[Archange]

2ème manche de la coupe de France : Classique Loire Atlantique : 21 Mars 2015 (1.1)


Equipe Mixte : Aragox, Faras, Gouggar, Kysmoboy, Red Torvarich, Ryurk, Sauron et Vertigo.

Spoiler:

La deuxième manche de la coupe de France PMU est la classique Loire Atlantique. Cette fois-ci on retrouve une épreuve de catégorie 1 qui devrait nous donner du fil à retordre. Fini la rigolade !!


Au niveau de la composition de l’équipe on a du effectuer des changements de dernière minute. En effet, après Paris-Troyes, il est devenu évident que Foureur et Manix avait besoin de repos pour aborder sereinement le tour de Normandie. Décision a donc été prise de ne pas les aligner sur la classique Loire Atlantique et sur Cholet Pays de Loire le lendemain. Une décision critique puisque Manix est tout de même bien placé au classement de la coupe de France, mais en l’état il ne serait pas capable de performer. Idem pour Rahl et Scramouille qui ont besoin de repos. Ils seront donc remplacés par Red Tovarich, Vertigo, Aragox Gouggar et Faras qui sont venus en catastrophe en Bretagne pour ces deux courses (de toute façon ils devaient prendre l’avion pour la Corse depuis Paris alors…). Heraemoes fait aussi le déplacement mais prendra uniquement part à Cholet Pays de Loire le lendemain, pour remplacer Ryurk qui doit se préserver pour le prologue du Tour de Normandie.




Au niveau de la tactique de course, c’est assez simple : Aragox, Faras, Kysmo, Red, Sauron et Vertigo ont pour consigne de prendre l’échappée matinale. Ceux qui ne réussiront pas à en faire parti se mettront au service de Gouggar et de Ryurk qui pourront peut être tenter quelque chose dans le final.




Le parcours a l’air plat comme ça mais c’est une fausse impression. Il n’y a aucune montée de plus de 200 mètres mais ce n’est jamais plat ! Toujours du faux plat montant et descendant, ce qui est très usant à force. Sans compter les nombreux virages qui obligent à sans cesse s’épuiser en relance.


Au niveau des concurrents :



Toutes les équipes françaises sont bien évidemment représentées : la coupe de France est un objectif pour chacune d’entre elles.

Mais en plus de la Française des jeux et d’AG2R la mondiale, ilfaudra compter sur trois autres équipes de première division ; la formation espagnol Movistar qui emmène José Joaquim Rojas auteur d’une trés bonne étoile de Bessège si vous vous souvenez, et les formations américaines BMC et Cannondale.



Nous allons aujourd’hui nous concentrer sur la course de Sauron.


Le grimpeur savoyard a pu apprécier le monde présent au départ de cette course. Les spectateurs s’amassent autour des bus des coureurs pour les observer s’échauffer, apprécier leurs matériels et demander des autographes. Le bus Mundus Bellicus n’était pas très prisé, néanmoins, quelques connaisseurs qui suivent les actualités cyclistes sont venus discuter avec Ryurk et lui ont demandé des autographes. Il vient en effet de terminer deuxième de Paris-Troyes.


Ayant fini son échauffement tôt, Sauron va rapidement récupérer son dossard sur le podium protocolaire. Il sera sobrement présenté par le commentateur Daniel Mangeas par un « Un petit gars de la Savoie que je ne connais pas encore ! Mais j’espère qu’il fait honneur à sa région en passant bien les cols. » suivis par quelques petits applaudissement respectueux.

Sauron se retrouve donc en premier rideau sur la ligne de départ. Il en profite pour attaquer dés que le départ réel est donné après avoir annoncé dans l’oreillette « Je sors ».




La journée commence donc sur les chapeaux de roue pour Sauron qui sait que les prochaines heures vont être longues et douloureuses. Mais il a le sourire pour l’instant entre deux profondes respirations : le public breton est nombreux au bord de la route et acclame le premier attaquant de la journée !


Sauron se concentre sur son effort qui se doit être soutenu sans être non plus trop exténuant. Pour l’instant aucun écart ne lui a été communiqué et il se doit de continuer à rouler. Néanmoins il entend que les clameurs du public ne s’interrompent pas après son passage, signe que le peloton ou un groupe de contre revient sur lui.

C’est finalement un groupe de trois coureurs qui revient en chasse patate sur lui.


Sauron leur fait un signe du coude et se laisse descendre en fin de groupe : Ils étaient trois, il était seul, il a fait plus d’effort qu’eux, ce n’est pas à lui de rouler.


Il en profite pour glisser dans l’oreillette qu’il a été rejoint par trois concurrents et demande un écart. Le nain (qui a perdu son emploie à cause de sa dépression et qui est désormais le second directeur sportif de l’équipe) lui répondra que radio tour indique environ 45 secondes.

Trois kilomètres plus loin, l’ardoisier passe devant eux en moto et leur indique un écart de trente secondes : le peloton regagne du terrain. Le Nain confirme à l’oreillette que la Française des Jeux roule en tête de peloton. Les compagnons d’échappé demandent à Sauron de commencer à relayer, ce que le grimpeur savoyard fait sans rechigner malgré ses jambes qui commencent à devenir lourde et son maillot trempé de sueur.


Le quatuor collabore bien malgré l’intensité de l’effort. Le fait que le groupe soit 100% français aide sans doute à cela : Sauron a en effet été rejoint par Yoan Paillot de Marseille-13-KTM (3ème division), Romain Lemarchand pour l’équipe danoise de deuxième division Cult Energy et Brun qui courre pour Bretagne Séché Environnement. L’écart est stabilisé aux alentours des 30 secondes au moment d’aborder le deuxième tour de circuit.


Sauron fait comme les autres en essayant d’imposer un rythme soutenu sans pour autant exploser à 180 kilomètres de l’arrivée.


Finalement le peloton apparait dans le champ de vision de l’échappée lorsque ses membres se retournent. Sauron se replace donc en fin de groupe après un dernier relais trés léger. Il a repéré un petit faux plat montant dans lequel il compte placer une attaque pour essayer de lâcher un ou deux de ses compagnons. Un duo ou un trio de coureur aura peut être plus de champs libre qu’un quatuor.

Arrivé au faux plat, alors que le peloton maintenant emmené par les Movistar (ESP, 1ère division) se rapproche vraiment dangereusement, il enlève deux pignons et se dresse sur ses pédales sous les vivats de la foule.


Après une cinquantaine de secondes d’effort extrêmement intense où son rythme cardiaque est monté au dessus des 180, Sauron se retourne et se rend compte que personne n’a réussi à prendre sa roue. Brun, Lemarchand et Paillot ont été repris par le peloton qui laisse désormais filer le coureur de Mundus Bellicus.


Il prend trés rapidement une minute d’avance puis réduit fortement son effort quand Le Nain lui souffle à l’oreillette de temporiser un peu. Vertigo et Faras étaient entrain de discuter dans le peloton avec quelques coureurs de formations de deuxième et troisième division pour les pousser à partir en contre, leur promettant que Sauron les attendrait. Sauron accepte car il ne souhaite pas faire 170 kilomètres seul en tête.

finalement après quelques kilomètres un peu plus relâchés qui sont les bienvenus pour le grimpeur savoyard, Le nain lui demande de ré-accélérer légèrement, un colombien (Rodolfo Torres) de la Colombia (2ème division) est sorti en contre. Il est suivi avec un temps de retard par Patrick Gretsch (ALL) pour AG2R la mondiale (1ère division, FRA).



Sauron est presque à bout mais la foule lui donne la force de continuer :

http://images.akamai.steamusercontent.com/ugc/270599410823263481/E0AAB2769288431439193B1F497340B22819D381/

Finalement, seul Rodolfo Torres réussira à rentrer sur Sauron alors que l’écart avec le peloton atteint deux minutes.


Les deux hommes se relaient alors à un rythme de croisière leur permettant de se refaire la cerise. Néanmoins l’écart avec le peloton ne croit alors plus que trés faiblement (1 à 2 secondes par kilomètres.) C’est néanmoins indispensable pour Sauron qui indique au Nain qu’il a un vrai coup de moins bien.

Fort heureusement, l’écart est désormais suffisant pour que les commissaires autorisent une voiture de Mundus Bellicus et une voiture de la Colombia à dépasser le peloton pour se replacer derrière le duo de tête. Sauron fait alors un signe pour demander à la voiture de direction de course de se laisser dépasser par le Nain.


Le savoyard descend alors à la hauteur de son directeur sportif qui le réconforte, lui donne une boisson chaude et de la nourriture très sucrée.

Quelques kilomètres plus loin, le coup de moins bien est passé, et Sauron indique par geste au colombien qu’ils peuvent un tout petit peu accélérer le rythme.

Les deux hommes collaborent tranquillement, l’écart dépasse les trois minutes :


Les kilomètres défilent alors que les deux hommes roulent « au seuil ». Les respirations sont rauques, les jambes douloureuses, les maillots trempés. Seuls les encouragements du public et les mots réconfortant du nain au moment où il descend à sa portière permettent à Sauron de tenir. Le Nain lui indique de ne pas s’inquiéter, que Ryurk et Gouggar ne se sentent pas trop mal dans le peloton et le reste de l’équipe veille à ce qu’ils soient bien placés. S’il se fait rattrapé, tout n’est pas perdu pour l’équipe : il doit rouler en essayant de bien faire, mais sans pression.

Finalement l’ardoisier indique à Sauron que l’écart va bientôt retomber à 2 minutes. Le nain lui indique alors à l’oreillette qu’unBMC (1ère division, EU), le suisse Stephan Kung, est sorti en contre. Il reste 40 kilomètres à parcourir, soit deux tours et demi.


Le duo franco-colombien passe alors la vitesse supérieur sans toutefois se mettre à fond. La foule est de plus en plus nombreuse sur le bord du circuit au fur et à mesure que l’arrivée se rapproche. Les spectateurs qui écoutent la voiture radio qui précède d’une minute Sauron et Torres connaissent désormais le nom du savoyard qu’ils scandent dés qu’il passe devant eux : « SAURON !! SAURON !! ». Tout le monde se fout de Torres… un colombien, et puis quoi encore ?


