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  • #16
    Cronache ducale della Serenissima Repubblica di Venezia
    Chroniques dogales de la République Sérénissime de Venise, première partie
    Novembre 1444 - Janvier 1463

    • Dogat de Francesco Foscarini (1423-1453)

      Francesco Foscarini est élu doge à 49 ans le 15 avril 1423, après avoir été sénateur à 27 ans, membre du Conseil des Dix à 31 ans, procurateur de Saint-Marc, ainsi qu'ambassadeur auprès de l'empereur Sigismond, du sultan Mehmed Ier et de Jean-François de Mantoue. Il est réputé comme étant un brillant orateur, avec une grande capacité de persuasion et une excellente mémoire.
      La première partie de son règne est caractérisée par la guerre d'abord avec les Visconti puis contre les Turcs, par des luttes internes entre les grandes familles et des catastrophes naturelles comme la sècheresse de 1424, les nombreuses montées des eaux, le gel de la lagune en 1431 qui paralyse la ville pendant des mois, ou encore la peste qui aura tué quatre de ses onze enfants.
      En 1444, après plus de 20 ans de règne, il tente de redresser la stabilité économique et politique de la République en la faisant de nouveau rayonner sur l'Europe.

      Spoiler:

      Francesco Foscarini. 1440, Lazzaro Bastiani

    • Balbutiements d'une nouvelle ère (Novembre 1444 - 14 Octobre 1453)

      En 1444, cela fait depuis trois ans déjà que des négociations sont en cours avec le despote Durad Brankovic de Serbie au sujet de la vente des cités portuaires de Raguse et de Kotor, dans la province de Zeta. Après l'interruption soudaine des négociations de la part du despote en novembre 1444, Foscarini déclare la guerre au Despotat de Serbie et de sa protégée cité-état commerciale de Raguse après avoir habilement convaincu le Conseil des Dix d'adopter la voie militaire pour briller de nouveau sur l'Adriatique, source principale du commerce vénitien. Les cités ciblées sont alors assiégées et défaites dans le courant de l'année 1445 suite au débarquement et à la bravoure de plus de 7000 mercenaires suisses au service de Venise dans la bataille de la Bocca di Cattaro (Bouches de Kotor) au printemps 1445. Un an après le début du conflit, le despote de Serbie accepte la défaite et la douloureuse offre de paix de Foscarini, coupant ses terres de tout accès à la mer.

      Spoiler:

      La bataille de la Bocca di Cattaro. 1447, Pietro Panzani

      La décennie qui s'ensuit -dans la prospérité économique et politique- marquant la fin de la vie de Foscarini voit s'étendre les tentacules du Polipo della diplomazia (Pieuvre de la diplomatie) vénitien non seulement dans nombre des cours d'Europe, mais aussi au delà du Bosphore. En se souvenant du passé d'ambassadeur du doge, notamment auprès du sultan ottoman, on retient surtout une fructueuse négociation avec les turcs qui aboutit fin octobre 1450 à la vente de la cote albanaise -pourtant perdue il y a deux décennies lors de la précédente guerre turco-vénitienne- par le Sultanat, à un prix presque infime. Le vieux doge comprend vite que les ottomans sont achetables avec quelques poignées de colifichets brillants et s'empresse de négocier avec le Sultan d'autres accords comme l'autorisation de traverser le détroit de Constantinople -récemment renommé Istanbul- et de poser le pied en péninsule de Crimée pour s'y assurer un nouveau marché, tout en sachant minutieusement épargner les caisses regorgeant de richesses de la République.
      Dans ces mêmes années, la Sérénissime connait une avancée artistique et technologique si importante qu'elle se présente comme étant le fleuron de la technologie de l'Europe tout entière. La période de la fin du dogat de Foscarini se définit ainsi comme les prémices d'une renaissance vénitienne inévitable, approchant à grand pas.
      Francesco Foscarini s’éteint le 14 octobre 1453, après 30 ans à la tête de la Sérénissime, laissant derrière lui les fondations d'un empire commercial et diplomatique issues de la deuxième moitié de son règne couronnée de succès, qui ne demandent qu'à être étendues et magnifiées.



    Fin du dogat de Francesco Foscarini
    • Dogat de Marco Antonio Bembo (1453-14??)

