Victoria 3 – L’expansion de marché

Le présent carnet sera présenté par Paul Depre, alias “PDJR_Alastorn”, le fameux détenteur d’une licence en économie de l’équipe de Paradox en tant que chef de l’assurance qualité sur Victoria 3. Il lui a été demandé d’écrire sur la question de l’expansion des marchés et son fonctionnement dans ce nouvel opus – entre autres par le biais des mécaniques entourant les unions douanières. Sa réputation sur le sujet n’est plus à faire comme l’atteste cet extrait iconographique ci-dessous :


Imaginez-vous ne pas passer une journée sans que vos collègues ne vous envoie ce message afin de s’assurer que vous êtes toujours le meme de la communauté Victoria 3 ? - Meme complet ici.

Nombre d’entre vous ont certainement vu dans les nombreuses captures d’écrans, carnets, After action reports et autres, que Victoria 3 introduit le concept d’union douanière. Cependant, jusqu’à maintenant cette fonctionnalité n’a pas été développée et surtout sur ce que cela implique comme méthode d’expansion de marché (voir le carnet IX sur les marchés nationaux. C’est le propos du présent carnet, et pour Paul Depre c’est l’une des mécaniques les plus intéressantes pour ce nouvel opus en comparaison à son équivalent précédent (les sphères d’influences).

Il s’agit en premier lieu de définir ce qu’est une union douanière et d’expliquer son lien avec l’expansion de marchés. Tout d’abord, quelques précisions conceptuelles et historiques à partir d’un cadre de références commun à nous avant de plonger dans la présentation des mécaniques : une union douanière est donc par essence un bloc commercial ou un accord entre nations. On l’entend actuellement comme étant une zone de libre-échange, avec un tarif extérieur commun, ou une politique de tarif extérieur commun. Les liens d'une union douanière sont avant tout économiques, ils existent dans le but d'accroître le commerce, la co-dépendance économique et les bénéfices mutuels qui en découlent et peuvent conduire à des liens politiques et culturels plus étroits entre les pays. Ils ne nécessitent pas une union politique, bien qu'ils soient certainement considérés au cours de l'histoire comme des tremplins vers une telle union.

L’une des unions douanières les plus connue – du moins pour la communauté fan de Victoria – est le Zollverein qui permit de faciliter l’unification de l’Allemagne - bien qu’il ne soit en aucun cas la seule force motrice de ce mouvement. Autrement, l'Union européenne n'était au départ que la Communauté européenne du charbon et de l'acier, qui était une définition plus restreinte d'une union douanière, mais qui compte certainement. Enfin, la question de savoir si l'Accord de libre-échange nord-américain est considéré comme une union douanière est sujette à débat. Si les accords commerciaux couvrent régulièrement des sujets similaires en matière de tarifs douaniers et de co-dépendance économique, ils sont généralement d'une portée et d'une échelle plus modestes. En fin de compte, l'aspect économique est délicat, car il implique la politique et ce qui définit une union par rapport à un accord n'est pas toujours aisé. Passons maintenant à une explication plus technique par rapport au jeu.



Le Zollverein au début du jeu.

Dans le cadre de Victoria 3, une union douanière est un accord bilatéral entre deux nations où une nation accepte de soumettre son marché national à une autre et d'être absorbée dans une union économique. Cela signifie qu'il s'agit d'une action diplomatique, c'est-à-dire quelque chose qu'une autre nation doit accepter car une union douanière seule n'est pas quelque chose qui peut normalement être imposée à une autre nation. Une union douanière n'est pas limitée à deux partenaires seulement, d'autres nations peuvent se soumettre au partenaire principal aux côtés d'autres nations participantes de rang inférieur, mais une union douanière ne peut avoir qu'un seul membre principal qui contrôle l'union.



Un effort pacifique de la France pour aider la Sardaigne-Piémont ; ce n'est nullement le début d'une hégémonie en Italie.

