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  • (Récit) GPO DIMANCHE: Ich Bin AAR Berliner

    Ich bin AAR Berliner




    Introduction: In mud we trust (Nous croyons en la boue)

    Tout commence en l’an de grâce 1444 au nord est du Saint empire Germanique. La contrée du Brandebourg est confiée à Friedriech II et son frère Albrecht III, deux frères certes peu malins mais qui ont le mérite d’être bien nés.

    Il ne faut pas se leurrer ces terres ne sont pas fertiles et les ressources précieuses se font rares mais les Berlinois sont fiers et sauront faire de cette boue et ces forets la capitale économique et culturel de l’Europe.

    Au sud, nous avons foi en l’empereur d’Autriche pour la prospérité de nos terres et nous protéger contre les cosaques qui dominent à l’est sur les champs et vastes plaines. Notre voisin de Cologne semble pleutre mais nous devons nous méfier de l’eau qui dort comme aime à nous le rappeler le Danois qui domine au nord de nos frontières. Enfin, notre ancien compagnon de l’ordre Teutonique semble flotter parmi ces sauvages Lithuaniens et Polonais.







    Chapitre 1 (partage de la Poméranie et de la Bohème): 1444-1666

    N’étant qu’une nation mineure au sein de l’Europe ma première mission consistait à définir un espace vital avec nos voisins. La diplomatie et les mots ayant eu le dessus sur la haine et la violence nous avons pu convenir de frontières correctes avec la garantie de la totalité de la Poméranie à l’exception de Stolp promise aux Teutons. A l’ouest Cologne nous demande de lui laisser les territoires du Brunswick ce qui nous semble légitime car ils sont également à la recherche d’un espace vital et enfin au sud l’empereur nous accorde deux provinces Bohémiennes. L’interrogation reste au nord ou nous sommes soutenus par Cologne pour faire pression sur le Danois pour ne pas le laisser trop s’installer en Allemagne du nord. Après un bref échange avec le Jarl mon émissaire me rapporte qu’il est tout à fait civilisé et adoubé au sein de l’empire. Nous n’avons aucune raison de nous mettre à dos ces vikings qui ont toujours gardé cet appétit pour le sang et la guerre.




    Chapitre 2 (succession difficile) : 1444-1666

    Après cette première phase de diplomatie un second chantier s’avere essentiel pour la pérennité de notre duché, un monarque capable de lire, écrire et compter.

    Comme nous l’avons déjà évoqué le Brandebourg est gouverné par deux gredins pas très futés et même si beaucoup à la cour prétendent qu’avec eux ce serait mieux les frères espèrent une descendance et donc une belle dynastie.

    Le premier un peu moins con mourut dans d’étranges circonstances et laissa à son frère la tache d’assumer seul le royaume. N’ayant ni femmes ni héritier les murmures d’une prise de pouvoir d’un noble quelconque soutenu par l’armée troublait le sommeil d'Albrecht III et il s’empressa d’envoyer des demandes de mariages à toutes les cours d’europe susceptible de nous entendre. Aucune femme n’ayant envie de s’exiler dans ces terres boueuses le Danois nous proposa Margraet en nous expliquant qu’elle est habituée aux hivers rudes et s’acclimatera vite à la vie berlinoise. A peine épousée nous constatons qu’il s’agit surtout d’une grosse conne dont personne ne voulait mais il fallait la marier...

    Après quelques années de frayeur le couple avait enfin un héritier baptisé Joachim, sans être une lumière il semblait plus apte que ses parents à gérer un duché malgré ses 3 ans. Age ou son père décide de passer l’arme à gauche et donc de laisser le duché à la régente Margraet (3/1/0). Malgré les nombreuses tentatives d’assassinats cette truie restera jusqu’à la majorité de Joachim et nous allons subir 12 années de bêtise ou malgré les protestations à la cour elle restera imperméable à la renaissance.



