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  • Un Optimate optimiste! (Récit de campagne, Alea Jacta Est, Marius Vs Sulla, -88)

    Un Optimate Optimiste!

    Présentation



    I- Présentation du jeu
    Alea Jacta Est est un jeu de stratégie édité par la société française Ageod (conceptrice des Npoleon’s Campaign, Birth of Amrica, Ageod’s American Civil War et autre Rise Of Prussia et Revolution Under Siege).

    Le jeu a pour thème les guerres civiles romaines de -88 (Sulla contre Marius) à 193 (avènement de Septime Sévère).
    C’est un jeu de stratégie qui se joue au tour par tour à résolution simultanée.

    Le jeu dispose de cinq scénarios (Marius contre Sulla, la grande guerre Mithridatique, César contre Pompée, l’année des quatre empereurs (69) et l’avènement des Sévère (193), plus deux scénarios en DLC (la révolte de Spartacus en -73 et les guerres Cantabres en -29).

    Je vais faire ici le récit du premier de ces scénarios, Marius contre Sulla, je jouerai le vainqueur historique, Sulla contre deux IA (les Populares et le Royaume du Pont), si d’aventure une partie en PBEM vous tente sur ce scénario ou sur un autre (et pourquoi pas avec un récit ici même), faites le moi savoir (tous les scénarios sont à trois joueurs sauf César contre Pompée et les deux DLC).

    J’essaierai, au cours du récit, d’expliciter au maximum les mécanismes du jeu pour que ceux qui ne connaissent pas le moteur ne soient pas largués quand j’exposerai mes soucis de ravitaillement ou pour comprendre comment je transforme la Grèce en champ de cadavres pontiques cela dit, n‘hésitez pas à poser des questions si un mécanisme ne vous parait pas clair (ou alors tout le monde connait le moteur dans ce cas dites le moi aussi).
    Pour finir cette laborieuse présentation et commencer mon récit, je rajoute juste que je n’utilise pas de mod, juste le patch 1.02a qui ne fait plus des légions romaines les sardaukars qu’elles étaient en 1.00.

    Voilà, to be continued 1er épisode bientôt (ce soir normalement).

  • #2
    Salut à toi !
    Je suis bien content que tu fasses un aar sur une époque et un affrontement qui me tient à coeur.
    Par contre, c'est optimas au singulier et optimates au pluriel : latinus nazinus :

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    • #3
      Oui mais optimate en français existe. (J'ai regardé dans l'encyclopédie de mon grand-père ).

      Hâte de voir ce que ce jeu a dans le ventre, bon courage.

      Commentaire


      • #4
        Merci Faras et merci pour la correction latine (je ne suis pas latiniste alors je me doutais bien que j'avais 99% de chances de faire une faute, mais le jeu de mot me tentais trop)
        Je ferais de mon mieux pour arriver au résultat historiques, à savoir la déroute complète et des orientaux et des subversifs professionnels


        Introduction.

        la situation en -88 : pas brillante pour moi, il va falloir faire vite et bien, veni ,vidi, vici.

        I- Nos forces, nos territoires
        On commence par un petit inventaire de nos forces



        Voici mon armée principale : 5 légions de vétérans (regardez l’étoile en bas de chaque « pion » de légion), 3 unités d’axiliaires, 1 unités de cavalerie, 1 unité de frondeurs, plus le ravitaillement (point technique sur la gestion du ravitaillement à venir), le tout commandée par Sulla.
        Vous remarquez que les légions sont composées de « briques » représentant les cohortes : ces « briques » sont l’unité militaire de base dans AJE, toutes les unités sont des assemblages à partir de ces briques (ici, une légion = 10 briques cohortes légionnaires + 1 brique de cavalerie + 1 briques « legatus legionnaris » qui représente l’aigle de la légion, le perdre entraine une chute de moral et c’est également cette unité qui permet à la légion de construire une machine de siège si besoin



        Sulla est un excellent général, de valeur 6-5-5 (je donnerai toujours les « valeurs d’un général de cette façon, premier chiffre valeur stratégique, second chiffre valeur offensive, dernier chiffre valeur défensive), avec de bons « traits » (équivalents aux traits de caractère d’un RTW, notamment sa capacité d’assaillant qui lui permet de lancer l’assaut sur des places fortifiées (avec un niveau de fortification supérieur à 1) sans avoir à assiéger et créer des brèches (ce que doit faire une armée commandée par un général qui ne dispose pas de ce trait, et ce qui peut mettre plusieurs tours).



