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  • Massaï très beau par ici (GPO Uchronie)

    DISCLAIMER :
    Lors de cet AAR je vais parfois critique d’autres pays, il ne faut pas y voir une critique des joueurs mais plutôt une exagération dans un but de RP.
    Comme ça fait un moment que je n’ai plus fait de GPO, j’ai oublié de faire des screens, donc ce premier épisode sera plutôt porté sur la diplomatie et le descriptif.


    Session I – L’affirmation en tant que puissance locale


    Introduction :
    Le Maasaï, ou Massaï en ancienne graphie, est un people à l’origine purement pastoral qui a décidé de s’établir avec une majorité de la population se tournant vers l’agriculture et seulement l’élite militaire du pays restant pastorale. Bien que le pays ne sera jamais une super puissance, il aura la capacité à être un majeur régional (pas dur quand il n’y a que trois pays dans la région), mais également un acteur de l’Afrique de l’Est et de l’Océan Indien, bénéficiant d’un territoire très complexe à envahir pour les armées n’ayant pas une connaissance très poussée de la région.

    Diplomatie pré-session :
    Très rapidement des relations diplomatiques ont été démarrées avec les voisins Zoulou et Cathare tandis qu’une simple amorce a été entamée avec le Libertalia. Les relations avec le Saba sont inexistantes avant le début de la partie.
    Un accord est rapidement trouvé avec le Zoulou et le Cathare, qui sanctifie des contrées que chaque pays considère comme lui appartenant. Entre chaque pays il y a plusieurs contrées tampons qui appartiendront au premier servi. L’optique étant d’éviter à la fois une coopération ne pouvant mener qu’à la décadence ainsi qu’à des guerres éternelles ne pouvant signifier que la ruine de nos pays.


    Début de session :
    Comme prévu les accords avec les voisins d’Afrique centrale sont maintenus et les échanges diplomatiques sont amicaux. Il apparaît assez rapidement que le dirigeant Zoulou est inexpérimenté et impétueux, mais ses prouesses guerrières ainsi que ses très nombreuses mines d’or lui permettent d’assoir son pouvoir dans sa sous-région. Le dirigeant Cathare est plus mesuré et encore plus inexpérimenté mais il va compenser cela par de bons conseillers et grandir progressivement mais sûrement.
    Le dirigeant du Saba a entamé les relations diplomatiques en 1444 et sera très verbeux. Il va envoyer de nombreux conseiller auprès de l’émir du Zoulou et du duc de la Catharie. Rapidement des conseillers Maasaï seront également envoyés, une fois que ceux-ci ont considéré qu’ils n’avaient pas de retard fondamental.
    Une première guerre sera menée contre le Busoga et son allié le Burundi. Au terme de cette guerre simple mais longue, à cause des sièges, la victoire est emportée. Le Busoga est annexé tandis que le Burundi est vassalisé. Ceci fut une énorme erreur du roi Maasaï qui du coup se retrouve dans deux guerres, une contre le Buha et une contre le Rwanda. Malheureusement les réserves militaires sont proches de l’épuisement à cause de nombreuses maladies de la zone tropicale, ce qui mène à une paix blanche avec le Buha. Suite à cela, et malgré une infériorité à cause d’une armée plus petite, la victoire contre le Rwanda est emportée avec l’aide du Buganda. Le Rwanda acceptera sa vassalisation et tout comme le Burundi il est transformé en marche. Les guerres ont obligé la prise d’emprunts et ont fortement puisé dans les réserves nationales.

