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  • Grand Theft Auto : San Andreas

    Grand Theft Auto : San Andreas - 2005




    Partie Préliminaire

    D’emblée, je tiens à préciser que c’est le seul jeu de la série que j’ai pu tester longuement (ensuite, je l’ai acheté bien entendu). Les précédents, pour mon cas, ne m’ont pas réellement permis de rentrer (complètement !) dans cet univers de violence et de corruption. En ce qui concerne les opus suivants, je ne les ai jamais essayés (disons plutôt que les études y sont pour quelque chose, un frein considérable pour la découverte de nouveaux jeux vidéo etc.), je suis toujours resté sans évoluer sur San Andreas, un comble pour un fan de Jeux Vidéo ! Force de constater que Grand Theft Auto: San Andreas reste un jeu particulier, sensible pour les âmes fébriles, puissant pour les âmes endurcies.

    De plus, je cherche également à admettre, et cela, immédiatement, que je ne vais pas m’attarder sur l’histoire racontée dans le jeu, sa sortie et tout ce qui va avec (on s’en fout !), le but est avant tout de donner un avis personnel de joueur si possible compréhensible et quasi réaliste etc.

    Enfin, je ne sais pas si un sujet existe déjà sur le forum. Je précise que je n’ai pas pris le temps de rechercher (donc, le bagne peut être décidé par les administrateurs en termes de sanction, mais avant toute décision, je réclame un avocat).



    Présentation

    Je vais être faignant, le jeu a une renommée tellement considérable qu’il serait donc inimaginable de penser qu’au moins une personne ne connaisse pas GTA: San Andreas. C’est tout simplement impossible. Par conséquent, en ce qui concerne cette fameuse présentation (outre le fait que le jeu s’insère dans la longue série des Rockstar Games : « L'entreprise détient d'autres franchises phares qui ont fait sa renommée, avec notamment Canis Canem Edit, Max Payne, Midnight Club, Manhunt ou encore la série Red Dead, dont la plupart des jeux sont en monde ouvert. » Wikipédia), je ne m’attarderai pas dessus. Pour les intéressés, se diriger sur des articles complets (pas forcément Wikipédia) ou sur le site officiel.

    D'ailleurs, en ce qui concerne les Préfixes, on pourrait en utiliser plusieurs: je me suis attardé sur Action, mais le jeu mélange Action, Aventure, et pleins d'autres choses ! Nous en arrivons à mon avis personnel, mon opinion très positive (pour le coup) d’un jeu qui mérite éloge.



    Impression

    Alors, par où commencer ? Eh bien, l’épreuve semble délicate. Effectivement, le jeu englobe un univers particulièrement vaste, ou tous les modes de jeu restent possibles. En fait, San Andreas, d’une manière générale s’insère dans n’importe quel style de jeu. Je vais immédiatement m’expliquer. Pour le coup, on peut y jouer dans n’importe quel mode, c’est-à-dire, au niveau de l’image, on peut entamer une partie comme on le souhaite. Reste à savoir pourquoi on achète ce jeu, dans une conception normale, il existe des missions qui doivent être effectuées pour avancer, pour accéder à de nouvelles fonctionnalités, à de nouveaux territoires etc. Mais rien n’empêche le joueur, à un moment donné, d’abandonner ses prérogatives principales et s’engager dans des missions parallèles comme les missions de Pompier ou de Policier qui sont délicates et variées (même si très vite on s’en lasse). En gros, San Andreas constitue comme je le disais plus haut, un jeu vaste avec de nombreuses possibilités et surtout innovations par rapport aux précédents opus.

    On peut par exemple très bien débuter une partie dans une conception stratégique avec pour but le profit personnel (comment bien gagner du fric rapidement, comment se construire une renommée efficacement, comment devenir un Caïd démesuré etc.). En fait, ce jeu permet de faire tout et n’importe quoi. C’est cette possibilité extraordinaire qui donne vraiment quelque chose au joueur, qui apporte quelque chose de concret et d’excentrique.