L’écart avec le peloton tombe alors à une minute alors qu’il reste 34 kilomètres si l’on en croit l’ardoisier. Kung en revanche semble ne pas pouvoir revenir sur l’échappée.

L’écart devenant trop faible, la voiture des commissaires passe devant le groupe de tête et Le nain doit s’arrêter pour se laisser dépasser par le peloton après avoir donner un dernier bidon et une dernière barre énergétique à Sauron. La voiture de Colombia fait de même.


A 26 kilomètres de l’arrivée, l’ardoisier indique un écart de 30 secondes avec le peloton. En revanche, Sauron note que l’écart avec Kung n’apparait plus : il a du se faire reprendre par le peloton.


6 kilomètres plus loin, Sauron peut apercevoir le peloton lorsqu’il se retourne. Ils ne lâchent rien avec Torres mais ils savent que c’est foutu. Sauron notera quand même avec plaisir la présence de l’épaisse carrure de Ryurk dans les premières positions du peloton.



En haut d’une petite butte, Torres et Sauron sont rattrapés par Ryurk et un FDJ partis en contre. Le FDJ s’arrête dans la roue de Sauron, ayant besoin de souffler après l’attaque qu’il a porté pour sortir du peloton. En revanche Ryurk poursuit son effort, en danseuse sur un énorme braquet, tout en force.


Un kilomètre plus loin, c’est fini pour Sauron et Torres qui réintègrent le peloton. Sauron reçoit une petite tape dans le dos de la part de Kysmo qui lui fait un clin d’oeil. Sont encore présents Vertigo, Gouggar, Kysmo et Aragox qui a l’air en difficulté. Faras et Red ont du se faire lâcher.


Sauron fera l’effort pour se maintenir en tête de peloton au cas où on aurait besoin de lui. Pour l’instant Vertigo joue des coudes pour maintenir Gouggar dans une bonne position.

Finalement Ryurk et le FDJ auront donné un coup d’épée dans l’eau et seront repris à 16 kilomètres de l’arrivée.


Sauron fera un ultime effort pour revenir à hauteur de Ryurk et lui donner son bidon qui est encore presque plein et lui donner ses deux derniers tubes de gel énergétiques.

Puis, vidé, il se relève et se laisse dépasser par le peloton.



On s’accroche un peu à la portière du nain, on récupère un bidon, à manger, et une polaire car il fait un peu froid, et on finit tranquillement en faisant des petits exercices de récupération et en coupant les oreillettes.




Il franchira la ligne prêt de 6 minutes après le vainqueur, acclamé par les spectateurs encore présents qui reconnaissent l’un des deux échappés du jour.



C’est le français Jimmy Engoulvent (FRA, 2ème division) qui s’est imposé aujourd’hui.





Quand Sauron rejoint le bus, le Nain est en pleure, voyant la prison se rapprocher à grand pas : aucun Mundus Bellicus n’est dans le top 20 !! Ryurk et Gouggar ont tous les deux tentés de sortir dans le final, mais seul Engoulvent a réussi à s’extirper du peloton.






Sauron se fera interviewer par Marion Rousse pour Eurosport alors qu’Engoulvent se fait remettre son trophée :

us0xp3-L.jpg


Journaliste :

[Archange]

Troisième manche coupe de france : Cholet - Pays de Loire : 22 Mars 2015 (1.1)

Equipe Mixte :
Gouggar, spécialité : puncheur // rôle sur la course : Leader
Vertigo, spécialité : rouleur-baroudeur // rôle sur la course : Baroudeur / Equipier
Aragox, spécialité : puncheur // rôle sur la course : Electron libre / Equipier
Heraemoes, spécialité : grimpeur // rôle sur la course : Electron libre / équipier
Kysmoboy, spécialité : grimpeur // rôle sur la course : Electron libre / Equipier
Sauron, spécialité : grimpeur // rôle sur la course : Equipier (doit se préserver)
Red Tovarich, spécialité : aucune // rôle sur la course : Equipier

Directeur Sportif : Le Nain


(La course a été extrêmement plaisante à jouer, bien que ce fut trés difficile ! On aurait dit une vraie manche de la coupe de France : des coureurs partout, un final épique, une course complètement illisible ! Du cyclisme à l’ancienne comme on l’aime ! J’adore les courses en circuit)

Spoiler:

Hier le bilan était assez catastrophique : aucun de nos coureurs n’a réussi à marquer de points pour le classement de la coupe de France. Nous avons eu de la chance de rétrograder que d’une place au classement par équipe. Aujourd’hui le Nain brief ses troupes avec ardeurs ! Il faut un résultat, même une petite placette !

Pour autant ce n’est pas gagné : le parcours est trés dure avec une côte de 700 mètres à 15% de moyenne à franchir une dizaine de fois. Scramouille est Rahl sont toujours en mauvaises formes et ne participent pas à la course, Manix et Ryurk prépare le Tour de Normandie qui commence demain… Tout repose sur les épaules de Gouggar, mais ce dernier s’est réveillé avec de violents maux de tête. Pour ne rien arranger, il pleut et Faras a été victime d’une panne d’oreiller et n’a pas pu se présenter à la signature à temps : il sera contraint de rester parmi les spectateurs.




Le Nain a donné la consigne d’essayer de prendre l’échappée matinale. Ce qui n’y parviennent pas restent groupés dans le peloton et ne tentent absolument rien !! Le but est seulement de terminer parmi les dix premiers !



Le plateau est plus que correct pour une 1.1. Ca va être difficile.


Le départ est lancé !!



Vertigo suit les consignes et passe à l’offensive !



C’est rapidement un quatuor qui se forme et qui prend une minute d’avance : deux français, un belge, un italien.
L’écart croit rapidement face à un peloton apathique et franchit la barre des deux minutes.


Il a plu durant la nuit et la chaussé est encore tiré humide. Alors que le peloton franchit un petit pont étroit, le festival des chutes commence… Il n’est pas prés de se terminer…



Sauron, glisse, touche la roue d’un coureur d’Europcar (FRA, 2ème division), et se vautre…



Il manque de tomber dans l’eau en passant sous la balustrade !!



C’est l’effet boule de neige, une demi-douzainne de coureurs sont à terre. Sauron écope de quelques brulures mais repars aussi sec, le maillot déchiré. Hera n’est pas tombé mais a été ralenti par la chute. Il doit s’arrêter et mettre pied à terre.



Au même moment la Française des jeux (FRA, 1ère division) se décide à rouler en tête de peloton. Cela ne nous arrange vraiment car d’une part l’écart avec l’échappée tombe rapidement sous la barre de la minute, et il va être désormais difficile pour Sauron, Hera et leurs compagnons d’infortune de rentrer sur le paquet.



Sentant que le peloton revient fort et que ses camarades d’échappée n’ont pas l’air de trop vouloir se battre, Vertigo fait comme Sauron la veille et place un contre pour essayer de redonner vie au groupe.



Les autres jettent l’éponge et se laisse reprendre par le peloton. Mais Cyril Gauthier (FRA, Europcar) part en contre à la poursuite du baroudeur de Mundus Bellicus. Sauron, Hera et les autres attardés pointent à plus de trois minutes !!!



Mais le breton d’Europcar est un redoutable puncheur. La FDJ (qui a affirmé dans la presse son ambition de remporter le classement individuel et le classement par équipe de la coupe de France PMU) ne le laisse pas partir. Le peloton revient sur le duo dans la grosse montée.



A l’arrière, le gruppetto croit en effectif car des coureurs sont déjà lâchés, victimes du rythme de course élevé et des bosses à répétition. Ils sont repris par le groupe d’Hera et Vertigo. La course est trés difficilement lisible : il y a des coureurs partout, le temps est trés mauvais, la route glissante, les roues des vélos et des véhicules projettent de l’eau partout, les voitures des équipes ont beaucoup de mal à se frayer un chemin entre les lâchés.



Le Nain demande dans l’oreillette que les MB encore présents dans le peloton fassent tout leur possible pour essayer de rester dans le premier tiers : le risque de cassure et de chute est trés important ! Il ne faut pas se faire piéger !



Après avoir constaté que tous le monde était dans le rouge et que même les leaders grinçait des dents, la FDJ relâche le rythme. Ils ont démontré leur puissance et font peur à tous le monde : ils n’ont pas de grosses têtes d’affiche, mais tous leurs coureurs sont bons ! Ils semblent tous un cran au dessus du reste !!! Ca refroidit tous le monde.
En attendant le gruppetto en profite pour rentrer sur le peloton. Hera et Sauron réintègrent les rangs.




Après de multiples tentatives d’échappées, un quatuor finit par s’extirper : un colombien de la Colombia (2ème division), King pour l’équipe américaine de première division Cannondale, un belge de je sais pas quelle équipe et le français Théo Vimpère, l’un des meilleurs coureurs de l’équipe Auber 93 (une des plus faibles équipes de 3ème division française).

Les MB sont restés sagement au chaud dans la première moitié du peloton : le Nain dit que ça ne sert à rien de s’épuiser en échappée vouée à l’échec : on reste dans le peloton jusqu’au bout et on joue les points pour les classements individuels et par équipe.

Ca va être comme ça pendant prés de 150 kilomètres… Entrecoupés de cassures… De chutes… De courses poursuites entre des groupes d’attardés pour rentrer sur le peloton…



Le tout en passant plusieurs fois par une route complètement défoncée… Qui fait le charme de l’épreuve soit disant…




Mais le passage vraiment dangereux sera bien ce maudit pont… Surtout quand la pluie sa ramène… Aragox et Hera sont à terre avec trois autres coureurs (petite satisfaction, Martin Mortensen (2ème division, Cult Energy) est tombé, celui qui a volé la 5ème place de Benoit sur le Tour du Haut Var).



Sorti de route dans un virage détrempé de Ventoso (Esp, Movistar, 1ère division) qui ne tombe pas mais voile sa roue… Il est bon pour un dépannage express.