    L'après coup de la guerre


    Pendant ce temps le royaume du Saba a déclaré la guerre à deux voisins mineurs qui arriveront à mettre le Saba à genoux avec l’aide de l’Éthiopie, ce qui remet en question les accords passés entre nos deux pays. Néanmoins le Saba développe son pays et une nouvelle institution prends le pas sur le pays et garder de bonnes relations va permettre de l’obtenir plus facilement dans nos contrées,
    Une deuxième guerre sera menée, contre le Mélinde et ses alliés le Kilwa et le Paté, Kilwa qui sera un cobelligérant et qui amènera en plus le Sofola. Cette guerre était voulue par l’émir du Zoulou et servait également les intérêts Maasaï. Néanmoins l’émir eut raison de la prudence du roi Maasaï et une guerre séparée est lancée. Le Zoulou attaque en premier avec l’aide d’un de ses alliés. La guerre fut difficile pour eux avec de nombreux territoires occupés et l’incapacité à prendre l’initiative sur les armées adverses. Pendant ce temps le Paté et le Mélinde sont entièrement occupés et une première bataille est gagnée grâce aux armées des marches. Le siège de Kilwa sera rapidement établi, notamment parce que Mombassa et Ajuran vont attaquer le Kilwa pour s’accroître. Malheureusement des rebelles vont libérer le fort du Kilwa occupé par le Maasaï, permettant à l’Ajuran d’occuper la province. Les traités de paix sont trainés en longueur volontairement pour éviter de mettre le Zoulou dans une impasse après que son allié ait dû mettre un terme à la guerre.

    Occupations vers la fin de la guerre


    Conclusion :
    À la fin de cette session la position du Maasaï est plus confortable qu’en 1444 et l’avenir du pays s’annonce radieux avec des conquêtes aisées à faire et un réseau de marches à constituer.
    Deux incertitudes restent, avec les difficultés à prévoir pour convertir les provinces musulmanes ainsi que la possibilité des raids des pirates maintenant que nous possédons des territoires côtiers. Les locaux nous ont prévenu d’un regroupement de pirates dirigés par un chef schizophrène.

    Le pays avec ses alliances et marches

  • #2
    Session II – Le domination de l’Afrique centrale par la force



    Diplomatie pré-session :
    La diplomatie pré-session est très limitée avec la majorité des dirigeants ignorant cette tâche.


    Début de session :
    Lors de cette session notre gouvernement a eu le loisir d’agrandir le territoire de 16 provinces ainsi que de participer à la médiation dans le conflit opposant le Libertalia au Zoulou.



    La guerre contre le Mombassa (1468-1471) :
    Outré par l’annexion du Kilwa par l’Ajuran, nous lançons une guerre offensive contre le Mombassa et son allié Ajuran. Si la guerre dure 3 ans, il n’y a que peu de batailles. Comme on peut le voir, seulement 5 000 des 18 000 pertes du Massaï sont des guerriers Massaï ayant péri, le reste étant surtout le travail difficile des marches. Le traité de paix mène sur l’annexion du Mombassa et de trois provinces de l’Ajuran. Cette guerre aura confirmé la superiorité de nos troupes sur l'entiereté des voisins.




    La guerre contre le Buha (1468-1471) :
    Cette guerre est plus complexe à cause alliances faisant que le Buha se vera assisté du Luba, du Nkore, du Bunyoro et du Buganda. La guerre commence par des sièges menant à la situation suivante. LE retard technologique des adversaires nous garanti une victoire malgré tout, même si l'attrition à son maximum nous infligera de nombreuses pertes.

    Néanmoins une fois le Luba entièrement assiégé la noble armée Massaï s’attelle à terrasser ses adversaires, dans des batailles sanglantes pour le perdant. La défaite est tellement lourde que les défenseurs décident d’abandonner tout espoir de victoire et de rejoindre le royaume Massaï.

    Sans surprise, la guerre a généré plus de pertes que la précédente et cette fois-ci c’est notre royaume qui a supporté la majorité des pertes. La générosité du Massaï envers ses marches est sans limite. L’enfer vert n’a pas volé son nom en étant la cause de la moitié des morts. Le traité de paix mène à l’annexion de tous les défenseurs et la vassalisation du Luba qui deviendra rapidement une marche.




