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  • #91
    On notera la survie miraculeuse de mon rasside après mon fail aussi

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    • #92
      Statisques 1473


      Developement
      Spoiler:




      Revenus
      Spoiler:




      Limites terrestres
      Spoiler:




      Reserves militaires
      Spoiler:




      Limites navales
      Spoiler:


      Dernière modification par Azès, 22-01-2018, 10h32.

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      • #93
        Tout fraîchement sorti, ne soyez pas timides et n'hésitez pas à donner vos commentaires :

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        • #94
          Je serai absent demain soir, Ptua me remplace. Il a eu les consignes (ainsi que le bon MiniaAr).

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          • #95
            AAR de la Casitlle

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            • #96
              AAR de la Suède :
              "Lalala, tout va bien. Oh une petite coalition, boarf relâcher la Finlande ça va; Lalalala tout va bieenputain la Moscovieaaaaargh."

              Je veux mes 50 points.

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              • #97
                Un peu d'inspiration pour Halzum :

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                • #98

                  free image hosting
                  Dernière modification par Genesiss, 27-01-2018, 02h34.

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                  • #99
                    Stats de la session 2.

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                    • Aar mis à jour

                      https://www.mundusbellicus.fr/forum/...shall-not-core

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                      • Y'aura t'il des tiers ?

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                        • Miniaar étant (encore, et après on parle des profs!)) en vacances, je le supplée pour les tiers cette semaine.




                          Tiers 1: Grandes Puissances: les pays ayant une large sphère d'influence et capables d'intervenir sur plusieurs théâtres.



                          Ottomans: Après une première session assez molle, les turcs se sont réveillés cette session, en s'emparant de l'essentiel des terres des mamelouks. Cela se traduit par une nette domination dans les principales catégories statistiques, FL, revenus, développement. Mehmet est mort en 1496, laissant le pays à jour tech et bien avancé dans les doctrines défensives et économiques. Quelques bémols néanmoins: le pays est en train de convertir ses orthodoxes, réduisant ses provinces dhimmies potentielles, et la prise de l'âge d'or est sans doute un signe de fébrilité.

                          France: Si la France est loin de posséder la limite ou les revenus ottomans, elle réalise elle-aussi un excellent départ. Elle a racheté les provinces anglaises et rapidement sécurisé sa frontière orientale en frôlant la coalition. Elle a également attaqué deux joueurs, la Castille pour ajouter Gérone à sa marche catalane, et Milan pour de l'argent. Comme l'ottoman, le pays a opté pour le duo classique défensif/économique, remettant à plus tard son expansion coloniale. Son armée est d'excellente qualité suite au déblocage du 20% moral des idées, et le pays garde un grand nombre d'opportunités d'expansion pour la session à venir. (Par contre, un français qui a une dynastie aussi dégueulasse devrait être mis en game over automatique, il y a quand même des limites!)


                          Tiers 1.5: Puissances majeures: Les pays solides, capables de tenir tête aux grandes puissances (dans une certaine mesure), mais auxquels il manque toute de même quelque chose pour passer au stade supérieur.


                          Timourides: Les héritiers de Tamerlan ont réussi une excellente première session, parvenant non seulement à unifier l'Empire sans trop de dégat, mais également à mener une conversion au chiisme et à la culture persane et à conquérir la majeure partie de l'Iraq. La session 2 a vu le pays terminer son expansion sur les IA voisines, prendre deux centres de trade indiens, et commencer l'intégration de l'Iraq. En plus de cela, les armées timourides sont allées soutenir celles de Kazan dans une rapide campagne de Russie, allant plus loin que celles du grand Timur lui-même. Malgré tout, le pays conserve quelques fragilités: sa forte proportion de sunnites le rend relativement instable, tandis que sa diplomatie relativement offensive en Arabie lui vaut quelques inimitiés au Sud. Surtout, le pays semble pour le moment moins solide que son grand voisin ottoman.


