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  • Récits de Batailles

    Venez ici postez vos plus belle victoire (ou défaite ) d'Europa Barbarorum.
    Dernière modification par F-Ake, 06-08-2010, 16h39.

  • #2
    La Bataille de Sélinonte.


    Spoiler:
    En janvier 220, des ambassadeurs romains arrivent à Pella, porteurs d'un message d'aide à l'intention du Roi Persée Nikator, qui s'est autoproclamé Roi des Hellénes - après le Traité d'Halicarnasse en 226 avec le Pont, lui assurant la mainmise des cites égéennes de l'Asie Mineure-.

    Effectivement, la République Romaine est depuis 236 avant notre ère, en guerre contre une vaste coalition unissant les Lusitaniens, les Gaulois, le Royaume Tarentinien ( fondé par un fils du Roi Alexandre d'Epire, mort en 245) et surtout la République de Carthage.
    Rome remporte de nombreuses victoires en Tarrasconnaise entre 236 et 231, repoussant efficacement les Ibères et des contingents carthaginois. Mais un raid gaulois anéantit les forces romaines de Tolosa, qui se voient forcés de battre en retraite sur Marseille.
    Mais le grand danger vint en 230, ou Pyrrhos Antigoneus s'empare de Capoue, et met le siège devant Rome et Arpi. Mut par un sentiment patriotique, les Romains, sous la férule du dictateur Lucilius, refoulent les Tarentiniens hors du Latium lors de la bataille de Fundi en 225.
    Le cours de la guerre semblait tourner du coté de Rome, avec l'échec du siège de Rhégion en 223.
    Mais ce n'était pas sans compter la force et la puissance de l'empire Carthaginois, qui lève trois puissantes armées, qui débarquent en Sicile en hiver 222.
    Dès l'été 221, Méssine est prise, au prix d'une résistance héroïque qui laisse exsangue toute une armée punique.
    Mais les Romains, n'ayant pas assez de moyens pour s'opposer à l'expédition de Carthage, décident de faire appel aux Antigonides, qui avaient autrefois signé d'un traité de non-belligérance et d'assistance en cas d'attaque des Epirotes en 263.
    Persée Nikator, décide de monter une expédition, mais se heurte à l'opposition farouche de l'Assemblée Hellénique qui refuse de lever une armée pour un traité signé avant la création de l'Assemblée.
    Selon les discours de Critias, député athénien, le traité ne concernerait que le Royaume de Macédoine, et non le nouveau Royaume Hellénique en son entier, même s'il agit de la même dynastie.
    Persée, conscient que le problème romain néssécite une grande rapidité, n'impose que le paiement d'un impot extraordinaire aux Cités fédérées, et promet de s'occuper de cette résistance à son retour.
    Il ne part donc qu'avec l'Armée Royale, qui est recrutée essentiellement en Thessalie et en Macédoine.

    En été 218, il débarque près de Syracuse, et force son armée à s'installer pour l'hiver près de Sélinonte, en plein cœur du pays contrélé par les Carthaginois, ou il apprends que les armées puniques ont prit Rhégion et menacent le Latium.


    L'armée punique est essentiellement composée de piquiers libyens, appuyés par plusieurs unités de phalange d'élite, et surtout d'une cavalerie nombreuse.


    Elle tombe sur les positions antigonides en hiver 218, près de la ville de Sélinonte.


    Persée Nikator décide de placer son armée parralèllement à la Mer.
    Il place au centre sa phalange, protégée plus en avant par des Akontistai, de l'infanterie légère.


    Il protège son flanc droit par les hypapistes royaux et les peltastes d'elite.


    Bien sur, traditionnellement, les agyraspides, les phalangistes d'élite forment l'extrème-droite de la phalange.


    Au centre sont disposés les Pezhetaroi vétérans des guerres contre le Pont.


