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  • Le seigneur du Rhin ( AAR Rhénan Gpo Mundus contre Dr.Blob )

    Chapitre I : Un fleuve trop petit pour deux Duc trop grands.
    ( Un chapitre garantie sans image par La Peur du Crash, bête noir des Gpos depuis 2013 )



    Armorie du Duc de Hesse, seigneur légitime du Cercle électoral du Rhin.




    Le Duc hessois, après un échec cuisant dans une guerre de revendication des terres rhénane face à une alliance de seigneurs voisins mené par le Duc de Nassau, se réfugia dans son château de Marburg, maudissant les maléfices ayant empêché son puissant général de mener son host à la bataille et signant par cela la défaite du Duc et annonçant une décennie de mutisme où des rumeurs disait que le Duché était dirigé par une force mystique hors du contrôle du Duc-lui-même. Cette période fût nommée dans les chroniques des moines-copistes rhénans comme celle dite " De la première session où le chaos fût maître" ou encore " des cents nobles perdues et des diplomates gagnés" et par les gueux comme celle "du foutoir sans-nom des premières sessions". Cette période fût connu jusqu'en Hollande puisque le Duc hollandais déclarant que ce fût la hass pour la Hesse .


    Le Duc de Nassau, némésis du Duc Hessois.

    Heureusement, cette décennie noire fût suivie par une période d'expansion notable du domaine ducal grâce à l'aide des autres grands seigneurs de l'Empire, le Duc de Hollande,le Syndic de la Hanse, et le Duc du Brandebourg dont les armées furent régulièrement mise à contribution après la destruction total des forces hessoises. Les provinces de Padeborn furent prise à l’archevêché de Cologne, moribond après avoir perdu la province de Westphalen face au Duc de Nassau, la bête noire des seigneurs de la région que le juste Duc de Hesse tenta vainement de combattre. Le Duché de Brunswick fût ensuite restreint à la seule province de Hoya suite à deux guerres où les provinces de Hanovre et de Braunshweig furent rattachés à la couronne ducal des Von Hessen. Le Prince-Electeur de Mayence, ayant froissé l'Empereur autrichien, fut également annexé au Duché rhénan alors que les tentatives de rattachement de celui de Francfort furent sans aboutissement dût à une trop grande alliance de seigneurs mineures allemandes hostiles à l'expansion hessoise.


    Suite à cette seconde période où le prince hessois put nettoyer son honneur de l'opprobre dût à l’échec face à ses voisins suivie une nouvelle période de stabilisation pour le duché, essoufflé par tout ses conflits. Si le Duc se concentra en effet sur la remise des finances en Etat, ce fut cependant en parallèle d'une remise en état de l'armée du Duc permettant ainsi une meilleure défense des intérêts du Duché et de ses alliés. Cette période d'assainissement fût momentanément stoppé par une guerre face à une coalition mené par le Roi de Bohème soutenu par des mineurs allemands ainsi que par la France, du moins officiellement puisque le Roi de France signa une paix blanche de 100 à 150 ducats,( 50 ducats ayant été envoyé par inadvertance par le Duc hessois à la France alors que l'Empereur avait d'ors et déjà payait la paix, la bonté rhénane n'ayant cependant pas de limite, la Hesse remboursa également l'Empereur pour sa mansuétude, les autres princes allemands restant pantois face à l'action du Duc ).


    Les princes allemands apprenant la donation généreuse de la Hesse envers la France.

    Le duché put ensuite profité d'une nouvelle période de paix, une période de paix que seul la magie noire refrappant le Duc ne put mettre un terme. En effet, si le Duc de Hollande déclencha un énième conflit contre des seigneurs mineures, les troupes hessoises entrèrent dans la bataille par le consentement du Duc rhénan mais sans être directement commandé par lui, étant dans une convalescence de fortune. Il put cependant faire un retour au moment propice puisqu'en fin de guerre et put alors mettre un terme à l’influence néfaste de l'existence du Duc de Nassau sur la psyché du seigneur de Marbug, permettant au duché de s'étendre à l'Est en absorbant le territoire de Nassau et de Westphalen. Cette victoire fût suivie par l'accession du Duc de Hesse au rang de Prince-Electeur par l'Empereur ( plus ou moins maître de ses actions ) pour son rôle devenu prépondérant dans le cercle impérial du Rhin. ( bien que des personnes mal-intentionnés pourraient supposer que cela est dût par la disparition successive des Princes-Electeurs initiaux dût à la politiques des duchés et royaumes intra et extra-impériaux ). Les chanceliers du monde connu ( et donc civilisé ) relate également la persévérance des diplomates hessois à souhaiter des mariages royaux avec des grands royaumes telle que l'Ethiopie, l'Angleterre, la Hongrie et la France, le Duc souhaita en effet agrandir sa dynastie des Von Hessen, mais cela sans résultat. ( )


    Le Duc Von Hessen, son ambition, et les princesses hessoises rejetées.

    Les prochaines chroniques relatant l'histoire du duché rhénan verront les futurs actions du Duc dans sa politique intérieure et extérieure en particulier la politique de celui-ci face à l'existence en son sein de l’Électorat de Francfort.



    Le Duc Von Hessen, regardant Francfort avec questionnement.
    Dernière modification par ludor, 28-06-2015, 21h12.