Une légère variante de l'énoncé ci-dessus est possible, les unions douanières peuvent être forcées en utilisant les obligations du pays précédemment redevable. Cela permet seulement à l'action diplomatique d'avoir lieu malgré la disposition de la nation visée à dire non – acte contrôlée néanmoins dans les limites du raisonnable. Il est donc tout à fait possible pour une grande puissance de dire : « Vous voulez que je rembourse votre dette ? Bien sûr, je vais le faire pour une faveur » et ensuite forcer le pays débiteur sans méfiance à entrer dans son marché. Faites toujours attention aux petites lignes au cours de vos transactions diplomatiques !

Les unions douanières elles-mêmes ne peuvent pas être forcées par la guerre, mais elles peuvent l'être à la suite d'autres enchevêtrements diplomatiques. Certaines relations entre sujets s'accompagnent de l'attente implicite de rejoindre le marché commun de leur suzerain, mais elles sont également assorties d'autres conditions (voir le carnet XX sur les actions diplomatiques).

Ainsi, qu'est-ce qui permet à une union douanière d'exister ? Cela dépend de la politique commerciale des nations participantes. Toutes les lois nationales ne permettent pas à une nation de participer à une union douanière - bien que la plupart le fassent en même temps que d'autres changements commerciaux. La question du commerce dans Victoria 3 sera développé en détail dans un futur carnet de développement.

Mais en supposant que deux nations aient toutes deux des politiques commerciales qui leur permettent de le faire, il suffirait donc de cela pour former une union douanière ? Eh bien... non, les unions économiques de ce type ne sont pas de simples accords que l'on peut conclure et renier sur un coup de tête avec quelqu'un en particulier. Elles ont des exigences plus fondamentales.

Les deux nations - ou plus précisément le partenaire junior en question et le partenaire senior qui supervise le marché - doivent avoir des relations neutres ou positives pour mener cette action. Une nation qui vous voit comme un antagoniste alors que vous tentez de la rayer de la carte ne vous laissera pas volontairement l’accès à son marché. Deux nations qui tentent de se rayer mutuellement de la carte peuvent toutes deux être des partenaires juniors dans la même union douanière dirigée par une autre nation, mais attendez-vous à toutes les perturbations du marché qui accompagneraient de tels développements chaotiques si c'est à vous de gérer cette frustration en tant que puissance suzeraine.

Le partenaire senior d'une union douanière ne doit pas être un sujet du partenaire junior ou être un partenaire junior d'une autre union douanière. Des considérations pour l'IA telles que les exigences de connexion portuaire pour faciliter l'accès au marché, le PIB comparatif, le rang, l'infamie et d'autres considérations diplomatiques sont prises en compte lors de l'acceptation ou de la proposition de cette relation.



Voici la synthèse expliquant pourquoi cette IA n’est pas prête de rejoindre votre union douanière. Vous pouvez tenter de dépasser ces réticences initiales de façon pacifique.

De même, cette relation n'est pas une affaire définitive, elle doit être maintenue, ce qui se traduit à la fois par le renforcement de l'influence du partenaire principal sur le partenaire junior - car il détient le prestige du fait que son marché et ses politiques sont prioritaires - et par le maintien des relations entre tous les partenaires et le partenaire principal, sous peine d'être exclu de l'union.



Lorsqu’une union douanière ne peut se maintenir – et ce pour des raisons variées - une notification vous en informera ; cliquer dessus vous permettra d’avoir de plus amples informations.

En définitive, qu’est-ce que cela signifie « se soumettre au marché du partenaire senior » ? A tous égards, cela signifie que le marché national du partenaire junior n’existe plus – il fait désormais partie du marché du partenaire senior, ainsi tous les biens produits sont achetés et vendus au sein de nouveau marché national. Cela peut signifier beaucoup de choses et, selon les disparités relatives de vos marchés précédemment indépendants, les prix peuvent évoluer vers un nouvel équilibre, l'offre et la demande changeant en interne pour refléter cette évolution. Les entreprises réexamineront le coût de leurs biens entrants et ajusteront ensuite le coût de leur main-d'œuvre si nécessaire. Vous verrez peut-être certaines industries exploser et d'autres commencer à fonctionner sur leurs réserves, en espérant que les tendances changent avant de fermer complètement leurs portes, incapables de rivaliser avec ces industriels de villes lointaines.