    Mais Persée tente sur son flanc gauche une disposition audacieuse.
    Il s'appuie sur le relief pour protéger la gauche de sa phalange, et place dans l'escarpement rocheux ses troupes agrianienes et des thureophoroi pour éviter un contournement, tandis que la cavalerie légére se place bien en arrière, fermant ainsi le dispositif sur l'aile gauche.


    Enfin, le Roi se porte avec ses Hetairoi à la droite de son armée.


    C'est une armée impressionnante qui fait face aux grecs. Entourée par plusieurs contingents de cavalerie lourde, une grande ligne d'infanterie, soutenue au centre par 700 phalangistes du bataillon sacré, avancent lentement en direction des positions antigonides.



    Dès le début de la bataille, Yehawwielon envoie la cavalerie de son aile droite, pour contourner l'escarpement rocheux et attaquer ainsi à revers la phalange ennemi.


    Pendant ce temps, les premières accroches entre infanterie légère commence.


    La Cavalerie punique hésite fortement, si elle s'engage dans le couloir rocheux, elle fera face à une infanterie solidement ancrée, et le contourner serait à la fois perte de temps et danger pour les arrières de sa propre infanterie.
    Après quelques hésitations, la cavalerie charge les thureophoroi grecs.
    Le choc est rude, et le chaos s'installe rapidement, les soldats criant “ Ils ne passeront pas!”.



    Au centre, l'armée carthaginoise se déploie sur toute sa longueur et se permet même d'accumuler quelques bataillons au centre de la bataille.



    A la droite, c'est une cavalerie fougueuse qui charge sur les gardes royaux et les agyraspides.
    Elle sera tenue en respect rapidement, par des hypapistes qui formeront une phalange hoplitique impeccable.



    Mais la bataille continue, au flanc gauche, la première vague de cavalerie est refoulée tandis qu'une seconde arrive rapidement.

    Mais elle est pilonnée de javelines envoyées par la deuxième ligne.


    Sur l'aile droite, les Carthaginois tentent un débordement, mais sont rapidement interceptés par les Hetaroi.



    Au centre, une grande cohue se forme, si les milices citoyennes ne causent pas grand problème aux pezhetaroi, les charges de cavalerie puniques cumulées aux Guerriers Sacrés sont une menace autrement plus redoutable, alors que les Gardes royaux repoussent sans peine un bataillon de piquier libyens.





    Enfin,sur la flanc gauche la situation se débloque, la cavalerie carthaginoise s'enfuit : ils ne sont pas passés.


    Mais la situation commence à devenir critique au centre, ou les rangs de phalangistes commencent à fondre dangereusement devant l'ardeur des contingents d'élite punique.
    L'aile gauche grimpe l'escarpement rocheux, mais voit au loin la très lourde cavalerie du général Yehawwielon charger pour empécher ce contournement, mais heureusement, les Prodomoi interceptent à temps la charge, tandis que la cavalerie légère prends à revers la garde du général.




    Sur le flanc droit, les Hetairoi et les gardes royaux mettent en fuite tout leurs opposants, pourtant bien nombreux.


    Mais au centre de la bataille, les fantassins puniques menacent de briser la phalange, et de couper en deux la ligne de bataille, ce qui serait fatal au Roi des Hellènes.


    Incapable d'exploiter cette grave faiblesse, le général carthaginois meurt au combat, paralysé par la prise au revers de la cavalerie légère macédonienne.



    C'est soudain la libération, de tout les cotés chargent les Hetairoi et les Prodomoi.


    Les Carthaginois s'enfuient, et la plupart seront massacrés par les cavaliers grecs.


    A la tombée de la nuit, on dénombre donc sur 3800 macédoniens engagés, 400 morts, et sur 3000 carthaginois ,à peine 60 survivants.
    A l'issue de cette grande bataille, Persée Nikator dit ceci “ Soldats, je suis fier de vous, et quand vous rentrerez dans notre patrie, vous pourrez dire n'importe ou “ J'étais à Sélinonte”, et on vous répondra “ Voilà un brave!”.