                          Angleterre: Portée par des monarques de qualité, l'Angleterre a pris un bon départ, sécurisant les îles, et parvenant au Mexique en même temps que les ibériques. La vente des territoires français, et les conquêtes irlandaises et coloniales ont permis la construction d'un grand nombre de batiments, et l'essor de l'économie, tandis que l'Amérique du Nord reste pour l'instant une chasse gardée anglaise. Néanmoins, pour le moment, l'armée anglaise reste en-deça de celle des deux majeurs, en qualité comme en quantité. Le pays a fait le choix de la doctrine quantité en seconde doctrine, seul des T1 et 1.5 à déroger à la doctrine défensive en première doctrine militaire. Pour l'instant, le pays ne s'est pas investi sur le continent à l'exception de la vassalisation de deux mineurs allemands et du Gotland et de la prise de Gand, cédé dans la foulée à la Hollande.


                          Moscovie: Le situation du russe est paradoxale: si son départ n'est pas extraordinaire en lui-même, ceux de ses voisins sont à ce point catastrophiques qu'il ne peut que se démarquer. Ayant réussi en session 1 à unifier les terres russes et à fortement affaiblir la Suède, en l'empêchant de reprendre la Finlande et lui enlevant la Laponie, il a poursuivi son travail de sape de ses voisins en attaquant le lituanien en mauvaise posture, reprenant Oka, de l'argent et une humiliation. Néanmoins, il a subi un premier coup d'arrêt avec une attaque kazanaise soutenue par le Timouride, perdant trois provinces. Intérieurement, le pays a fait le choix classique de la combinaison défensive-économique. La formation de la Russie à venir devrait en faire un tiers 1.


                          Autriche: L'Empereur a connu un début de partie compliqué, ratant la PU bohémienne, et ne sauvant l'Empire qu'en adoptant la Pragmatique Sanction in extremis. Son expansion a été assez atypique, faite de légitimation directe des terres suisses et bavaroises, de l'extension d'un vassal morave et de quelques vassalisations de mono-province, et il a sans doute raté quelques occasions d'affaiblir son rival direct français en session 2. Néanmoins, le pays bénéficie pour encore une session de l'apport en FL de l'Empire (+20 environ), et reste redoutable. Comme presque tous les majeurs, il a fait le choix de défensif-économique.


                          Castille: L'espagnol vit un début de partie difficile: s'il a récupéré rapidement la PU aragonaise, la présence d'un napolitain l'a privé de ses terres en Italie du Sud, de Malte et d'une province sicilienne. En proie aux revendications sur le reste de la Sicile, il a été conduit à vendre celle-ci au Marocain. Dans le même temps, une attaque française lui enlevait Gérone, tandis que dans les colonies, l'Angleterre a pu menacer les mines d'or du Mexique. Malgré tout ça, le pays a sauvé l'essentiel, obtenant les mines d'or mexicaines, sécurisant les accès à l'Amérique du Sud. Il a même montré ses capacités de rebond en prenant la Corse. Intérieurement, le pays n'est pas au mieux avec une petite corruption et des revenus en deça de ceux des autres majeurs, mais il commence à toucher les dividendes de la colonisation, ce qui lui permet de construire pas mal de batiments.



                          Tiers 2: Puissances régionales: les pays ayant un bon contrôle de leur zone d'influence naturelle, mais qui ne peuvent pas agir beaucoup plus loin et doivent rester en alerte face aux grandes puissances.


                          Maroc: Le royaume chérifien a connu un départ tonitruant dans cette partie, unifiant le Maghreb très rapidement pour s'étendre en Méditerranée dans la foulée, grâce à l'achat de deux provinces à l'Espagne et la conquête de la troisième sur Naples. Le pays frôle donc les 400 de dev, proche des majeurs, possède un revenu de 45, devant celui de la Castille ou de la Moscovie, et une flotte et une armée solides. Néanmoins, cette expansion se paye d'un retard en doctrine (une seule doctrine débloquée dans le duo qualité-économique).


                          Hongrie: La Hongrie est restée prudente durant les deux premières sessions, se contentant de rapidement conquérir sa zone d'expansion, et d'assurer quelques guerres contres les IAs. Ce choix, symbolisé par le choix de la doctrine économique en première doctrine lui a permis de construire bon nombre de batiments et de mettre en place une économie assez solide, rapportée à ses voisins d'Europe de l'Est. Son armée qui bénéficie des bonus hongrois est solide, et l'entente avec le voisin vénitien semble bonne, avec une réorganisation des provinces dalmates et une entente contre les IAs.