Bien que toute route commerciale que vous aviez pu avoir avec un partenaire junior peuvent être perturbées, vous n’êtes jamais empêché de commercer en tant que partenaire junior de l’union douanière – néanmoins comme il ne s’agit plus de votre marché national, vous devrez entreprendre quelques démarches supplémentaires pour y prendre part. Il s'agit d'un point qui sera détaillé dans un futur carnet – ce n’est donc qu’à l’ordre de simples affirmations pour le moment.

Pour le commerce interne, l’accès au marché est calculé en se fondant sur l’usage de l’infrastructure dans l’état-région bénéficiaire et de l’existence d’une connexion avec le capital du marché du membre principal. Si vous ne pouvez pas relier les routes par voie terrestre, il faudra alors prévoir du personnel et des ports pour assurer ces liaisons. Si vous êtes le partenaire principal et que vous avez constaté qu'avec l'ajout de nouveaux membres, ils ont du mal à se connecter à votre capitale de marché, vous pouvez toujours envisager de déplacer le centre de votre marché ailleurs pour mieux accueillir tous les membres.



Le Bas Canada rencontre des difficultés pour se connecter au marché britannique en raison des exigences de transport pour de telles connexions vers la capitale du marché à Londres.

Sur le plan national, vous serez toujours en mesure de taxer et d'encourager la consommation de certains biens et services, mais votre capacité à imposer un embargo ou des droits de douane sur les marchandises entrant sur le marché dépendra de votre relation avec l'union douanière… Néanmoins cela reste encore un point qui nécessitera d’être développé dans un futur carnet.

Ainsi, quels sont les bénéfices dans l’expansion de votre marché par le biais d’unions douanières ? Pourquoi ne pas simplement absorber un territoire en forçant une autre nation à devenir votre vassal ou en le plaçant sous votre autorité directe ?

Si vous deviez prendre le territoire, il se peut que vous deviez le faire militairement si la nation n'est pas disposée à venir de son plein gré. Si c'est le cas, la mobilisation et l'approvisionnement de vos forces armées vont représenter une dépense nationale, vous allez certainement vous attirer une certaine infamie sur la scène mondiale, vous pourriez même perdre le conflit en fonction de qui s'implique. Et si vous deviez concéder une partie du marché à une autre nation pour vous aider - et si c'était les ressources que vous vouliez vraiment vous-même. Même dans le scénario gagnant, vous vous retrouvez avec des pops dans un paysage dévasté, radicalisées et potentiellement discriminées dans votre grand empire - tout ce que vous vouliez, c'était du charbon, est-ce que le coût en valait la peine ? Parfois oui, parfois non.



Tous ces facteurs touchant un état-région sont liés entre eux. La dévastation causée par une guerre conduit à agiter vos pops ; l’infrastructure endommagée conduit à des difficultés pour l’acheminement effectif de biens vers ou depuis vos marchés et le niveau de vie de tous en souffre en conséquence.

Les avantages d’une union douanière sont nombreux, mais ils peuvent aussi être une arme à double tranchant : rien ne garantit que cela soit bénéfique et il s'agit plutôt de choisir les problèmes auxquels vous souhaitez faire face, comme c'est souvent le cas avec Victoria 3.

L'un des avantages d'une union douanière est qu'elle diminue les « coûts de transport relatifs » par rapport à l'idée de s'en tenir à des échanges plus manuels entre les marchés. Vous n'aurez peut-être pas besoin de maintenir les routes commerciales actives, mais vous devrez peut-être toujours utiliser des convois pour les connexions entre les marchés. Au lieu de déplacer une quantité plus limitée de marchandises entre deux marchés, vous avez la somme totale des ordres d'achat et de vente de ces marchés qui interagissent. Cela peut être très bien accueilli par certains, car cela signifie une micro-gestion moins intensive de leur économie nationale et leur permet une croissance plus naturelle de leurs industries. Cela signifie également la dégradation potentielle, voire la disparition, de votre industrie du transport qui alimente le secteur commercial de votre économie, ce qui a également des implications. La solution la plus avantageuse pour vous dépend en fin de compte de ce que vous essayez de faire, de la taille de votre nation et de ce que vous pouvez vous permettre.