        A Corcyre est basée ma petite (minuscule, ridicule) flotte commandée par le Légat Lucullus, sachant que le Royaume du Pont dispose d’une véritable armada, elle va rester là jusqu’à nouvel ordre.



        A Ancona se situe l’armée de Gnaeus Pompeus Strabo (le père du Pompée que l’on connait), une armée privée levée parmi ses clients, une armée de vétérans ayant combattu durant la guerre sociale, 3 bonnes légions qui ne seront pas de trop pour finir de rétablir l’ordre en Italie. Hélas, Strabo est plutôt du genre indépendant, et n’entend pas obéir au doigt et à l’œil (en termes de jeu, les légions sont bloquées pour un an). L’ancien collègue de Sulla au consulat, Rufus doit aller prendre le commandement de l’armée de Strabo….mais qui sait ce qui peut arriver.
        On remarque également une légion fidèle au Sénat qui assiège la dernière forteresse Samnite datant de la guerre sociale : Nola.


        II- Les territoires et les ennemis.



        En rouge : les optimates (moi) en bleu les populares subversifs et mariannistes et en violet les mous et efféminés orientaux.

        La situation est simple, nous sommes en guerre à la fois avec le Royaume du Pont, qui a profité des désordres internes pour prendre prétexte de différends avec les roitelets locaux alliés de Rome et envahir la Cappadoce, la Bithynie, la province d’Asie et soulever une partie de la Grèce, ils dispose d’une grosse manne financière, de troupes à foison (mais démodées : des phalanges et des hoplites) et une importante flotte.

        Les dangereux démagogues Populares, quant à eux ont été chassé de Rome par nos légions et mettront quelques temps à se reprendre, mais leurs chefs sont toujours vivants, encore en Italie, sans compter leurs solides appuis en Afrique, Scicile, Gaule Cisapine et Narbonnaise ainsi qu’en Espagne (ou ils doivent affronter une révolte des Lusitaniens locaux).

        Néanmoins tout n’est pas noir, nous tenons Rome, une bonne partie de l’Italie reste fidèle au Sénat et au peuple Romain, ainsi que l’Epire et la Macédoine.

        III – Le Plan

        Il va falloir frapper vite et fort, nos troupes sont puissantes, expérimentées, bien commandées mais ne peuvent pas être partout à la fois, perdre trop de temps en Asie donnerait le temps aux tyrans démagogues Marius, Cinna et leur cliques de parasites envieux et arrivistes de se renforcer en Italie, de reprendre Rome et même de débarquer sur nos arrières en brandissant en étendard leur légitimité « populaire ». A contrario, retourner trop tôt en Italie serait laisser les mains libres à ce roitelet oriental de Mithridate pour conquérir toute la Grèce et l’Epire jusqu’à Dyrrachium. Inenvisageable.

        La stratégie sera donc la suivante, la Grèce doit être reconquise au plus vite et Athènes reprise, quelques mois au plus, puis l’armée doit remonter en Thessalie, et passer par Byzance pour frapper Mithridate dans son Royaume et le pousser à demander la paix. Une fois la pax Romana acquise, nous pourrons alors frapper les séditieux marianistes dans leurs fiefs.



        Concrètement, l’armée de Sulla va suivre la côte, entrer dans le cœur de la Grèce, attaquer et prendre la ville de Thèbes, fief de la ligue Etolienne, alliée de Mithridate et apparemment base d’opérations de l’armée pontique (renforcée de troupes grecques) d’Archelaos, chargée de défendre la Grèce.
        Une fois Thèbes prise, la route d’Athènes sera ouverte.