    La médiation lors de la guerre opposant le Zoulou au Libertalia (1471-1477) :
    L’Empire Zoulou a déclaré la guerre à Libertalia et a envoyé l’entièreté de son armée à Madagascar pour repousser la nation pirate de l’île. LA guerre sera âpre au niveau diplomatique mais très peu de batailles auront lieu. Les efforts intensifs de nos diplomates pour mettre un terme à cette guerre risquant de s’envenimer doit-être saluée, avec un accord trouvé et garanti par notre royaume. L’accord étant un partage de l’île entre la côte est et ouest, chacun possédant la partie lui faisant face. Le nord de l’île revenant au Libertalia.
    La situation semble précaire, mais la guerre éternelle a été évitée et nos diplomates se sont fait une place de choix sur la scène régionale, en espérant qu'ils puissent continuer à faire un travail aussi efficace.


    Conclusion :
    La session se termine formidablement avec les objectifs d'il y a 20 ans largement dépassés. Le pays a grandi, s'est renforcé, a embrassé le renaissance et a construit un centre de connaissances pour continuer le développement intellectuel. Il reste la question des fanatiques religieux à convertir mais les shamans ont mis sur pied un plan pour arriver à cet objectif. De plus, les royaumes indépendants doivent être sauvés de leur maleur et rejoindre notre union bienveillante mais autoritaire.
    Finalement, les marches doivent décider de leur destin, rejoindre le royaume ou s'enfoncer sur le mauvais chemin et se rebeller.
    Dernière modification par Snakeshit, 26-01-2020, 23h26.

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    • #3
      Session III – La sanctuarisation des frontières

      Pré-session :
      Avant le début de la session je me fais conseiller par Miniaar qui m’indique que je suis une grosse buse.
      J’ai évidemment poncé la sauvegarde pour énerver Stellaria.

      Diplomatie :
      Dès le début de la session la guerre contre le Kilwa se termine par la vassalisation de ce dernier. Dès le traité de paix signé, nos diplomates proposent une offre au Zoulou. En échange de la vente des provinces de Tumbuka et de Kalonga dans une première phase puis la vente de Phangwa et Kastekera dans un second temps, une fois le Maravi annexé. En échange de cette vente une aide forte pour Madagascar est proposée. Un diplomate s’avance un peu et promet l’entièreté de l’île en échange.
      Cette proposition peut sembler étrange mais il est improtant de noter que l’empire Zoulou sort d’une guerre, a 18 emprunts, quasiment plus de réserves et une armée largement plus petite que l’armée Massaï sans même prendre en compte les marches. De plus, les provinces en question étaient instables malgré une autonomie très élevée et le Zoulou n’arrive pas à gérer les rebelles. En outre, les provinces sont des légitimations territoriales mais ne sont même pas des états.
      Malheureusement le joueur de la Catharie est absent et il verra sa possible expansion se faire grignoter dans le traité de paix de 1493. Ce traité de paix met un terme à la guerre de 1489 – 1493 dans laquelle le Maravi et son allié le Kalembé et Kalundwe sont attaqués. La guerre est assez courte malgré de grosses pertes dues à l’attrition. La fin de la guerre verra les 3 provinces du Kalembé rejoindre la nation Massaï tandis que les 4 provinces du Kalundwe reviendront au Luba et que les provinces du Maravi seront libérées sous formes de marches, notamment le Mutapa, le Makua et le Maravi en 1508. Le Maravi est relâché plus tard parce qu’une province n’a pas été prise lors du traité de paix et il a fallu attendre sa disparition avant de pouvoir le faire réapparaître en marche.
      En 1497 le port commercial est déplacé à Mombassa afin d’augmenter les revenus et un gain de 0.5 ducats mensuels se fait immédiatement sentir.
      Entre 1499 et 1504 une guerre est lancée contre le Chokwe et la Catharie (qui a mal reglé son IA) afin d’alléger les souffrances du Zoulou dans sa guerre défensive contre ces deux pays. Les forces du Massaï vont entièrement occuper le Chokwe et terraser les armées du Massaï et du Chokwe, afin de rendre 3 provinces au Mutapa et de laisser la possibilité au Zoulou d’en profiter. Ce dernier va récupérer plusieurs territoires et vassaliser le Chokwe, ce qui est une progression beaucoup plus importante que prévue et que nous contestons, vu que les armées du Zoulou n’ont éte que peu glorieuses sur le champ de bataille.
      Tout au long de cette épopée le Saba tente de renforcer le Zoulou, sans jamais se mouiller, afin d’avoir un allié fort à notre frontière. Il semblerait que les conseillers du Saba soient un peu paranoïaques et sont persuadés que notre gentil gouvernement purement défensif veut les envahir.

