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  • Alexandre

    Alexandre - 2004





    Présentation

    Alexandre est un jeu vidéo de stratégie en temps réel, de tactique et de gestion sur PC, commercialisé en 2004. Il est développé par GSC Game World et édité par Ubisoft. Le joueur incarne Alexandre et mène ses armées aux confins du monde connu en mode campagne. Il doit lutter contre les armées perses, innombrables, il doit pour cela mettre en exergue des manœuvres ingénieuses sur le champ de bataille. Toutefois, il sera possible - avantage indéniable - de s'introduire parmi les rangs ennemis dans trois autres campagnes. Chaque campagne raconte le périple du chef et de sa civilisation. La plus intéressante reste celle d'Alexandre puisque vous reproduisez l'histoire Antique à votre sauce.

    Quatre empires sont jouables en mode solo: la Grèce, l’Égypte, l'Inde et la Perse. Respectivement, Alexandre, Nectanebo, Porus et Darius seront les chefs vénérés de votre civilisation. Chaque civilisation détient des bonus, chacune possède un système d'unités et de bâtiments uniques, propres. Néanmoins, on regrettera le nombre de soldats disponibles. Ce qu'il faut bien comprendre avant de traiter la section suivante, c'est que cet opus se base d'abord sur un personnage historique, ensuite sur le film avec Oliver Stone. Enfin, et c'est le plus important, cet opus se fixe comme point de repère la série Cossacks sur le fond comme sur la forme. Il convient d'étudier maintenant tout cela.



    Impression

    A l'occasion d'une lecture biographique de Joel Schmidt et d'un documentaire visionné sur sa vie, j'ai décidé de m'attarder sur Alexandre Le Grand. Alexandre symbolise beaucoup aujourd'hui. C'est un homme, mais davantage, Alexandre est un général légendaire, un roi extraordinaire, un conquérant mythique (inégalé), qui descendrait même selon la tradition des Dieux. Bon, tout cela concerne le personnage en lui-même. Je ne souhaite pas conter son histoire, il suffit de jeter un coup d’œil dans le dictionnaire ou de taper son nom sur Internet pour tomber sur des millions de références.

    Alexandre, outre le personnage sublime qu'il fut, c'est aussi un film. Un péplum réalisé en 2004 par Oliver Stone qui emmène avec lui un panel d'acteurs : Colin Farrell, Jared Leto, Angelina Jolie, Anthony Hopkins, Val Kilmer. A partir de cet instant, la machine commence à dérailler. En effet, on avait subi de nombreux documentaires, des livres, mais jamais un péplum. Et l'histoire en fit autrement avec ce film. Alexandre a conquis le monde, mais pas le cœur des spectateurs. Côté critiques, le film a été accueilli fébrilement, pis encore, les gens étaient partagés sur le résultat final. On aboutit sur un débat futile : un controverse qui tourne en dérision le personnage historique, Alexandre Le Grand, avec le rôle de Colin Farrell. Ce film, pour mon cas, représentait beaucoup à sa sortie. Les quelques extraits dans la bande annonce me donnaient des frissons, j'observais des scènes à couper le souffle. Comment décrire ma déception lorsque je l'ai enfin regardé, et j'ai tenu jusqu'à la dernière minute. 3h00 de navet, voilà ce que j'en retiens. Bon, je vais être gentil, 1h00 de bonnes choses, 2h00 de lourdeur, c'est long, c'est plat, c'est chiant. Et rien que de voir Angelina Jolie incarner Olympias me faisait chier. C'était un peu le cadeau empoisonné, insupportable, indigeste. C'est le premier coup qui vient frapper la mémoire du grand personnage. Malheureusement, un autre événement allait bouleverser la donne. Ensemble instable et incohérent, pourtant et bizarrement, le jeu relève le film. Il y a quelques années, mon impression tendait sur du négatif. Plus tard, en me concentrant davantage, j'ai découvert un opus raisonnable, digne d'exister. Le film ne mérite pas sa place parmi les grands péplums (on ne se souvient uniquement que des grandes batailles et de la confrontation d'Alexandre et de l'éléphant). Le jeu, quant à lui, a quelques inconvénients aussi, mais dispose aussi d'avantages !