    Se mettre dans la peau d’un personnage démesuré et pouvoir tout effectuer, les possibilités sont variées, aléatoires, efficaces, avec ce sentiment progressif (plus on avance dans le jeu, plus le jeu devient passionnant) de liberté, de légèreté, de jouissance quasi parfaite. On peut tout faire. Et c’est cela qui est excitant (ouille le terme !).




    Donc, ce qui me marque avant tout, c’est l’univers libre et varié du jeu. Ensuite, et cela à l’époque, quand le jeu est sorti, offrait du nouveau, de l’originalité. En d’autres termes, en achetant San Andreas, on savait qu’on allait passer plus d’une heure devant l’ordinateur sans se sentir frustré d’avoir encore dépensé pour un jeu qui n’en valait pas la peine. Oui, parce que le nombre d’heure ne se compte pas (à rendre dingue les parents et encore plus l’Ophtalmo, j’exagère !).

    En réalité, quand j’ai commencé ma toute première partie, ma toute première campagne (!), j’ai accroché sans témoigner le moindre regret. Tout d’abord, on remarque les possibilités infinies qui rapprochent la réalité à la fiction. Par exemple, on peut manger, boire, s’habiller (heureusement), passer des permis, aller en prison, prendre l’avion, conduire des véhicules, courir, nager (faire du sport), se coiffer, adopter telle attitude etc. A l’époque, le jeu comportait de nombreux atouts. Un terrible avantage pour le joueur ! J’adore le contexte, vivre ou survivre dans une ville en tant que Caïd, délinquant recherché par la police avec des missions nombreuses et imprévisibles qui viennent sans arrêt bouleverser l’histoire du personnage.

    Egalement l’idée de monde ouvert (trois îles, trois villes : Los Santos, San Fierro et Las Venturas), ou on se déplace d’un point à un autre, avec toujours et encore ce sentiment de facilité, de légèreté, de souplesse dans le mode de jeu employé. Sous cet angle, on peut mentionner les paysages, la nature, tout cet univers bien consolidé, avec la possibilité de se transformer en une sorte de touriste (je me rappelle que je passais au crible le moindre détail, je voulais tout voir, tout, et cela immédiatement, et les possibilités se présentaient à moi.). Plus exactement, il y a le sentiment de s’incorporer le personnage, de prendre la place du personnage dans cet univers dangereux et immense, avec cet instinct de survie, cet esprit de quête. En particulier, je me remémore le saut en parachute de la plus grande tour du jeu . En fait, quand j’y repense, mon discours serait interminable, Hop, on se souvient de tel instant précis, mais cet instant précis m’interpelle et me rappelle également un autre événement etc. C’est infini.

    Finalement, j’ai la fâcheuse impression de tourner en rond, de me répéter, mais j’ai vraiment cette envie de dire un maximum de chose. Je me souviens d’un grand nombre d’éventualités qui ont tout simplement marqué ma conscience de joueur, ma conception du jeu vidéo. Oui, parce qu’avec San Andreas, j’ai multiplié toutes sortes de comportements, un jour, parce que j’en avais envie, je devenais l’ennemi public Number One, un autre jour, je m’insurgeais contre les délinquants, les dealers, je devenais un justicier par excellence, la lutte contre le mal, avec ce besoin de rétablir l’ordre. Ensuite, je pouvais me transformer en Rock Star et me pavaner dans les casinos, claquer toute mon argent, m’inventer une vie insensée et extraordinaire à travers un simple écran et l’aide d’un clavier et d’une souris, puis un autre jour, je devenais monsieur muscle, ou encore monsieur Fat etc. Vous l’avez compris, les possibilités sont immenses, avec encore ce sentiment de légèreté mêlée à l’humour (parce que chaque comportement adopté entraînait forcément une dose irrésistible de jouissance et de rire). Parce que s’en prendre à des policiers, les écraser, et devenir un homme recherché par toutes les polices du jeu créait une confusion extrême, avec, je ne le dirais jamais assez, ce ressenti d’évasion, de liberté parfaite. Mais c’est surtout les manières employées par les policiers qui me font encore rire aujourd’hui, avec l’utilisation des Tanks, des unités d’élites etc., ils allaient jusqu’à heurter des individus pour me trouver, me mettre en prison et m’éliminer.

