les zones par lesquelles l'ennemi aurait pu arriver, une partie se tenant en réserve. Quelques archers aussi étaient disposés en une fine ligne devant l'infanterie.
On voyait arriver les deux armées orques, non loin dans la vallée. Le Mordor avait encore bien des ressources pour aligner tant de combattants.
Spoiler:
Les forces de l'Oeil se mirent en branle vers les rangs adverses. Les orques étaient difficiles à distinguer sur le sol sombre. On eut eu envie de les comparer à d'innombrables fourmis, avant de se raviser par respect pour ces bâtisseuses. La cavalerie d'élite entama ses mouvement de harcèlement. Les miliciens montés avaient été laissés sur la bosse.
Spoiler:
Après de rudes combats, dont des trolls ennemis voulurent se mêler, le capitaine ennemi fut tué.
Spoiler:
Les cavaliers se retirèrent loin de la mêlée, essayant ensuite de reposer un peu leurs chevaux qui bientôt devraient à nouveau galoper. Sur la pente de la bosse, les flèches pleuvaient sur les orques. Les miliciens montés qui avaient déjà engagé les orques une première fois au pied de la bosse les chargèrent à nouveau, de même que les épéistes dès que les archers furent menacés.
Spoiler:
Spoiler:
La cavalerie lourde qui avait attaqué les archers du deuxième ost ennemi revint vers la bosse. Les orques y avaient été mis en fuite alors qu'ils étaient encore vivants aux deux tiers. Épuisés par la montée de la pente, souvent blessés par les flèches par lesquels les rangs arrières étaient encore harcelés lors du corps à corps, mal commandés, ils avaient rompu les rangs plus vite encore que les gondoriens ne l'eurent espérés en étant optimiste.
Spoiler:
Dans la poursuite, des centaines et des centaines d'orques furent tués ou capturés tandis que la deuxième armée allait bientôt engager le combat.
Spoiler:
Leurs chevaux épuisés et eux-même bien fatigués, les cavaliers se retirèrent alors que la deuxième armée était au pied de la bosse. Des trolls servant une catapulte depuis le bas de la bosse commencèrent à tirer leurs projectiles sur les rangs gondoriens. Ils ne firent pas beaucoup de morts, mais ils tuèrent un certain nombre de gardes de la fontaine, corps d'élite de l'infanterie gondorienne qui avaient quitté leur poste de Minas Tirith exprès pour les grands combats décisifs qui se dessinaient dans la vallée de Morgul.
Spoiler:
Des trolls de la première armée entrèrent eux au corps à corps contre les milices gondoriennes, qui les tuèrent difficilement. Sans protection, blessés et fatigués, ils restaient des ennemis dangereux, mais pas inarrêtables.
Les miliciens épéistes chargés de garder le deuxième accès firent mouvement pour protéger le premier : il était clair que les orques n'attaqueraient pas là désormais, et ils étaient plus en forme que ceux qui avaient déjà du repousser le premier assaut.
Les troupes du Mordor gravissaient la pente sous un feu de flèche nourri.
Spoiler:
A l'arrière du combat, les cavaliers avaient engagés les troupes du commandant ennemi - difficilement repéré au milieu de cette marée orque - et étaient parvenus à le tuer. Lorsque les orques des groupes au contact le notèrent, et ayant déjà vu la première armée fuir et se faire massacrer, ils flanchèrent et fuirent à leur tour.
Spoiler:
Le même sort leur fut réservé. La cavalerie massacra la plupart, les rôdeurs d'Ithilien de Faramir en tuèrent quelques autres qui fuyaient dans la mauvaise direction. Enfin ne restaient plus que les trolls des catapultes à éliminer, dont la bêtise était si crasse qu'ils ne fuyaient pas - et eux pouvaient fuir sans craindre une poursuite meurtrière de la cavalerie - alors qu'ils faisaient face à plus d'un millier d'ennemis et avaient vu des milliers des leurs mourir.
Spoiler:
La pente de la bosse était le plus monstrueux amoncellement de cadavres qu'avait jamais vu tout les survivants. Mais c'était surtout ceux de misérables orques, et la victoire humaine était éclatante.Tout les orques capturés furent tué sur place.
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Dans la foulée, l'ost humain s'empara de Minas Morgul, laissé sans défense pour la bataille et dont toute la garnison avait péri. Les orques présents y furent tous massacrés. Cependant il y avait aussi dans la forteresse un nombre d'humains esclaves, et qui eurent la vie sauve.
note 3
Le printemps s'achevait sur la reconquête de la dernière partie de l'Ithilien qui manquait encore au Gondor.
Note 1 : Je n'ai pas eu besoin d'être très imaginatif pour ce passage, tant ce phénomène récurrent permet de puiser de matière dans le monde réel. Je vous laisse tracer les nombreux parallèles.
Note 2 : Le décor Mordor pour un combat dans un marais est tellement ignoble visuellement sans parler de son absurdité en terme de gameplay (ma cavalerie aurait du être engluée) que je ne produirais pas d'images. Enfin, bon on voit des trolls, donc je mets tout de même deux images sympathiques hors du corps du récit :
Spoiler:
Spoiler:
Note 3 : Les mécaniques du jeu ne permettent pas de rendre compte correctement des dynamiques entre espèces qui ne sont évidemment pas prévues dans M2TW. Je n'ai pas utilisé "exterminer la population" et expliquer le nombre importants d'habitants n'est pas évident, cependant il est évident qu'on ne va pas garder le moindre orque au sein du Gondor. Ceci dit, j'utiliserais peut-être exterminer la population par la suite pour régler ce souci RP, même si ça n'est pas optimal au niveau du jeu pur.
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Lithu
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12-10-2014, 22h21
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Lord Perhaps On The Roof
a répondu
01-10-2014, 20h50
Pas la peine d'aller aussi loin, afficher un peu plus souvent la petite carte en bas à droite lorsque tu montres une image de la carte de campagne suffit amplement
. Mais c'est toujours intéressant de voir ce que ça donne !
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Lithu
a répondu
01-10-2014, 20h37
Dans ma liste de choses prévues pour le message avec les diverses stats, j'ai entre autres "cartes du royaume à différents tours" (pour montrer l'évolution). Après vu que la vue qu'on a n'est pas verticale mais en biais, impossible de faire une grosse image qui montre tout proprement. :\
Je vais commencer le relevé des données dans quelques minutes, mais je ne sais pas quand j'aurais fini (rien que charger 40 sauvegardes et faire le tour des villes à chaque fois
)
Petite note : pour savoir ce que les autres ont à un moment donné, le seul moyen viable c'est le toggle_fow. Sinon ça donne les dernières informations que mes diplomates ont pu collecter. Je ne suis pas sûr de quelle est ta demande à ce niveau. ^.^
Je pourrais essayer de mettre un poil plus souvent des images de la carte de campagne dans le corps du récit aussi, c'est noté.
Dernière modification par
Lithu
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12-10-2014, 22h21
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Lord Perhaps On The Roof
a répondu
01-10-2014, 19h35
Tu pourrais mettre plus d'images de la carte de campagne
? Ce serait plus simple pour visualiser ce que tu possèdes, ce que tu as donné à Rhûn, et ce que les autres ont pour l'instant.
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