                          Pologne: Comme son voisin hongrois, la Pologne est restée très calme en ce début de partie, se contentant de la conquête d'une partie de la Silésie, de la récupération classique de la Bessarabie et de guerres d'humiliation ou de pillage. Lui-aussi a développé son économie et construit, en attendant les bonus polonais. Néanmoins, il est un peu en retard en doctrine, et surtout, a commencé à rentrer en conflit avec ses voisins occidentaux, l'Empereur à propos d'une province silésienne et le margrave du Brandebourg pour des questions d'argent. Avec 40000 hommes de potentiel, une steppe et les idées polonaises qui l'attendent, le pays, comme la Hongrie est une puissance militaire en devenir.


                          Ethiopie: Le royaume copte a réussi un bon départ, sécurisant ses côtes, de Zanzibar à l'Egypte et soutenant fortement l'expansion de son voisin arabe. la Renaissance a été développée en interne, permettant au pays de rester au contact de l'Occident en technologie, malgré un léger retard. Grâce à ses mines d'or, qui ne sont pas encore à leur plein potentiel, le pays reste bien classé en terme de revenus et parvient à se développer. Sa FL conséquente, associée au défenseur de la foi copte et à un bonus de la religion copte lui permet d'avoir une armée largement dans les standarts des autres puissances moyennes.


                          Portugal: Le Portugal n'a pas réussi un départ parfait, mais il a réussi l'essentiel, puisque l'ensemble des centres de commerce de la route des Indes sont entre ses mains jusqu'à Quelimane, en plus d'un beau Brésil et de terres en Colombie et dans les Caraibes. L'obention d'une mine d'or au Cap lui donne en plus un intéressant revenu complémentaire. Intérieurement, le pays affiche une belle santé, étant à jour tech, bien avancé en doctrine (exploration-qualité). Ses revenus sont même supérieurs à ceux de son voisin ibérique. Néanmoins, tout cela repose pour le moment sur une armée assez légère et sur une flotte quasi inexistante. Le pays commençant à rencontrer des rivaux que ce soit en Afrique, où l'Ethiopie lui a soufflé Zanzibar ou en Amérique où l'anglais rivalise pour le Nord du Mexique, il va devoir construire une flotte et une armée susceptible de soutenir le voisin castillan.


                          Tiers 2.5: Puissances locales: Les pays qui ne dominent pas complètement leur région, mais restent significatifs et des alliés utiles pour les autres puissances.



                          Lituanie: La Lituanie revient de loin: montée à 22 de corruption dès le début de la première session, attaquée par le moscovite en début de session 2, elle n'est pas passée loin de la mort. Néanmoins, après deux sessions d'une lutte contre la corruption qui lui coûte la moitié de son budget, elle est parvenue à ramener celle-ci à un niveau soutenable. Pas de miracle néanmoins, cela se traduit par un retard abyssal en doctrine, et une armée laissée plus ou moins à l'abandon depuis 30 ans. Il faudra encore bien des efforts pour que le jeune royaume lituanien redevienne une puissance majeure de l'Est.


                          Venise: La république sérénissime a fait un départ solide, parvenant à conserver Brescia, à obtenir la côte dalmate, le Monténégro, les îles grecques, et le Delta du Nil. Néanmoins, ce départ n'est pas non plus exempt de reproche, puisqu'en laissant l'initiative du dépeçage du mamelouk à l'ottoman, le pays a renoncé à obtenir un accès direct vers l'Asie par l'Egypte. Le choix d'une combinaison maritime-qualité lui donne d'ores et déjà le contrôle naval de la Méditerranée ( si ce n'est plus), mais repousse aux calendes le développement d'une armée susceptible de soutenir la lutte anti-turque. Les revenus sont encore faibles pour une république marchande, même si la guerre en cours les fausse sans doute, et pousse le pays à des extrémités douteuses, comme la désactivation de forteresses pourtant importantes.