Les auto-tamponeuses continuent avec Gouggar cette fois ci, qui heurte un spectateur volant prendre un selfie… Et qui entraine deux coureurs dans sa chute (encore une fois Mortensen MOuarf Mouarf)



Le danois se relève mais ne repart pas, il a le maillot déchiré, plein de sang, d’eau et de sueur. Le staff médical arrive et lui demande d’abandonner… Ce qu’il fait, en larme. (Bien fait ! )



L’excellent grimpeur italien Franco Pellizotti (Androni-Gicattoli, 2ème division) abandonne à son tour, vaincu par la douleur consécutive à la chute, et part le temps de chien (une petite pluie pour les bretons, une tempête pour un italien).



Le jeu de quille continue, Vertigo en fait les frais.



Il se fera copieusement écraser par une demi douzaine de concurrents et leurs montures.



Le groupe d’attardés essai de rentrer sur le peloton, mais un coureur de Bretagne séché environnement, la main en sang, n’arrive plus à appuyer sur les freins et vient percuter le coureur devant lui dans un virage. Deuxième chute coup sur coup pour plusieurs malheureux. vertigo ne tombe pas mais doit mettre une nouvelle fois pied à terre.



Nouvelle chute de Gouggar…



Démoralisé, le breton se porte à la hauteur de la voiture du Nain : Maux de têtes, froids, pluie, peur, blessures, douleurs… C’en est trop, Le Nain lui demande d’abandonner pour ne pas se mettre en danger plus longtemps… Il arrachement son dossard, le larmes aux yeux, filmé par le stagiaire de Youtube qui mettra la vidéo en ligne, vidéos qui fera un petit buzz avec des commentaires du type : « ces cyclistes sont des vrais sportifs, pas comme les footballeurs ».




Le course se poursuit, chaotique, il n’y a plus de peloton mais plusieurs groupes d’une cinquantaine de coureurs qui se courent après. C’est illisible.. C’est le pied pour les spectateurs encore nombreux malgré la pluie.



A trente kilomètres de l’arrivée, alors que la pluie empire de plus en plus, l’écart entre l’échappée et un peloton finalement stabilisé à moins de 100 unités n’est plus que de trente secondes.



Ils seront rejoints dans la grosse montée par le paquet emmené par la FDJ et Bretagne Séché Environnement (FRA, 2ème division).



Théo Vimpère joue sa dernière carte et refuse de se faire reprendre par le peloton.



Belle démonstration de panache mais il craquera finalement un kilomètre plus loin, à bout de force.
L’échappée est entièrement reprise, il reste 25 kilomètres à parcourir, la phase finale de la course vient de débuter, toujours dans des conditions dantesques.



Les FDJ, toujours en force, impose un rythme si soutenu à l’avant qu’une cassure survient. 13 coureurs sont en tête, parmi eux pas moins de 5 FDJ !!
Le Nain lui apprend que le jeune Kysmoboy fait partie de ce groupe. Il a affirmé avoir des bonnes sensations toutes la journée et confirme qu’il est le plus frais de l’équipe dans ce final. Pas mal pour ce petit jeune de 17 ans !!



Sauron, Vertigo, Red et Hera s’accrochent comme ils peuvent au peloton juste derrière.



Aragox a quant à lui craqué et vient d’être détrempons.
Il y a des coureurs à bout de force partout sur le circuit !!
Les abandons s’accumulent.



Dans le peloton, les AG2R et les Cofidis, non représentés dans le groupe de tête, mènent la chasse.



Ils réussissent à rentrer sur le groupe de tête à la faveur d’un petit faux plat descendant. Vertigo, Hera, Sauron et Red sont en difficulté à l’arrière du peloton.





Ils lâchent les uns après les autres.



Vicent Jérôme (FRA, Europcar) passe à l’attaque dans un virage à 13 km de l’arrivée. Il s’extirpe du peloton emmené désormais par les Cofidis. Sans doute espère t’il répéter l’exploit accompli par un de ses équipiers la veille.



Mais les Cofidis et les FDJ ne veulent pas se faire avoir une deuxième fois et le reprennent aussitôt.

Et c’est le drame pour l’équipe qui semblait ^tre largement au dessus du lot et qui voyait déjà la victoire se profiler.



Un dérapage dans un virage envoi trois des quatre FDJ présents dans le groupe de tête au tapis. C’est fini pour leurs espoirs de victoires !! Le dernier FDJ présent est le brésilien Fischer, qui se sacrifie déjà depuis une trentaine de kilomètres en jouant les équipiers modèles. Il est donc à bout de souffle et se fait distancer quelques hectomètres plus loin.



Ce sont les italiens d’Androni-Gicatolli qui prennent alors la main en tête de peloton. Ils sont deux représentants de cette équipe dans le groupe et l’un d’entre eux se sacrifie en imposant un tempo d’enfer dans la dernière ascension pour son leader : Apollonio.
KysmoBoy se maintien juste dans la roue de ce dernier qui parait en bonne forme.



Mais l’effort demandé est trop intense pour le jeune suisse qui renonce à suivre l’italien et termine la bosse à son rythme. Un écart est crée et personne ne semble capable de le boucher. Les deux Androni-Gicatolli filent vers la victoire en compagnie de Pierrick Fédrigo (FRA, Bretagne séché environnement, 2ème division) (qui est trés en forme et en confiance puisqu’il s’est imposé la semaine passée à Paris-Troyes devant Ryurk) et un coureur de Cult-Energy.




Derrière tout le monde tente de partir en contre, mais peu en ont encore les capacités…



Magnifiquement emmené par son coéquipier, Appollonio s’impose presque facilement devant Fédrigo et son coéquipier Romain Feuillu, le sprinteur de l’équipe bretonne qui revient trés fort dans le dernier kilomètre depuis un petit groupe de contre.
Bonne période pour l’équipe Bretagne Séché environnement : Fédrigo et Feuillu avaient fait 1er et 2ème sur Paris-Troyes et font désormais 2ème et 3ème sur Cholet-Pays de Loire.



Mais la victoire est italienne et elle est magnifique, après une course de mouvement difficile et extrêmement dangereuse.



Peu de français ou d’équipes françaises dans le top 10 toutefois. (C’est sans doute du à la terrible chute de la FDJ).



Kysmo finit juste dérrière le vainqueur… mais à la 20ème place… il ne marque malheureusement aucun points pour la coupe de France…








C’est l’heure des traditionnels interview de fin de course, réalisé par Eurosport puisqu’il s’agit d’une manche de coupe de France.


Marion rousse : Je suis donc avec Pierrick Fédrigo et Romain Feuillu, respectivement 2ème et 3ème de la course. Bonjour messieurs.

Coureurs : Bonjour.

Marion Rousse : C’est la deuxième fois ce moi ci qu’on vous retrouve tous les deux sur un podium puisque vous avez terminé 1er et 2ème de Paris-Troyes. Votre équipe semble trés forte cette année.

Romain Feuillu : Oui, l’équipe est trés forte et surtout trés soudée. C’est comme ça qu’on peut se permettre de jouer sur plusieurs cartes, chaque action individuelle sert un plan collectif. Malgré tout on est vraiment déçu de ne pas avoir pu accrocher la première place cette fois-ci. Malheureusement la bosse finale était un peu trop dur pour moi et la distance plate jusqu’à l’arrivée était trop courte pour que je puisse revenir pour gagner le sprint. Pierrick a fait de son mieux, mais il n’avait pas la vitesse pour battre Appollonio et Fedi.

Pierrick Fédrigo : Mais malgré la déception on est trés content de ce résultat qui nous replace en trés bonne position pour la coupe de France PMU, que ce soit au classement individuel ou au classement par équipe.

Marion Rousse : Pierrick, vous avez quitté le niveau World Tour l’an dernier pour venir chez Bretagne Séché Environnement, au niveau inférieur. Pourquoi ?

Pierrick Fédrigo : Parce que le World Tour implique beaucoup de trajets en Avion, de longues semaines passées dans des hôtels à l’étranger. Pour la fin de ma carrière j’avais besoin de relâcher un peu la pression et de courir plus en France, au plus proche de ma famille. Et puis, les course de niveau inférieur sont souvent plus ouvertes et plus plaisantes à courir que le World Tour. Regardez aujourd’hui ! Des attaques dans tous les sens dans le final, une course de placement, de lecture. Certes on avait des oreillettes mais on a vraiment du courir à l’instinct. C’est ça le cyclisme que j’aime et je suis trop vieux pour rouler dans des courses où je ne peux plus me faire plaisir.







Marion rousse interviewera ensuite Marc Madiot, le manager général de la FDJ.


Marion Rousse : Un petit mot sur cette course Marc ?

Marc Madiot : Une grosse déception bien sûr. On était idéalement placé pour une victoire ou en tout cas pour une domination de la coupe de France, avec 5 gars dans le groupe de tête. Mais voilà, une chute, presque toute l’équipe à terre sauf Fischer qui était déjà à bout après avoir bosser pour l’équipe pendant presque 200 kilomètres… C’est rageant mais c’est le vélo, ça fait aussi la beauté de ce sport. Tout n’est pas perdu pour la coupe de France alors on va se remobiliser le mois prochain. L’essentiel, c’est qu’aucun de nos gars ne se soit blessé sérieusement, on a seulement des abrasions.






A noter également un nombre de 11 abandons. Parmi eux 7 blessés !


(Bien fait pour Mortensen)




Au niveau du classement de la coupe de France, Mundus Bellicus continue de reculer, lentement mais sûrement… Il va falloir se ressaisir.

[Archange]

Tour de Normandie (23/03 - 29/03) : Etape 1 : Mondeville / Mondeville (2.2)

Equipe Calva :
Ryurk : Spécialiste du contre la montre (Leader)
Manix : Sprinteur/Flandrien (Sprinteur / Co-leader)
Rahl : Sprinteur/Puncheur (Equipier / Poisson pilote)
Foureur : Sprinteur (Poisson-pilote)
Vertigo : Rouleur (Equipier)
Scramouille : Puncheur (Equipier)
Aragox : Puncheur (Equipier)

Directeur Sportif : Le Nain




Extrait du journal du soir du lundi 23 Mars 2015 de France 3 Normandie :

Spoiler:

Présentateur : Après ce magnifique reportage sur la culture des pommes, place au sport avec le Tour cycliste de Normandie que nous suivrons tous les soirs de cette semaine dans ce journal. Un moyen de porter un regard nouveau sur notre dynamique région.