    Toute ressemblance avec d'autres batailles n'est que coïncidence fortuite.
    Dernière modification par F-Ake, 06-08-2010, 16h49.

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    • #3
      Une branlée.
      Excusez-moi, mais je ne vois pas d'autres mots.
      Je viens de prendre une tannée monumentale par une armée carthaginoise.
      Spoiler:
      Pour faire le lien, j'ai débarqué une armée hellénique en Calabrie , qui sans coup férir, a prit Tarente ( qui sera remit aux Romains) et se dirige vers Arpi avec un horizon plutôt dégagé.
      En Sicile , ca chauffe bien plus autrement.
      J'envoie la toute nouvelle armée Macédono-thracienne pour remplacer l'Armée Royale qui commence a un peu trop péricliter à mon gout, mais ces *censuré* de voleurs et de fourbes puniques, m'ont fait un joli blocus sur les iles égeates, me forçant à débarquer au nord de Méssine, Pim Pam Poum, une armée carthaginoise vient à ma rencontre...
      Armée ayant le même nombre de soldats que moi, mais des soldats d'élite face à une armée ( y compris le général) fraichement recrutée dans les vertes collines thraces et macédonienne.
      Je n'ai pas prit assez de screenshoot pour faire un récit ( trop concentré a essayer de la gagner ), mais je l'explique avant de poster les screens ( elle est vraiment très belle).
      Positions scolaires, sauf pour mes agyraspides que je met à gauche, appuyés par des Javeliniers agrianiens et des Manieurs de faux thraces d'élite, car j'appuie ma droite sur un petit promontoire.
      J'empèche sa cavalerie légère numide d'harceler mes arrières en y opposant la mienne ( respectivement les Cavaliers Thraces et Tarentiniens), alors qu'il tient en respect ma cavalerie lourde sur ma droite avec la cavalerie du général.
      Le souci, c'est que vu que l'armée est bourrée de soldats d'?lites, ils ont forcés le centre, et contrairement à l'autre bataille, ils ont réussit, et ont complètement coupé l'armée en deux alors que ma cavalerie lourde était paralysée par une partie de la leur...
      Là, j'ai plus cherché à me battre et j'ai ordonné le repli général sur ma flotte, qui elle a réussit à remporter une victoire ( ouf!, sans ca, c'était l'empalement pour toute mon armée )

      D'ici on voit bien le promontoire rocheux et toute l'armée.


      L'armée Carthaginoise est composée essentiellement de phalangiste d'élite, appuyés par une cavalerie lourde mais aussi numide, et surtout par une unité du Bataillon sacré....



      Ici, il faut remarquer à l'arrière-plan les différentes flottes ( A gauche une partie de la flotte punique, à droite la flotte hellène)


      Au premier plan, l'affrontement entre cavalerie légère, au deuxième plan l'armée, et au troisième la dernière partie de la flotte punique.




      La Phalange se brise, devant les yeux apeurès des Hetaroi qui arrivent trop en retard...


      Ici, je salue la noble et l'héroïque résistance des Agryraspides qui se sont battus jusqu'au bout contre plusieurs unités d'élite ( bouclier blanc, les Hoplites du bataillon sacré, les vertes, l'infanterie d'?lite punico-lybienne, les petits bouclier blancs, les phalangistes d'élite, et la cavalerie avec un bouclier étoilé, un autre corps sacré) pour permettre au gros de l'armée un repli dans l'ordre.



      Bon ben c'est le massacre, même si j'ai réussià? sauver une bonne partie de l'armée.

      A cela, je tiens à souligner deux choses:
      Premièrement, il n'y a que dans EB ( je joue en NORMAL) ou on peut perdre des batailles rangées avec une bonne armée comme ca.
      J'ai joué à plein de mods, mais il n'y a que dans EB ou on peut prendre des claques en combat " équitable" ( c'est pour vous y inciter à jouer : p).

      Deuxièmement, je prépare ma revanche, j'évacue la sicile, je finit d'aider les romains, et comme disent nos amis les jeunes de banlieue dans un bon français : " je vais leur mettre sa race".
      Dernière modification par Faras, 16-10-2010, 19h25.

