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  • Julius Theos
    a répondu
    Vos propos m'interpellent... Les pedites extraordinari (raccourci pe) sont formidables en mur hoplitique mais attention les "pe" tradifs, suite à la première réforme romaine, ne disposent plus de cette capacité (conserve juste le carré creux). Seulement 220 hommes (taille de de l'unité : ultra) mais qui se battent jusqu'au dernier (quasiment, dernièrement une unité à fuit à 16 hommes et s'est reformée derrière ) si mis en mur hoplitique, attaque de face sans charge dans le dos. J'ai fais des tests en difficulté normal car c'est à ce niveau que les unités combattent à armes égales face aux unités de l'IA et toute les autres unités d'hoplites perdent contre eux (en difficulté plus élevé les unités IA reçoivent des boosts faussant tous tests d'unités).

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  • Agrippa
    a répondu
    J'ai vérifié de nouveau, leur possibilité de formation s'appelle "formation en carré" qui est différent du carré creux, est une variante du mur hoplitique et chez moi ne booste pas du tout leur défense en mêlée mais seulement leur défense face à la cavalerie qui augmente d'une 20 aine de points (de mémoire) c'est donc un bug ?

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  • cristofo
    a répondu
    Les pedites, tout comme les triarii, peuvent former la phalange hoplitique. C'est cette formation qui leur donne un gros boost de défense et de résistance à la fatigue.

    Enfin, à titre personnel, j'ai été très déçu de ces unités, vantées comme des guerriers hors-pair et qui se font violer de face par des milices hoplitiques en causant un nombre dérisoire de pertes (déjà vu)

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  • Agrippa
    a répondu
    Salut, je souhaitais aborder avec vous le cas des pedites extraordinarii, vantés dans leur description comme étant les meilleurs triarii. J'en suis assez déçu car leur coût d'entretien est assez élevé et ils ne tiennent pas tout à fait leur promesses. En effet ils sont capables d'adopter une formation en carré, semblable au mur hoplitique des triarii, sensée augmenter leur défense en mêlée, réduire leur fatigue et augmenter (je n'en suis pas sur) leur attaque. Or contrairement aux triarii leur défense n'est absolument pas boustée, environ +50 pour les triarii, et très peu voir rien pour les pedites extraordinarii. Est-ce normal ou est-ce un petit bug ?

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  • Samarobriva
    a répondu
    Généralement le problème provient d'une vielle sauvegarde.
    Tente de démarrer d'un jeu nouveau

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  • Lord of Rivia
    a répondu
    PLop, simple question est ce que DeI sera remis a jour sous peu? j'entends jouer avec le patch 13 ou 14 je sais plus ( a force ...) Dernierement via le workshop j'ai telecharger les 6 parties mais le jeu plantais de divers maniere.

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  • cristofo
    a répondu
    Quelles étaient leurs armes? Une "lance" de grande taille ou une simili-sarisse?

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  • Terethor
    a répondu
    Une sacrée horreur ces phalanges germaniques, je me souviens encore du massacre de mes hastati de garnisons bloqués à la sortie des remparts par une phalange, tous sans exception massacrés et pas un piquier mort

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  • Faras
    a répondu
    C'est César et Tacite les descriptions.

    (I, 52)

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  • Lord Perhaps On The Roof
    a répondu
    Envoyé par Faras Voir le message
    C'est même l'unité la plus attestée dans les sources littéraires.
    Je me trompe ou les Grecs antiques étaient assez ignorants de leurs voisins (voui, les fameux Barbaros là ..) pour nommer phalange un vague attroupement de gueux allemands avec leurs chaussettes dans leurs sandales ?

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  • Faras
    a répondu
    Des phalanges germaniques? Sérieux?
    C'est même l'unité la plus attestée dans les sources littéraires.

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  • cristofo
    a répondu
    Des phalanges germaniques? Sérieux?
    Je me dis que j'ai eu raison de passer les germains au fil du gladius... Enfin je vois pas les effets des différentes réformes sur la Bactrie, comme prévu c'est 50% de piquiers de base (voir de levées) + des troupes de lanciers orientaux ou de montagnards, alors que la Bactrie possède tout l'Orient. Bref, mes légionnaires vont s'amuser...

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  • TheMouse
    a répondu
    Pas de grosses différences sur le plan tactique. Mais envoyée à la sauce IA ( càd en masse sur la ligne de bataille ), elles peuvent faire un énorme carnage. Dans le sens où ces troupes sont globalement beaucoup plus résistantes aux chocs moraux et ne courbent pas l'échine au moindre signe d'épuisement ou d'encerclement. J'ai surtout ressenti ça car j'incarnais une faction hellénique avec une ligne moyenne ( mais de bonnes troupes de contournement ), et alors qu'avant ces réformes, une prise à revers réussie signifiait généralement la déroute toute proche, dans le cas présent, 4 unités chargeant l'arrière + javeliniers en aval n'ont pas suffit et la ligne a été percée extrêmement vite ( composée de hoplites de base mais largement supérieurs en nombres ). J'ai aussi croisé une unité de piquiers germanique en phalange, c'était plutôt surprenant.

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  • cristofo
    a répondu
    J'ai pété tous les germains avant qu'ils puissent avoir leurs réformes neitos, elles marquent une vraie différence?

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  • TheMouse
    a répondu
    Rome ne sort jamais de sa péninsule italienne. Ayant fait quelques tests, soit elle prends beaucoup trop de temps à attaquer, soit elle prends des régions à la chaîne qui se rebellent très vite ou qui se font reprendre par l'ennemi au tour suivant ( elle ne prends jamais la peine de les protéger ). Par contre, elle réussit beaucoup mieux ses attaques par la mer. Généralement, elle prends très vite les territoires de Carthage en méditerranée. Par contre, elle laisse l'Italie sans défense, et les barbares sont des rouleaux compresseurs. Mais oui, dans l'ensemble, de très gros empires se forments ( les Ptolémées qui dominent le sud de Antioche à Tanger ). Mais je reproche toujours une IA beaucoup trop docile et fidèle. Jamais de trahisons de mon côté, il manque toujours ce malus d'expansion territoriale. Du coup, passé les premiers tours, le jeu est toujours trop facile. Et ça, DeI n'y est pour rien.
    A défaut d'avoir une IA, j'ai pu constater avec plaisir que les réformes marquaient de vraies différences dans les combats. J'ai affronté une armée de Germains après les réformes Neitos, j'ai salement dégusté.

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