Voix off : C’est parti pour cette nouvelle édition du Tour de Normandie qui s’élancera comme d’habitude par un prologue long de 4,8 kilomètres. C’est dans la pittoresque commune de Mondeville que partiront ces coureurs venus cette fois encore du monde entier.



De nombreuses équipes équipes étrangères de troisième division ont en effet fait le déplacement mais c’est les équipes françaises que les spectateurs, nombreux au bord de la route, veulent voir. Nous suivrons donc avec attention le sprinteur belge de la toute nouvelle équipe Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie et le français Benjamin Giraux pou Marseille-13-KTM, qui comptent parmi les tout meilleurs sprinteurs du peloton. Attention également à Alo Yakin, le champion d’Estonie courant chez Auber 93 qui s’est déjà imposé cette année sur l’Etoile de bessège. L’équipe cycliste de l’armée de terre elle, aligne une équipe adaptée au parcours avec de bons rouleurs comme Julien Duval et des hommes rapides comme Alexis Bodiot et Benoit Sinner.



Mais le tour de Normandie c’est aussi l’occasion pour les jeunes coureurs de se démarquer et d’espérer se faire recruter par une équipe professionnelle. Nous suivrons avec attention le jeune Nans Peters du centre de formation cycliste de Chambéry et le prometteur sprinteur Romain Cardis pour la formation Vendée U.


Mais pour ce prologue il faudra laisser parler la puissance physique et l’aérodynamisme dans un exercice esthétique trés apprécié des spectateurs.



Et à ce petit jeu les français s’en sortent bien puisque c’est le jeune lorrain Ryurk, membre d’Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie qui s’impose, tout en puissance, avec 3 secondes d’avance sur le norvégien Reidar Borgersen et avec seulement 1 seconde d’avance sur son dauphin, l’irlandais Ryan Mullen, membre de l’équipe ANPost - ChainReaction.

A noter également la belle performance de Julien Duval, 9 de l’étape à un peu plus de 10 secondes du vainqueur.

Nous nous retrouverons demain pour une étape de 190 kilomètres entre Colombelles et Forges-les-Eaux. Mais avant, un rapide interview du héros du jour.


Journaliste : Bonjour, est-ce que…

Ryurk : C’est pas la blonde de hier qui m’interroge ? Elle est où ?

Journaliste : Euuh, c’est France 3 Normandie, Eurosport ne s’occupe que des manches de coupe de France.

Ryurk : Humpf.

Journaliste : Alors quelles étaient vos sensations en ce moment ? On va a vu prendre une belle deuxième place à Paris-Troyes derrière l’ancien champion de France Pierrick Fédrigo, vous vous attendiez à cette victoire ?

Ryurk : Oui je suis en forme, j’arrive à emmener des braquets énormes sans problème. C’est cool. J’étais enervé contre mon coach hier parce que je voulais courir Cholet-Pays de Loire pour gagner et me faire interviewer par la journaliste d’eurosport, mais on a dit que je devais rester à l’hôtel pour me reposer. C’est chiant. Mais après c’est vrai que je gagne aujourd’hui alors peut être que c’était bien.

Journaliste : Trés bien. Est-ce que vous comptez défendre votre maillot ou pensez vous que cela va être trop difficile ?

Ryurk : Je sais pas, j’ai pas trop écouté les briefing, j’étais juste concentré sur le fait de rouler super vite sur 4 kilomètres. Maintenant faut que j’écoute la stratégie pour demain. Allez, salut !



(En bonus le classement de l’équipe :

C’est dommage que Manix ne soit pas en pleine forme car il signe un bon chrono. S’il gagne des étapes, avec les bonifications, il peut espérer une bonne place au général.

Tour de Normandie 23/03 - 29/03) : Etape 2 : Colombelles / Forges Les Eaux (2.2)

Equipe Calva :
Ryurk : Spécialiste du contre la montre (Leader)
Manix : Sprinteur/Flandrien (Sprinteur / Co-leader)
Rahl : Sprinteur/Puncheur (Equipier / Poisson pilote)
Foureur : Sprinteur (Poisson-pilote)
Vertigo : Rouleur (Equipier)
Scramouille : Puncheur (Equipier)
Aragox : Puncheur (Equipier)

Directeur Sportif : Le Nain



Ryurk est en pleine forme, espérons que ça durt jusqu’à la fin de la semaine. Les autres sont pas au top mais on espère qu’ils iront de mieux en mieux au fil des étapes.



Extrait du journal du soir du Mardi 24 Mars 2015 de France 3 Normandie :

Spoiler:

Présentateur : … effectivement à la suite de ce reportage, il est bon de le rappeler, la consommation de Calvados doit être modérée, surtout en cas de grossesse.
Maintenant le sport, avec le deuxième jour du Tour de Normandie.


Voix Off : Le peloton s’élance aujourd’hui du nord-est de Caen, à Colombelles, une magnifique bourgade.


Voix Off : Le maillot jaune est sur les épaules du vainqueur de la veille, Ryurk pour l’Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie. Nous avons demandé à son directeur sportif si l’équipe comptait défendre la tunique.


*Image d’interview du Nain*

Le Nain : Oui nous allons défendre ce maillot, évidemment. L’équipe va essayer de contrôler la course aujourd’hui. Nous objectifs sont doubles : défendre la première place de Ryurk qui a beaucoup travaillé pour remporter le prologue d’hier, et jouer la victoire au sprint avec Manix. C’est le grand favori aujourd’hui, il a déjà remporté trois courses à ce niveau cette saison, on est confiant.


*Images de la course*


Le début d’étape est trés agité, de nombreux coureurs tentent leur chance dans l’espoir de prendre l’échappée du jour. Mais certaines formations cadenassent la course : il y a bien entendu l’équipe Mundus Bellicus, mais également Marseille-13-KTM (FRA, 3ème division) qui roule pour Alexandre Blain (FRA) et l’équipe américaine Optimum P/B Kelly.

C’est finalement un trio qui parviendra à prendre la poudre d’escampette. On y retrouve le jeune coureur néerlandais de METEK - TKH Stef Krul, toujours à la recherche de sa première victoire en professionnel, le colombien Curvo pour l’équipe Espagnol Burgos BH et le jeune espoir français du centre de formation de chambéry : Nans Peters.

L’échappée n’aura jamais plus de trois minutes d’avance et ne pourra donc pas empêcher le retour du peloton. Le sprint est inévitable.



Et c’est Guillaume Boivin qui s’impose sous la pluie, devant son compatriote canadien et équipier Ryan Anderson. Un doublé donc pour Optum P/B Kelly Benefit Stratégies qui vient récompenser le travail accompli par l’équipe tout au long de la journée.



C’est le français David Menut de l’équipe francilienne Auber 93 qui complète le podium tandis que Manix vient échouer à la 4ème place. Pas de trace d’Alexandre Blain dans les 15 premières positions alors que son équipe a roulé toute la journée pour lui.



Pas de changement au niveau du classement général.




*Image interview de Guillaume Boivin*



Guillaume Boivin : Tabernacle ! Je suis bien content de gagner non d’un PanCake !




Au niveau des différents de classement peu de changement, Ryurk est toujours en tête du classement général :



Du classement du meilleur jeune :



Et il a même conservé son maillot de meilleur coureur au classement par point grâce à une 13ème place qui lui permet de conserver trois point d’avance sur Guillaume Boivin.



Le maillot de meilleur grimpeur est sur le dos du jeune Fabine Grellier, membre de l’équipe de développement Vendée U.



Au classement par équipe, la team Joker est en tête, après avoir signé une performance homogène au prologue d’hier :




On se retrouve demain pour une étape trés courte de 82 kilomètres en Forges les Eaux et Grand Courronne.







Le classement de l’équipe :

Tour de Normandie (23/03 - 29/03) : Etape 3 : Forges-Les-Eaux / Grand-Courronnes (2.2)

Spoiler:

Spoiler:

Equipe Calva :
Nom : spécialité (rôle sur la course)
Ryurk : Rouleur / Contre la montre (Leader pour le général)
Manix : Sprinteur / Flandrien (Sprinteur / Leader pour l’étape)
Rahl : Sprinteur / Puncheur (Equipier / Poisson pilote)
Foureur : Sprinteur (Poisson-Pilote)
Vertigo : Rouleur (Equipier)
Scramouille : Puncheur (Equipier)
Aragox : Puncheur (Equipier)

Directeur Sportif : Le Nain



Ca va globalement de mieux en mieux pour tous le monde.



Extrait du journal du soir du Mercredi 25 Mars 2015 de France 3 Normandie :

614px-France_3_Normandie_logo_2008.svg.png


Présentateur : Après ce magnifique reportage sur le retour à la mode du baise-en-ville dans la métropole Rouennaise, nous retrouvons le compte rendu de la 3ème étape du Tour de Normandie.


Voix Off : Le peloton s’élance aujourd’hui de la magnifique bourgade de Forges-Les-Eaux.


Parc-de-Forges-les-Eaux_carouselOriginal.jpg


Le départ de la cours est encore une fois trés agité, ça attaque dans tous les sens pour prendre l’échappée du jour et disputer le seul classement de la montagne de l’étape. Mais le peloton veille au grain encore une fois. Aujourd’hui c’est Marseille-13-KTM (FRA, 3ème division) qui effectue le gros du travail en tête, bien décidé à se rattraper de leur échec complet de la veille. Les marseillais seront tout de même soutenus par moment par l’équipe du leader, Mundus Bellicus, et par Optimum P/B Kelly (USA, 3ème division) qui cherche à remporter une nouvelle étape aujourd’hui.

