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  • #76
    Rapport de la STAVKA : Février-juillet 1942

    un premier semestre sous tension.

    La première alerte sur Leningrad a éveillé les soupçons de la STAVKA sur un possible nouvel assaut amphibie. En tirant 18 divisions de la réserve, l'ensemble de la côte balte encore sous contrôle soviétique se trouve enfin garni de troupes. La STAVKA avait vu juste : les divisions de montagne débarquent sur les îles de Saarema et Hiumaa et tentent une action directe sur la côte estonienne. D'autres renforts soviétiques sont jetés dans la bataille et finalement la défense tient bon.

    C'est au sud du front, que la situation se détériore. mécanisés italiens et divisions mobiles allemandes, réussissent à repousser la ligne défensive soviétique en prenant Dniepropetrovsk, puis poussent vers l'est. Une action est lancée en Crimée et là encore, les troupes soviétiques doivent se replier. Menacé d'encerclement, les forces soviétiques se résignent à abandonner l'ensemble de la Crimée dont Sébastopol évacué par mer. La supériorité aérienne allemande est incontestable et incontestée. La chasse soviétique ne fait tout simplement pas le poids face à la Luftwaffe.

    Le seul point à l'actif de l'armée rouge est la réussite de quelques contre attaques locales à l'est de Dniepropetrovsk, où les corps blindés modèle 42 donnent un peu plus de fil à retordre aux troupes mobiles allemandes.

    au centre, les marines italiens avancent lentement mais sûrement dans les marais du Pripet.

    Pertes allemandes cumulées depuis juillet 1941 : 561 000 hommes tués, blessés et disparus (+ 110 000h depuis février 1942)
    Pertes soviétiques cumulées depuis juillet 1941 : 846 000 hommes tués, blessés et disparus (+220 000h depuis février 1942)

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    • #77
      Compte-rendu britannique : février à juillet 1942


      Front d'Ethiopie :

      Inférieure en nombre, l'infanterie britannique a néanmoins progressé avec succès, montagne par montagne avec cependant des pertes sensibles, grâce à l'appui aérien et en dépit de petites tentatives de la chasse italienne de retarder l'inexorable. L'Afrique Orientale italienne a fini par rendre les armes à la fin du printemps et plus de 40 divisions italo-éthiopiennes ont été détruites, portant les pertes italo-éthopiennes à près d'un million et demi contre 172 000 britanniques, tous ennemis confondus.


      Asie et Pacifique :

      Le commandement britannique campe toujours sur ses positions retranchées même si les USA reculent après avoir sacrifié de nombreux sous-marins et ont dû évacuer Sumatra pourtant vitale à la défense de Singapour. De fait, le Japon, toujours à court de carburant devrait finir par s'emparer de Singapour après avoir envahi les Indes néerlandaises. Toutefois, les Philippines résistent toujours et vont être une lourde épine dans le flanc japonais.


      Débarquements mitigés :

      Suivant le plan élaboré à la conférence interalliée, les troupes britanniques ont tenté un débarquement avec des forces limitées sur Malte, la majorité de leurs marines étant retenus en Grande-Bretagne pour attaquer en Europe de l'Ouest. Proche de percer à un moment, il a été décidé d'interrompre l'opération qui risquait de condamner une partie des forces qui ont pu se retirer en bon ordre. Quoi qu'il en soit, l'entreprise a amené l'Axe à se focaliser sur la Méditerranée au détriment d'autres fronts.
      De fait, l'offensive principale alliée visant à soulager le front russe s'est portée immédiatement après sur le Danemark et la Norvège. Le plan allié prévoyait un double débarquement sur le sud du Danemark, par les Américains, et la Norvège, par les Britanniques. Devant les lourdes défenses ramenées à la hâte, les Américains ont dû retraiter. Toutefois, en Norvège, le plan a réussi. Encore une fois, l'Axe a dû dégarnir en catastrophe le front russe, aussi bien en aérien qu'en troupes spécialisées. Les Alliés ont des difficultés pour avancer mais l'Axe ne semble pas en mesure de les repousser dans l'immédiat. Les combats font rage dans les airs et la courageuse RAF dispute le ciel avec des pertes équivalentes aux fourbes aviateurs axistes pourtant nettement supérieurs en nombre.