      Marco Antonio Bembo est élu à 58 ans le 31 octobre 1453, le jour de la Toussaint, après avoir été, comme Foscarini, un brillant ambassadeur auprès des orientaux, et également membre du Conseil des Quarante à 36 ans, Savi al Commercio (Conseiller du doge au commerce) à 40 ans, et membre du Conseil des Dix à 51 ans. Issu d'une riche et ancestrale famille patricienne, l'ambitieux Bembo est réputé pour être un homme ne reculant devant rien, politicien soucieux de toujours parvenir à ses fins, quels qu'en soient les moyens utilisés, si bien que l'on dit même que l'issue du complexe scrutin fut particulièrement joué grâce à sa fortune familiale. C'est aussi un homme courageux, endurci par ses jeunes années passées dans l'hostilité naturelle du proche orient, né et éduqué par son père au Caire.
      Marco Antonio Bembo prend les rênes de la Sérénissime en 1453, bien décidé à poursuivre l'entreprise de son prédécesseur et entièrement voué à la Sérénissime République de Venise.

      Spoiler:

      Marco Antonio Bembo. 1461, Gentile Belini

    • L'Adriatique : Future Mare Nostrum vénitienne (31 Octobre 1453 - Septembre 1460)

      A l'issu de l’élection, l'ambitieux doge nouvellement élu rencontre l'archiduc d'Autriche et Empereur des Romains Friedrich III von Habsburg et engage avec lui des pourparlers durant près d'un mois. Bien que la Sérénissime reste indépendante du Saint Empire, Bembo propose au Kaiser de lui rendre ultérieurement des terres jugées trop enfoncées dans le continent telle que la province de Brescia en échange de la protection de l'Empereur. La rencontre est un succès tant Friedrich III, enthousiasmé, accepte et accède à toutes les demandes vénitiennes en offrant même ses hommes au doge pour l'aider à récupérer la province côtière hongroise de Lika et son port de Rijeka (concluant la domination vénitienne sur la cote est de l'Adriatique) et le duché de Ferrare, proche voisin peu coopératif de Venise que cette dernière rêvait de contrôler pour assoir sa position dans la région.
      Après cinq ans de préparation, fin prête pour la guerre, la jeune armée vénitienne composée avant tout de croates et autres serbes marche à l'ouest sur Ferrare avec les troupes de l'Empereur, face à l'alliance nord-italienne du duché de Milan, de Ferrare et de Modène, mais aussi à l'est en prenant la route de Rijeka. En Italie, l'ost nord-italien fort de 15 000 hommes est défait par 18 000 austro-vénitiens, mené conjointement par Bembo et Friedrich III, à la bataille de Modène en avril 1457 tandis qu'en Hongrie, le siège de la cité portuaire de Rijeka s'éternise sur toute la durée du conflit. Il se termine en août 1460, alors que le duc de Ferrare avait déjà déposé les armes l'année passée, fermant le chapitre de la campagne austro-vénitienne sur la victoire du glorieux doge Marco Antonio Bembo qui signe la paix avec le roi Ladislaus Postumus de Hongrie le 4 septembre 1460. Très vite, les deux provinces acquises se joignent à l'entreprise de commerce florissant de la Sérénissime sur l'Adriatique et la province de Brescia est comme promis cédée à l'archiduc d'Autriche.

      Spoiler:

      La bataille de Mantoue. 1459, Pietro Panzani

    • L'arsenal diplomatique de la Sérénissime (Septembre 1460 - Janvier 1463)

      Lorsque le doge rentre de campagne après avoir lui même mené les armées occidentales à la victoire, en septembre 1460, il est aussitôt frappé par une réalité qui va bouleverser les agissements de la République lors d'un entretien exceptionnel avec son conseiller au commerce, Alvise Riva. En effet, les deux hommes, tous deux de fins experts en finances commerciales voient d'un mauvais œil l'expansion commerciale d'Istanbul qui constituerait bientôt un véritable rival en la matière sans agissement imminent de la République. En effet, les turcs progressant en Europe avec l'annexion récente de la Valachie représentent désormais un véritable carrefour entre les richesses de l'Europe de plus en plus profonde et celles convoitées du lointain orient. De plus en plus, les partenaires commerciaux peu avertis que pouvaient être ces sarrasins par le passé menacent de pouvoir se passer du commerce vénitien pour exister. Pour le doge prévenant, il est temps d'agir.
      Le Conseil des Dix, les feggimenti (Gouverneurs militaires), les savi du doge sont tous consultés et la décision est rapidement prise à l'unanimité de mettre à profit la doctrine déjà bien établie du Polipo della diplomazia pour mettre un terme à la menace ottomane.