    Il conviendra d'étudier la forme en premier lieu. Depuis peu, j'ai décidé de me concentrer d'abord sur la forme alors que je la traitais en second autrefois. En effet, la forme correspond à l'atmosphère conférée par le jeu. L'atmosphère met en évidence les cinématiques, la musique, les sons, les graphismes, la 3D, le cadre général, l'histoire également. Puis, une fois la forme analysée, on se penchera sur le fond qui concerne le côté stratégique, la gestion des bâtiments et des unités, les tactiques, les campagnes, les cartes, le gameplay, etc.

    Si j'entame mes dires par la forme, ce n'est pas un hasard. C'est Cossacks qui en est la conséquence directe. En effet, citer Cossacks, c'est se rappeler d'une belle série : American Conquest. Les développeurs, GSC Game World, décidaient, similairement au film dramatique de relever un défi de taille : sortir un jeu vidéo digne d'Alexandre Le Grand. Ce travail se concrétise en novembre 2004. Que penser ? L'histoire indique que pour chaque blockbuster sortant au cinéma, forcément, il doit être suivi ou soutenu par un jeu vidéo. Fréquemment, le résultat n'atteint pas la perfection, la cité de l'idéal du jeu vidéo. On en est souvent éloigné. Toutefois, et pour Alexandre, en matière informatique, cet opus a la faculté de renverser la pensée très négative du genre : le film était mauvais donc le jeu aussi, ou le film était très bon, mais le jeu très moyen. Il semblait difficile de croire qu'un jour, le phénomène inverse se déroulerait devant mes yeux. Pourtant, c'est le cas, cet opus témoigne une certaine différence à l'égard du film, il réussit là ou le réalisateur Oliver Stone a foiré.

    Donc, en ce qui concerne la forme, cet opus met dans l'ambiance le joueur sans difficulté. Comme je l'affirmais, citer la forme, c'est s'attarder sur la fameuse série Cossacks. Cela passe impeccablement, le changement d'époque en conservant les grandes lignes directrices des American Conquest m'a même séduit. On retrouve exactement tout, mais peut être en mieux au niveau graphique. Un petit cap semble avoir été franchi avec Alexandre. Pour rappel, une petite année sépare American Conquest d'Alexandre, respectivement sortis en 2003 et 2004. En l'espace d'un an, on découvre une revalorisation, certes minime, mais présente sur les graphismes généraux. C'est plus net, plus détaillé. Le principe reste identique, on contrôle toujours des grosses armées, aucune difficulté pour les déplacer d'un point à un autre, le cadre/l'environnement textuel démontre une aisance de jeu. On n'hésite pas à visiter la carte, à s'attarder sur tel endroit car c'est agréable. L'environnement se concentre sur les détails donc les forêts, les montagnes, les collines, la mer, les fleuves etc. Le tout délivre un style similaire aux American Conquest. La seule différence, c'est que l'on est heureux d'incarner Alexandre et non plus des tributs indigènes ou des colonisateurs. C'est l'idée de casser les époques en gardant une forme identique. Ainsi, j'ai adopté une position plus généreuse sur le jeu, moins rigoureuse. C'est comme une copie, mais j'aime bien. Ensuite, toujours sur la forme, on situe des musiques et des sons frappants, on vibre étonnement. Sur les cinématiques, elles sont peu nombreuses voire insuffisantes et c'est dommage. Si je devais retenir un point dans ce jeu, ce sont les graphismes. Le reste suit, mais ce sont les graphismes qui tracent cette route de l'agréable et du fiable. On aboutit sur un jeu cohérent sur la forme, la 3D accompagnant l'ensemble. Bref, sur la forme, je n'ai rien d'autres à ajouter, qu'en est-il du fond ?