    Chapitre 3 (un empereur faible ?) : 1444-1687

    Nous avons été surpris de voir un émissaire Polonais s’installer à notre cours, ce cosaque prétends être le messager de notre saint empereur même s’il ne connait aucune des politesses entretenues au sein de notre empire. Nous restons courtois malgré tout et après lui avoir mis quelques coup de pied au cul en guise d’au revoir nous appliquons les directives de l’empereur. Se tenir prêt à un conflit éminent contre la Bohème. Comme promis la guerre éclata quelques mois plus tard. Friedriech II prenait la tête des troupes et malgré notre préparation les fiers Brandebourgeois furent mis en déroute lors de leur première bataille. C’est ainsi que nous vîmes 12 000 hommes rasés de la carte en seulement quelques jours. Le duché dut subir quelques mois difficile après ce revers militaire le temps que l’empereur et son allié Polonais viennent nettoyer les mercenaires encore présents sur nos terres. A peine la paix signée et l’armée constituée Friedrich repart en guerre contre la Poméranie ou cette fois ci il sort victorieux à croire qu’il a appris des erreurs du passé. Friedriech mort, Albrecht moins combattif se contentera de nommer un général pour mener les armées Brandebourgeoises. Cela s’avéra être l’une de ses plus sages décisions. Un général de métier permis à l’armée d’être plus efficace lors des conflits mineurs qui suivirent.

    Mais revenons sur l’empereur en qui nous avons toujours confiance malgré cette alliance surprenante avec les cosaques. Ce dernier s’enlise dans divers conflit et son armée en prends un coup cela attise la gourmandise des ennemis de l’empire dont la Bourgogne qui en profite pour déclarer la guerre. Pris de court le Polonais semble être l’option la plus intéressante pour sauver l’empereur et pourtant cela lui coute les dernières provinces Silésiennes. Les électeurs voient ces terres quitter l’empire avec un gout amer et espèrent que l’empereur saura revenir plus fort de cet affront bourguignon.

    Et non ! A peine quelques années plus tard alors que nous pataugeons dans la bêtise de notre bien aimée régente celui ci vient gratter à notre porte pour nous proposer une couronne intérimaire que nous ne pouvons accepter. Devant cette impossibilité il est évoqué de transférer la couronne aux cosaques ?! La date vérifiée et certain que ce n’était pas une farce un diagnostic s’imposait est ce que notre cher empereur est possédé par le démon ?

    Après avoir dépêché les meilleurs médecins de l’empire nous étions rassuré il ne s’agissait que d’un peu de fatigue et ce dernier retrouva vite la raison. Néanmoins ces quelques épisodes ont un peu fragilisé la foi aveugle que nous avions en notre empereur et un dernier acte va quelque peu nous dévevoir. En 1466 nous demandons l'accord à l'empereur d'humilier son voisin de Bavière en 1470 ce qui ne lui pose pas de problème mais quelques mois avant notre déclaration de guerre l'empereur a revu ses engagements et vassalisé notre cible.








    Chapitre 4 (la Renaissance) : 1466-1487

    Joachim I accède enfin sur le trône en 1472 et sa première action fut d’instaurer la renaissance au sein de la cour afin de moderniser le pays et rattraper ce retard accumulé durant le règne de sa mère. Une fois le pays dans un état potable il s’intéresse à l’expansion du duché afin d’avoir une économie digne de ce nom avec la légitimation de marchés voisins et l’obtention de ressources précieuses. Ayant des intérêts communs avec l’empereur et Cologne nous leur envoyons régulièrement des émissaires pour leur proposer une guerre commune. En effet, les cibles étant le bloc central Brunswick Saxe il était préférable de constituer une action commune. Face à l’apathie de certains et la couardise d’autres Joachim est contraint de lever une armée conséquente pour affaiblir ces deux duchés avant qu’il ne soit trop tard. Les batailles sont durs mais nos généraux et troupes mieux entrainés prennent vite le dessus. Alors que la guerre fait rage depuis 2 ans et que les armées Saxonnes et Brunswickoises sont complètement défaites le Danois se propose de nous aider contre un nouvel ennemi. En effet, la guerre étant onéreuses nombreux sont les paysans et mécréants à se révolter. Appâter par le gout du sang le Danois souhaite piller les terres Saxonnes et nous l’invitons à prendre part au butin en guise de remerciement.

