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  • #16
    Merci mais je n'ai pas énormément de mérite : l'interface du jeu étant déjà pas mal claire et intuitive en elle-même

    Le mois suivant dans la soirée normalement

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    • #17
      Avril -87

      Les nouvelles de ce mois d’Avril sont bonnes !



      Tout d’abord bien sûr, la chute d’Athènes. Les légions prennent leur butin dument gagné et le tyran Aristion est condamné à mort. C’est un coup dur porté à Mithridate et une victoire pour le Sénat et le Peuple Romain !



      Apprenant la nouvelle, les habitants de l’ile de Délos se révoltent contre la tyrannie ponto-athénienne qui leur imposait une rupture des relations commerciales très profitables qu’ils entretenaient avec Rome. La Grèce vassale dont rêvait Mithridate commence à se décomposer. Même si nous n'enverrons pas de troupes pour la défendre, cela peut faire un bon point d'ancrage pour notre future flotte.



      Mithridate, mécontent des revers subits en Grèce, passe ses nerfs de tyran comme il peut : les pauvres habitants de l'ile de Chios sont tout simplement déportés. Leur crime? Une erreur de navigation d'une de leur galère qui a frôlé le vaisseau du Roitelet de trop près à son gout...
      Cet acte barbare ne sera pas impuni.



      Lucullus quant à lui se rend à Cyrène, capitale d’un royaume sans roi, légué à Rome et dont le Sénat hésite à accepter le legs.
      L’arrivée d’un dignitaire romain emporte en quelque sorte la décision, au nom du Sénat et du Peuple Romain, le legs est accepté et les devoirs de Cyrène commencent maintenant par le prêt de sa flotte (il sera toujours temps de mettre le Sénat devant le fait accompli, quant au peuple romain, il donnera son assentiment aux décisions que la nobilitas prend pour son bien). Toujours est-il que Lucullus repart de Cyrène avec 20 Quinquérèmes et 30 Liburnes supplémentaires. Direction, Alexandrie pour une confrontation avec les Lagides.



      En Italie, le proconsul Rufus cherche à se tirer du guêpier dans lequel il est. Profitant du fait que Marius prend des dispositions pour le siège d’Ancône et est donc peu susceptible de le poursuivre, Rufus prend la décision d’abandonner à son sort la légion en formation et de se replier au Nord, sur Faesulae, dans le but de se rabattre sur Rome par la côté et de rejoindre le consul Octavius (qui est un meilleur tacticien) et défendre la ville au mieux.
      Pour ce qui est du siège de Nola, ces maudits Samnites ont réussi à colmater les brèches. Le siège s’éternise et c’est mauvais.

      Point Technique : comme les assaillants ont une chance déterminée de faire une brèche à chaque tour (chances augmentée par le nombre de machines de siège présentes), les assiégés ont une chance donnée de réparer une brèche à chaque tour. Ainsi vont les sièges qui peuvent durer longtemps si vous n’avez pas de chance.



      En Grèce, l’armée de Sulla est épuisée par les combats, elle doit se reposer et se réorganiser avant de partir à l’assaut des murailles de Corinthe. Le camp est donc dressé. Les faibles forces romaines de Macédoine se préparent à défendre Thessalonique contre les hordes du Pont. On remarque que la flotte Pontique fait le blocus de Rhodes, allié de la République. Cela étant, pour faire tomber la ville, Mithridate devrait débarquer des troupes et mener un siège en règle, et il y aurait de fortes chances pour que les assiégeants meurent de faim avant les assiégés.



      D’un point de vue logistique, les renforts sont ordonnés pour recompleter les forces de Sulla et de Rufus.