Finalement, à 50 kilomètres de l’arrivée, personne n’a réussi à s’extirper du peloton, le rythme se ralentit, tout le monde semble s’être résigné à une arrivée au sprint.

A 30 kilomètres de l’arrivée c’est Auber 93 (FRA, 3ème division) qui assure le tempo pour leur sprinteur David Menut (FRA), auteur d’une belle troisième place la veille.

Mais contre toute attente, à 8 kilomètres de l’arrivée, c’est le porteur du maillot jaune, Ryurk, qui passe à l’attaque dans un petit raidard en pente assez douce non répertorié !



Une attaque toute en puissance, sans beaucoup de vitesse de rotation de jambe, mais avec une force impressionnante. On commence à identifier et à apprécier le style assez unique de ce coureur.

Derrière la poursuite s’organise mais sous la flamme rouge, Ryurk possède toujours quelques secondes d’avance. Pas facile d’aller chercher ce formidable rouleur qui réussit l’exploit de résister seul au retour d’un peloton déchaîné.



Les sprinteurs lanceront de trés loin et réussiront à revenir à quelques longueurs de Ryurk, mais pas à le dépasser.



Une victoire pleine de panache pour ce coureur qui semble doté d’un vrai tempérament d’attaquant et qui n’hésite pas à attaquer pour défendre son maillot. Un coureur à suivre, à n’en pas douter un futur grand du cyclisme français.



Grâce aux bonifications Ryurk accroit son avance au général et possède désormais 11 secondes d’avance sur son dauphin irlandais Mullen.


Avec deux victoires Ryurk possède une avance confortable au classement par points.



Le lorrain est bien évidemment en tête du classement du meilleur jeune.



Seul maillot distinctifs à ne pas être sur les épaules du solide rouleur de Mundus Bellicus, le meilleur grimpeur est désormais belge : Maes.



Le team joker est toujours en tête du classement par équipe.



Classement général :



Classement de l’étape :
Dommage pour Benjamin Giraud qui était le meilleur sprinteur aujourd’hui et qui a fait travaillé son équipe toute la journée pour laver l’affront de la veille. Boivin et Anderson sont à nouveau bien placés. Une 9ème place un peu décevante pour Manix.

Tour de Normandie (23/03 - 29/03) : Etape 4 :

Spoiler:

Equipe Calva :
Nom : Spécialité (rôle sur la course)
Ryurk : Spécialiste du contre la montre (Leader)
Manix : Sprinteur/Flandrien (Sprinteur / Co-leader)
Rahl : Sprinteur/Puncheur (Equipier / Poisson pilote)
Foureur : Sprinteur (Poisson-pilote)
Vertigo : Rouleur (Equipier)
Scramouille : Puncheur (Equipier)
Aragox : Puncheur (Equipier)

Directeur Sportif : Le Nain


Extrait du journal du soir du Jeudi 26 Mars 2015 de France 3 Normandie :


Présentateur : Après ce reportage sur le sens caché des paroles du trou normand du sport maintenant, avec la 4ème étape du Tour de Normandie.

Voix Off : Une étape très courte aujourd’hui, à peine plus de 60 kilomètres. Voilà qui promet une course très intense à haute vitesse ! Difficile de prévoir le scénario à l’avance, car sur des étapes aussi courtes, il est courant de voir des échappées s’imposer, mais aussi de voir les équipes de sprinteur littéralement cadenasser la course.

En attendant le maillot jaune de leader est toujours fermement ancré sur les épaules de Ryurk qui commence à avoir de nombreux fans sur le bord des routes normandes. Les marchands de maillots présents aux départs et aux arrivés sont littéralement dévalisés de maillot Association Mundus Bellicus. De quoi ravir les sponsors.

Les coureurs s’élancent sous la pluie. Comme on pouvait s’y attendre, il y a beaucoup d’attaques, principalement des coureurs visant le classement de meilleur grimpeur. Il y a en effet pas moins de 3 classements de la montagne répartis sur les quelques soixante kilomètres de l’étape. C’est finalement un quintuor qui forme l’échappée du jour. Dedans on retrouvera Maes le porteur du maillot à poids, un espagnol, un danois mais aussi les deux jeunes espoirs français les plus actifs sur ce Tour de Normandie : Fabien Grellier (Vendée U, équipe de développement) et Nans Peters (Chambéry cyclisme formation, équipe de développement).

La bataille pour les classements de la montagne va être acharnée au détriment de la coopération pour la victoire d’étape, et à aucun moment il n’a été envisageable que ce groupe aille se disputer la victoire.

En tête de peloton, c’est l’équipe Optimun P/B Kelly qui est la plus active, toujours dans l’espoir d’offrir une deuxième victoire à leur sprinteur canadien Guillaume Boivin.

L’échappée sera reprise sans problème à dix kilomètres de l’arrivée et la lutte entre les équipes de sprinteur sera âpre. Ryurk tentera de rééditer l’exploit de la veille mais ses concurrents veillent et ne le laissent pas partir.

La bataille des sprinteurs bat son plein et l’équipe Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie semble avoir le dessous, puisque son train s’est cassé en deux partis, laissant Manix et son poisson-pilote normand Foureur isolé derrière le train de Marseille-13-KTM. Mais profitant d’un virage en angle droit à 500 mètres de la ligne, Le Foureur prend tout les risques, raclant littéralement les barrières de sécurité. Manix le suit comme son ombre et profite de la trajectoire parfaite de son poisson pilote. Les deux hommes, mal placés à l’entrée du virage, se retrouve désormais deux ou trois mètres devant les autres concurrents. Le Foureur lance immédiatement son sprint lançant Manix à pleine vitesse. Le sprinteur belge se contentera alors de gérer son effort, perdant de la vitesse régulièrement mais faiblement.



Le constat est sans appel, les autres concurrents sont dominés.



Manix s’impose donc sur ce Tour de Normandie, victoire qui porte à trois le nombre de succès pour l’équipe Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie.
Benjamin Giraud, le sprinteur de Marseille-13-KTM (3ème division), échoue une nouvelle fois sur la deuxième marche du podium. Le sprinteur de l’armée de Terre (3ème division) Alexis Bodiot complétera ce podium et résistant au retour de Guillaume Boivin.



Le maillot jaune est toujours fermement ancré sur les épaules de Ryurk. A noter que Manix, grâce aux bonifications obtenues aujourd’hui et à un bon temps réalisé dans le prologue inaugural, intègre le top 10 et est désormais 7ème à 18 seconde de son coéquipier.



Le classement par points est trés serre ! Ryurk et Boivin sont à égalité avec 53 points chacun ! Manix est troisième avec 46 points. Benjamin Giraud est un peu plus loin, avec 40 points, mais reste dans la course. Nous suivrons ce classement avec attention désormais.



Les classements de la montagne ont été encore une fois trés disputé, mais Maes conserve le maillot à poids avec une marge confortable.



Ryurk est évidemment toujours le leader du classement du meilleur jeune.




La meilleure équipe reste la team Joker (Norvège, 3ème division).




Résultat de l’étape :





Résultat de l’équipe :




Classement général :

[Archange]

Poste reservaaaaaaaaaaaaaay

[Archange]

Le classement de l’étape :



On est plutôt content ! Sans surprise les deux favoris (Quintana et Pinot) prennent les deux premières place avec une belle avance sur le troisième (40 et 17 secondes). Mais Benoit est 4ème ! Dans le même temps qu’un des principaux outsiders : Romain Sicard qui vient de finir 6ème de la prestigieuse Paris-Nice ! On venait ici pour lui faire faire 7 ou 8ème, il fait 4 dans le même temps que le troisième, c’est trés positif ! Clairement son meilleur résultat jusqu’à présent. Néanmoins nuançons le résultat en constatons que les autres outsiders se sont complètement ramassés et n’étaient clairement pas dans leur forme habituelle : en témoigne la 5ème place surprise de Nicolas Edet et de la décevante 10ème place de son leader à presque 4 minutes derrière Quintana. Le faible niveau de forme des concurrents est d’ailleurs évident au regard des écarts : à partir de la 7ème place PERSONNE N’EST À MOINS DE 3 MINUTES 30 DE QUINTANA.
Bref, un excellent résultat et on va s’en satisfaire, mais ne nous échauffons pas trop tout de même, Benoit est encore loin d’espérer pouvoir faire un tel résultat sur une course World Tour par exemple.





En attendant Faras et Sauron ont été irréprochables ! Sauron a fait ce qu’on lui demandé, et c’est trés bien mais Faras s’est surpassé et à largement compensé la défaillance de Diderlord. Félicitation à lui ! On apprécie son dévouement et l’investissement qu’il met à jouer tant les équipiers (en montagne mais aussi sur le plat, il a bien travaillé pour Manix en Belgique et aux Pays Bas) qu’en échappée.
Les deux compères franchiront la ligne tous les deux le sourire aux lèvres en se félicitant mutuellement 6 minutes après l’arrivée de Quintana, en 15ème et 16ème position.

Kysmoboy aura bien bossé aussi, il a fait ce qu’on lui demandé et c’est trés bien du haut de ses 17 ans : accompagner Benoit jusqu’au pied de l’Ospedale. Il n’aura pas fait plus, mais peu importe, bravo à lui. Le jeune suisse franchira la ligne 22ème à prêt de 12 minutes de Quintana.





33ème à 17 minutes du vainqueur, Heraemoes fait aussi parti des coureurs irréprochables aujourd’hui : il gagne ce soir le classement du meilleur grimpeur et a malgré tout trouvé la force d’aider Benoit dans l’ascension du col de bacinu.

Gougar terminera à une 52ème place satisfaisant pour un puncheur qui sort de maladie.
Red termine dernier, à deux doigts du déclassement. Pas de problème. Diderlord est pas loin devant lui, toujours victime de sa douleur au genou… Dommage pour lui, en tant qu’équipe de 3ème division on a peu d’étape de montagne à notre calendrier et il devra attendre longtemps avant de pouvoir s’exprimer sur un terrain à sa convenance.




