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  • #16
    "Le roi de France dans sa cupidité la plus crasse, a en effet signé une paix enrichissante pour lui, et plus que coûteuse pour l'Autriche."

    Quel branlo ce français

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    • #17
      Chapitre VIII
      La soif d'Odin



      Nous sommes en 1590, Frederik meurt de vieillesse après un règne de 51 belles années.
      Son fils Christian est bien moins compétant, il est tourné vers l'administration mais c'est un homme honnête et il aime les intrigues politiques.

      Cette même année, et après avoir volé la terre du Luxembourg aux Pays bas, Cologne déclare une guerre d'humiliation à notre nouveau souverain.
      Mais l'envahisseur nous a sous estimé, car depuis 10 ans nous préparions notre armée à la guerre, fort de nos nouvelles lois permettant de lever une armée très massive.
      L'ennemi est repoussé une première fois, mais nous perdrons la bataille suivante, à Brème.



      Nous signons donc une paix qui vise à humilier publiquement Christian.


      La décennie suivante verra notre activité économiques s'intensifier dans le nouveau monde, et à la demande des Anglais nous construisons une flotte de commerce que nous envoyons surveiller les échanges commerciaux d'Amérique. Tous nos gains vont directement dans le budget de la défense, car patiemment Christian prépare une offensive.

      En 1605, l'heure est venue de frapper !
      Le duché de Cologne soutient la Pologne qui est en mauvaise posture dans sa guerre contre l'Autriche.
      Les nouvelles rapportées sont bonnes, car les régiments envoyés par notre voisin ont tout simplement été détruits.
      Nous massons la totalité de l'armée Danoise à la frontière, et envoyons une menace de guerre à leurs dirigeants pour le retour de la province d'Oldenbourg.
      Leur refus signe le début des hostilités.

      Très vite, leur armée est dépassée par notre nombre et nous prenons la forteresse d'Osnabruck, mais un mouvement audacieux de la part de leur général revenu de Pologne, visant à contourner nos lignes et frapper par derrière sèmera la panique dans nos rangs. Privé d'artillerie pendant 5 longues journées, la bataille de Hoya est un échec qui nous coûtera 40 000 hommes.
      Nos troupes battent en retraite sur nos terres, et Cologne en profite pour reprendre sa forteresse et ses positions défensives.

      Une fois nos armées regroupées et nos régiments reconstitués, une nouvelle offensive est tentée, sans grande ambition.
      Mais des nouvelles nous viennent de l'Ouest, nos voisins du Pays Bas déclarent eux aussi la guerre à Cologne !
      Nous ne nous attendions pas à un tel rebondissement, mais la joie sera de courte durée puisque les troupes néerlandaise sont littéralement humiliées sur le champs de bataille.



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      • #18
        Les troupes néerlandaises humiliées? Nous avons perdu qu'une bataille

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        • #19
          Chapitre IX
          Un coup d'épée dans l'eau



          En 1610 la guerre fait rage dans l'allemagne du nord,
          Après quelques batailles, les Pays Bas obtiennent finalement le retour de leur province du Luxembourg, nous laissant en tête à tête avec le duché de Cologne.
          Les mouvements de troupes du duché sont audacieux mais nos troupes sont trop nombreuses et la capitale de Westphalie finie par tomber et nous obtenons nous aussi le retour d'une province : notre bien aimée Oldenbourg après 4 ans de conflit.



          Cette guerre nous a énormément coûté, une génération entière de jeunes Danois sont morts et nous souffrons de 10 000 ducats d'emprunts.
          Le répit est de courte durée, la fin de la trêve avec Cologne en 1618 signifie aussi le début d'une nouvelle guerre.
          Notre surprise est grande lorsque nous constatons que nos amis de Brandebourg, manipulés par le duché revanchard, les rejoignent dans le conflit.
          Devant un tel déversement de haine, et incapable de faire face seuls, nous décidons de céder à leur exigences sans verser le sang et leur cédons une nouvelle fois le port d'Oldenbourg, et 10% de nos revenus iront directement dans les caisses des Berlinois.