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      • #4
        T'en as beaucoup des batailles épiques comme celle-la ?
        Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h39.

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        • #5
          Tu joue en Normal en difficulté de campagne ou en difficulté de batailles ?
          Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h40.

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          • #6
            Envoyé par Angelus Voir le message
            T'en as beaucoup des batailles épiques comme celle-la ?
            Bah ben ca dépends
            Dans Europa Barbarorum, il y a moins de batailles que dans RTW vanilla ou que dans Roma Surrectum. Mais en échange, les batailles sont souvent grandioses et dures.
            Je me souviens d'une bataille contre les Boii, lors de ma campagne romaine, 3 légions contre 4 armées barbares. Outre le fait que mon ordinateur suffoqua le temps qu'il ait assez de soldats morts pour que ca rame moins, ce fut une bataille grandiose et magnifique, ca se bastonnait dans tout les sens, et j'ai même perdu mon empereur ( ).
            Mais je pense pas avoir de grandes batailles avant longtemps, le siège d'Arpi est bientot fini, et les romains sont en train de marcher sur Capoue.
            Aprés par contre, je débarque en Sicile, et il risque d'en avoir une dantesque, sauf si ces fourbes de puniques battent en retraite.


            Aprés, sinon, je joue en normal en bataille et en campagne.
            Au-delà du normal en campagne on se fait attaquer par tout le monde, et je trouve ca plutôt bof et peu historique. Dans ma campagne en normal, je suis alliés aux Gètes qui ne m'ont jamais attaqué, et le cessez-le-feu avec le Pont a été respecté ( alors que c'est eux qui ont ouvert les hostilités).
            En bataille, au-delà du normal, je trouve ca vraiment beaucoup, beaucoup, plus dur .
            Dernière modification par F-Ake, 06-08-2010, 16h52.

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            • #7
              Ce qui m'étonne (et me remplit d'envie) c'est que dans tes batailles le général adverse n'a pas mené de charge suicidaire en début d'hostilités. Tu ne joues pas avec un sous-mod?
              Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h41.

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              • #8
                Non non je joue avec aucun mod, meme si j'assiste parfois au traditionnel suicide "direct", chez moi la plupart du temps ils restent planqués ces bougres.
                Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h41.

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                • #9
                  Depuis que j'ai vista, je n'arrive plus à faire de captures d'écran grace au pratique hoversnap. Faudra que je me repenche sur les solutions alternatives.
                  J'ai le souvenir de batailles dantesques avec les Pahlava (Parthes) contre les phalanges séleucides. Mes archers à cheval se trouvaient rapidement à court de fléches, d'où des charges suicidaires de plusieurs cotés, jusqu'à ce que les phalanges craquent...Montée d'adrénaline garantie. Heureusement l'ennemi se dispersait pour courir aprés mes cavaliers. Mais meme comme cela ce n'était aps facile. Surtout que 2 ou 3 autees armées attendaient leur tour, quand la mienne représentait l'essentiel de mes forces.
                  Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h42.

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                  • #10
                    Utilise le logiciel Fraps pour faire les captures, en tous ca, moi je l'utilise, et y'a pas de souci .
                    Aprés, j'aime pas trop jouer les "Barbares" et j'ai à peu près toujours jouer les factions hellénistiques et romaines, mais un jour faudrait effectivement que je me mette ? jouer une faction nomade pour un style de jeu différent....
                    Ah sinon, c'est sur qu'EB n'est pas facile, ca je te crois : p
                    Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h42.