                          Kazan: La seule horde de la partie est moins bien que ses victoires sur le moscovite ou sa taille pourraient le laisser penser. En effet, le pays a du légitimer un grand nombre de provinces, et est encore loin de sa réforme, alors même que maintenir son unité va devenir de plus en plus difficile et que ses ressources militaires ou plus encore économiques sont encore limitées. Le pays est donc appelé à rester fragile encore au moins une session, tandis que son voisin russe aura sans doute soif de revanche. Le pays peut en tout cas compter sur d'excellents rois pour passer ce cap difficile. Au plan économique, le pays ne repose que sur un seul poumon, sa mine d'or, qui représente plus d'un tiers de ses revenus, et génère une inflation qu'il va falloir assez vite maîtriser.



                          Tiers 3: Puissances mineures: Les pays qui pour l'instant ne pèsent pas encore réellement sur la partie et doivent compter sur le soutien de leurs alliés/protecteurs pour pouvoir agir.



                          Milan: Le milanais semble se détacher assez nettement en Italie. Etant seul à avoir choisi une voie purement militaire, avec le classique défensif-éco, il bénéficie en plus de la république ambrosienne et d'un peu de chance pour aligner une armée redoutable dirigée par l'un des meilleurs généraux de l'époque. Le pays, assez logiquement pour un italien est riche et couvert d'infrastructures, mais manque de voie d'expansion, privé de la Corse par l'Espagne, de la Suisse par l'Autriche, de Brescia par Venise et battu par la France. Il lui reste néanmoins encore des possibilités en Italie centrale à saisir en session 3. A noter que comme Naples, le pays a fait le choix de quitter l'Empire ( Et après, ça s'étonnera de se faire dow par la France...).



                          Suède: Comme la Lituanie, la Suède n'est pas passée loin de la sortie en session 1. Après une guerre de libération difficile malgré le soutien actif du teuton et un soutien ponctuel polonais, le choix de prendre en une seule paix l'indépendance, une partie de la Scanie et Sjalland a provoqué une coalition d'allemands s'est terminée par la libération de la Finlande aussitôt protégée par le russe. Dans la foulée, l'ogre moscovite a poussé son avantage pour enlever les immenses mais pauvres étendues lapones à la Suède, qui s'est donc retrouvée avec une frontière sur la ligne Stockholm-Dalaskogen, et pas mal d'emprunts. Le pays a partiellement redressé la barre en session 2, parvenant à intégrer l'Empire, à s'emparer de la Norvège continentale, et à stabiliser son économie grâce entre autre à un Dalaskogen solide. Ramenée à la taille d'un gros mineur de l'Empire, la Suède n'a plus beaucoup de voie d'expansion simple, mais elle peut compter sur une excellente qualité militaire, symbolisée par son roi, meilleur général de l'époque, qui lui a en plus offert le buff militaire suédois.


                          Brandebourg: Parmi les mineurs impériaux, le Brandebourg est celui qui a pris le départ le plus solide, enchaînant les humiliations sur ses voisins (et ce n'est pas terminé, puisqu'il a encore deux IA en rivalité). Au terme de son blob, il frôle les 200 de dev qu'il atteindra, une fois conquises les dernières provinces (entre autre un Stralsund développé 8 fois par l'IA, ce sont pas les irlandais qui feraient ça...). Le pays a choisi comme beaucoup le duo défensif-économique, et est le pays le plus avancé en doctrines. Son armée qui bénéficie du déblocage d'une partie des idées brandebourgeoises est l'une des meilleures d'Europe en qualité. Seul bémol, classique pour un Brandebourg, l'économie reste très fragile, puisque seules la Hesse et le Rasside sont derrière. D'où sans doute la fâcherie avec la Pologne pour de ducats pris à une IA.



                          Hollande: La Hollande a pratiquement sécurisé sa formation des Pays-Bas, et avec la doctrine exploration quasi complète et une moitié de l'Islande, elle va pouvoir se lancer à la conquête des Amériques. Néanmoins, il reste au pays beaucoup de terres à conquérir en Europe, et celles-ci vont potentiellement se retrouver sous la menace de voisins ayant terminé leur expansion. Le pays est relativement prospère, mais pas encore riche, la faute à un noeud de la Manche qui n'a pas encore pris son envol. Avec économique et exploration en premières doctrines, le pays ne pourra sans doute pas vraiment compter sur son armée, mais son potentiel tant en colonisation qu'en expansion européenne reste énorme.



