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  • Des Grosse méchant loup ...

    Après m'être amusé à recréer l'empire Romain avec l'Italie, la Chine communiste avec Mao, le bloc de l'Est avec l'oncle Joe, j'ai voulu revenir aux sources avec un classique, l'Allemagne.
    Mais, en ce centenaire de la première guerre mondiale, je ne pouvais que jouer l'Allemagne du Kaiser Guillaume II.
    Notre histoire commence donc le 1 janvier 1910. La veille, après quelques coupes de champagnes, le Kaiser déclare à une assistance médusé : dans 5 ans le Reich s'étendra de Paris à Moscou !
    Pour satisfaire ce souhait, plusieurs orientations sont prises : développement de l'industrie, arrêt des projets maritimes, formation de nouvelles unités d'infanteries.
    L'Allemagne allait s'orienter sur une armée lourde et lente quand un jeune lieutenant, Erwin Rommel eu une idée lumineuse : et si on mettait un canon d'artillerie sur des roues et qu'on le protégeait avec de la tôle ? Les panzers étaient nés. Il faudra 4 ans néanmoins pour que cette idée deviennent réalité.
    1914 : l'Allemagne s'est doté de la première industrie du monde, son armée est composé de professionnels aguerris et très bien commandés. L'Etat major décide de lancer la production de plusieurs corps blindés, qui seront livrés à la mi-juillet.
    Les vautours commençant à planer au dessus du vieux continent, le Kaiser a réunit son état major pour mettre au point la stratégie dans le conflit à venir :
    L'Allemagne risquant de se battre sur deux fronts, on choisit d'en éliminer un : c'est le plan schliffen avec un passage par la belgique, de gré ou de force.
    Une fois la France contrainte à la capitulation, les généraux étaient favorables à une attaque de la Russie pour supprimer tout ennemi du continent, mais le Kaiser déclare : "Le dernier ennemi qui sera vaincu, c'est la Russie". L'état major s'en tient pour dit.
    On ressort alors un vieux rêve de Napoléon : attirer la flotte britannique loin du continent et en profiter pour attaquer l'Angleterre qui pliera avant le retour de ses bateaux.
    Ainsi, le Kaiser réunit ses navires dans le plus grand secret à Hambourg, délaissant ses colonies qui lui seront inutiles.

    Juillet 14 :
    L'Allemagne est prête, 1 millions d'hommes sont prêt à se jeter sur les mangeurs de grenouilles et les bouffeurs de frites. Cette armée est équipée d'une concentration inégaleéde 20 divisions blindés (1BL-1CAV-1ING), capable de percer les lignes ennemies et de semer la panique.
    Le 17, sans laisser le temps à la France de mobiliser, 250 000 soldats attaquent le plat pays, 500 000 autres foncent à travers le Luxembourg et se déversent dans les plaines françaises.
    Une flotte part au même moment de Hambourg avec à son bord 5 divisons blindés et 5 divisions d'infanteries. Elles sont protégées par 60 navires de toutes tailles et de tout calibres.
    Le 22, les premiers soldats posent le pied en Angleterre. Ils aperçoivent encore au large les restes fumant de la flotte britannique, venu protégé Douvres la veille et qui repart avec 2 cuirassés et une dizaine de navires en moins.
    Au même moment, leurs camarades du groupes d'armée Nord livrent des combats acharnés pour encercler Bruxelles, tandis que les reste des troupes n'arrivent pas à s'extirper du Luxembourg. Verdun change de main au moins 5 fois en 2 semaines.
    Pendant ce temps, les Russes et les Allemands jouent à la babale entre les tranchées, les serbes bottent le cul aux autrichien et les italiens font des pâtes.
    8 jours plus tard, le débarquement chez Albion est réussit, avec la chute de Londres, le front Anglais s'effondre. Il ne peut m'opposer que quelques divisions sous équipées et qui buvaient encore de la bière 15 jours plus tôt. L'Anglais est réduit à se battre avec ses grattes papier, rien de bien impressionnant face à un canon de 88.
    Le 4 août, les Yankees, préférant le baseball au canons d'artillerie montés sur un tracteur, se déclarent neutres et retournent manger des hotdogs.
    Pendant se temps, on progresse en Belgique.
    Seul Bruxelles nous résiste encore.
    Le 7 août, la flotte du Kaiser est ramené de toute urgence à Hambourg : le Russe à forcé sur la vodka et veut s'empare du port de la ville. Il repart deux jours plus tard, sans vodka et à la nage.
    La kriegs en a profité pour couler un peu de français qui avaient semble t'il décidé de faire du tourisme en mer du nord. L'agence de voyage a juste oublié de préciser que la tenue de plongée était fortement recommandé.
    Le lendemain, Bruxelles tombe au main de l'Empire qui peut maintenant lancer 1 millions d'hommes sur le pays du fromage et du vin.
    Le groupe d'armée Sud qui gardait jusque là l'Alsace Lorraine, en profite pour percer à Belfort et commence à remonter dans le dos de l'ennemi, tandis que les armées du nord, après une pause bière, décidé de poursuive leur visite touristique en se dirigeant vers Paris.
    Le 15 août, une vingtaine de divisions françaises perdent le chemin du retour et se retrouve coincé en arrière du front. Ils resteront sur place jusqu'à la fin de la guerre.
    Deux jours plus tard, la Bulgarie lie son destin à celui des puissances centrales, pour fêter ça la marine offre au Kaiser une démonstration de tir au pigeon sur une flotte mélangeant français, anglais et russes : ça tombe bien, les poissons ne sont pas racistes et accueillent tout le monde.
    Le jour de la rentrée des classes en France (enfin ce qu'il en reste), la garnison parisienne dépose les armes et retourne au bistrot du coin.
    Deux jours plus tard, c'est toute la France qui ressort le Ricard et les glaçons : l'Allemagne annexe la France au Nord et à l'est de Paris, une partie de la Belgique et installe des copains à gui gui à l'Elysée.
    Quand aux grand-bretons, et bien leur gouvernement est au stade à Liverpool, mais le bruit des tanks allemands se fait percevoir au loin.
    Et c'est ainsi que le 11 septembre, l'Angleterre capitule avec son armée.
    Le Kaiser fait alors le tour des capitales conquises par le Reich :
    Il mange des frites à Bruxelles, déclare solennellement à ses généraux devant le tombeau de Napoléon : "Messieurs, nous ne serions pas ici si cet homme était vivant", il rend visite à la Reine avant de retourner à Berlin préparer l'opération Bonaparte, l'invasion de la Russie.