    Pendant ce temps à l’est les teutons jusqu’à présent très discret nous font part d’une rivalité officielle. Nous ne changeons pas nos traités vis à vis d’eux et comme promis nous leur laissons la province de Stolp. Néanmoins Friedrich qui espérait se concentrer sur l’économie du pays du prendre en compte cette nouvelle rivalité et décida de se concentrer sur la défense de nos frontières.

    La paix à peine signée avec les Saxons et leurs alliés les vautours en profitent pour se servir sur ces puissances largement affaiblies et sans défenses et cela laisse un goût amer à Albrecht qui les a si souvent appelé pour faire une guerre commune...







    Dernière modification par bloodnovsky, 05-02-2019, 20h58.

  • #2
    J'ai fait des captures d'ecrans (pas beaucoup mais quand meme) et je n'arrive pas à les inserer... j'avais préparé le doc sur word. Est ce possible d'envoyer a une bonne ame plus aguerrie qui poste pour garder les images?

    Comme je n'avais pas fait d'AAR pour la premiere session celui ci reprends les deux premieres sessions. Si possible 50 points militaires pour le Brandebourg

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    • #3
      Envois tes images sur ce site https://www.casimages.com/
      Ensuite ouvres tes images hébergés dans un nouvel onglet (en cliquant droit dessus) puis copies le liens de l'image que tu viens coller dans l'insertion d'image du forum.

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      • #4
        merci pour ton conseil. Je reussis a creer un lien pour la premiere image mais pas les deux autres... Sinon o n me dit que le format n'est pas bon. je suis en png. il faut mettre en jpg?

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        • #5
          en attendant de reussir une mise en page propre:

          Berlin en 1444/ https://www.casimages.com/i/190205061844295580.png.html
          Berlin en 1466/ https://www.casimages.com/i/190205061846634740.png.html
          Berlin en 1487/ https://www.casimages.com/i/19020506190051577.png.html

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          • #6






            Chapitre 5 (succession de Joachim I) : 1487-1496

            Avant de laisser le trône à la princesse Frederike, Albrecht souhaite finaliser l’expansion initialement prévue par ses grands parents. Bien que le partage ne semble pas en faveur de notre duché nous n’avons qu’une parole et qu’un nom et nous devons y faire honneur.

            C’est ainsi qu’en 1493 la conquête Brandebourgeoise de Magdebourg est lancée. C’est un véritable triomphe. Le conflit s’étalera sur 3 ans en raison des nombreux sièges nécessaires avant la reddition du Brunswick mais le peuple ne retiendra que la glorieuse bataille de Thuringe ou les 21000 Berlinois ne firent qu’une bouchée des quelques mercenaires encore présents.

            Fatigué par ses guerres successives Albrecht décide d’abdiquer au profit de sa fille adorée en 1496. Avant de se retirer il promulgue une dernière réforme fiscale que peu de citoyens ne comprennent hormis quelques clercs. Pour beaucoup il ne s’agit que d’un impôt de plus pour faire d’autres campagnes militaires que personne ne souhaite...


            Chapitre 6 (Une femme au pouvoir !) 1497-1508

            Frederike n’a que 15 ans quand son père abdique et malgré son jeune âge cette dernière semble déjà bien au fait des jeux politiques et dangers potentiels. Les Berlinois sont heureux d’accueillir sur le trône la petite fille de Margraet la Danoise, les espoirs de modernisation du pays semblent possibles !