        Point technique : Un tour représente 30 jours, les chiffres inscrits sur le trajet prévus indiquent le nombre de jours nécessaires pour arriver dans la province. Si une armée marche du jour 1 au jour 30 elle sera probablement fatiguée, effet simulé dans le jeu par une baisse de la cohésion des unités, la barre violette sur les pions. Une unité à basse cohésion se battra moins bien. Cette baisse de cohésion peut être modifiée par de nombreux facteurs : la météo, le relief, la présence d’une route, le général, le niveau de ravitaillement, le type de troupe concernées – les légionnaires conservent plus facilement leur cohésion que les autres.

        La légion Italienne quant à elle va continuer le siège de Nola (il s’agit d’une forteresse de niveau 2, il faut donc 2 brèches pour donner l’assaut, ou attendre que les assiégés se rendent).

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        • #5
          Pas de commentaires pour cette intro :/ dommage, n'hésitez pas à critiquer/conseiller/commenter/interroger/interpeller

          Bref, voici la suite

          Février -87

          Alors que l’armée de Sulla suivait la route côtière jusqu’à Thèbes, l’armée Ponto-grecque d’Archelaos, un intime du roi Mithridate suivait la même route dans le sens inverse, tentant une invasion de l’Epire sans attendre de soutien, sans doute dans le but d’être le seul à glaner ce qu’il pensait être des lauriers faciles. Dans ces conditions, la rencontre entre les deux armées était inévitable. Elle eut lieu en Locride.



          Archaelos envoya son infanterie légère ralentir l’avancée des légions pendant que la Cavalerie entamait une manœuvre de contournement. Sulla fit intervenir ses cohortes de réserve et la cavalerie fut repoussée avec de lourdes pertes, Archelaos ordonna alors la retraite et Sulla, la poursuite. (Point technique : le résultat doit se lire comme ceci : sur 10 éléments de cavalerie dont ils disposent, les pontiques en perdent 4 lors de la phase de corps à corps, ainsi qu’un élément d’infanterie légère et un élément de cavalerie javelinière)



          La bataille de Thèbes fut rapide, l’infanterie légère, la cavalerie pontique et la milice urbaine grecque n’étaient pas de taille face aux légions, mais leur sacrifice avait permis à Archelaos de s’échapper, et plutôt que de se replier sur Athènes qui lui semblait être un cul de sac (mais d'où la flotte pontique aurait pu l’évacuer), il préféra se replier….en Locride, ce qui lui offrait plus d’opportunités mais le coupait de son ravitaillement. Quant à Thèbes, les habitants et les autorités de la ville accueillirent les romains en libérateurs contre la tyrannie orientale.



          Mais une mauvaise nouvelle vient assombrir ce tableau, une seconde armée pontique, sous le commandement de Cratère, attaque et prend Byzance à la fin du Mois, une victoire qui ne doit rien à son « talent » de stratège mais au nombre seul : Byzance était trop peu défendue. Le Pont à désormais le contrôle de l’Hellespont.

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          • #6
            Sache qu'à défaut de commenter, je te lis

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            • #7
              Merci DOubleSquall, ça fait plaisir

              Le mois de Mars tard ce soir normalement, ou alors demain si je n'ai pas l'énergie.

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              • #8
                Chose promise chose due! (n'hésitez pas à me dire si vous voulez plus ou moins de points techniques ou si ça vous suffit)

                Mars -87

                Beaucoup de nouvelles arrivent en ce Mois de Mars



                Tout d’abord le Mois de Mars est le mois ou l’on paye les taxes, nos coffres se remplissent et notre trésor de guerre se monte pour cette année à 997 deniers.

                (Note technique : l’argent dans les caisses est symbolisé par le chiffre en haut à droite à coté des pièces de monnaies. L’argent est livré en une fois en Mars et dépend du nombre de villes contrôlé ainsi que de leur taille. De revenus complémentaires sont délivrés certains mois suivant les « mercatus » que possèdent certaines villes connues pour être de gros centres de commerce et par les tributs livrés par les Etats-clients, ainsi qu’un petit complément tous les mois suivant le nombre de navires de commerce de notre faction en activité, nombre fixé au début du jeu et qui ne peut que diminuer suite aux attaques de pirates, tempêtes etc, dernier moyen de gagner de l’argent, utiliser l’une des deux options politiques : levée d’argent supplémentaires, qui donne de l’argent en échange de moral et de points de victoire et vente de prisonniers qui donne de l’argent en échange de 2500 prisonniers – chaque bataille gagneée permettant d’en récupérer). Outre une dépense obligatoire chaque tour pour payer les unités en activité, sous peine d’une sévère perte de cohésion, l’argent sert à payer la levée de nouvelles troupes, l’achat de « remplacements » -briques d’unités pour reconstituer les unités endommagées - et à payer des options de jeu, politiques - distribution de pain, organiser des jeux, pour gonfler moral et loyauté- ou diplomatico-militaires : déblocages d’alliés, corruption et autres)