      Situation initiale en 1487


      Situation initiale en 1511


      Guerres :
      Les trois guerres sont aisées avec des ennemis affaiblis et des troupes Massaï en avance. Il n'y a aucun intérêt à les narrer vu l'oblitération des adversaires.

      Les deux phases d'achats, les deux guerres offensives et la guerre d'intervention.

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      • #4
        Session IV – La piraterie reprend


        Diplomatie pré-session :
        La Catharie n’est pas disponible à cause de la naissance de son enfant et la diplomatie avec lui est quasi inexistante mais c’est compréhensible. Le Zoulou comme d’habitude est aux habitués absents et commencera la diplomatie en début de session. Le Saba fait beaucoup plus de diplomatie même s’il a une vision très personnelle des accords équitables. Pour résumer, en gros il considère que tant que je donne des choses au Zoulou c’est bien et que tout ce que je prends c’est un risque pour la stabilité du monde.

        Les discussions Catharie-Massaï-Zoulou :
        Vu le retour inopiné de la Catharie j’ai dû refaire l’accord que j’avais en tête entre moi et le Zoulou. L’accord initial était qu’il perdait tout ce qu’il avait pris sur le Chokwe ainsi que la vassalisation du Chokwe (vu qu’il perdait la guerre et je l’avais sauvé et il a été très gourmand à mes yeux), en échange de quoi je m’occupe d’envahir Madagascar et lui en donner l’entièreté. L’accord était en sa faveur à mes yeux, vu qu’il gagnait un peu de développement et s’installait plus sur mon nœud de Zanzibar. Du coup j’ai proposé un nouvel accord tripartite, dans lequel le Zoulou perdait les mêmes provinces mais elles allaient à la Catharie, à part les deux au Sud de ma marche du Mutapa. En parallèle je rendais deux provinces du Luba à la Catharie et aidait toujours le Zoulou a prendre Madagascar. Sans trop de surprise il a refusé l’accord et mes menaces n’ont pas permis de le convaincre. C’est une force du Zoulou (et une faiblesse), il surestime énormément ses chances dans une guerre et refuse d’accepter la défaite à temps.
        Après des échanges nombreux, le Zoulou finalement accepte si comme prévu initialement il reçoit d’abord Madagascar et je rends mes provinces d’abord. Sauf que comme ça a mit beaucoup de temps et qu’il a eu une déconnexion, nos plans tombent à l’eau parce que le Sulu a fait son coup de maître.

        L'accord de partage du territoire mène à de longues discussions stériles

        Le coup de maître du Sulu :
        Le Royaume du prêtre Jean déclare la guerre au Libertalia avec le Sulu, après une proposition de ce dernier. En effet, le Sulu a la marine pour vaincra le Libertalia mais il avait besoin d’une raison de guerre. L’accord étant que le Sulu envahit le Libertalia et donnera les Maldives au prêtre Jean. Une fois le Libertalia vassalisé, le Sulu s’en sert pour prendre les côtes du Madagascar, mais il doit en laisser deux au pays qui possédait le Madagascar à ce moment-là.