    Le maître mot demeure l’humour, le rire, la satisfaction. On se sent vidé, sérieusement, on ne joue pas simplement à ce jeu de façon ordinaire, on se lance dans ce monde gigantesque pour voir ce que ça fait de se retrouver dans telle situation avec tel comportement, jusqu’où l’indiscipline peut mener le joueur. Certes, on se ressaisit, on se dit que ce jeu constitue une fiction très bien réussie.

    Mais franchement, Jouer à San Andreas, c’est multiplier les possibilités, c’est se creuser le cerveau, employer toujours et encore des nouvelles techniques de combat, en usant d’intelligence et de stratégie parfois démesurées. On s’en fout, le but est avant tout comme je le répète la jouissance, GTA est là pour ça.

    Bien entendu, aujourd’hui, le jeu gagne en âge, en ancienneté, pourrait même devenir obsolète, dépassé par les toutes nouvelles innovations (tant mieux d’ailleurs) apportées par Rockstar Games. Mais je constate toujours et encore cet univers palpitant et dantesque dans le fond et dans la forme. A l’époque (2004 et 2005), San Andreas innovait réellement, offrait, garantissait au joueur des heures de jeu, avec cette idée créatrice de jeu. En gros, le jeu me donnait l’impression de découvrir des nouvelles possibilités en avançant, de percer un mystère et d’aller toujours un peu plus loin dans les alternatives, dans les multiples hypothèses données au joueur. On pouvait tout faire, partir de rien, construire et élaborer une situation complètement irréaliste et indéfinissable.

    Il reste à examiner le personnage en lui-même et les sentiments. Tout est tourné en dérision, certes, mais on trouve une dose de vérité. On observe la venue des émotions dès le départ et cela tout au long du jeu. Parce que le personnage est embrouillé par un passé difficile, il va devoir s’en sortir, s’extirper des trahisons, des menaces, réussir à les surmonter, et donc, accomplir des missions souvent surprenantes, irrésistibles en termes de moyens, des dialogues d’une violence inouïe, les mots n’ont jamais été aussi durs, j’aime ce contexte d’instabilité, de violence, de corruption, on se trouve au cœur de toutes les tourmentes. On se confronte à des amitiés sincères mais aussi, et c’est déplorable, à des enfoirés qui nous trahissent, qui se retournent contre nous.

    Pourquoi d’ailleurs une dose de vérité ? Pour ainsi dire, le joueur en avançant dans le jeu comprend ce milieu (pauvreté, délinquance, hostilité, meurtre etc.), comprend ce qu’est la vie dangereuse, quand on croit être sorti d’affaire, il y a toujours un dossier qui ressort, malsain, qui tombe pour nous empêtrer dans la boue. Il s’agit d’un cercle vicieux, une fois qu’on se trouve dedans, on ne peut en ressortir indemne, il y a des cicatrices. Ce jeu se caractérise par cette réalité constante de délinquance, se base surement sur des faits réels (je ne sais pas ?), et réussit à émouvoir le joueur (pour mon cas, ça a fonctionné).

    « Grand Theft Auto: San Andreas repose sur les mêmes principes qui ont fait le succès des deux précédents épisodes : mélanger un jeu à la troisième personne avec jeu de tir objectif et un jeu de simulation, en misant sur cette possibilité toujours accrue d'évoluer librement sur un terrain de jeu immense » Wikipédia.