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                    • #11
                      En ce moment je fais encore pire: j'ai entamé une campagne germaine. Pas un rond, des rebelles élevés au banania dans les environs. Au départ je me suis quand meme bati ma petite entreprise tranquille, les Gaulois (Edui) ne furent guere un probleme, je me suis dit "facile" quand j'ai vu alors les Romains arriver.
                      Une horreur. Une guerre d'attrition à 1 contre 5. Heureusement pour le moment je fais face a des hoplites mercenaires, mais les legionnaires commencent a arriver. Honnetement, je ne sais pas trop comment m'en sortir.
                      La je tiens tout juste, et mon tresor commence a baisser. Viendra le jour où je ne pourrai plus reconstituer mes armees. Et alors la...
                      Je ne peux que vivement te conseiller la campagne parthe. Depaysante, et les unites parthes sont de toute beaute. Quand je vois ce que CA ose vendre comme DLC sur Empire... Et puis le style de combat est radicalement different.

                      PS: j'abuse mais tu pourrais m'indiquer comment utiliser fraps parce qu'avec vista il faut passer par paint.
                      Dernière modification par F-Ake, 30-07-2010, 12h44.

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                      • #12
                        Bonne chance avec les germains, sans doute une des factions le plus dures d'EB.
                        Par rapport aux rebelles, pass? l'Oder-Neisse et les Boii au sud, c'est des monstres sans noms ( En fait c'est fait pour ?viter une domination de l'IA sur ces contr?es, ce qui serait ahistorique et la forcer ? attaquer vers le sud), je me souviens qu'avec les romains, j'avais voulu tenter une " Alexandriade", en envoyant une arm?e traverser l'Oder-Neisse pour s'emparer d'une cit? scythe bien plus loin ( juste pour le fun).
                        L'arm?e s'est fait d?chiqueter par trois arm?es barbares enrag?s et gonfl?s aux st?ro?des .
                        J'ai plus rien tent? apr?s ca, et j'ai confi? la Germanie avec tout en auto-gouvernement + le style de gouvernement en 4 (-Amicus Populi Romani- peuples alli?s), avec un grand " D?brouillez-vous!".
                        Apr?s, je pense que avec les Germains, il faut s'emparer de la Route de l'Ambre qui la seule chose qui assure des revenus d?cents dans ces for?ts pom?es
                        Bonne chance pour la suite contre les romains ( tu pourrais pas montre un screen par ailleurs?).
                        M'enfin, d?s que je me lasse de Call of Warhammer, je reprends ma partie mac?donienne, je fais mon Anabase, et ensuite je pense commencer avec une faction nomade pour changer un peu le style.

                        Pour Fraps, tu l'installe, tu configures avec quel bouton tu vas "imprimer" l'?cran et dans quel r?pertoire.

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                        • #13
                          Affronter les Romains dans EB, c'est comme nager à contre-courant. En plus l'IA est une machine, elle fatigue pas

                          Faras j'ai mit tes récits en spoiler parce que leur chargement gêne la lecture. (ta du le remarquer)
                          Dernière modification par F-Ake, 06-08-2010, 16h53.

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                          • #14
                            Envoyé par Faras Voir le message
                            Pour Fraps, tu l'installe, tu configures avec quel bouton tu vas "imprimer" l'écran et dans quel répertoire.
                            Je crois qu'avec vista il faut passer par paint. Bon je vais essayer.
                            Je confirme les rebelles sont des hordes sanguinaires à certains endroits, l'ennui c'est que ces régions font partie de mes objectifs de victoire. De toutes façons pour le moment je suis largement occupé par le Romain. Il perd 10 batailles, et c'est moi qui suis au bord de l'effondrement, alors qu'il continue à m'envoyer des piles fraiches. Au secoooours!
                            Dernière modification par F-Ake, 06-08-2010, 16h53.

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                            • #15
                              Classique lorsqu'on combat contre Rome.? Je vais d'ailleurs tenter une nouvelle fa?on de les combattre avec l'Epire. Le combat "r?gulier" n'ayant pas l'air de fonctionner, c'est ? dire avanc?e progressive et consolidation des villes prises. Je vais tenter la m?thode sauvage. On envahie, on ravage et on passe ? la ville suivante. J'esp?re avoir assez de troupes dispo pour pourrir les arm?es et villes romaines d?s le d?but de la partie. :/

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