                          Ordre Teutonique: Très actif en session 1, où il a soutenu activement l'indépendance suédoise et conquis la Livonie, l'ordre a été moins visible en session 2, se contentant de développer et construire son pays. Celui-ci, qui a intégré l'Empire, bénéficie d'une belle armée, puisqu'avec ses marches, il dépasse nettement la limite des autres impériaux. Ses revenus, boostés par la Hanse, sont très corrects pour un teuton. Il n'y a plus qu'à tranquillement attendre la formation de la Prusse pour avoir un monstre militaire.




                          Tiers 3.5: Puissances négligeables: Les pays qui peuvent être décrits en une phrase et doivent donc muscler leur jeu s'ils veulent prendre de l'ampleur dans les tiers.



                          Naples: La place du royaume napolitain dans ce dernier tiers est peut-être sévère: sur bien des aspects, revenus, développement, il est proche ou au-dessus de pays du tiers supérieur. Néanmoins, contrairement à eux, Naples est pratiquement au bout de son expansion, puisqu'il ne lui reste plus que le découpage de l'IA papale, en cours, pour grossir. La perte de la Sicile, et la fermeture des voies d'expansion en Méditerranée occidentale et en Afrique du Nord va contraindre le pays à trouver des solutions. Le pays peut sans doute compter sur le soutien de la France sur laquelle sa famille règne aussi et qui l'a aidé contre l'Aragon.



                          Lubeck: La Hanse a plutôt bien commencé, puisqu'elle semble avoir sécurisé son expansion au Jutland et en Allemagne du Nord, tout en obtenant deux bases commerciales, Osel en Baltique et Bergen en mer du Nord , et qu'elle possède le premier noeud au monde, soutenu par la doctrine ploutocratique et les déjà 5 marchands du pays. Evidemment, en revenu, tout va bien, et le pays se couvre de batiments. Plus surprenant, l'armée, portée par ploutocratique et un bonus temporaire est de qualité tout à fait correcte. A noter que e pays vient de se lancer dans l'exploration et a obtenu de l'Angleterre une moitié de l'Islande pour s'installer aux Amériques.



                          Shirvan: Les diplomates azeris ont fait de l'excellent travail: pris entre monstres que sont le timouride et l'ottoman, le Shirvan a quand même réussi à obtenir une très belle zone d'expansion incluant Tabriz et la quasi intégralité de la Georgie. Cette zone a été conquise à marche forcée, et le pays affiche un joli développement de 161, tout en n'ayant pas pris trop de retard en technologie et en doctrine. Le revenu est correct, grâce entre autre au noeud perse. En Europe, le pays serait sans doute dans la catégorie supérieure.



                          Hesse: Plus petit développement au départ, la Hesse reste dernière dans la plupart des catégories statistiques. Pourtant le pays a réussi une expansion assez solide et a déjà sécurisé ses frontières Nord et Est tout en gardant de belles réserves au Sud et à l'Ouest. Le pays a fait le choix de la doctrine offensive, qui lui donnera une très belle FL une fois le bonus hessois débloqué. Seul point noir, l'économie reste vraiment extrêmement faible, proche des 10 ducats si on lui soustrait les réparations de guerre.


                          Rassides: Le Rasside aurait pu passer très vite dans la catégorie d'en-dessous, puisqu'en l'espace de quelques minutes, il était réduit à l'état d'un mono-province. Grâce au soutien actif, il a pu survivre, et finalement s'étendre durant cette session. La conquête de la péninsule arabe est en bonne voie, puisqu'il ne reste plus que deux IAs, le mamelouk qui conserve une bonne partie du Hedjaz avec la Mecque et Al-Ahsa , soutenue par le timouride. Le pays peut compter le excellentes idées militaires du pays et le chiisme, et il possède l'une des plus belles qualités militaires. Cependant, son économie est encore bien trop fragile pour supporter une Fl conséquente et il va devoir se concentrer là-dessus.


                          Disparus: : Les pays qui nous ont quitté cette session.
                          Dernière modification par Neroonian, 01-02-2018, 19h45.

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                          • Ah ben voilà, très bien ces tiers. Pauvres Timourides, si loin du T1.

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                            • Je suis PAS fébrile ok ?!!!!

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                              • Y a pas de honte à être fébrile, hein!

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