        Le Sulu fait un coup d'éclair et s'installe à Madagascar

        La réponse du Zoulou :
        Le Zoulou le prend très mal et cherche à nous pousser à repousser le pirate. Le Saba et moi-même parlons aux indiens et asiatiques pour demander si une aide serait possible et la réponse principale est que ça les arrange que la piraterie se passe loin de chez eux. Évidemment quand le pirate leur rendra visite après avoir bien pillé, ils feront moins les malins, mais plusieurs décennies s’écouleront auparavant. Le Zoulou se borne à demander au Saba et à moi-même de l’aider avec nos misérables flottes. Je lui annonce que je défendrai son continent mais que je refuse de risquer la vie d’un seul Massaï en mer. Suite à quoi le Zoulou fait un magnifique coup en attaquant le pays présent sur le Madagascar et l’annexe. Immédiatement le Saba va prévenir le Sulu qui en réponse envahit le Zoulou maintenant que ce dernier a ramené ses troupes en Afrique continentale. La défaite est inévitable mais le Sulu commence à envahir l’Afrique continentale pour forcer la paix.
        À ce moment deux points sont à noter :
        • Le Zoulou n’a prévenu personne de son attaque et ne m’a pas allié avant la guerre
        • Le Sulu et le Zoulou ont des noms beaucoup trop proches
        J’insiste pour que le Zoulou s’allie à moi et que je défende son territoire, ce qu’il fait. En réaction le Sulu quitte immédiatement la région mais m’impose un blocus qui fait de considérable dégâts à mon économie (perte de 10% des revenus bruts). Vu que la paix consiste en la perte d’une province côtière pour le Zoulou, province qui n’est même pas un centre de commerce, je ne compte pas la continuer vu que je ne peux pas la tenir financièrement et nos chances de victoire sont nulles.

        L'attaque des Zoulous


        Résultat de la session :
        J’ai perdu une guerre contre le Mogadiscio pour qu’il libère le Rwanda et que je puisse l’annexer au bout de 15 ans. J’avais pris soin de lui confisquer une province auparavant.
        Ensuite j’ai accepté de perdre de la stabilité pour révoquer le statut de marche du Malindé et l’annexer 10 ans plus tard.
        Enfin, j’ai développé des provinces, construit des bâtiments et renforcé mon armée.
        Finalement, je suis passé à deux de stabilité pour passer la décision des shamans itinérants afin de convertir toutes les provinces à la religion supérieure du fétichisme.

        Les plans pour le futur :
        En premier lieu je dois adopter l’institution et conquérir la Catharie maintenant qu’un accord avec le Markland est établi.
        En deuxième lieu, je dois garantir l’intégrité territoriale du Zoulou, s’il accepte une paix.
        Dernière modification par Snakeshit, 05-02-2020, 22h36.

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        • #5
          Session V – Le développement à la vitesse de l’escargot

          Diplomatie pré-session :
          Avant la session des accords son trouvés pour mettre un terme à la guerre nous opposant nous et le Zoulou au Sulu. Évidemment le Zoulou ne prendra pas part à la diplomatie comme à son habitude. L’accord est la perte d’une province de Madagascar pour le Zoulou et l’arrêt des ambitions africains du Sulu en-dehors de Madagascar.
          Un accord avec le Markland est rapidement trouvé pour se partager la Catharie.

          Traité de paix de la guerre Zoulou – Sulu :
          Le joueur du Zoulou ne sera pas présent cette session et va rendre la paix plus compliquée. Je fais une paix blanche immédiate avec le Sulu pour mettre un terme au blocus et à la dévastation. L’IA du Zoulou continuera la guerre jusqu’à accepter la paix une fois le pays occupé. Malheureusement les indonésiens ont attaqué la Sulu ce qui l’oblige à faire une paix brutale ou le Zoulou perd toute la côte de Madagascar et est incapable de légitimer ses conquêtes.

          Les diplomates Massaï durs à la tâche

          L’invasion de la Catharie :
          Avant de pouvoir commencer la guerre, il a fallu prendre une province d’une de mes marches, le Luba, afin de pouvoir faire une revendication sur le territoire de la Catharie. Une fois cette revendication faite, la province est rendue au Luba.
          La première guerre contre la Catharie est relativement facile vu que les armées adverses décident de se perdre chez mes marches. Marches qui seront la pointe de l’armée, représentant le gros des pertes.
          Dans cette première paix, le chemin de la Catharie est barré au Zoulou et la capitale, Kongo et son 30 de développement, est capturée. Malheureusement une des provinces capturées appartient au nœud de la côte d’ivoire et devra être rendu au Markland. Une deuxième guerre dès la fin de la trêve permettra d’achever l’annexion des territoires de la Catharie.