            Après avoir consulté les différents ordres et confirmé ses craintes sur l’état du Brandebourg sa première tache fut de se consacrer aux défenses de ce territoire légué par ses aïeux. Elle demanda aux militaires d’établir de nouvelles doctrines défensives et mis au point avec les ingénieurs un nouvel équipement pour nos troupes.

            De nombreuses églises furent construites ce qui permit au clergé d’instaurer de nouveaux impôts et consciente de la découverte d’un nouveau monde de par ses relations Danoises et Hollandaises elle s’empressa de signer les 50 glorieuses.

            Il s’agit d’un édit pour accélérer la modernisation du pays en espérant combler le retard accumulé avec nos voisins. Maintenant que les guerres sont finies nous pouvons espérer nous concentrer sur la construction de manufactures, ateliers et marchés...

            L’horizon semble prospère pour Frederike et les Berlinois mais elle n’est pas dupe cette prospérité attirera la convoitise. D’ailleurs, un émissaire du Teuton vient nous apporter un message. La guerre les démange et ils souhaitent connaitre ma position en cas d’attaque sur le Danemark. Sans nous y opposer nous avons plaidé pour la paix en insistant que les deux camps avaient plus à perdre et que d’autres sauvages méritaient de mourir. Afin d’entretenir de bonnes relations avec les Danois nous partageons le message Teuton et ces derniers nous confient qu’ils avaient reçu le même émissaire en cas d’attaque sur les Berlinois.

            Plus au sud nous avons écho d’une alliance Italienne en vue d’attaquer la France. L’assaut est préparé et les forces Italiennes sont certaines de surprendre la France mais la surprise va vite changer de camp. Cela ne présage rien de bon pour le Saint Empire Germanique, espérons que notre cher empereur sera plus vaillant contre les troupes Françaises.

            Dernière modification par bloodnovsky, 12-02-2019, 17h26.

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            • #7
              Chapitre 7 (tristes années) 1508-1528

              La guerre est proche ! A nos frontières les armées s’entrainent et partout en Allemagne nous voyons des mercenaires se réunir. Notre faiblesse apparente inquiète les paysans et le clergé qui se préparent aux sièges mais notre princesse électrice déjà âgée de 27 ans sait profiter de ses charmes lors des pourparlers pour dissuader les envahisseurs potentiels.

              En effet, lors de notre précédent chapitre nous avions évoqué la demande belliqueuse des émissaires Teutons. Leur demande ne pouvait être encouragée mais nous avions une autre proposition. Plutôt que de s’écharper entre Allemands du Saint Empire essayons de porter fièrement les valeurs Allemandes pour libérer les Silésiens du joug Polonais ! L’idée de mettre à genoux ces sauvages cosaques séduit le Teuton au delà de nos espérances. Nos généraux sont envoyés afin d’établir un plan d’invasion, une brèche semble évidente. L’armée Polonaise est confiée aux aristocrates et ces égoïstes préfèrent les banquets aux champs de bataille. Les premiers contacts avec une vraie armée auront raison de leur peu de courage. Toutefois nos espions nous rapportent que les Polonais sont sur le point de mettre au point une nouvelle cavalerie redoutable et que d’ici quelques années il sera trop tard.

              Les discussions sont longues, il est clair que nous devons occuper la capitale Polonaise mais la route pour y accéder fait débat. Notec, Lignica et Plock sont les principales cibles de notre alliance. En 1510 les émissaires Teutons déclarent la guerre avec pour objectif la province de Plock. L’effet de surprise est efficace et la forteresse tombera au bout de quelques mois. Galvanisé par la prise de la province nous affrontons les armées Polonaises dans la foulée. La bataille de Rawa est un succès formidable les Polonais sont mis en déroute et les nobles fuient à travers le royaume. La bataille décisive semble à portée et un détachement de mercenaires est envoyé pour libérer les provinces Silésiennes.