    Marlon Onantschenko


    Nous avons remarqué que la forme rendait le jeu très supportable, sur le fond, le principe reste analogue. En l'occurrence, c'est encore Cossacks qui vient fourrer son nez dans l'univers d'Alexandre. On retrouve tous les aspects d'American Conquest. Et c'est un plaisir de vivre le périple d'Alexandre à la manière d'American Conquest. Je me souviens avoir mentionné plusieurs fois dans divers sujets la débâcle de ce jeu, mais j'avais un regard détérioré, complètement faux. Je retire officiellement mes dires du passé et je change radicalement de position. Cet opus est soutenable largement, et on en prend même goût. Certains admettront l'inverse, que ce soit le film, ou le jeu, les deux n’exhaussent pas le rêve passionnant de revivre les voyages d'Alexandre. Pourtant, et la différence, je la distingue, c'est possible de dériver dans des temps éloignés en s'amusant sur ce jeu.

    Bien entendu, on en déduit que c'est uniquement le moteur Cossacks qui parvient à relever cet opus. Et c'est tout, rien de plus, il n'y a que Cossacks et l'intelligence des développeurs d'avoir épargné cet opus d'un désastre imminent. Autrement dit, les développeurs ont préféré réintroduire toutes les caractéristiques des American Conquest, et le jeu tourne ainsi impeccablement. En fait, on ressent tout à l'identique, dès lors que l'on s'introduit sur le menu du jeu, et que l'on sélectionne l'une des quatre campagnes. Forcément, fan que je suis, je me lance au côté d'Alexandre Le Grand. Les campagnes détiennent un atout : la division en plusieurs parties plus ou moins longues. Chacune relate un épisode de la vie d'Alexandre, que ce soit une bataille, la gestion d'une ville puis d'un Empire, tout y passe. Puis, une fois achevé, on n'est pas réduit à une certaine déception car trois autres campagnes nous attendent. L’Égypte, la Perse et l'Inde arrivent pour suppléer et donner un angle distinct, une autre approche sur cette époque.

    Les quatre campagnes confèrent au jeu le pourquoi il existe. Sans les campagnes, le jeu n'aurait aucun moyen utile et assez fort pour certifier cette problématique. Jouer à Alexandre, c'est d'abord développer des facultés intellectuelles durant les quatre campagnes, car chacune retient une difficulté considérable. Je pense uniquement à Alexandre, car, comme le veut la tradition, ses armées demeurent inférieures face aux troupes de Darius. Ainsi, c'est au joueur d'employer des tactiques, de trouver des astuces ingénieuses portant son armée vers le triomphe. C'est au joueur de palier les points faibles en situant les points sensibles de ses adversaires. Je crois que cet opus n'échappe pas à cette coutume, comme dans les American Conquest, les Perses ont la possibilité d'être nombreux, comme les Indigènes, mais ne sont pas épargnés par leur infanterie médiocre. Contrairement à Alexandre qui est suivi par des soldats chevronnés, des hoplites lourdement armés et une cavalerie très mobile. Sur le champ de bataille, on peut contrer les ennemis en leur infligeant des pertes énormes par des tactiques militaires. Cependant, et encore une fois, c'est au joueur d'exploiter les points forts de ses guerriers.

    Une critique que j'estime fort acceptable, c'est le nombre d'unités pour chaque civilisation. Seulement sept unités sont disponibles, pas une de plus. On sait que dans American Conquest, chaque faction détenait un choix féroce, sauf pour les tribus indigènes, cela ne se conçoit pas, mais je trouve cela bizarre d'avoir laissé une liste réduite à nos quatre civilisations. Quand on pense à Rome: Total War, l’Égypte détenait au moins 20 unités, la Macédoine, également. Bon, l'avantage, c'est que toutes les factions se trouvent au même rang/niveau. Est-ce un choix des développeurs de se conformer à la réalité historique ? Ou un oubli, une négligence de leur part ? On ne le sera surement jamais. Je crois à mon avis que les développeurs ont souhaité s'axer sur les soldats les plus connus de l'époque, et ne pas trop en faire. Peut-être cela pouvait nuire à l'image du jeu ? Je ne sais pas si je dois analyser ce point comme négatif, je resterai donc neutre.