      Point Technique : Ici nous abordons LE calvaire des joueurs Ageod : les renforts. Les renforts se commandent d’un tour pour le tour suivant, ils sont sous la forme de briques, séparées par type de troupes (infanterie de ligne, infanterie légère, sapeurs, cavalerie, milice urbaine etc) et par nations contrôlées (un camp peut contrôler plusieurs nations, devant gérer et payer le pool de remplacement de chaque). Le chiffre en haut des blocs indique la valeur manquante pour que nos forces soient a leur effectif nominal (un bloc est égal à 10 en valeur), le chiffre en bas des blocs indique le nombre de blocs en réserve ce tour et le chiffre entre parenthèses indique le nombre de blocs commandés. Chaque bloc dispose d’un cout en argent et en armes. Gérer ses remplacement est essentiel : c’est un gouffre a finances si on y prend pas garde, et l’argent n’arrive qu’une fois par an…

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      • #18
        Je viens de découvrir ton récit, bravo à toi.
        Si tu veux faire un pbm (je n'en ai jamais fait) je ne serais pas contre.
        Pour les autres j'ai aussi fait un aar pour ce jeu qui est sur le forum strategium (je ne vais pas poster le lien, ce serait malpoli de le poster dans un aar d'un autre).

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        • #19
          Pierrus 21 : Merci à toi
          Pour la pbem avec joie (jamais fait non plus mais ça a pas l'air bien compliqué quand on lit les instructions d'ageod). Tu es partant pour un César/Pompée? Ou alors une troisième personne se joint a nous et on peut se faire un scénar à trois.

          Bon, désolé pour la (brève) interruption, mais la vie d'étudiant au mois de Mai étant ce qu'elle est....

          Bref on est reparti.

          Mai -87



          La situation devient sérieuse !

          Le Pont à débarqué sur nos arrières une armée menée par Pharnace, le fils de Mithridate, celle-ci s’est emparée de Thèbes, non défendue et a traversé l’Attique pour se positionner à Corinthe. C’est-à-dire tout simplement la prochaine destination de l’armée de Sulla.

          Au nord, les nouvelles sont plus inquiétantes. Les armées pontiques se déplacent rapidement (ce qui indique peut être des effectifs réduits), assiège Amphipolis et s’approche de Thessalonique. Les maigres troupes dont nous disposons là-bas vont se retrancher et attendre l’arrivée de Sulla.

          Point Stratégique : observez la qualité de l’IA qui profite de sa supériorité navale et débarque pour se positionner là ou je ne suis pas. Il ne faut surtout, surtout pas céder à la tentation d’être partout et de tout défendre : si les légions de Sulla peuvent avaler les kilomètre et reprendre en un tour ce qui as été perdu au tour précédant, les séparer aboutira à leur extermination une par une face à la grosse supériorité numérique pontique.



          En Italie la situation est simple : le tyran Marius assiège Ancona et la brute Cinna assiège Naepolis. Mais l’unique ville à préserver pour nous en Italie est Rome, c’est pourquoi Rufus et ce qu’il reste de son armée vont rejoindre la ville à marche forcée.
          Nous poursuivons néanmoins le siège de Nola….qui s’éternise encore et encore.



          Lucullus quant à lui arrive à Alexandrie, ou il cherche à convaincre le pleutre, couard, faiblard, dégénéré Ptolémée IX d’abandonner sa neutralité, de déclarer la guerre à Mithridate et de mettre à disposition de Rome sa flotte et son armée.
          Mais ce lâche, dont le trône ne tient qu’à la volonté Romaine, se cache derrière ses héritiers retenus en otage par Mithridate. Pauvres fils, avec un père pareil qui préfère se cacher dans son palais plutôt que de tirer l’épée pour les libérer…. Mais nous nous souviendrons de la couardise des Lagides.
          Prochaine étape ? Sidon ! Les Phéniciens sont de bons marins, ils pourront nous aider.



          Point Technique : Voilà l’armée et la flotte que j’aurais pu débloquer si le sort m’avait été favorable. Cela fait envie n’est-ce pas ? On comprend que les chances d’obtenir le magot ne soient que de 10%
          Et en guest star pour vous, voici les stats des éléphants de guerre (j’espère que tout le monde aime les éléphants)

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          • #20
            Mai 87 (suite)



            Mithridate attaque à Thessalonique, nos faibles forces sont battues et se réfugient à l’intérieur des murs de la ville. Cependant, remarquons la relative faiblesse des effectifs pontiques : à peu près 20 000 hommes, c’est très faible. Mithridate a préféré la rapidité de déplacement à l’arrivée d’une troupe nombreuse, ses renforts devraient donc le suivre par petits morceaux. Nous battrons ces petits morceaux un par un.