      Sous ordre du doge, les plus brillants diplomates de la Sérénissime sont envoyés dans toutes les cours chrétiennes pouvant êtres concernées jusqu'au Saint-Siège en vue d'avertir de la terreur musulmane qui guette le continent et toute la chrétienté elle-même. Ils rapportent ainsi les nouvelles de l'annexion de la Valachie et de la dangereuse progression païenne dans les Balkans, et usent de leur talent de persuasion et leurs argumentaires rodés pour mettre un terme à toute relation amicale entre le Sultan et tout souverain trônant à l'ouest du détroit du Bosphore. Ainsi la dangereuse et insensée entente austro-ottomane engendrée par le pauvre Empereur Friedrich III sombrant dans la folie en fin de vie est rompue au printemps 1461 sous l'impulsion vénitienne, tandis que le roi Karol I Ferdynand Jagiellon de Pologne répondant à l'appel de Venise est reçu en personne au Palais des Doges en été pour former la Coalizione Cristiana d'Oriente (Coalition Chrétienne d'Orient) face à l'Empire Ottoman. En hiver 1462, c'est le doge qui se déplacera, lui, dans sa ville natale du Caire pour y parlementer avec le Sultan Mamelouk Jaqmaq Burji qui y trouverait, selon Bembo, son compte dans un conflit avec l'ottoman. Les négociations sont, comme à leur habitude, fructueuses, et bien que cela puisse paraître ironique, le Sultan accepte de joindre ses forces à la jeune Coalizione Cristiana d'Oriente. De retour à Venise, le doge Marco Antonio Bembo fait voter par le Conseil un embargo sur le commerce turc, rejoint vite dans cette entreprise par l'Archiduché d'Autriche et le Sultanat de Jaqmaq Burji, avançant de ce fait d'un nouveau pas dans l'escalade du conflit avec l'Empire Ottoman.

      Spoiler:

      Karol I et le doge à Venise. 1466, Giovanni Barilla

      A l'aube de l'année 1463, plus aucun doute ne plane sur l'avenir proche de la Sérénissime et l'ambitieux Marco Antonio Bembo, doge de la République Sérénissime, entend bien faire prospérer le commerce vénitien dans la région, sans aucune entrave turque.


    Dogat de Marco Antonio Bembo à suivre
    Dernière modification par Caron, 25-08-2013, 13h29.

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    • #17
      Envoyé par Polo_lux Voir le message
      amitié entre la bourgogne et la France, entre la France et la Castille. un roi de France qui abandonne ses alliés écossais et qui paye ses ennemis pour obtenir ce qui lui revient de droit et qu'il pourrait avoir par la force...
      Tout le monde sait que l'entretien des troupes est gratuit.
      Mais la France est prête à discuter de tous les sujets avec le Danemark dont elle ne voit les projets que d'un très bon oeil.

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      • #18
        Fait attention Polo, tu as vu la finalité de mes contacts avec Benoît, ne baisse pas ton pantalon malheureux ...

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        • #19
          Fait attention Polo, tu as vu la finalité de mes contacts avec Benoît, ne baisse pas ton pantalon malheureux ...

          Félicitation Caron, tu as étais gentil avec l'ancien dirigeant Autrichien ... Vendredi prochain ça promet du très lourd notre alliance.

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          • #20
            AAR Anglais - Première session



            • 1422 - 1447 : Règne du Roi Henri VI dit Le Fou (0-0-0)

              Malgré son sacre à Notre-Dame de Paris le 16 Décembre 1431 (il est alors âgé de 10 ans), Henri VI ne peut s'opposer à la volonté française de reconquérir ses territoires perdus au cours du siècle précédent (principalement la Normandie et l'Aquitaine). Aussi mauvais général que piètre diplomate (et administrateur chaotique), il est un homme de paix et fait preuve de beaucoup moins d'ardeur dans la conquête du trône de France que ses prédécesseurs.

              Tandis que les proches du Roi et la maison de Lancastre sont déterminés à poursuivre le conflit, le Roi lui-même et la maison d'York souhaitent mettre un terme à cette guerre sans fin, afin de se concentrer sur les îles Britanniques.
              En dépit des pressions des Lancastres et de sa propre femme, Henri VI finit par arranger une trêve avec la France à la veille de l'année 1445 : le Roi d'Angleterre s'engage à abandonner toutes revendications sur le trône de France, ainsi qu'à céder ses possessions normandes et aquitaines ; tandis que la France assure de sa non-ingérence dans les îles Britanniques (notamment en ce qui concerne le cas de l'Écosse). La paix est rapidement signée et la cession des territoires promis se fait progressivement.
              Au cours des mois suivants l'antagonisme entre maisons de Lancastre et d'York ne va pas cesser de croître.