    Je ne pourrais dire mieux, vivre un instant magique dans un univers décloisonné, avec comme il est dit et répété des possibilités immenses qui cherchent toujours un peu plus à se rapprocher de la réalité. En l’occurrence, je tiens à demander aux personnes qui ont pu tester les opus suivants le changement constaté, les différents éléments qui changent etc. outre la qualité qui est démesurément améliorée, mais sur le fond, qu’est ce qui change ?

    Je ne peux douter bien entendu des possibilités, qui déjà, dans GTA SAN ANDREAS étaient poussées (grande amélioration par rapport aux deux précédents), mais dans les suivants, il doit y avoir encore plus de choix, on pourrait même confondre la réalité à la fiction (pour mon cas, je n’en suis pas encore la). En fait, les jeux deviennent tellement réalistes qu'on en vient à se poser la question si on ne pourrait pas devenir le personnage du jeu, carrément le remplacer ! Bon, mon avis pourrait aller encore plus loin, mais sur ce coup, je m’arrête ici en ce qui concerne l’ensemble.



    Quelques éléments qui m'ont également marqué

    Je vais maintenant, en ce sens, continuer mes dires sur tous les petits trucs qui ont attribué une renommée considérable au jeu. Tout d’abord, on trouve comme toujours les cinématiques, qui constituent réellement un point fort, les dialogues entre les personnages, on s’y croit.

    Ensuite, on peut se pencher sur les bandes sons du jeu, les interpellations des gens dans la rue, tous les petits commentaires qui tournent la totalité en dérision. Enfin, il y a les musiques, MERDE, je n’ai jamais autant pris plaisir à écouter la radio dans un jeu vidéo. J’en arrive même à confondre la réalité au jeu. Même si on s’aperçoit que ça tourne en boucle, et bien, tout est poussé à l’extrême, autrement dit, on en vient à accepter, à tolérer, et à AIMER les radios du jeu.

    Et puis, il faut mentionner l’efficacité, il y en a pour tous les goûts, d’ailleurs, quand j’ai commencé, j’ai découvert des tonnes d’artistes, de groupes que je ne connaissais pas ! Et c’est tout simplement génial. Je n’irai pas plus loin, je m’arrête ici.



    Conclusion

    En définitive, ce jeu m’a marqué sur de nombreux points avec toujours ce sentiment d’admiration pour les créateurs, de jouissance pour l’univers du jeu, d’humour pour les nombreuses situations loufoques et excentriques. Bien entendu, je souhaite terminer sur le fait (je me répète) que c’est le seul jeu de la série dans lequel j’ai passé du temps, à découvrir, à explorer. Les précédents n’ont malheureusement pas été exploités réellement (du moins, je ne me suis pas trop attardé dessus, ou peut être cela s'explique par le fait que je n'ai pas réussi à rentrer dedans), et les suivants non plus (dommage). A ce propos, je pourrais dire mieux pour les suivants, mais comme je n’ai jamais trouvé le temps (les Fuc* d’étude) de les essayer, je n’en serai surement jamais rien. Donc, j’en reste à San Andreas, pour mon cas, il n’y a pas d’évolution possible (intérieurement, je sais que les éditeurs ont créé des choses encore plus extraordinaires avec les nombreuses bandes annonces des opus suivants, j’en tombe sur le cul, mais comme je le répète, je n’ai jamais eu cette occasion de changer de monde, bloqué à San Andreas).


    Quelques Aperçus

    En complément, quelques vidéos:







    Ça fait du bien, beaucoup de bien. D'ailleurs, je m'attends déjà à quelques critiques (ou nombreuses peu importe), je tiens tout de suite à préciser que je ne chercherai pas à défendre le jeu, puisque c'est un avis personnel et non général !
    Dernière modification par Strabon, 24-03-2015, 13h23.