            Sulla s’empare facilement de Corinthe, malgré ses hauts murs. Aucune trace de l’armée de Pharnace, soit elle à retraversé en catastrophe le bras de mer qui sépare le Péloponnèse de la Grèce continentale, soit elle s’est enfoncée dans le sud du Péloponnèse, auquel cas sans ravitaillement elle est perdue.



            Sur la route de Rome, l’armée de Rufus met en déroute une petite troupe d’auxiliaires marianiste. C’est mauvais signe, les ennemis rodent autour de Rome, il faut rejoindre le consul Octavius à temps.



            Amphipolis est prise par l’armée de Cratère, elle aussi peu nombreuse, 26 000 hommes. Avec l’armée de Mithridate, ces armées valent en nombre celle de Sulla, mais leur qualité est bien moindre.



            Rufus est parvenu à Rome, pour tomber sur deux légions fidèles aux démagogues et commandées par Gaïus Milonius qui avaient pour mission de prendre la Ville. La bataille est meurtrière de part et d’autre, romains contre romains, frères contre frères, mais au soir, les forces fidèles au Sénat forcent leurs adversaires à la retraite. Une légion au service des démagogues est sévèrement étrillée et perd deux cohortes, tandis que le duel de cavalerie tourne à notre avantage



            10 jours plus tard, Milonius, qui a reçu des renforts de troupes légères, auxiliaires et javelines , relance une attaque. Les troupes légères sont contenues par la cavalerie tandis que les légions ennemies sont une nouvelle fois mises à rude épreuve alors que nos forces ont eu le temps de se retrancher. Les légions de Milonius sont repoussées avec des pertes sensiblement supérieures à celles de Rufus. Rome reste entre nos mains, pour l’instant.
            Dernière modification par Revan, 19-05-2013, 15h51.

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            • #21
              Franchement tu es casse-c....... ! Tu vas me donner envie d'y rejouer, mais j'ai pas le temps !!!!!!!!! .

              En tout cas ta partie est vraiment sympa ! Bravo, j'attends la suite !

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              • #22
                Oui très intéressant. Tiens par contre y'a pas une petite erreur historique ? Corinthe était détruite à cette époque-là si je ne m'abuse, et elle ne fut relevée que par César.
                Dans mon mémoire de recherche, j'ai consacré une dizaine de pages aux problèmes philosophiques et idéologiques dans la révolte des grecs auprès de Mithridate (avec Athénion , Aristion, quelques épigrammes), mais je vais attendre la publication avant de vous en parler avec plus de détail

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                • #23
                  Elrond : J'avoue, ce que je fais est vil, mais après tout, pour un seigneur Sith, ce n'est que routine

                  Faras : Euuuh peut être bien, je vais soumettre l'objection sur le forum Ageod.

                  La suite ce soir

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                  • #24
                    Ce jeu malgré les graphismes rudimentaires, est très bon; historiquement pas trop dégueux; et pour y avoir jouer quelques heures (le temps pour moi de me faire démonter par l'IA) je confirme que l'IA, réglée comme une horloge, est d'une qualité toute autre que celle rencontré dans les Total War ou autre CK2.
                    De plus ton récit est vraiment très bien ficelé Revan, ça me pousserai presque à réinstalle le jeu!!! Good job.

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                    • #25
                      Désolé pour la (brêve) interruption, mais la vie d'étudiant à ses contraintes
                      J'ai un peu de temps cette aprèm donc attendez-vous à un nouveau chapitre (oui mon oral était ce matin)

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                      • #26
                        Juin -87



                        Pour Sylla, l’objectif est maintenant simple, remonter vers le Nord, reprendre Thèbes et balayer Archelaos, ensuite Chalcis et le foncer vers Thessalonique assiégée.
                        Une turme de cavalerie ira signifier au reste du Péloponnèse que Rome est de retour.



                        En Italie, le consul Octavius réfugié à Spolète rejoint Rome qui est sous la garde des légions de Rufus. Marius assiège toujours Ancône, et y a fait une brèche et Cinna Naples. La légion fidèle au Sénat assiège toujours Nola et a réussi également à faire une brèche dans les fortifications.