      Guerre de l'Atlantique :

      Pour la première fois depuis le début des hostilités, la flotte sous-marine allemande est entrée en action, coulant une vingtaine de destroyers anciens britanniques pour des pertes inférieures avant de voir le ratio brutalement s'inverser suite à la réorganisation de la Royale Navy. Désormais, les sous-marins éprouvent davantage de difficultés à manœuvrer à leur guise et ont dû abandonner certaines zones marines trop exposées.

      Une conférence inter-alliée à laquelle s'associeront les Soviétiques aura lieu dans les prochains jours pour tirer les enseignements de la situation sur les différents fronts et travailler à l'élaboration de nouveaux plans.

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      • #78
        compte rendu de la STAVKA :
        période juillet-15 décembre 1942

        l'année 1942 s'achève sur un bilan mitigé :

        un constat tout d'abord s'impose : les forces allemandes sont supérieures dans tout les domaines à l'Armée Rouge : supériorité aérienne totale, forces mobiles capables de malmener n'importe quel type de divisions d'infanterie soviétique, de repousser avec un peu de plus de difficultés les corps blindés et des divisions d'infanterie de montagne en grand nombre soutenues là encore par des divisions d'infanterie d'élite.

        durant ce second semestre, les forces allemandes ont donc lancé leurs assauts contre le front Ouest, avec un certain succès puisque Minsk la capitale de Biélorussie est tombée. Chaque assaut a donné lieu à des retraites certes ordonnées mais aucune position n'a tenue. Les forces allemandes approchent à présent de Smolensk dont la défense au vue des précédents combats laissent supposer de grandes difficultés.

        Dans le sud quelques combats ont eu lieu à l'avantage des allemands mais sans grande conséquence pour l'instant. La STAVKA a néanmoins décidé d'envoyer des divisions supplémentaires dans ce secteur.

        Pertes cumulées au 15 décembre :

        Allemagne : 671 000 tués, blessés et disparus (+ 110 000 hommes depuis le 16 juillet 1942)
        Italie: 153 000 tués, blessés et disparus
        URSS : 1 140 000 tués, blessés et disparus (+ 294 000 hommes depuis le 16 juillet 1942)

        les pertes soviétiques augmentent donc de plus en plus par rapport aux pertes allemandes (notamment due à l'aviation tactique ennemie)

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        • #79
          Le moins que l'on puisse dire, sur cette dernière session, c'est que ça a chauffé.

          Sur le front de l'est, concurremment avec les alliés et dans le but de soulager leur effort, l'armée Rouge attaque.
          Mal lui en prend.
          Sortis de leurs retranchements de Poltava sur laquelle tant d'assauts de la Wehrmacht ont échoué, les soviet se font brutalement flanquer par les PzGr de Von Weich et perdent leur nœud de communication pourtant crucial à défendre devant Kharkov.
          Au sud de Chernigov, une autre attaque sans grande envergure échoue, contrée par l'arrivée de 4 divisions dont 1 de PzGr.

          Au centre, dans les marais du Pripet, sous la pression des "marines italiens", les soviétiques abandonnent le terrain, notamment l'aéroport de Mozyr, ce qui va grandement faciliter la tache de la Luftwaffe.