    Ensuite, comme j'ai développé les tactiques, il semble raisonnable d’enchaîner sur le côté stratégique/gestion du jeu. Une fois de plus, Alexandre témoigne d'une belle jouissance. Le joueur n'est pas cantonné, diminué, les cartes sont gigantesques. Outre les campagnes, le mode solo permet d'entamer des parties longues, aléatoires. Les nombreuses options comme la disponibilité des ressources ou certains détails sur la carte renforcent l'idée d'infini. On ne tombe jamais sur une carte identique. Les quatre factions apparaissent à l'écran, on choisit celle qui nous convient le mieux et on se lance dans la mêlée ! Cet opus conserve toute l'énergie de ses prédécesseurs, les batailles remplissent une grande partie de notre temps. Avec le système de temps, on peut faire en sorte que les représailles commencent au bout d'une heure ou plus. Cela permet notamment à vos ennemis de former un empire suffisamment grand pour que le conflit ait un semblant d'intérêt. Si on pouvait s'attaquer immédiatement, je ne pense pas que l'on pourrait atteindre les gigantesques batailles de l'Antiquité. Bon, on atténue, 200 000 hommes, c'est de la folie, mais quand on arrive à 20 000 soldats, c'est déjà pas mal, surtout quand ils se rentrent dedans, ambiance assurée sur ce point !

    Un autre avantage, c'est de s'amuser sans toutes les innovations technologiques d'American Conquest, le fait d'opposer des indigènes à des canons manquait d'aspect tactique/stratégique. Durant l'Antiquité, toutes les civilisations sont au même niveau. Aucune ne peut dépasser l'autre par de telles fourberies technologiques. Bon, les canons sont remplacés par les éléphants : quand on lutte contre les Indiens, les dégâts demeurent considérables, surtout pour les hoplites.

    Sur l'aspect gestion, le joueur doit développer sa civilisation efficacement. Pour cela, il dispose d'hommes entièrement dévoués à leurs tâches, il suffit de leur donner une mission pour qu'ils l'accomplissent. Tout tourne autour des ressources, car elles seules permettent à votre peuple de s’agrandir, de s’accroître, et surtout d'affirmer son autorité militairement. Plus on a de l'argent, plus les soldats sont nombreux et n'hésitent pas à vous suivre durant vos campagnes. Parallèlement, les ennemis feront de même, le but est de détruire toute opposition. Tous vos ennemis doivent être réduits en poussière, seulement, avec le système de temps (facultatif), plus on tarde avant de lancer la bataille, plus les civilisations ennemies peuvent amasser des ressources et grandir sur la carte. C'est le côté obscur, vous vous laissez du temps pour vous améliorer, réciproquement, vos ennemis s'exercent à affirmer leur pouvoir en insistant sur l'industrie, les défenses, les soldats. Et quand surviendra la bataille finale, oh mon dieu, quel choc des civilisations, même votre ordinateur ramera vu le nombre de soldats sur le champ de bataille. Cet opus s'est accoutumé à American Conquest sur tous les niveaux, donc les populations atteindront un niveau inégalé. Sur les bâtiments, chaque civilisation trouve une liste propre à sa culture, tous comme les soldats d'ailleurs.

    Enfin, concernant la stratégie, même si j'ai déjà argumenté quelque peu dessus, je crois que ce que je trouve parfait, c'est le mode « Formation ». En l'occurrence, chaque civilisation positionne ses soldats de telle manière, pour les Grecs, les hoplites forment plusieurs petits blocs compacts qu'il est difficile de franchir. Ainsi, on peut recréer les grandes batailles de l'Antiquité en plaçant ses soldats de telle façon. A cela s'ajoute le nombre, 15 000, 20 000, 50 000, marchent à vos côtés et vous ressentez de l'excitation ! Vous êtes impatient que les deux armées se rencontrent, comme dans le film, mais c'est en mieux. Le temps réel amplifie ce sentiment de jouissance.