          Deux ans plus tard, le nouvelle empereur du Saint Empire fraîchement élu nous déclare aussi la guerre et humilie publiquement notre souverain.
          Mais nous n'avons pas été la seule cible de nos rivaux de Prusse, puisqu'il semblerait que tous les monarques de la Baltique aient été obligés de se soumettre à ce tyran.



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          • #20
            Chapitre X
            Partenaire privilégié

            Christian I meurt et laisse la place à Abel en 1627, ce nouveau roi est un fin diplomate et un valeureux guerrier.

            Les années 1620 se terminent par l'envoi d'un émissaire Danois à Arnsberg, capitale de Cologne, avec pour objectif de présenter aux dirigeants nos voeux d'un pacte de non agression d'une durée de 20 ans.
            Mais les négociations sont de courte durée, car notre diplomate reprend la route du pays sous les railleries de ces barbares.

            Parallèlement nous décidons que la colonisation du nouveau monde doit prendre fin, car nous y avons atteint notre but : fonder des colonies riches de ressources à ramener dans les métropoles Européennes et ainsi faire fructifier notre commerce. Nous abandonnons donc les lois favorisant la colonisation et commençons à adopter une doctrine que l'on pourrait qualifier de maritime tout en continuant de promulguer des lois visant à réformer l'armée de manière plus offensive.

            Malgré nos efforts envers ce pays, Cologne nous déclare une nouvelle foi la guerre le 20 mars 1629, pris de court, nous battons en retraite sans livrer bataille et laissons la péninsule du Jutland se faire envahir le temps que notre nouvel allié des Pays Bas nous vienne en aide.
            Les Néerlandais entre en guerre et commencent à assiéger le Luxembourg pendant que nos troupes retiennent l'armée de Cologne près des îles Danoises.
            Mais, incapables de faire face au retour de bâton de sa diplomatie déplorable, les dirigeants de Cologne invite la Pologne à rentrer en guerre. Les armées Néerlandaises sont repoussées par la cavalerie Polonaise au Luxembourg avant que la forteresse ne tombe.


            Des diplomates d'Autriche traversent les lignes ennemis et nous délivrent un message " Nous imposeront la paix blanche à cette guerre".
            Ni une, ni deux, l'armée Autrichienne commence à envahir le sud du duché de Cologne, mais les soldats Polonais les repoussent aussi.
            Sachant très bien qu'une guerre d'usure lui serait fatal, le royaume de Cologne appel en dernier recours l'empereur du Saint Empire : la Prusse.

            La dernière bataille pour le Luxembourg opposant Néerlandais et Prussien est une vraie boucherie, repoussant une nouvelle fois les Pays Bas, pendant que nos attaques surprises au travers du détroit du sund sont elles-aussi un échec. Nous nous rendons et cédons la province de Brème à Cologne.



            Pour nous assurer qu'un tel schéma ne se reproduise pas, nous approchons les dirigeants Prussiens qui ne demandent qu'une chose : l'assurance de notre vote pour la couronne du Saint Empire.
            Nous acceptons, et notre électorat soutient pour la première fois les dirigeants de Prusse le 28 avril 1636.



            Pendant ce temps, les dégâts laissés par l'invasion de Cologne est visible dans toutes les villes de la péninsule du Jutland. Les campagnes sont dévastées et le commerce recule.
            Nous sommes dans une situation économique catastrophique car nous avons pris la guerre de plein fouet.
            Un vrai plan de reconstruction du pays vient alors des Pays Bas, qui entreprennent de rembourser une partie de nos dettes, la guerre ayant épargné leur territoire.
            Leur soutient est le bienvenu et nous décidons de resserrer les liens en planifiant une contre-attaque en Westphalie.

            A la fin de la trêve en décembre 1640, nous déclarons la guerre, ensemble car pendant trop longtemps le duché de Cologne a imposé ses ambitions sur ses voisins.
            Après une bataille remportée par les Néerlandais, et voyant que personne ne viendrait cette fois-ci à son secours, le duché abdique, rend le Luxembourg aux Pays Bas et Brème à notre royaume.



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