Une union douanière signifie à la fois une accessibilité accrue aux marchandises et aux ventes - par exemple, vous pouvez commercer avec la Prusse pour obtenir le charbon dont vous avez tant besoin à Lübeck (un AAR avec Lübeck réalisé par Paul Depre lui même explore cela), mais le commerce est inconstant, soumis aux vents changeants des priorités nationales, aux querelles diplomatiques et éventuellement aux embargos. S'intégrer dans l'économie nationale d'un autre pays vous donne un accès plus concret à ces biens et à ce potentiel de vente, mais cela signifie aussi qu'il a accès à votre économie nationale avec relativement moins d'obstacles. Le AAR avec Lübeck met en avant l’exploitation d’un avantage concurrentiel de l’industrie nationale lübeckoise en mettant l’accent sur les outils et le transport maritime pour réaliser des bénéfices sur le grand marché prussien au détriment des industries moins productives. En parvenant à maintenir un niveau de vie élevé face à une Prusse dévastée par les révoltes et perdant en attractivité - car ce n’est jamais un facteur unique qui détermine les choses -, cette Lübeck a pu en profiter pleinement, à la fois monétairement et par la migration.



Les bénéfices des chantiers navals qui étaient en baisse à Lübeck connaissent une croissance (et, si possible, des bénéfices futurs) lorsqu'ils sont vendus sur le grand marché prussien.

Avec la Grèce (le AAR le plus récent avec Paul Depre), Depre rejoignit le marché britannique sans un niveau de vie stable ni un avantage compétitif dans une industrie particulière pour créer une niche. Ainsi, les prix ont chuté de manière drastique et les salaires ont gonflé alors que les pops se déplaçaient vers des terres plus vertes aux quatre coins du lointain Empire britannique. Aurait-il été possible de réussir en tant que la Grèce ? Certes, les problèmes de ce pays ne sont pas forcément évidents, mais il est clair que la Grèce est entrée trop tôt sur ce marché, sans plan précis pour en tirer profit, et c'est donc elle qui a été exploitée.



La Grèce en rejoignant le marché britannique vit ses pops migrer vers des plairies plus vertes – du moins économiquement à défaut d’autres avantages.

Les différences de prix et de niveau de vie entre les unions douanières peuvent avoir un effet sur vos populations - et celles des autres partenaires - et sur leur choix d'émigrer ou non. Si vous êtes une nation relativement prospère, que vous bénéficiez d'un bon niveau de vie ou que la loi des grands nombres joue en votre faveur, il y a un avantage évident à ce que l'expansion d'un marché avec une union douanière entraîne une croissance démographique. L'augmentation de la population est généralement une bonne chose, mais dans certains cas, la migration à l'extérieur de votre pays peut également être une bonne chose dans le cas d'une union douanière.

Imaginez si vous êtes un empire multiethnique, et certaines de vos pops se montrent un peu arrogants avec les idées du nationalisme et de leur propre indépendance. Des idées qui ne font pas vraiment bon ménage avec les vôtres car elles mettent en péril la stabilité de l'empire dans son ensemble. Vous pouvez faire de la discrimination, de la répression, mettre en place des forces de police et de sécurité pour essayer de garder les choses sous contrôle - mais cela coûte cher. Tout cela est encore plus difficile à maintenir lorsque la nation d’origine ou dans laquelle cette ethnie est majoritaire et que ces pops aspirent à rejoindre se trouve à votre frontière. Et si vous faisiez entrer ce pays voisin - par accord ou par la force - dans votre union douanière ? Bien sûr, la population de votre arrière-pays pourrait migrer vers sa patrie, mais vous n'auriez plus de problème insurrectionnel à gérer. Au lieu d'une migration massive vers un autre pays et/ou un autre marché, vous pouvez les faire rester à l'intérieur de vos frontières économiques, si ce n'est exactement de vos frontières nationales, et ainsi conserver tous les avantages de la production et de la consommation des populations avec des coûts insurrectionnels relativement moindres.