                On nous informe que le proconsul Rufus a pris le commandement des troupes de Strabo sans qu’aucun incident particulier ne se produise, finalement, notre position en Italie va s’améliorer avec ces trois légions.

                (Note technique : c’est un des nombreux events du jeu qui existent en plusieurs versions, celle-ci est a-historique, pour le suspense je ne vous dévoile pas l’autre possibilité. Sachez juste que ce n’est pas forcément la meilleure issue pour moi : Rufus est plutôt un piètre commandant : 2-2-1 comparé au 6-5-5 de Sulla…)



                Une nouvelle des plus intéressantes. J’ai mentionné que ma flotte étais ridicule alors que le Pont régnait sur les mers. Voici de quoi changer les choses : Lucullus va se rendre dans les ports de nations « alliées » ou tout du moins suffisamment inquiètes ou menacées par les progrès pontiques pour se rapprocher de nous et tenter d’user de ses charmes de diplomates pour réunir une flotte. Pour cela il doit visiter Cyrène en Cynrénaique, Alexandrie en Egypte, Sidon sur la cote Phénicienne, la Pamphylie et la Crète, plutôt des repères de pirates…
                Puissent Neptune veiller sur lui durant son périple et Minerve l’assister lors de ses négociations.



                Puisque c’est Jour de Paye, nous levons une légion supplémentaire à Ancona (sa forteresse et la présence de trois autres légions permettra de dissuader un raid de Populares). Notons également que la légion qui assiège Nola à fait une première brèche dans les fortifications, encore une et cela en sera définitivement terminé de la guerre sociale.

                (Point Technique : le recrutement des unités : il se fait suivant un pool prédéterminé par les développeurs, par exemple, une fois le recrutement de ma légion lancé, le jeu indique que 5 légions sont encore disponibles pour la région Italie. Ceci afin d’éviter la création de méga armées a-historiques. Les recrutements sont également régionalisés, on ne recrute pas d’archers crétois à Tarente et les légions cisalpines n’ont pas les mêmes valeurs de combat que les légions italiennes)



                Après avoir sacrifié à Neptune, Lucullus embarque pour sa première destination. Les tempêtes, la proximité de la flotte pontiques et les pirates le poussent à ne pas se diriger vers la Crète, la première destination sera Cyrène, en Cyrénaïque.

                (Point Technique : ne vous amusez pas à faire passer une flotte, à fortiori si elle transporte des troupes, dans une tempête, vous le regretterez amèrement)



                Sulla quant à lui, à route ouverte vers Athènes, sa prochaine cible. Auparavant, il entend néanmoins fondre sur la Locride en espérant surprendre Archaelos et son armée, plus lentes que des légions romaines avant de reprendre la marche vers Athènes. Un combat et une Marche supplémentaire présentent le risque d’avoir des troupes fatiguées et un combat plus compliqué pour prendre Athènes, mais on ne peut courir le danger de laisser une armée entière sur nos arrières.
                Les augures sont bonnes. Alea Jacta Est.

                Point Stratégique : On commence à saisir le problème des Optimates dans ce scénario : il y a beaucoup de cibles et peu de temps et les soldats, bien que solides, n’ont pas une énergie infinie.

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                • #9
                  Merci, c'est passionnant et ca me donne envie d'acheter le jeu qui à l'air fort bien foutu !

                  Commentaire


                  • #10
                    Très bon récit en effet, plaisant et explicatif

                    Commentaire


                    • #11
                      Lien vers ce récit à paraître obligatoirement dans le prochain Diarium Strategorum .