          Mais c'est plus au nord que les moyens les plus importants de la Wehrmacht ont été rassemblés, à la frontière de la région de Wilejka, dernière enclave polonaise sous contrôle russe. Lorsque l'attaque se déclenche, Minsk est encore loin, et les obstacles pour y parvenir nombreux, en particulier d'immenses régions boisées.
          Mais la défense soviétique flanche et son armée se replie. En l'espace d'un mois, la capitale Biélorusse se retrouve en première ligne tandis que au nord, la rive gauche de la Dvina est nettoyée de toute présence ennemie. Puis Minsk est attaquée par l'ouest et par le sud. Quelques combats ont lieu ensuite pour la préservation du grand terrain d'aviation, mais les italiens, sortis des marais, poussent en direction de Bobruisk.
          Encore une fois, la défense soviétique lâche pied et se replie, en relativement bon ordre.
          Mogilev est en vue alors que Bobruisk, un instant conquise, est reprise de haute lutte (et sera re-reprise, à n'en point douter).
          A aucun moment, l'aviation soviétique n'a fait son apparition, durement étrillée la session précédente.

          Ce problème épineux est en passe d'être résolu, semble-t-il, par les actions alliées en Norvège qui ont réussi à faire sauter le verrou de Narvik. Désormais, les acheminements en matériel ne devraient plus trop poser de problème.

          Sur le front de l'ouest, toute l'attention est reportée sur la Norvège.
          Dans un premier temps, deux attaques allemandes se déclenchent simultanément : l'une au sud, vers Stavanger, l'autre au centre, vers Bergen.

          Celle de Bergen enregistre de bons succès initiaux, mais le ravitaillement ne suit pas, et il faut retourner sur ses bases de départ.

          Celle de Stavanger coupe le dispositif allié en deux. Malgré de furieuses contre attaques qui échouent, le port est conquis et sonne le glas des troupes prises à revers devant Kristiansand.

          Mais les alliés ne sont pas sans ressources et peuvent agir où ils veulent, disposant d'une écrasante supériorité maritime.
          Pendant la déconfiture de leur armée au sud de la Norvège, deux débarquement simultanés ont lieu : l'un sur Tronheim où les américains perdent 4 divisions de "marines" dans l'affaire tandis que l'opération échoue grâce à l'arrivée de renforts.
          En revanche, l'opération alliée sur Narvik est un succès, les troupes allemandes ne pouvant affronter une telle supériorité numérique déployée sur un aussi large front.
          La Wehrmacht perd ses deux toutes premières divisions depuis le début de la guerre.

          En revanche, la poussés alliée est stoppée au sud de Narvik qui ne parvient pas à s'emparer du terrain d'aviation. Très fâcheux pour eux, car sur ce point, une bataille cruciale est en train de se jouer.

          La prise de Bergen leur octroie un maximum de 2000 places, mais le Reich peut aligner jusqu'à 6000 avions.
          Au début, certes, il a fallu agrandir les terrains en place, et le combat fut en équilibre incertain, notamment par la défection italienne qui avait cessé ses travaux d'agrandissement des pistes sans rien dire. A cela, il faut ajouter une mauvaise surprise : les FW en entraînement sur le Danemark (Copenhague) ne gagnaient aucune expérience (bug du jeu) tandis que la Reggia italienne se repliait.
          Bref, du temps a été perdu avant de pouvoir affronter la RAF dans de bonnes conditions.

          Mais elle l'a payé cher.
          Car si la RAF cède l'espace aérien, toute l'armée alliée débarquée à Bergen (30 divisions d'élite environ - méca et marines-) sera à la merci de la Luftwaffe. Aussi est elle forcée de se battre dans des conditions spécialement défavorables : de part le rapport de force et de part la qualité supérieure des appareils ennemis qu'elle affronte.
          Dès lors commence une bataille d'attrition qu'elle ne peut pas gagner. Parfois, elle s'octroie un petit avantage, mais il lui arrive de perdre jusqu'à 60 spitfire/jour.
          Elle se lance alors dans une attaque de diversion sur la Bretagne, mais sans succès.
          Puis en Italie, ou elle affronte la Reggia et la Luftwaffe réunies. Là aussi, l'espace aérien lui est interdit. Du coup, le débarquement de la Home Fleet en Sicile se fait sans soutien aérien et échoue avec pertes.

