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  • #46
    La chute de la Messenie et de Sparte

    Une nouvelle offensive éclair se dessine : prendre Messene qui abrite la quasi totalité de la production agricole puis rapidement prendre les autres villes



    Après la chute de Messene, c'est toutes les autres villes qui se retrouvent assiégée par les fantassins macédoniens



    Reste a prendre le sud-est du Péloponèse tenu par Sparte



    C'est avec bonne humeur que Philippe apprend que la ville de Sparte n'a même pas de murailles



    La bataille est serrée sur le flanc droit de la ligne macédonienne



    Et alors que les troupes de Sparte sont massées au nord de la ville, une phalange macédonienne contourne le champs de bataille et commence a investir la ville par l'est



    Mais même une fois la ville prise, la bataille va encore durer, de nouvelles formations de Sparte arrivant par l'ouest



    Elles réussissent à mettre en déroute l'aile droite de l'armée macédonienne.


    Après la chute de Sparte, les possessions sud-ouest du royaume tombent rapidement au main de la Macédoine. Hélas, alors que les troupes se préparent à prendre la partie est, une escadre du royaume de Créte débarque quelques unités qui profitent du fait que les macédoniens ont démantelées les murailles pour prendre Tanairon.



    La ville est reprise et Philippe envisage la reconstruction des murailles.
    La prise d'Akriai qui commande l’accès aux cités de la côte orientale du Péloponnèse s'avère plus difficile que prévue et les formations de Sparte sont à deux doigts de détruire une phalange macédonienne, mais heureusement une phalange réussit à manœuvre pour encercler les spartiates.

    Après la prise de la ville, Philippe envois ses phalanges pour prendre le plus rapidement possible la plupart des villes spartiates



    Une fois cela fait, il ne restera plus qu'a vaincre la ligue d'argolide et l'alliance corinthienne pour être totalement maître du Péloponnèse.

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    • #47
      Toujours aussi bien mais je trouve juste ca un peu "ahistorique" que les cités grecques restantes ne se sont pas alliés pour aller tous sur toi : / Là on a l'impression que tu les bouffes un par un sans que ca les fasse réagir ( sauf Athènes par rapport à ses colonies c'est vrai).

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      • #48
        Envoyé par Faras Voir le message
        Toujours aussi bien mais je trouve juste ca un peu "ahistorique" que les cités grecques restantes ne se sont pas alliés pour aller tous sur toi : / Là on a l'impression que tu les bouffes un par un sans que ca les fasse réagir ( sauf Athènes par rapport à ses colonies c'est vrai).
        C'est un jeu indépendant, il n'y a quasiment aucune diplomatie (la possibilité de verser de l'or contre des trêves n'est apparus qu'avec la version gold)
        Par contre ce qui m'étonnes c'est la passivité de l'IA. Dans mes parties antérieures je trouvais l'IA bien plus agressive (là par exemple je n'ai eu pour l'instant aucun raid maritime perse. Je m'attendais également à le voir tenter de prendre l'Hellespont, mais non il reste sagement chez lui)

        Du coup là c'est plus du tout marrant. Alors si je prends Athènes puis Thèbes sans difficultés, je pense que j'arrêterais là cet AAR (parce que mine de rien ça prend du temps ce jeu)

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        • #49
          Erf, ouep, faut bien avouer que ça fait un peu rouleau compresseur à la Rome Total War!

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          • #50
            L'isthme de Corinthe

            Après avoir commencé à organisé les garnisons dans les villes spartiates (Philippe ayant décidé de faire appel à des piquiers des autres cités du Péloponnèse, les soldats de Sparte ne fournissant que leurs hoplites jugé trop coûteux. Comble de la honte pour Sparte : la ville est gardée par deux brigades de piquiers de Messene, qui furent autrefois les esclaves de Sparte avant d'être délivré par Thèbes), Philippe se prépare a marcher vers l'isthme de Corinthe.

            En chemin, il apprend que la ville d'Achaea a été désertée par ses défenseurs et qu'elle ne comporte même pas de murailles. Une phalange et les peltastes de Thrace sont donc envoyés pour soumettre la ville (et ensuite construire des murailles)



            Les plans de la région nord-est du Péloponnèse sont dressés :



            Deux factions occupent la région : l'alliance corinthienne qui a déjà exaspéré Philippe par plusieurs raids maritime, et la fédération des argolides. Philippe s'intéresse surtout a l'alliance corinthienne, jugeant les argolides sans guère d'importance (en dehors de la ville d'Argos qui selon la tradition serait la ville d'origine des Argéades, la dynastie royale macédonienne)


            Trois phalanges et les peltastes de Thrace sont engagés pour prendre Phleious.

            Mais cela s'avère insuffisant : les troupes corinthiennes sont protégées par un autel d'héroïsme qui booste leur moral et un autel de soin.

            La phalange gauche est mise en déroute et rapidement la phalange centre menace de cédée également



            L'ordre de repli au pas de course est aussitôt donné



            Les troupes soignées, Philippe décide d'attendre les renforts qui doivent arriver depuis la Macédoine par voie maritime : deux phalanges détruites par les spartiates sont en route pour le port d'Acarnanie. Bien que ce soit la saison des dangereuses tempêtes maritime, les navires quittent le port pour amener les deux phalanges dans le Péloponnèse. Une autre phalange est également dégagée de ses devoirs de garnison, les piquiers ayant pris la relève.

            Une nouvelle offensive est donc lancée : dans un premier temps, une phalange bloque le passage vers la cité portuaire située au nord, bloquant les renforts corinthien qui voudrait venir par là.