                        Point Technique : Cinna assiège sa cible depuis plus longtemps que Marius la sienne, pourtant ce dernier à déjà fait une brèche, pourquoi ? Eh bien Marius dispose de légions romaines (les légions de Cinna ne sont que des ersatz, des vétérans latins de la guerre sociale), qui ont construit des machines de siège qui donnent de gros bonus pour ce qui est des tests de brèches. Les romains ont donc un avantage majeur en siège, qui n’est approché que par certaines factions hellènes (le Pont par exemple) qui peuvent construire des machines de sièges. Elles doivent cependant être construites dans une ville et transportées jusqu’au lieu du siège (et elles sont très lentes) alors que les légions construisent sur place.



                        Lucullus quant à lui, quitte les mollusques Lagides pour Sidon, en Phénicie Séleucide, les marins et constructeurs locaux pourront, peut-être, être convaincus, moyennant finances…



                        Quintus Sertorius, un laquais des démagogues à la tête d’une légion formée à la va-vite avec des vétérans des armées révoltées de la guerre sociale, tente d’attaquer Croton, au sud de la botte.
                        Et la milice urbaine repousse vaillamment les cohortes de brigands de Sertorius, une magistrale leçon !



                        Mithridate quant à lui s’empare définitivement de Thessalonique. Le sacrifice de nos braves ne sera pas oublié, ils se sont battus jusqu’au dernier ! Nous reviendrons !



                        Sylla attaque Thèbes mais Archelaos réussit – une fois encore - à nous filer entre les doigts et se réfugie en Eubée.
                        Dernière modification par Revan, 29-05-2013, 00h33.

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                        • #27
                          Bon tout d'abord j'ai de bonne nouvelles pour Faras, l'équipe Ageod à reconnu l'erreur sur Corinthe et ce sera corrigé dans le prochain patch.

                          Ensuite j'ai de bonnes nouvelles pour tout le monde : voici la Suite!

                          Juliiet -87.



                          Lucullus arrive à Sidon, et son talent de diplomate (et son or) font des merveilles : non seulement les marins et les escadres locales nous suivent, mais deux escadres de navires de guerre qui étaient en chantier nous sont acquises. Nous sommes surs que le roi Séleucide nous pardonneras cet emprunt de longue durée. Et même s’il ne pardonne pas, qu’importe.



                          Au niveau des opérations militaires, en Italie, chacun reste sur ces position, nous ne pouvons pas risquer de dégarnir Rome, les marianistes sont concentrés sur leurs propres sièges et nous espérons finir cet interminable siège de Nola !
                          En Grèce, Sylla va débarquer en Eubée à la poursuite d’Archelaos, ce fuyard tombera bien un jour.
                          Les troupes pontiques se rassemblent apparemment à Thessalonique sous le commandement de Cratère pendant que Mithridate et une petite armée vont assiéger Dyrrachium en passant par les montagnes. Pas de panique cependant, les murailles sont hautes et Dyrrachium dispose d’un large port qui permet à la cité de subvenir à un long siège. Si Mithridate s’attarde, il se retrouvera bloqué entre les murs de Dyrrachium et les cols impraticables l’hiver, avec un ravitaillement allant en s’amenuisant.

                          Point Technique : il y a deux façons de prendre une cité fortifiée (niveau 2 ou plus) : l’assaut ou le siège. Pour un assaut il faut des engins de siège, soit fabriqués directement sur place, si une ou plusieurs légions romaines participent au siège, soit, pour les factions greques qui disposent d’ingénieurs capables, les recruter comme des unités ordinaires dans ses villes et les transporter (de préférence par mer, elles sont très lentes sinon) jusqu’au lieu du siège, attendre qu'elles fassent un nombre de brèches suffisant et donner l'assaut. Sinon le siège, : poster son armée et attendre la réédition par la famine des assiégés. Plusieurs soucis : cela immobilise une armée pendant des tours qui peuvent vite sembler très longs, l’armée ne peut compter que sur ses chariots de ravitaillement pendant un siège, et ces chariots se vident rapidement, surtout l’hiver. Une flotte adjacente peut partiellement ravitailler des assiégeants mais elle doit être nombreuse, faire attention aux tempêtes et à la flotte ennemie. Bref, un siège mal préparé peut facilement voir les assiégeants mourir de faim avant les assiégés. De plus, si une cité dispose d'un port, il est totalement inutile (à moins d'être excessivement chanceux) d'assiéger une cité portuaire sans bloquer son port, il faudra amener une flotte et faire le blocus, ou bien des machines de siège et donner l'assaut