              Durant les pourparlers, la machine militaire anglaise n'est pas restée inactive : en effet les troupes présentes en France sont très tôt rapatriées en Angleterre afin de préparer la prochaine invasion du Royaume d'Écosse. La présence au Nord d'un Royaume clairement hostile a toujours été une grande menace et les raids de pillards écossais en territoire anglais deviennent de plus en plus fréquents. Avec la fin de la Guerre de Cent Ans, l'Angleterre est en mesure désormais de soumettre ce dangereux voisin.
              La guerre est déclarée en début d'année 1445 : les troupes anglaises, supérieures en nombre ont tôt fait d'écraser la mince armée écossaise ; dans les Highlands, de nombreux paysans prennent les armes afin de repousser l'invasion mais ils ont tôt fait de rejoindre leurs compatriotes. C'est le début d'une période de siège qui va durer près de deux ans, au terme desquels l'Écosse devient vassale de l'Angleterre ; son souverain, LeFoüreur Stuart, choisit peu après l'exil en Autriche où l'on dit que le kilt est devenu très populaire.
              Alors que l'armée anglaise assiège une à une les forteresses écossaises, la flotte quant à elle est envoyée combattre aux environs du Sund : les Suédois se sont alors soulevés contre leur souverain danois et l'Angleterre voit d'un bon œil l'affaiblissement de ce rival en Europe du Nord.

              Spoiler:

              LeFoüreur Stuart devant l'invasion anglaise (je ne pouvais pas ne pas mettre d'image de Braveheart en parlant de l'Écosse )


              Mais sa campagne en Écosse a fortement affaibli Henri VI, de plus en plus fréquemment sujet à des accès de folie (une tare qu'il a probablement héritée de son grand-père, le Roi de France Charles VI) ; le 12 Juin 1447, il finit par s'éteindre à Londres.
              A peine est-il enterré que le conflit latent entre Lancastres et Yorkistes ressurgit de plus belle, chaque maison ayant désormais une prétention au trône d'Angleterre : c'est le début de la Guerre des Deux Roses, une guerre civile qui va durer trois longues années.


            • 1447 - 1450 : La Guerre des Deux Roses

              Bien que la maison d'York, branche cadette de la dynastie des Plantagenêt, ait une moins forte légitimité que sa rivale, son implication dans la fin de la Guerre de Cent Ans et dans la guerre contre l'Écosse lui assure un plus grand soutien auprès de la majeure partie de la population.
              Derrière son chef de fil, Edgar de Westminster, elle s'empare rapidement du pouvoir grâce à l'assistance de l'armée et commence une répression sanglante contre les Lancastres. Ces derniers sont parvenus malgré tout à réunir quelques soutiens et Edgar doit sans cesse parcourir l'Angleterre afin d'écraser les insurrections (principalement au Pays de Galles et en Northumbrie). La situation devient pratiquement ingérable lorsque les Lollards, des hérétiques, profitent de cette période troublée pour se soulever à leur tour.
              Edgar a alors besoin de tous les moyens militaires et financiers disponibles, ainsi choisit-il de se retirer du conflit scandinave : en 1448 la paix est signée et la Suède demeure sous souveraineté danoise.

              Spoiler:

              Maison d'York et Maison de Lancastre


              Finalement, la situation commence à se rétablir : malgré les révoltes, les talents administratifs d'Edgar lui permettent de stabiliser l'essentiel du Royaume ; et l'annonce en 1449 de la naissance d'un héritier assoit définitivement son emprise sur le trône.
              L'année suivante, les dernières poches de résistance sont anéanties et les rivaux Lancastres ont été éliminés un à un. Trois ans après le début du conflit, la Maison d'York accède pour de bon au pouvoir et Edgar est officiellement sacré Roi d'Angleterre à l'abbaye de Westminster.