  • #2
    C'est une série dont je suis fan. Des premiers au dernier (j'attends le V sur pc avec impatience. Il a été repoussé pour sortir le 24 mars, jour de mon anniversaire. C'est pas un signe ça ?! ), le studio a toujours su faire évoluer son gameplay, et dans une moindre mesure le fond, tout en gardant le second degré qui fait partie de l'identité de la série.
    J'ai pris mon pied sur les premiers en vue aérienne *nostalgie* et ceux d'aujourd'hui (je parle depuis le III qui a été un tournant) me donne autant de plaisir.

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    • #3
      Moais m'enfin on se touche un peu dans le dernier, c'est assez vide. On verra sur PC avec les mods et les braquages.

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      • #4
        Envoyé par WarDawn Voir le message
        on se touche un peu dans le dernier, c'est assez vide.
        Surprenant. Je n'imaginais pas un tel commentaire (je sais pas, j'ai jamais essayé, certes, mais je pensais à tout sauf à du vide )

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        • #5
          La ville est toute petite, ensuite tu as une montagne et du désert qui occupe 3/4 de la map (je ne mens pas).
          M'enfin le jeu est sympa, mais comme le dernier Civilisation, on s'ennuie.

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          • #6
            sur GTA V, les graphismes étaient tellements beaux que j'arrivais pas à trouver de plaisir.
            C'est con à dire, mais je l'aime pas à cause des ces graphismes
            Par contre San Andreas <3

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            • #7
              Après l'intérêt de Grand Theft Auto: San Andreas, c'est surtout SAMP et MTA.

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              • #8
                C'est-à-dire ?

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                • #9
                  Le multijoueur.

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                  • #10
                    j' arrive plus à accrocher les gta depuis le 3. Je trouve que plus ca va moins y a d' ame.
                    Et le dernier, je le trouve fun qu'en online avec des potes.

                    Commentaire


                    • #11
                      Envoyé par JC_CESAR Voir le message
                      Le multijoueur.
                      J'ai testé une seule fois dans ma vie le mode multijoueur, je m'en souviens, c'était chez un pote: une partie sur PS3 (moyen) mais l'ambiance était présente (souvenir de rigolade, d'amusement à fond et dérision incroyable, on tuait des pauvres gens pour obtenir un maximum d'indice de recherche !) Génial.

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                      • #12
                        Le multijoueur de GTA SA est tellement vaste et il y a tellement de mode de jeu différent que bon, j'y ai énormément (surement trop) joué, je jouais sur un serveur RP et je gérais le LSPD avec 20 membres sous mon commandement, des bons souvenirs.

                        Une vidéo pour vous donner une idée de ce qu'on faisait (en gros chaque patrouille avait un channel privé et il chuchoté en général qui se re balancer dans les channels de patrouille (pour qu'on puisse se coordonner)

                        Dernière modification par LeFoureur, 20-01-2015, 21h35.

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                        • #13
                          Oh ça donne envie

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                          • #14
                            Malheureusement la communauté est pourrie jusqu'à la moelle, c'est un jeu avec un potentiel de roleplay fou, mais la communauté étant vraiment l'une des pires que j'ai connue (quasiment égale à celle de DayZ), s'investir (car quand tu gères une aussi grosse institution, ça prend énormément de temps, mais quand derrière certains joueurs ne respectent rien, ça rend assez fou.)

                            Tiens un exemple du manuel que devaient apprendre les jeunes recrues (ne faites pas attention aux fautes ), après ils faisaient une formation d'environ +10h (réel) sur trois jours :

                            Spoiler:


                            Puis un petit journal qu'on sortait hebdomadairement () :

                            Spoiler:




                            Bref, j'en ai passé du temps sur ces conneries.
                            Dernière modification par LeFoureur, 20-01-2015, 22h06.

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                            • #15
                              Ahhh oui c'est vraie que la commu était (et est toujours) pourrie en général, mais bon comme pour DayZ il y à, heureusement, des serveur RP bien administré.

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