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                      • #12
                        Bravo ! C'est un excellent jeu ! Je l'ai mais il fait malheureusement partie de ceux auquel je n'ai pas trop le temps de jouer... Mais super récit !

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                        • #13
                          Merci à tous pour ces compliments qui font plaisir
                          Et voici la suite! Au programme, succès grecs et rififi en Italie.

                          Mars -87 (suite)



                          Comme prévu, le rapide Sulla fond sur les arrières d’Archelaos, les légions encerclant et attaquant de flanc plusieurs phalanges. Ce dernier rallie son armée et….sonne la retraite. Vraiment, si ce général à un talent, c’est bien celui de s’enfuir.
                          Cependant, une retraite chaotique sur un terrain peu favorable met à mal la cohésion des troupes pontiques, déjà sous-ravitaillées et fatiguées par ces marches et contremarches, il faudra quelques temps à Archelaos pour regrouper et réorganiser son armée en Thessalie. Avec les armées de Mithridate et Cratère encore loin de Grèce et la principale défense pontique hors-jeu pour le moment, l’horizon s’éclaircit pour Sulla qui reprend sa route vers Athènes.



                          Danger en Italie !
                          Les Populares relèvent la tête. Le démagogue Marius a rassemblé les légions de traitres qui lui sont encore fidèles et attaqué l’armée du Proconsul Rufus à Ancona ! Il dispose de trois légions, soit une force équivalente à celle de Rufus, mais est un bien meilleur général que ce dernier !
                          Ainsi, les légions de vétérans de la guerre sociale tiennent leur ligne mais le piètre tacticien qu’est Rufus ne réussit pas à empêcher la Cavalerie de Marius de prendre ses légions de flanc. Ce dernier y laisse la majeure partie de sa cavalerie mais l’essentiel est là, 10 000 braves légionnaires tombent au champ d’honneur et Rufus doit se replier.



                          Hélas, Marius est déterminé à ne pas laisser échapper sa proie : recevant deux légions en renfort, il se lance à la poursuite de Rufus et élimine 4000 légionnaires supplémentaires.



                          Devant Athènes, l’armée du tyran local, Aristion, formée d’hoplites n’ayant jamais combattu et d’infanterie pontique levée à la va-vite ne fait pas le poids face aux légions, la moitié de l’armée y passe mais le reste parvient à se replier tandis que Aristion et quelques forces se retranchent dans l’Acropole.



                          Mais cela ne fait que retarder l’inévitable, Mtihridate a perdu son principal allié grec et sa base d’opérations.

                          Point Technique : Dans la série des 4 chiffres situés en haut de l’écran, nous avons déjà parlé de l’argent, maintenant, nous allons nous intéresser au deuxième en partant de la gauche, situé à côté de la couronne de lauriers : il s’agit du moral national (MN). Ce MN est extrêmement important dans le jeu, d’une part il conditionne le comportement au combat des troupes (à 100 MN ni bonus ni malus, de 100 à 150 MN bonus variable, de 0 à 100 malus variable), mais peut aussi donner la victoire si votre MN grimpe dans des proportions stratosphériques ou si le MN ennemi s’effondre, ou la défaite dans les cas inverses. La perte de villes-objectifs, les grosses défaites, certains évènements et décisions, le recrutement trop massif de renforts, la perte des aigles des légions pour les romains font perdre du MN, la prise de villes-objectif, les grandes victoires, certains évènements et décisions font gagner du MN. Ici, mes deux grosses défaites à Ancona (qui me coutent respectivement -4 et -7 MN ont été avantageusement compensées par la prise d’Athènes qui rapporte +13 MN, faisant ainsi passer mon MN de 88 à 90)

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                          • #14
                            J'aime bien : pas énormément de texte (juste ce qu'il faut) et des images ! C'est donc plaisant à suivre.
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                            • #15
                              Oui, j'adore. J'ai la plupart du mal à lire les AAR à cause du manque d'image et d'un récit au paragraphe pompeux et une mise en page terrible, ou justement trop d'image sans explication et plus complexe à comprendre que le Mandarin.

                              Toi, tout vas bien, tu est facile à lire et on a envie de savoir la suite.

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