            • 1450 - 1463 : Règne du Roi Edgar Ier dit Le Victorieux (6-3-0)

              Se trouvant désormais à la tête d'un Royaume stable, Edgard s'attèle à re-développer la puissance anglaise. Selon lui, elle doit avant tout être économique puisqu'un pays prospère sera toujours plus capable militairement qu'un pays ruiné. Il décide donc de s'appuyer sur la tradition mercantile de l'Angleterre (notamment du fait de son commerce de la laine avec les Flandres) et commence à accroître le potentiel marchand de celle-ci.

              Il entame également un rapprochement entre l'Écosse et l'Angleterre : les nobles écossais principalement sont amadoués en vue de préparer une futur intégration de l'Écosse. Edgar souhaite en effet unifier les îles Britanniques sous la domination de l'Angleterre ; mais pour cela il doit non seulement intégrer l'Écosse mais aussi conquérir l'intégralité de l'Irlande.
              Mais la Guerre de Cent Ans puis celle des Deux Roses, ainsi que les nombreuses révoltes ont fortement affaibli le Royaume, qui se retrouve dépourvu de toute réserve en hommes ; c'est pourquoi Edgar juge plus sage de repousser son invasion à la décennie suivante.
              Après quelques années d'attente, c'est d'abord le Leinster qui tombe sous les coups de l'armée anglaise : le comté est annexé au début de l'année 1461. L'Ulster est le prochain sur la liste.

              A suivre...
            Dernière modification par Restif, 28-09-2013, 08h31.

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            • #21
              Fin de la deuxième session en 1484 (ce qui fait donc 21 années de jouées ce soir).

              La map : http://âpp.com/dl/Hd0h
              La save (format .7z) : http://âpp.com/dl/Hd0i

              Les événements majeurs :
              • Effondrement des Ottomans face à Venise et aux Mameloukes.
              • L'AI castillane forme une PU avec l'Aragon et devient l'Espagne.
              • La Suède déclare son indépendance du Danemark.
              • Le Brandebourg (AI'd) se retrouve victime de coalitions et la Hanse s'impose en Allemagne du Nord.

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              • #22
                L'IA milanaise a fait du beau boulot
                c'est quoi le blob jaune en turquie ? Chypre ? Athènes ?

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                • #23
                  Achéa.

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                  • #24
                    Sinon hier on a brièvement évoqué le fait d'instaurer une règle concernant le pillage ; comme la colonisation n'a pas encore commencé, si on doit le faire c'est maintenant.

                    Bref, dans EU III c'était déjà bien abusé ; et ça l'est encore plus dans le IV, donc que diriez-vous de limiter la somme maximale que l'on peut demander lors de paix à 1000 ducats (éventuellement 2000 pour le Portugal et l'Espagne) ?

                    Commentaire


                    • #25
                      Je suis d'accord pour 1000 ducats par offre de paix, et ce pour tout le monde ( le portugal et l'espagne sont déjà en avance naturellement pour la colonisation, ils peuvent faire un pillage tous les 5 ans s'ils le veulent )

                      Voilà voilà, c'était l'avis du Grand Sultan Jaqmaq

                      Commentaire


                      • #26
                        Bon j'ai pas pu finir car j'était fatigué mais j'ai déjà bien agrandis le territoire personnelle du Shogun avec notamment la prise de Kaie et de sa mine d'or!

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                        • #27
                          1000 ducats me semble énorme quand même 500 serait plus raisonnable, au moins jusqu'en 1550. Je propose 500 ducats jusqu'en 1550 puis 1000 ducats par pillage au delà de cette date.

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                          • #28
                            Envoyé par bisthebis Voir le message
                            L'IA milanaise a fait du beau boulot
                            c'est quoi le blob jaune en turquie ? Chypre ? Athènes ?
                            Rien du tout, je l'ai vassalisé.

                            Commentaire


                            • #29
                              Tu m'as vassalisé ?? (On m'avait dit que par fair-play on attaquait pas les absents )
                              C'est en lien avec la récuperation de la lombardie perdue a la premiere session ?

                              Commentaire


                              • #30
                                Pas de ma faute à dire vrai, milan et ses alliés pitoyables ont voulus jouer les opportunistes quand j'étais en guerre contre la bohème, du coup je les ai calmer avec un allié et j'ai tenu cet accord pour qu'il arrête de me la faire à l'envers, maintenant Milan est vassal, les Etats pontificaux et Naples alliés + Venice mon allié de longue date, l'Italie est respectable ou dompter ...

                                Puis j'ai bien essayer de sauver le Brandbourg au détriment de ma propre nation "que j'ai failli voir disparaitre" donc j'attaque pas les absents, je tente même de les faire survivre.

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