Le classement général correspondra globalement à l’ordre d’arrivé des coureurs dans le top 10, sauf pour Daniel Navarro qui avait fait un trop mauvais chrono et qui se voit éjecter du top 10 par Christophe Riblon. 8 français dans le top, mais pas sur la première marche malheureusement.
Benoit termine don 4ème du classement général, ce qui est génial même s’il faut soumettre ce résultat aux réserves avancées précédemment. Soulignons tout de même que Benoit a toujours été présent sur les objectifs fixés : Etoile de Bessège (3ème), Tour du Haut-Var Matin (6ème) et Critérium International (4ème).





Hera aura au moins l’occasion de monter une fois sur un podium dans sa courte carrière d’un an.



Benoit terminera 3ème du classement des jeunes.




Dommage que Sauron et Faras se soient relevés un peu tôt parce qu’on aurait vraiment pu le remporter ce classement pas équipe…

[Archange]

(2.2) Tour de Normandie (23/03 - 29/03) : Etape 7 : Bagnoles de l'Orne - Caen

Equipe Calva :
Nom : Spécialité (rôle sur la course)
Ryurk : Spécialiste du contre la montre (Leader) (1er au général !!!)
Manix : Sprinteur/Flandrien (Sprinteur / Co-leader) (2ème au général !!!!)
Rahl : Sprinteur/Puncheur (Equipier / Poisson pilote)
Foureur : Sprinteur (Poisson-pilote)
Vertigo : Rouleur (Equipier)
Scramouille : Puncheur (Equipier)
Aragox : Puncheur (Equipier)

Directeur Sportif : Le Nain




130 petits kilomètres jusqu’à Rouen. C’est pas complètement plat mais on devrait réussir à contrôler sans problème avec l’aide Optimum Kelly et de Marseille-13-KTM comme d’hab’. Ca devrait pas poser de problème d’autant plus que toute l’équipe est vraiment dans le rythme après une semaine de compétition, sauf Aragox qui commence à avoir vraiment du mal à se lever le matin et à s’échauffer.





Extrait du journal du soir de France 3 Normandie :

Spoiler:

Voix off : Et voilà ! C’est fini ! Sans doute trop tôt mais ce Tour de Normandie aura été intéressant malgré peut être un peu trop d’arrivées au sprint. Heureusement que Ryurk a su mettre le feu en sortant dans le final de la 3ème étape !
Mais bon, les écarts sont trés resserrés entre les 5 premiers ! On espère un final de folie !



La pluie normande s’invite dans la partie. Espérons que cela rende la course intéressante plutôt que de refroidir les ardeurs du peloton.


Et la pluie rendra la course trés intéressant d’entrée, mais pas comme on l’espérait ! Benjamin Giraud chute avec 5-6 concurrents dés le kilomètre 3 !



La totalité de l’équipe marseillaise se laissera décrocher pour essayer de ramener leur sprinteur dans le peloton.




La chasse va être menée toute l’étape durant. Mais devant l’échappée est nombreuse et oblige le peloton à rouler fort. De plus l’équipe Optimum Kelly de Guillaume Boivin impose un rythme infernal pour essayer d’isoler les leaders de la Mundus Bellicus, affaiblis par la présence de Vertigo dans le groupe Giraud, car cela leur fait un équipier bon rouleur en moins.
Finalement Benjamin Giraud et ses équipiers laisseront tomber la poursuite à 40 kilomètres de l’arrivée, alors qu’une minute les séparent toujours de l’arrière du peloton, lassés par une journée à rouler pour rien sous la pluie.


Les valeureux échappées du jour seront repris un peu avant la banderole des 20 kilomètres, bravo à eux : Torres, Pachter, Cuervo.

Seul Jasserand fera un peu de résistance alors que la pluie semble se calmer à l’approche de l’arrivée :




Mundus bellicus et Optimum Kelly travaillent d’arrache pied en tête de peloton pour éviter tout contre dans les 20 derniers kilomètres.

Ils travailleront tellement fort qu’une cassure se forme ! Un groupe de 10 coureur lâche le reste du paquet à 15 kilomètres de l’arrivée ! On sent que les 7 jours de course ont fait mal à des formations mal préparées et peu habituées aux courses par étape !



Parmi les 10 coureurs on retrouve Ryurk et Manix, les deux premiers du général accompagnés par Foureur et Rahl. Boivin aura lui 4 équipiers avec lui. Le dixième membre du groupe est le sprinteur polonais d’active jet Konrad Dabrowski, deuxième la veille, qui a réussi à s’accrocher.



L’étape se révèle finalement bien plus intéressante qu’un énième sprint massif !!

Dérrière, dans le peloton, c’est la déprime. Les autres jettent l’éponge et finissent tranquillement.




A l’avant le groupe des favoris revient sur le jeune Jasserand. Le groupe comprend désormais 11 coureurs.



La situation est trés tendue à l’avant. Mundus Bellicus sait qu’elle peut perdre le Tour de Normandie sur cette situation dangereuse, Boivin sait qu’il peut le gagner s’il manoeuvre bien.

Mundus Bellicus laisse Optimum kelly faire l’essentiel du tempo. Les équipiers de MB prépare un train pour Manix. Ryurk lui reste bien calé dans la roue de Guillaume Boivin. Konrad Dabrowski s’accroche comme la veille à la roue de Manix. Jasserand fait preuve d’une belle combativité en s’accrochant à la roue du maillot jaune.



Pour le plus grand bonheur du public Ryurk prouve encore une fois qu’il a une vraie mentalité d’attaquant ! Le voilà qui essaye de finir en solitaire à 8 kilomètres de l’arrivée !



L’équipe nord américaine ne le laissera pas partir. Mais elle aura du batailler pendant 2 kilomètres pour revenir définitivement sur le maillot jaune. Pendant ce temps, Manix, ses équipiers et Konrad Dabrowski étaient tranquillement installés à l’arrière, profitant du travail de leurs adversaires.

Le sprint s’approche à grands pas ! Optimum Kelly impose un rythme important pour Boivin ! Ryurk s’accroche à ce dernier. Le train de Mundus Bellicus semble plus faible, dommage pour Konrad Dabrowski qui avait choisi de prendre la roue du sprinteur belge.



Mais lorsque Rahl lance sprint, il s’avère que les équipiers de Boivin sont déjà presque à bout ! Deux d’entre eux s’écartent directement. Rahl ramène sans difficulté Manix à hauteur du sprinteur canadien.



Le Foureur prend un relai magistral et emmène Manix vers la ligne, la victoire tend les bras au belge qui s’emparerait par la même occasion de la première place du général.

Mais c’est sans compter sur Konrad Dabrowski qui semble avoir retenu son erreur de hier et lance beaucoup plus tardivement son effort.



Il viendra coiffer Manix sur la ligne ! Boivin prend la troisième place.



Bravo à ce polonais qui s’est accroché jusqu’au bout et qui vient mettre fin à la domination de Mundus Bellicus et d’Optimum Kelly sur ce Tour (6 victoires sur 7 pour ces deux équipes ! Dont 4 pour MB).



C’est donc bel et bien Ryurk et manix qui feront 1 et 2 de cette course ! Ce qui porte à 5 le nombre de victoire de l’équipe ! On est certes sur de la catégorie 2, mais cette victoire au générale vaut bien une victoire d’étape ou de semi-classique en catégorie 1.



En revanche Boivin conservera son maillot vers, pour 9 petits points d’avance sur Manix.



La lutte pour le maillot de meilleur grimpeur fut serrée mais c’est bien Maes qui conserve la tunique à pois.



Association Mundus Bellicus - Histoire et Stratégie se paie le luxe d’occuper les trois première marches du classement des jeunes : Ryurk, Manix et Rahl.



Bien entendu, l’équipe sera également la première au classement par équipe.







Bilan :

On a roulé sur ce Tour de Normandie. On domine vraiment les catégories deux comme on l’a déjà montré au Portugal. Maintenant on va vraiment se recentrer sur les catégories 1, on ne se donnera plus à fond sur les catégories 2 et on y mettra plus nécessairement nos meilleurs coureurs. On va aller chercher du prestige désormais !



Bravo à Rahl et à Foureur qui auront su accompagner Manix et Ryurk jusqu’au bout. C’était tendu mais on a conservé la victoire grâce à un parfait travail d’équipe.
(Encore une fois, on est assez déçu de Scramouille… qui n’était pas présent…)



N’oublions pas non plus que Rahl fait 5ème au général ! Sans doute un des meilleurs éléments de notre équipe ce Rahlounet.


Au niveau du soutien populaire, le public normand nous est désormais clairement acquis ! Le dernier jour, pas mal de personne portaient des maillots MB et plus encore en ont acheté !



Une victoire qui fait du bien aux finances puisqu’avec tous nos résultats cumulés, on empoche pas moins de 12 000 euros ! Sans compter les 4000 empochés sur le Critérium International par les places de Benoit, la placette de Red Tovarich et les grands prix de la montagne d’Heraemoes.

[Nossiub]

Maintenant que je me suis franchi, je peux te dire que j'adore ton AAR.

Dommage pour Manix! Super tir groupé pour le général.

Sinon la jeune garde MB est prometteuse! Y a t'il un risque que l'on vienne les débaucher?

[Zastis]

Sympa d'avoir reposté, j'aime beaucoup ton Rp

[Marcus]

*fait péter le champagne* félicitations, premier victoire en course par étape, je me trompe pas ?

[Archange]

Maintenant que je me suis franchi, je peux te dire que j'adore ton AAR.

Dommage pour Manix! Super tir groupé pour le général.

Sinon la jeune garde MB est prometteuse! Y a t'il un risque que l'on vienne les débaucher?

Merci !!

Bah, visiblement le polonais était en forme au vu de son résultat la veille, et puis on a pas du tout pu lancer le sprint dans des conditions normales. La priorité était de surveiller Boivin, gagner l'étape était presque secondaire. Il reste quand même sur deux victoires et la deuxième place du général.