              Cracovie est assiégée et la victoire de l’alliance Allemande semble inévitable. Pourtant Bronislaw Odrowaz, refuse de se rendre et prends la tête des paysans et cosaques encore décidés à défendre leurs terres. En 1511, la bataille de Cracovie redonne espoir aux Polonais Bronislaw est redoutable et sa maitrise de la cavalerie renverse le cours de la bataille. Sûr de son général Krzysztof I l’envoie libérer Plock. Les armées Allemandes seront de nouveaux mis en déroute par la cavalerie Polonaise et une paix blanche est convenue entre les belligérants en 1513. Les Silésiens devront encore parler Polonais quelques années.

              Cette campagne militaire peu fructueuse était le présage d’une décennie difficile pour les Berlinois. En effet, convaincue que l’église est à l’origine de cette défaite militaire, Frederike se convertit au Protestantisme en 1518. Notre fils adoré, génie de la nation, Joachim II (5/6/3) meurt d’une pneumonie. Anéantie Frederike va sombrer dans une dépression nerveuse et ne peut plus assumer le trône. L’aubaine est trop belle et les nobles en profitent pour prendre le contrôle de Berlin. Le collège de comtes et barons en charge est une catastrophe et bien que cela ne dure que quelques semaines les dégâts sont considérables. Beaucoup s’amuse à dire que l’intelligence n’est qu’un artifice quand on est noble...
              Dernière modification par bloodnovsky, 22-02-2019, 17h03.

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              • #8
                Chapitre 8 (Une partie de chasse) 1528-1548

                Berlin 1528



                Alors que nos voisins du Danemark et de Cologne s’entretuent pour un village de pêcheur, nous devons faire le constat que notre armée semble faible.

                Le lieutenant colonel Solowee est nommé à la tête du pays pour remplacer notre princesse électrice invitée à Chambord à une partie de chasse par Francois Ier. Bien qu’ayant une certaine autonomie quelques consignes sont discutées avant le départ de Frederike. L’objectif premier est d’améliorer notre puissance militaire et pour cela nous validons la création d’une marche sur la province d’Anhalt ainsi que la mise en chantier de forteresses sur la frontière Est.

                Une fois ce chantier militaire achevé il faut maintenant tester notre puissance de feu. Nous avions convenu avec le lieutenant colonel que nous ne souhaitons pas affaiblir nos cousins de Prusse et que notre voisin de Cologne semble trop dangereux pour essayer de l’attaquer. Les cosaques nous ont laissé un goût amer lors de nos dernières batailles et nos amis Danois sont soutenus par l’armée Suédoise. De fait l’Autriche semble la cible appropriée surtout que la diplomatie de l’empereur a soulevé quelques rancoeurs auprès des princes électeurs.

                Cologne encore galvanisé par sa conquête sur le Danemark se joint à nous pour rappeler à l’empereur que le Saint Empire ne se compose pas que de l’Autriche. La papauté inquiète de voir le Protestantisme se répandre rejoint l’Autriche dans cette guerre. Les armées Allemandes sont disciplinées et mettent vite en déroute les mercenaires catholiques. Les forces du Vatican sont réduite à néant et la guerre semble gagnée mais l’empereur s’affole et demande aux deux autres Italiens de sauver les catholiques. De longues négociations sont entamées et malgré la victoire éclatante des concessions sont accordées et nous accepterons de ne pas prendre la mine d’or convoitée.

                Pendant ce temps nos cousins de Prusse lancent une offensive sur le Danemark. A notre grande surprise les Danois repoussent les Teutons et sortent victorieux de cette agression.

                Cela fait près de 15 ans que les Berlinois subissent des conflits militaires et il est grand temps de se consacrer au développement économique du pays. Un parlement est mis en place afin de mieux répondre aux attentes de chaque province du duché et la modernisation de notre production est lancée avec la création d’un réseau de manufactures.


                Berlin 1548
                Dernière modification par bloodnovsky, 01-03-2019, 11h31.

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