Il s'agit là d'un exemple très pointu, mais en fin de compte, toute migration au sein d’une union douanière n’est pas une mauvaise chose - même en tant que nation mineure autorisant volontairement la migration de votre population la plus pauvre à l'intérieur de cette union peut vous permettre de recentrer votre économie - si vos politiques économiques le permettent - et potentiellement de les attirer à nouveau après une réforme. Une union douanière permet de jouer de cette manière où tout n’est pas un jeu à somme nulle (Note : c-à-d soit forcément une victoire pour un camp et une défaite pour l’autre) où tout mouvement de pops est une perte définitive ; il est possible de les attirer de nouveau chez vous ou d’attirer de nouvelles pops.

Avant de conclure ce carnet et digresser sur toutes les mécaniques restantes, Depre souhaite répondre à une question essentielle à ce sujet – plus précisément au type de situation suivante : « Pourquoi vouloir en tant que nation mineure se laisser être assujetti au sein d’une union douanière lorsque cela ne paraît pas clairement avantageux pour moi ? ». Une réponse toute simple est que l’alternative reste tout simplement de se voir rayé de la surface de la carte ou bien de finir dans un état d’assujettissement plus contraignant et violent. Il faut aussi penser en termes de realpolitik : si vous êtes une nation de taille moyenne à petite et que vous ne souhaitez pas que vos ressources nationales soient gobées par une puissance plus large sans que vous ayez les moyens de vous protéger sans être contraint à vous soumettre à une autre puissance, la seule solution qui s’offre à vous pour tenter de réussir dans cet environnement est de se soumettre partiellement. Vous pourriez emprunter la voie diplomatique et vous placer sous la tutelle d'une plus grande puissance d'une manière ou d'une autre, mais certaines de ces options peuvent nécessiter une union douanière. Elles peuvent également entraîner la perte de votre potentiel diplomatique en tant que nation souveraine indépendante, ce qui pourrait ne pas être une optique agréable pour vous. Se soumettre volontairement à une union douanière n'est peut-être pas le choix le plus avantageux, mais lier votre économie à la leur pourrait être un moyen de maintenir une certaine distance par rapport à une union politique inévitable.

Potentiellement, vous pourriez tourner cela à votre avantage et maintenir une politique diplomatique distincte grâce à cette intégration.

Au cours de l’AAR avec Lübeck, le choix s’est porté sur la soumission à l’union douanière prussienne parce que c’était un moyen de garantir que l’IA ne se tournerait pas facilement vers Lübeck comme moyen d’expansion et, avec un peu de chance, en liant leurs économies suffisamment étroitement ensemble, la Prusse ne chercherait pas à ingérer dans les affaires de Lübeck de peur de mettre un terme aux institutions respectives.

Et pour conclure, c'est un aperçu du potentiel que peut avoir l'expansion du marché par le biais d'une union douanière. Ce sujet pourrait être développé indéfiniment mais ce carnet aussi s’éterniserait... Paul Depre a hâte d’avoir les retours, idées et commentaires sur ce sujet et de voir comment les joueurs pourront utiliser cette mécanique lorsque le jeu sortira.

Pour finir ce carnet, Paul Depre en profite pour annoncer sa promotion au poste de manager de l’assurance qualité chez Paradox. Le meme qui lui ait lié n’est plus vraiment d’actualité pour ainsi dire. Cela ne veut pas dire qu’il ne sera plus impliqué dans le développement de Victoria 3, il continue ainsi de superviser l’ensemble et de donner des conseils de-ci de-là afin de s’assurer que le jeu conserve un haut niveau de qualité mais que l’équipe d’assurance qualité en charge de ce nouvel opus dispose de ce dont elle a besoin pour s'en assurer à partir de la sortie puis dans la suite du suivi du jeu.


L’équipe a « célébré » cette dernière nouvelle de la meilleure façon possible – le présent texte de chargement a été mis à jour presque immédiatement afin d’être « plus juste » et Depre ne pourra rien faire pour que cette information capitale soit considérée comme un bogue...

C'est sur cette annonce et ce filage de meme que se conclut ce carnet. Vous retrouverez de nouveau Paul Depre pour le prochain carnet qui traitera aussi d’un autre sujet économique en la matière des routes commerciales et des tarifs. Attendez-vous à en avoir autant à lire ​ Bonne journée - ou soirée - à toutes et tous !
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Auteur : Paul Depre “PDJR_Alastorn”
Traducteur/Rédacteur : Limse