Pour ta question, il faudrait déjà qu'on arrive en juin pour la période des transfert, et en Octobre pour qu'ils soient effectifs.... Ca en fait des pages d'AAR !!
Mais sinon, Heraemoes part à la retraite en fin d'année, Diderlord, Faras et un autre coureur (je sais plus lequel) sont libres d'être débauchés mais sinon tous les autres sont encore sous contrat pour 2017. Donc on risque au pire de perdre Did' , Faras et un autre, mais on va essayer de les conserver.

Après si j'en arrive jusque là, je sais pas trop comment faire. Recruter des "vrais coureurs" pour compléter l'effectif ? Créer des nouveaux coureurs de forumers, en vous ajoutant vous qui lisez l'AAR ? Rester sur PCM 2015 ? Passer au 2016 ?




Zastis : Merci !! N'hésitez pas à m'indiquer s'il y a des points que vous voulez voir éclairci, ou des modalités de forme plus simple pour vous (je pense ajouter entre parenthèse après le nom d'une équipe la couleur de son maillot en plus de la division, pour que vous puissiez mieux les identifier sur les screens, parce que je pense que la plupart d'entre vous ne connaissent que trés peu les maillots des différentes équipes)

Marcus : Non ! On a avait déjà remporté une course de deux jours au Portugal en catégorie 2 avec Manix (Ca fait partie des dernières courses racontées sur la page précédente si tu veux jeter un oeil ) ! Foureur était deuxième d'ailleurs, Rahl 6ème. Celle du Tour de normandie est quand même plus prestigieuse. Mais ça reste de la catégorie 2, grosso modo ça vaut une victoire en catégorie 1. Nos meilleurs résultats restent tout de même la victoire d'étape de Foureur en Espagne, et les 3 top 10 au général qu'a fait Benoit.

[Archange]

Bilan Mars :

Spoiler:

Sportivement le bilan est presque parfait ! Au niveau de nos objectifs de sponsors, de notre notoriété, là encore c’est du tout bon !

Parlons d’abord des sujets qui fâchent : on s’est complétement foirés sur les deux manches de la coupe de France de ce mois-ci : la classique Loire Atlantique et Cholet Pays de Loire. Voilà, ça fait chier mais c’est pas perdu pour autant. On fait confiance au Nain, en charge des semi-classiques françaises, pour nous remettre l’équipe en place et repenser ses stratégies.

Sinon, nos sponsors nous avaient fixé un seul objectif ce mois-ci, se faire bien voir au Critérium International, diffusé à la télé sur France 3 avec 2 millions de téléspectateurs. Et c’est mission accomplie avec la 4^ème place de Benoit, le maillot à pois d’Heraemois et le beau travail collectif accompli par Faras, Sauron et Kysmoboy.





A cela s’ajoute les victoires d’étapes et du général sur des courses à étape de catégorie 2. Une au Portugal dont on se fout un peu même si ça fait plaisir, mais surtout une domination écrasante du Tour de Normandie. Les ventes de Gamesplanet là-bas ont grimpé de 600% en quelques jours ! Sans compter les nombreux maillots qui s’y sont vendus toute la semaine, qui nous rapportent quelques droits également.

Il faut aussi penser aux une victoire remporté par Manix en Belgique et à la deuxième place de Ryurk sur Paris-Troyes. Rien que de la catégorie 2 encore une fois. Mais on a prouvé qu’on était dominateur sur cette catégorie. Désormais on va se concentrer sur les catégories 1, quitte à bacler les catégories 2. De toute façon, comme on le verra plus tard, on a suffisamment de points d’avance pour ne pas avoir à aller en chercher n’importe où.




Les sponsors sont d'autant plus contents qu’en France désormais, les journalistes et commentateurs commencent à évoquer Benoit et Ryurk comme des jeunes prometteurs, y compris sur des courses où l’équipe n’est pas présente. Des petites remarques anodines qui nous font prendre confiance et qui nous rajoute mine de rien un peu de notoriété.




De grosses dépenses ce mois ci avec un étoffement du staff technique et le palace corse payé pour Benoit et Diderlord (investissement rentable toutefois). Néanmoins ça aurait pu être pire : on a gagné de grosses primes ce mois-ci, notamment au tour de Normandie, ça permet de nous laisser une certaine marge de manœuvre.




On notera toutefois que Diderlord et Benoit sont un peu bougons. Comme beaucoup de coureurs (Ryurk, Manix et Sauron notamment) ils aimeraient être alignés sur des courses un peu plus prestigieuses. Bon on leur explique qu’on ne peut pas vraiment car on va d’abord là où on est invité… Mais surtout ils aimeraient des parcours plus adaptés à leurs capacités. Malheureusement il y a peu de courses comprenant des étapes de montagnes ouvertes aux équipes de 3^ème division…






Scramouille se fera également copieusement engueuler : ses résultats sont nuls ! Il était censé faire partie de nos meilleurs coureurs et aller chercher des résultats, il n’a rien fait de mieux qu’un travail d’équipier correct. On l’incite fortement à se dépasser parce que sinon il va se retrouver « au placard ».




Au niveau du programme le mois prochain :

On commence d’entrée avec deux manches de la coupe de France : la Route Adélie de Vitrée (1.1) le 3 mars et Paris-Camembert (1.1) le 5. Il s’agira de ne pas se merder cette fois.

Ensuite on enchaine sur deux courses par étape : le circuit cycliste de la Sarthe (2.1, 5 étapes) et le circuit des Ardennes international (2.2, 4 étapes). On va concentrer nos meilleurs coureurs sur le premier, en catégorie 1. Manix y disputera les sprints et Ryurk verra ce qu’il vaut en contre la montre en catégorie 1. Sur le circuit des Ardennes, on alignera le minimum de coureurs possibles et on essaiera de s’amuser sans se mettre la pression.

Ensuite 3 semi-classiques et une course par étape surviennent en même temps.
Un groupe ira sur le Tour du Loir et Cher (2.2, 5 étapes) où là encore on courra sans pression pour s’amuser. Un autre ira participer au Grand Prix de Denain Porte du Hainaut (1.1), au Tour du Finistère (1.1) et au Tro Bro Leon (1.1). Ces trois courses sont d’autant plus importantes qu’il s’agit toutes les trois de manches de la coupe de France !! Et oui ! Le mois d’Avril ne compte pas moins de 5 manches de coupe de France, autant vous dire qu’il ne faut pas se merder !!

On finira ensuite sur le Tour de Bretagne (2.2, 7 étapes) où on essaiera quand même de faire des petites choses pour rencontrer le même engouement populaire en Bretagne, terre de cyclisme, qu’en Normandie. Un petit groupe ira également participer à une petite course de catégorie 2 à Londres, pour s’amuser. Ca sera l’occasion pour ce qui ne l’ont jamais fait de visiter un peu la capitale anglaise.



Vous pouvez retrouver les plannings des coureurs ici.




Le bloc noir sur le programme de Manix est un stage aux Pays Bas qu’il ira effectuer sous mon contrôle. Il s’entrainera à mieux passer les pavés, car en Mai, il dispute les 4 jours de Dunkerque, dont l’étape reine comporte de nombreux secteurs pavés.
Sachez toutefois que ce programme est indicatif, il est susceptible de varier selon l'état de santé et de forme de chacun.




Faisons maintenant le point sur les classement :

Continental : Classement ouvert uniquement aux équipes de 2^ème et 3^ème division. Les points marqués dans les courses World Tour ne comptent pas ici.

Individuel :



Du tout bon ! Manix est 3^ème ! Ryurk 8^ème et Benoit 16^ème ! On notera toutefois que les deux premiers sont issues de la même formation : Top Sport Vlanderen la Baloise (2^ème division) : Eward Theuns et Thomas Sprengers, deux sprinteurs belges.
Mais autant le premier a un palmarès vraiment sympa : avec une course à étape neerlandaise remportée, 3 semi-classiques belges terminées à la première place, et deux deuxième place sur des semi-classiques neerlandaises, autant l’autre met en évidence qu’attribuer un label Hors catégorie à des courses asiatiques c’est n’importe quoi ! Ca rapporte le même nombre de points qu’une course HC européenne mais le niveau y est très bas !
Thomas Sprenger est donc deuxième du classement continental en remportant une étape, le classement général, le classement des jeunes et en terminant sur le podium de 6 putains d’étapes du Tour de Lengkawi en Malaisie. Sérieux ? Ca vaut plus que les victoires de Manix et que les résultats de Benoit ça ?


Par équipe :



On est logiquement deuxième derrière Top Sport Vlanderen – Baloise.
C’est très bien.


Par nation :



Les belges sont donc premiers, les italiens deuxième. La France fait toujours une belle troisième place.



Classement Continental pro : Le classement le plus important : toutes les courses comptent. C’est le seul classement où les équipes des trois divisions sont mises en concurrence. Le meilleur coureur de ce classement est généralement le meilleur coureur du monde. C’est aussi ce classement qui détermine qui est en deuxième division l’an prochain. Les 20 meilleurs équipes de 2^ème et 3^ème division à ce classement sont en deuxième division l’an d’après.


Individuel :



Aucun de nos coureurs n’est dans le top 25. C’est normal, les courses HC et World Tour rapportent énormément de points. Et on en fait pas beaucoup (voir aucune, pour les World Tour).


Par équipe :



Les 16 meilleures équipes sont toutes 1^ère division, normal.



Nous sommes là 8^ème équipe des 2^ème, 3^ème divisions ! Pour l’instant on a toutes nos chances de passer en 2^ème division l’an prochain !!
Notons que nous sommes aussi la première des équipes de 3^ème division.


Par nations :



La France est 4^ème, ça va.




World Tour : classement où l’on marque des points uniquement en participant aux épreuves World Tour. C’est ce classement qui compte pour les promotions/relégations en 1^ère division.

Individuel :



Chris Froome (Sky, 1^ère division), Daniel Martin (Cannondale, 1^ère division) et Alexander Kristoff (Katusha, 1^ère division) sont vraiment aux coudes à coudes : 196, 195 et 191 points !