          Peinture d'un guerrier Massaï

          Le développement du pays :
          Malgré les efforts importants et répétés du Saba pour le convaincre du contraire, le Markland nous donne l’institution quand le malus technologique approche des 41%. En parallèle, plusieurs manufactures sont construites, ainsi que d’autres bâtiments, notamment défensifs. Les ordres sont aussi relocalisés sur les nouvelles provinces quand leur loyauté est suffisamment haute.
          Le revenu va faire un bon de 26 ducats bruts par mois à 40 ducats bruts par mois. Le pays reste faible et isolé mais complexe à envahir.
          De manière intéressante, le Saba persiste à nous considérer comme une menace, malgré le fait qu’il ait plus du double de revenu, une armée deux fois plus importante, une avance technologique, presque le double du développement et reçoit les institutions très rapidement vu les nombreux pays ayant la portée pour le lui donner. La principale raison de l’agressivité du Saba contre le joli et mignon Massaï est que le rapport de force est en sa faveur. Les échanges diplomatiques entre le Saba et le Markland sont beaucoup plus rapides vu que le Saba n’ose pas s’opposer à quelqu’un qui est de puissance équivalente.

          Plan pour le futur :
          Fermer la côte africaine au Sulu, comme prévu dans l’accord pour la cession de Madagascar, puis rationaliser les marches et les ordres.

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          • #6
            Session VI – Le voyage lointain

            Cet AAR est un peu plus court parce que j'ai éte remplacé et je n'ai pas encore pu écouter le résumé par Vizion. Il sera étoffé après coup.


            Diplomatie pré-session :
            Cette session j’ai été remplacé par un remplaçant de dernière minute. C’était Vizion, donc un excellent joueur, bien meilleur que moi, mais qui n’a eu que quelques minutes pour lire les consignes avant de commencer la partie.
            J’avais négocié des accords de pacifisme pour cette session, hormis avec le Saba.
            Avant que la session commence le Sulu est venu me parler et m’a demandé s’il pouvait prendre les mines d’or du Zoulou. Devant mon refus il m’a annoncé qu’il demanderait à Vizion en espérant qu’il accepte. Heureusement Vizion a pu lire les consignes et son rire fit trembler la flotte du Sulu.

            Fourberie de la corne africaine :
            Dès le début de la session, le Saba attaque afin de prendre les provinces d’Ajuuran situées dans le golfe d’Aden. Attaquer un remplaçant de dernière minute (remplacement prévu à l’avance), en polissant la sauvegarde au préalable est d’une fourberie sans nom et implique une refonte de la diplomatie en renforçant l’outil militaire vers le nord-est du pays.

            Guerriers Saba se préparant à leur outrageuse agression


            Première invasion du Zoulou :
            Une première guerre est lancée pour protéger la côte de l’émirat du Sulu. Toute la côte est annexée avec les provinces légitimes du Kilwa qui lui sont rendues. Deux provinces sont prises au Chokwe pour fermer l’accès à l’intérieur des terres. La guerre fut très simple, vu l’importante supériorité de notre armée et la faiblesse de l’armée du Zoulou.

            Deuxième invasion du Zoulou :
            La deuxième guerre contre le Zoulou va mener à l’annexion des mines d’or restantes, pour le plus grand bonheur de la trésorerie royale. Le Zoulou était en perte de vitesse, et il n’a jamais pu se remettre de la perte de sa côte, ainsi que du nœud de Zanzibar. La guerre ne fut qu’une formalité.

            Plan pour le futur :
            Finir d’annexer le Zoulou est la priorité territoriale, tandis que la priorité administrative est le renforcement de la recherche.
            Dernière modification par Snakeshit, 23-02-2020, 19h51.

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            • #7
              Session VII – La défaite humiliante

              Je me suis trompé de touche pendant la guerre et c’est pour ça que je n’ai pas de captures d’écran.