            Puis les catapultes commencent à détruire les défenses de Phleious, et une fois encore les hoplites corinthiens sortent le moral boosté.



            Mais Philippe passe alors dans le dos des soldats corinthiens pour aller neutraliser l'autel d’héroïsme. Il en profite également pour approcher d'Argos qui lui ouvre immédiatement ses portes.

            Une fois Phleious prise (au prix d'une phalange mise en déroute), les Macédoniens attaquent le port de Sicyon



            Enfin une phalange est envoyée pour lancer le siège de Corinthe qui a perdue l'intégralité de ses troupes dans la bataille de Phleious



            La ville tombée, elle devient une fidèle alliée de Philippe



            Enfin l'armée macédonienne prend les deux dernières villes d'Achaïe




            Il ne reste alors plus que les cinq villes d'argolides et la petite cité spartiate située sur une île, qui ne sont pas soumises a la Macédoine. Et désormais, la route vers le coeur de l'empire athénien est grande ouverte

            Dernière modification par frgo, 14-09-2011, 09h50.

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            • #51
              Tu persistes et signes! Ce que tu fais et clair et précis et j'apprécie particulièrement ton travail et ça me permet de me découvrir ce jeu. Merci.

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              • #52
                La chute de l'Attique et de Thèbes

                Philippe hésite à lancer une attaque contre Athènes depuis Corinthe, il consulte donc l'Oracle qui lui montre qu'une attaque terrestre depuis Corinthe serait le tombeau de son armée qui se retrouverait prise en sandwich entre les troupes athéniennes et les troupes béotiennes, une cité de chacune de ces factions se dressant de l'autre côté de l'isthme et étant très proche l'une de l'autre.

                Devant la vision de ses troupes massacrées, Philippe choisit d'écouter l'Oracle. Il faudra donc lancer une offensive maritime. La construction de 10 navires est passée auprès des chantiers des villes spartiates et en attendant il décide de conquérir la péninsule des argolides.



                Une fois cela fait, les troupes macédoniennes se concentrent dans la région d'Argos et attendent l'arrivée des trirèmes dans le golfe pour charger soldats, catapultes et mêmes moutons



                Après un assez long trajet, les troupes commencent à débarquer au sud d'Athènes




                La priorité est pour les Macédoniens de bien surveiller tout les flancs car Athènes et Marathon sont lourdement défendues. Par contre la petite ville située entre les deux villes est mal défendue et c'est donc sur celle-ci que va s'abattre la puissance macédonienne.



                Philippe a alors une meilleure vue sur Athènes et après examen des rapports des éclaireurs, il décide de concentrer l'offensive sur Athènes pendant que deux phalanges et les peltastes de Thrace tiendront Marathon en respect

                Dès les premiers coups de catapulte, les hoplites athéniens sortent en masse et concentre leur attaque sur une phalange. Grave erreur car le gros des troupes athéniennes se retrouvent rapidement pris en tenailles



                Les défenseurs massacrés, il faut néanmoins se montrer patient car les murailles de la cité sont puissantes



                Les Macédoniens réussissent à prendre le contrôle de l'autel de soin situé au nord de la ville voisine d'Athènes ce qui permet de rapidement remettre en forme les phalanges ayant le plus souffert de l'attaque contre Athènes et donc de tenir tête au renfort qui arrivent de l'ouest tandis que les troupes de Marathon ne bougent pas



                Et finalement l'orgueilleuse Athènes tombe



                Les troupes sont aussitôt amenées vers le nord pour prendre Marathon. Mais malgré la famine que subit la ville, ses défenseurs vont se battre avec acharnement et rompre une phalange



                Mais finalement la cité tombe. La situation est néanmoins préoccupante : les ressources agricole de l'attique sont insuffisante pour nourrir les troupes et les cités conquises. Des lignes maritimes ont été tracée avec les riches villes fermières du Pont-Euxin, mais l'hiver bloque les navires. Pour Philippe les choses sont claires : il n'y a pas une seconde à perdre, la riche Thèbes doit tombée. La ville frontière du nord est rapidement prise, mais l'armée béotienne en réponse concentre des troupes dans la ville suivante, tandis que l'empire athénien renforce les défenses de sa ville gardant le passage vers Eubée





                L'offensive ne devant pas ralentir, les Macédoniens ne se laissent pas impressionner et se déploient en bon ordre pour la bataille contre l'armée béotienne. La phalange placée en avant attire sur elle le gros du choc ennemi, mais rapidement deux phalange placées un peu en retrait s'avancent et prennent en tenaille les troupes béotiennes.



                La route de Thèbes est alors ouverte et une fois la ville tombée, la Béotie sera condamnée



                La bataille est longue et sanglante, certaines formations devant se replier en urgence, mais l'armée macédonienne a gardée des troupes en réserve qui permettent de tenir face aux renforts ennemis qui affluent depuis le nord et l'ouest



                Et finalement la puissante cité, qui s'était imposée comme l'une des grandes puissances après avoir vaincue Sparte, tombe à son tour.







                Bon, je vais arrêter ici ce récit car il n'y a plus guère de défi qui m'intéressent. Je garde la sauvegarde et peut-être qu'un jour je m'y remettrais mais ce n'est pas pour tout de suite (je vais peut-être me lancer dans un AAR sur un autre jeu)

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                • #53
                  Bah je comprends, en plus il doit pas te rester grand chose.
                  M'enfin, c'était vraiment très bon, et n'hésite pas à poster ton prochain AAR ici!

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