Le double vainqueur du Tour de France commence l’année bien plus fort que d’habitude ! 2^ème de Paris-Nice après avoir remporté le contre la montre en côte final ! 1^er du Tour de Catalogne en en remportant l’étape reine et 2^ème du Tour d’Andalousie (qui n’est toutefois pas une course World Tour et qui ne compte pas pour ce classement). Il est très fort, mais n’est t’il pas en forme un peu trop tôt ? Cela va t’il lui porter préjudice sur le Tour de France ? Ou va t’il cette année se concentrer sur le Giro D’Italia ?

Le puncheur de la Cannondale tire sa place d’une deuxième position sur le Tour Down under et de la victoire finale sur Paris-Nice après en avoir remporté deux étapes.

Alexander Kristoff lui gagne sa place dans un registre de pur sprinteur flandrien : vainqueur de Milan – San Remo, l’un des 5 monuments du cyclisme, et de Gent Wevelgem, une classique World Tour flandrienne, il est aussi auteur de plusieurs placettes sur Paris-Nice.

Le premier français est 7^ème, il s‘agit de Julian Alaphilippe, vanqueur du Tour Down Under qui se fait plus discret en cette partie de saison. Il s’économise sans aucun doute pour réussir sa campagne ardennaise.



Par équipe :

La Sky est première. Mais ce qui est intéressant, c’est que Ag2R la Mondiale et la Française des Jeux, les deux équipes World Tour françaises, sont dernières du classement !! On va pas être alarmiste en tout début d’année, mais elles risquent la relégation !
Néanmoins rassurons nous sur l’état du cyclisme tricolore en constant que les deux premières équipes de 2^ème division de ce classement sont françaises : Cofidis et Europcar.




Par Pays :

Le Royaume Uni est premier…. Damned ! Mais la France est troisième, ça va (les points World Tour français sont répartis équitablement entre 4 équipes, c’est à la fois cool… Et pas cool parce qu’on risque la relégation ;()




Le compte de victoire : Il ne reflète pas grand chose car il ne tient pas compte du prestige, mais ça fait toujours plaisir :



Manix 5^ème, il fait un peu tâche entre Marcel Kittel (1 des meilleurs sprinteurs du monde) et Alberto Contador (vainqueurs de plusieurs Tour de France).

Ryurk avec ses trois victoires est au même niveau qui Guillaume Boivin, sa némésis sur le Tour de Normandie, c’est amusant.






En tout l’équipe revendique 10 victoires.



La France encore une fois 4^ème.

[Benoît]

Nous visons la deuxième division l'année prochaine!
A nous les palaces toute l'année.

[Nossiub]

Une chance d'être sélectionnée en wild card sur un grand tour?

Je veux voir Manix gagner les Champs Élysées!

[Archange]

Oui, dés l'an prochain sur le tour de France (on demandera pas les deux autres). Mais bon, faut passer en 2ème division et être sélectionnés... Et la voie de la wild card est impénétrable.

D'ailleurs le fait que tu parles de wild card c'est que tu connais le jeu ou le cyclisme ?

[Archange]

J'ai oublié d'intégrer le palmarès au bilan :



Les leaders :

Spoiler:

Benoit : spécialiste des courses par étape

• (2 H.C) Critérium International : 7ème du contre la montre, 4ème de la troisième étape, 4ème du général.
• (2.1) Etoile de Bessège : 3ème du classement général
• (2.1) Tour du Haut Var Matin : 6ème du classement général, meilleur jeune

Bilan fin mars : Bilan plus que satisfaisant. Présent là où il devait l’être et avec des résultats souvent un peu meilleurs qu’espérés.


Manix : Sprinteur / flandrien

• (1.1) Grand Prix d’ouverture la Marseillaise : 6ème
• (2.1) Etoile de Bessège, top 10 aux étapes 1 et 3
• (1.2) Ster Van Zwolle : 1er
• (2.2) Grand Premier Inter do Guadiana (1er du général, 1er de l’étape 1 et 2, meilleur jeune, meilleur sprinteur)
• (1.2) Kattekoers : 4ème
• (2.2) Tour de Normandie (2ème du général, 1er de la 4ème étape et de la 6ème étape, 4ème de la deuxième étape, 9ème de la troisième, 6ème de la 5ème étape, 2ème de la 7ème étape)

Bilan fin Mars : Trés satisfaisant meeeeeeh…. Pas encore de victoire en catégorie 1. Faudrait commencer à engranger.


Ryurk : Rouleur / Contre la montre

• (2.2) Tour de Normandie : 1er du général, meilleur jeune, 1er du prologue et de la troisième étape, 8ème de la 6ème étape, 6ème de la 7ème étape
• (1.2) Paris-Troyes : 2ème

Bilan fin Mars : Excellent / un sans faute.
Gros travail en tant qu’équipier de luxe pour Manix, trés performant sur son objectif de début de saison (tour de Normandie), peut être même des qualités pour les courses d’un jour (2ème de Paris-Troyes). Nous sommes pleinement satisfait de lui.

Les coureurs protégés :

Spoiler:

Rahl : Sprinteur / Puncheur

• (2.1) Tour du Haut Var Matin : 2ème de la première étape
• (2.2) Grande Premier internacional do Guadiana, 6ème du général, 5ème de la première et de la deuxième étape.
• (2.2) Tour de Normandie : 5ème du général, 10ème de la deuxième étape, 8ème de la 5ème étape, 4ème de la 7ème étape

Bilan fin Mars : Plutôt satisfaiant : de bonnes compétences personnelles qui ont failli payer au Tour du Haut var mais qu’il met sans problème au service des autres pour qui il est d’une aide précieuse. Bon poisson pilote de rechange pour manix. Excelle également dans le rôle d’avant dernier lanceur.


Gouggar : Puncheur

• (1.1) Valence Drôme Classique : 3ème

Bilan fin Mars : Bonne surprise
Equipier qui donne sans compter. Une amélioration rapide de ses qualités de puncheurs laisse entrevoir une possibilité pour lui de jouer sa carte personnelle sur certaines courses. Censé être un simple équipier au début, il devient un coureur protégé.


Scramouille : Puncheur

• (2.2) Tour de Normandie : 10ème de la 5ème étape

Bilan fin mars : Trés décevant.
Un rôle d’équipier tout à fait correct sans être décisif… Mais on comptait sur lui pour faire des résultat… pour l’instant il n’a rien fait du tout… Il fait moins bien que Gouggar qui est supposément moins fort… Va falloir s’arracher !



Diderlord : Grimpeur / Baroudeur

• (2.1) Etoile de Bessège : Meilleur grimpeur (Assemblée nationale)

Bilan fin mars : Correct sans plus.
Travail d’équipier correct même si une chute sur le critérium l’empêche de montrer ses capacités en montagne. Néanmoins son statut de meilleur grimpeur de l’étoile de Bessège montre qu’il est capable de passer plusieurs journées d’affilée à l’avant et de bien récupérer. Peut être qu’on peut faire quelque chose d’intéressant avec lui en le considérant comme un baroudeur/grimpeur. A voir…

Equipier de luxe :

Spoiler:

Sauron : grimpeur

• (2.HC) Critérium International : 14ème du général

Bilan fin mars : correct
Malgré une belle échappée sur les routes de la coupe de france en bretagne, il apparait évident que Sauron n’est pas un coureur protégé, il aura peut de chance de s’imposer cette saison.
On le transvase dans la catégorie équipier de luxe car il a toujours fait du bon taf’ et a assurer comme un chef pour aider Benoit à prendre la 4ème place du Critérium International.


Le Foureur : Sprinteur

• (2.1) Vuelta a Andalucia - Ruta del Sol : 1er de la 5ème étape
• (2.2) Grande Premio Internacional do Guadiana : 2ème du général, de l’étape 1, de l’étape 2.
• (1.2) Ster Van Zwolle : 10ème
• (2.2) Tour de Normandie : 6ème de la deuxième étape, 8ème de la 4ème étape, 6ème de la 6ème étape, 5ème de la 7ème étape.

Bilan Fin Mars : Mitigé
Excellent dans le rôle de poisson pilote, une vraie rage de gagner, sait bien gérer une échappée, a signé la victoire d’étape la plus prestigieuse de l’équipe pour l’instant… Dommage qu’il ait désobéit aux consignes sur le Tour de Normandie. Le message est néanmoins passé, nous lui donnerons l’occasion de s’exprimer un peu plus souvent en prenant des échappées. Mais qu’il n’oublie pas qu’il est payé avant tout pour être poisson pilote…

Les équipiers :

Spoiler:

Red Rovarich : Sprinteur

• (2.HC) Critérium international : 8ème de la première étape

Bilan fin mars : Rien à dire.
Travail d’équipier correct, rien à dire.


Heraemoes : Grimpeur

• (2.HC) Critérium international : Meilleur grimpeur

Bilan fin mars : Positif.
Bon travail d’équipier même sur les étapes de plat. A montré quelques aptitudes de baroudeur en montagne.



Faras : Grimpeur :

• (2.HC) Critérium International : 15ème du général

Bilan fin Mars : Trés positif :
Toujours présent en tant qu’équipier, il s’est même surpassé pendant le critérium international et a été un précieux soutien de Benoit, il a magnifiquement remplacé Diderlord qui est tombé.
Coureur aussi motivé quand on lui laisse carte blanche, il aime prendre les échappées matinales pour montrer le maillot et qui sait un jour signer un résultat intéressant.


Kysmoboy : Grimpeur

Bilan fin Mars : Positif

Le Benjamin du groupe a toujours bien fait son taf’ d’équipier. Il a même étonné en signant un bon chrono au Critérium international et en accrochant les meilleurs sur la difficile course de Cholet-Pays de Loire. S’il continu comme ça il pourra peut être faire des bonnes performances (individuelle ou collective) d’ici un an ou deux.



Vertigo : Rouleur / Baroudeur


Bilan fin Mars : correct

Jamais avare en effort quand il s’agit de travailler pour les autres, il a signé quelques échappées intéressantes quand on lui demande.



Aragox : puncheur

Bilan fin mars : correct
Quelques progrès au niveau physique, un travaille d’équipier appréciable sans être exceptionnel.

Equipe :

Spoiler:

(2.2) Tour de Normandie : Meilleure Equipe