    En conclusion, j'estime un opus qui révèle des qualités exceptionnelles à certains niveaux. Ce n'est pas le jeu de l'année 2004, mais le moteur Cossacks accorde à Alexandre toute sa raison d'être. Sur la durabilité, je crois finalement que l'on peut reprendre une partie même 10 ans plus tard, un peu comme American Conquest. Il est conseillé de posséder un ordinateur avec une très bonne carte graphique pour soutenir les grandes batailles (jusqu'à 100 000 hommes peuvent combattre en temps réel !). Sur ce, je pense que j'ai fait le tour, si certains souhaitent rajouter des choses que j'ai oubliées, je n'hésiterai pas à modifier ma présentation ou introduire vos commentaires ou vos images dans le premier message.
    Dernière modification par Strabon, 16-05-2015, 10h50.

  • #2
    Un jeu que j'ai toujours voulu tester, mais il n'est pas encore disponible sur GoG. J'attends qu'ils le mettent à disposition.

    Par contre, c'est peut-être un peu hors sujet, mais je suis totalement en désaccord avec toi concernant le film. J'ai vu les deux versions (d'ailleurs la version "longue" director's cut est bien meilleure que la version cinéma) et mis à part les scènes "romance homosexuelle" et les scènes avec Olympias qui sont pires que lourdingues, j'apprécie vraiment ce film. Les scènes de bataille sont superbes, (Gaugamèle est beaucoup plus claire que la majorité des autres batailles de péplum, on voit la bataille évoluer sur les différentes ailes de l'armée, avec des plans aériens, etc, on n'y voit pas non plus d'actions irréalistes à la "300", si ce n'est peut-être sur la bataille en Inde), les paysages sont magnifiques, les costumes pareil, la musique aussi. Et tu as parlé des mauvais acteurs, mais pas des bons. J'aime aussi la façon dont le film montre l'évolution du personnage d'Alexandre. Le gros problème de la version cinéma est qu'elle a été très mal découpée. Par contre, je ne m'y connais pas assez que pour juger l'historicité du film.

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    • #3
      Le jeu est très beau. Je l'ai trouvé sur ebay y'a 2 ans après l'avoir voulu tant d'années. Par contre faut être rapide parce que l'IA spamme à mort.

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      • #4
        Envoyé par Seigneur Grievous Voir le message
        Un jeu que j'ai toujours voulu tester, mais il n'est pas encore disponible sur GoG. J'attends qu'ils le mettent à disposition.

        Par contre, c'est peut-être un peu hors sujet, mais je suis totalement en désaccord avec toi concernant le film. J'ai vu les deux versions (d'ailleurs la version "longue" director's cut est bien meilleure que la version cinéma) et mis à part les scènes "romance homosexuelle" et les scènes avec Olympias qui sont pires que lourdingues, j'apprécie vraiment ce film. Les scènes de bataille sont superbes, (Gaugamèle est beaucoup plus claire que la majorité des autres batailles de péplum, on voit la bataille évoluer sur les différentes ailes de l'armée, avec des plans aériens, etc, on n'y voit pas non plus d'actions irréalistes à la "300", si ce n'est peut-être sur la bataille en Inde), les paysages sont magnifiques, les costumes pareil, la musique aussi. Et tu as parlé des mauvais acteurs, mais pas des bons. J'aime aussi la façon dont le film montre l'évolution du personnage d'Alexandre. Le gros problème de la version cinéma est qu'elle a été très mal découpée. Par contre, je ne m'y connais pas assez que pour juger l'historicité du film.
        Tu ne déroges pas à la règle. Ce n'est pas la première fois qu'on est en désaccord.
        Sur le film, je note seulement les grandes batailles qui sont époustouflantes, les décors sont parfaits, mais je ne tiens pas le coup, les 3 heures passent très mal. C'est bien ce que je trouve dommage. Toutefois, et je dois l'avouer, vu l'ampleur du personnage, je ne crois pas qu'on pouvait sortir un film en 1h30 non plus.

        Mais je ne peux mettre ce péplum parmi les grands.

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