              Diplomatie pré-session :
              La diplomatie pré-session est limitée, avec moi un résumé de mon remplaçant reçu dans l’heure précédent la session. Le but de la session est de construire pour avoir un pays capable de tenir tête à ses deux voisins du nord et les possibles européens/indiens/indonésiens qui s’aventurent dans la colonisation.

              Construction de l’armée :
              La première partie de la session consiste à recruter des canons afin qu’ils fassent la largeur du front et laisser les réserves nationales se remplir. Heureusement, à cause du budget limité, les réserves nationales ne seront jamais trop stressées. Avec la technologie 16 à l’horizon, il était impossible de ne pas avoir une ligne complète de canons.

              L’attaque du Saba :
              Durant la session la Saba m’attaque, avec plus de 110 000 hommes contre 75 000 hommes de mon côté et 50 000 soldats provenant des marches, même si certaines marches ont a la tech militaire 11.
              La demande est la province de Paté, qui est un centre commercial et la province de Lamu, en plus d’une compensation financière. Évidemment face à une telle demande je me devais de combattre, ne pouvant laisser autant sans essayer.

              Clairvoyant général du Saba qui dirige ses troupes
              Malheureusement pour moi, certaines armées étaient occupées à pacifier des rebelles à l’ouest du pays et les marches étant éparpillées, elles ont mis un temps important à se regrouper.
              Cela m’a forcé à mener la première bataille de manière inopportune sur un fort de montagne sans avoir l’entièreté de mes forces à disposition. Je fais une énorme erreur de m’en remettre à l’assignement automatique des unités de bataille plutôt que de les regrouper avant et ça sera une victoire éclatante des troupes du Saba, qui ne sont pas entachées par un dirigeant inepte et qui se paient le luxe d’avoir une meilleure qualité malgré la supériorité du général Massaï.
              Les forts de montagne sont tombés très rapidement et le siège de la capitale est lancé. La deuxième et dernière bataille de la guerre s’y déroulera. La capitale ne dispose pas de fort donc l’attaque est menée en urgence est sera beaucoup plus serrée cette fois-ci, notamment parce que l’état-major du Saba oubliera l’armée de renfort qui n’arrivera qu’à la fin de la bataille pour en garantir l’issue. Les pertes sont proches des deux côtés mais la capitale tombera et la profondeur stratégique ne s’accompagne pas de poches profondes.
              La paix est signée en échange des provinces susnommées et de 200 ducats.

              Peinture du traité de paix
              Le retour d’expérience de cette guerre est la faiblesse des forts que j’avais surestimés, lié à une économie fragile, une qualité limitée surtout quand il s’agit de passer la technologie 16 en avance et une profondeur stratégique qu’il reste encore à développer. Les nombreuses erreurs n’ont pas aidé, mais elles ne sont pas la seule raison de la défaite, même si la gestion très propre du Saba lui a rendu service.

              L’annexion du Zoulou :
              Pour laver l’humiliation de la défaite, le Zoulou sera envahi, avec la majorité des ses provinces annexée et il sera transformé en marche. Si les marches étaient plus intégrées, on pourrait songer à garder les marches plus grandes afin de réduire le nombre de province quand on joue une monarchie prussienne, mais c’est malheureusement un risque trop important contre des pays puissants.

              Dernière défense du Zoulou

              L’écoute des conseillers byzantins :
              Les conseillers byzantins proposent d’utiliser la mécanique des prétendants qui fleurissent dans les régions fétichistes afin d’obtenir un meilleur roi. Malheureusement, les réserves nationales étant épuisées, il sera décider d’utiliser cette stratégie. L’occupation du pays sera très lente mais mènera en fin de session au changement de roi, et la récupération de près de 60 000 troupes du prétendant.

              Objectif pour la prochaine session :
              Rationnaliser l’armée et construire sont les deux objectifs de la prochaine session.
              Une proposition diplomatique a été faite au Saba, dans l’espoir d’éviter une détérioration trop forte des relations et un cycle de guerre incessant.


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