                          Lucullus lui, embarque avec une partie de la flotte Phénicienne (les escadres en constructions nous rejoindront une fois finies, dans un mois) vers sa prochaine destination : Chypre. Cette ile, nominalement une possessions Lagide agit fréquemment avec une certaine autonomie vis-à-vis d’Alexandrie, son gouverneur sera peut-être moins pleutre que Ptolémée.



                          Sylla débarque en Eubée, Chalcis est rapidement prise mais Archelaos s’échappe encore. Quel diable d’homme, mais enfin, la Grèce est sécurisée, nous allons pouvoir remonter vers le Nord et reprendre Thessalonique.

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                          • #28
                            Aout -87



                            L’entrevue de Lucullus avec les autorités Lagides à Chypre, arguant de l’opposition d’Alexandrie les autorités chypriotes refusent de prêter leurs escadres à la flotte romaine. Il n’y a décidément rien à attendre de la race molle et abâtardie des Lagides. Les pleutres se retranchent derrière d’autres pleutres.



                            Des nouvelles de Grèce ! Un petit contingent de grecs alliés au Pont (apparemment issus de la cité insulaire de Mytilène) a débarqué et assiège Corinthe et une armée Pontique est à Pharsale.
                            Sylla va donc foncer vers Corinthe, pulvériser les grecs et remonter en Thessalie pour avoir une explication en terrain plat avec les pontiques.
                            Il va y avoir du sport.



                            Lucullus, après sa déception de Chypre, va partir pour le port de Salinas en Pamphylie, proche des conquêtes Pontiques, les Pamphyliens craignent pour leur autonomie avec ce tyran de Mithridate à leur porte. Ils pourraient voir en Rome l’occasion d’éloigner cette gêne.



                            Bonne nouvelle en Italie ! Nola s’est rendue ! Ses défenseurs à court de vivre ne pouvaient pas prolonger la résistance plus longtemps. La légion qui a mené à bien le siège va rejoindre Rome et se joindre à l’armée du Consul.



                            Sylla est à Corinthe et balaye la faible armée grecque qui perds la moitié de ses effectifs et est rejetée en désordre dans le Péloponnèse. Dispersés et sans ravitaillement, ces hommes sont virtuellement morts.

                            Point Tactique : L’armée gréco-pontique ne disposait pas de chariots de ravitaillements dans son ordre de bataille, donc, en l’absence de ville amie, et une fois le maigre ravitaillement intrinsèque des unités consommé et la province pillée, c’est la mort par famine.



                            Continuant sa route, Sylla rencontre dans la plaine de Pharsale l’armée de Mithridate, fils du tyran pontique du même nom. Les auxiliaires romains subissent de lourdes pertes en tenant la ligne face aux Phalanges pontiques tandis que les légions les prennent de flanc. Malgré sa cavalerie et ses chars scythes, Mithridate junior se replie en désordre en perdant les quatre cinquièmes de son armée.
                            Le premier engagement de masse de cette guerre est donc une victoire pour Sylla !
                            Dernière modification par Revan, 05-06-2013, 00h37.

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                            • #29
                              Excellent ! Il y avait 2 ou 3 posts que je n'avais pas encore lu. C'est chose faite

                              Le jeu est en français ou tu utilises une trad. amateur ? (j'avoue ne pas suivre l'actu de ce jeu)

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                              • #30
                                Le jeu est totalement en Français. D'ailleurs AGEOD est une boite française, mais qui se destine principalement à l'export (ils ont un partenariat avec Matrix), le marché pour ce genre de jeu se situant beaucoup plus aux USA qu'en France.
                                Ils avaient à une époque un partenariat avec Paradox, ce qui as produit le (mauvais a mon sens) Pride of Nations et ont participé à la conception de Marches of the Eagle.

                                Bon il reste quelques petits trucs non traduits, les noms d'unités par exemple, qui restent "legionary cohorts" ou "lagid éléphants"

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