    Voilà prochaine étape, la campagne de Russie qui ne sera sûrement pas une partie de plaisir à la vue du nombre de division stationnées en Pologne.

  • #2
    Bonne chance

    Quelques screens de la partie amelioreraient le rendu.

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    • #3
      Depuis la chute des rosbif, l'empire autrichien à vaincue la Serbie et la Roumanie, l'Italien s'est embourbé dans les Alpes. Mais sur le front Russe, deux millions de soldats se regardent dans le blanc des yeux, attendant l'ordre d'attaque. Mais l'hiver porte conseil, le plan du Kaiser est prêt : une attaque généralisée sera lancé à partir de la Prusse orientale, de l'Autriche et de la Hongrie : les armées prussiennes cavaleront en direction de St Petersbourg, capitale de l'Empire.
      Les armées Autrichienne rabattront les troupes russes sur la Prusse afin de les encercler et les détruire. Les armées hongroises auront pour objectif d'atteindre Moscou avant l'hiver. Les troupes Ottomanes s'occuperont de la future ville de Stalingrad.

      Le 2 avril, les ordres d'attaquent sont lancés, la kriegsmarine bloque la sortie de la Baltique et la Royal Navy impose sa loi sur les océans.
      La percée est brutale, les blindés légers allemand enfoncent les tranchées ennemies et cavalent en direction de leurs trois objectifs.
      En une semaine, la totalité des forces Russes stationnés en Pologne sont encerclées, les avant gardes de l'armée impériale ont atteint Riga au nord, Minsk au centre. Les Ottomans bataillent durs contre les Russes dans le Caucase, leur progression est lente mais certaine.
      L'immense chaudron que représente la Pologne se referme au fur et à mesure et la 40aine de divisions Russes sont regroupés autour de Varsovie. L'avancé au centre peut reprendre, le manque de ravitaillement et la faim s'occuperont des unités Russes encerclés.
      Pendant ce temps, l'Autriche-Hongrie parvient à percer et l'Italien commence à refluer en bon ordre en direction de Rome. Comme tout les chemins mènent à Rome, le Kaiser envoi un corps d'infanterie débarquer à proximité de la cité des Papes. Cette action digne des Britanniques forcent le commandement Italien à dégarnir son front Autrichien et venir défendre Rome. Le piège a fonctionné, les troupes autrichiennes coursent les bouffeurs de pates et Rome tombe le 8 mai.
      Il ne reste donc plus que la Russie pour empêcher l'Allemagne d'imposer sa loi sur tout le continent. Mais les troupes du tsar sont mal en point.
      La Pologne, les pays balte et une partie de la Biélorussie sont sous contrôle Allemand, les Ottomans ont atteint Bakou, et l'industrie Russe n'est pas assez performant pour combler la perte d'une vingtaine de division en Pologne.
      La progression allemande va se poursuivre tout au long du mois de Juin, les chars allemands brisent les lignes soviétiques qui a toutes les peines du monde à former un front cohérent. Néanmoins, l'infanterie allemande a tout les mal du monde à vaincre l'infanterie Russe qui forment de nombreuses poches en arrière des pointes blindées. Pour l'Etat-major, il devient clair qu'il faut amplifier la guerre de mouvement et ne pas se laisser emporter dans une guerre de position qui, couplé à l'hiver pourrait anéantir l'Allemagne.
      Mais les nouvelles du front sont excellentes :
      Début Juillet, la capitale du pays, St Petersburg, n'est plus qu'a 50 km des avant-gardes allemandes. Au centre, Smolensk devrait être atteint avant la fin de l'été.
      Les espions allemands en Russie ayant informé le Kaiser que la capitale russe était fortement défendue, il est décidé de l'encerclé et de commencer un blocus du port pour forcer la ville à se rendre par la famine. Pour réaliser cette manoeuvre, deux armées sont mobilisé : la 5e armée, composé de 3 corps de blindés légers, doit foncer sur la Finlande, prendre les différents ports et détruire toute résistance soviétique au nord. La 3e armée, avec ses 5 corps d'infanteries, encerclera la ville et empêchera tout renfort de la secourir.

      Voilà, j'en suis actuellement au 1 août, la bataille pour St Petersburg vient de commencer. En espérant rencontre un Russe plus résistant que jusqu'à présent.

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      • #4
        Est ce que tu aurais le lien du mod que tu utilises , sinon pas mal

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