          Début décembre, la RAF n'arrive plus à maintenir les remplacements nécessaires aux pertes et se replie. Pendant ce temps, la Luftwaffe améliore et accroit encore les emplacements disponibles.
          L'affaire de Norvège, surtout au sud, ressemble de plus en plus à un piège...

          Entre temps, l'invasion du Maghreb a débuté, le régime de Vichy s'est effondré et la totalité de la France est occupée.

          Sur le front du Pacifique, le Japon était presque mort...
          Presque.
          Mais telle une braise qui couve sous la cendre, un feu se développe peu à peu, prend de la vigueur et s'étend...
          En l'espace de cinq mois, les Indes Néerlandaises sont conquises, de même que la Malaise. Les Philippines tombent aussi, le corps expéditionnaire US présent est détruit... Wake est tombée, de même que l'île Phoenix.
          Singapour tombe.
          Il aura fallu un an au Japon pour conquérir cette grande base. Mais il y est.

          1943 est proche.
          Si les conquêtes sont moins importantes qu'historiquement, Stalingrad n'a pas eu lieu, ni de débâcle allemande au cours des hivers en Russie. Ni de campagne de Tunisie...

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          • #80
            Chers amis,

            Désolé de vous avoir fait faux-bond hier soir, mais je n'étais pas en état.
            Ça s'appelle un ictus mnésique (j'ignorais que ce genre de choses pouvait exister) qui m'a mis sur la touche une bonne partie de la journée et je n'ai pas pu rentrer chez moi avant 22h00 et quand bien même...

            Concrètement, c'est une perte de la mémoire immédiate (imaginez tout le bénéfice que mes adversaires auraient pu en tirer en pleine GPO) qui fait qu'on ne se rappelle pas de ce qu'on a fait. Quand ça s'est déclenché, j'étais en pleine voie d'escalade, à 35 m au dessus du sol. Sauf que je ne me rappelle plus comment j'ai fini la voie que je grimpais. Je me souviens seulement de mon binôme qui appelait le SAMU alors que j'étais redescendu (je ne sais pas comment d'ailleurs).
            Et plus tard, dans l'après midi, quelques absences, comme si j'avais dormi par courtes périodes.

            Ce genre de situation (rare) m'a pasmal désorienté, et j'ai été en observation jusqu'à une heure tardive dans la soirée.
            Voilà voilà, vous savez tout.

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            • #81
              Salut Fred, surtout repose toi bien et remets toi c'est le plus important. La save est bien au chaud, on reprendra dans trois semaines (dimanche prochain je suis absent et le dimanche suivant c'est un des alliés qui n'est pas là). On se tient au courant...

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              • #82
                Pareil, remets-toi bien et du mieux !

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                • #83
                  juste une proposition pour dimanche prochain 1 joueur allemand en moins c'est quand même 3 vs 3. donc c'est potentiellement jouable.

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                  • #84
                    Pas de soucis pour moi, d'autant plus que je pourrais certainement vous rejoindre pour 21H10 si mon train n'a pas de retard...

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                    • #85
                      Envoyé par Olrik Voir le message
                      Pas de soucis pour moi, d'autant plus que je pourrais certainement vous rejoindre pour 21H10 si mon train n'a pas de retard...
                      Alors dans ce cas, le plus raisonnable c'est de t'attendre. On ne jouera pas autant que prévu, mais au moins, la session ne sera pas complètement perdue.

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                      • #86
                        Bon bin au vu du message de Thoren (privé sous Discord d"hier), il se serait vu son incident de vélo bien abimé, fracture.
                        Donc il semblerait bien qu'il nous faille un remplaçant "pompier" sur l'UK si jamais on veut pouvoir jouer dimanche soir et les semaines suivantes.

                        Qui pour nous aider, un volontaire pour reprendre l'Angleterre ?
                        La save est disponible pour se mettre à jour.

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