  • #2
    Chapitre II : Le son du Silence
    ( Un chapitre toujours sans images, mais cette fois-ci sans son également, et court de toute manière )


    L'optimisme rhénan.
    ( Oui j'ai eu un soucis de micro pendant toute la session, donc j'ai été muet tout le long )


    Francfort sur le Main, la perle du Rhin, est enfin, enfin tombé. Le Duc hessois, d'un ultime signe de grandeur vis à vis des seigneurs voisins a décidé de les annexés, n'écoutant que son courage, et feignant de ne pas entendre ses conseillers lui disant de se préoccuper des répercussions sur la diplomatie du Duché, car en effet, si il n'y a plus de seigneurs voisins, ils n'y a donc plus de voisins hostiles. Le Duc décida donc de lancer une ultime attaque contre la Ville Libre d'Empire de Francfort, négociant une paix séparé avec l'Empereur contre un dédommagement. Le Duché se concentra ensuite sur le combat contre les dernières forces rebelles à l'autorité hessoise, le Duc de Hollande dont on dit que les armées étaient là contrairement à l'esprit rejoignirent le combat. La ville de Hoya, dernière possession du Duc de Brunschwig fut céder à la Hollande, le Duc, homme d'honneur respectant ses accords, même lorsque son allié n'est pas directement présent. Francfort fut elle annexé au Duché Hessois, devenu une puissance locale au sein de l'Empire, le Duc de Clèves put conserver son indépendance en échange d'un tribut.


    Après la fin du dernier rempart à l'unification du territoire hessois, le Duc décida de finaliser l'extension de son territoire. Il ne vit cependant pas la fin de son épreuve puisqu'il mourut lors de la guerre, ses capacités furent regrettés puisque son successeur n'excellant dans aucune compétence, ( et son héritier présage des heures bien pire ). La ville de Wuzbourg fut cependant rattaché au Duché Rhénan, l'Empereur et les princes allemands pensant que la Franconie n'ayant aucune consistance viable.

    Ces deux actions, bien que paraissant futiles pour tout lecteur manquant cruellement de foi ( et cela étant consternant) furent les deux étapes finales de la construction de l'Etat Hessois, puisque le début d'une politique hors du Cercle Impérial du Haut-Rhin.



    Une illustration de l'attitude des Princes allemands apprenant la révolte de Luther envers l'Eglise.

    Si le mutisme du Duc Hessois fut pesant, il écouta attentivement les discours de ses paires et tenta également de rejoindre, sa vitesse n'également que sa ferveur, la cause de la révolte ecclésiastique de Luther, en effet la foi protestante vit en l'espace de quelques instants le nombre de ses croyants décuplés ( les chroniqueurs supposant quand l'espace de 0.1 seconde, la moitié des princes de l'Empire se convertit, preuve si il y en est de la félonie papale). Des grands lieux de théologies s'ouvrirent alors en Pologne et Allemagne du Nord, échappant cependant à l'influence du Duc de Hesse mais annonçant des heures d’intolérances religieuses en Europe et comme dit une maxime tiré d'une chronique populaire " Tu sais donc pas que c'est pas bien d'être raciste".
    Dernière modification par ludor, 16-07-2015, 14h52.

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    • #3
      Chapitre III : Cochons de Guerre
      (Devinez quoi, toujours pas d'image )


      ( Rien ne vaut la guerre pour briser la monotonie )

      Alors que le dernier territoire conquis s'intégrer doucement aux restes possessions du Duché et que les petits oiseaux chantaient pendant les conversions *ahum*forcés* ahum* des peuples germaniques au Protestantisme, le Duc dans une vision se souvenu d'un accord oral passer dans des temps anciens par son aïeul avec le syndic helvète au sujet des territoires du cercle de Swabie, et ce souvenu de la détresse de son prédécesseur voyant jusqu'au Prince Palatin et la ville Imperiale d'Aachen rejoindre la Confédération Suisse alors que le Duché de Hesse ne pouvait étendre sa politique aussi loin que la Suisse. Le Duc décida alors de tenter de laver cet affront en conquérant les territoires du Palatinat en s'alliant avec une puissance voisine à la Suisse, le Grand Duché de Bourgogne ayant unifier ces derniers vassaux, cependant bien qu'un assistante informelle du Roi de France fut également mis sur pied, celui ci décida de rester en dehors du conflit pour éviter un embrassement du conflit.

      Le Duc rhénan ayant trépassé pendant les préparations de la guerre, une régence se mit en place obligeant le Prince Bourguignon à attaquer par lui-même la Suisse alors que les forces Hessoises n'avait pas encore atteint une rénovation militaire pourtant si proche. Les forces hessoises, surévalué par le Duc lui-même et la précipitation bourguignonne mena alors à une rapide mais humiliante défaite lorsque le Brandebourg, allié et amie du Duché Rhénan décida de soutenir la Confédération Suisse, conquérant sans résistance le territoire du Duc alors que les armées Hesso-Bourguignonnes perdurent la foi.

      Cette première guerre amena des dissensions nouvelles dans l'Empire bien que le conflit dû à la rapide capitulation ne laissa pas une haine farouche entre les belligérants. La Hesse dût céder suite à ce désastre le territoire de Hanovre au Brandebourg ainsi qu'une somme d'argent, la diplomatie rhénane réussi cependant à ce réapproprier la ville d'Hanovre grâce à un payement envers le prince du Brandebourg, dont on dit que les coffres sont opulents et les armées nombreuses rivalisant avec l'Empereur et les plus puissants rois d'Europe.



      La première réaction d'une princesse rhénane apprenant la première défaite
      lors du premier conflit du Duc envers une puissance d'Europe.

      Mais ce conflit éphémère ne fut pas le plus violent de cette époque. Après une période de paix et de reconstruction de l'appareil militaire sous l’œil et la supervision du régent hessois, une nouvelle guerre se déclencha à l'Ouest, le Prince Bourguignon fut attaquer par le Roi de France, des rumeurs disant pour conquérir le territoire de Picardie, l'Alliance avec la France brisé par cette dernière, lorsque le Prince Bourguignon envoya une demande d'aide à ses alliés, la Hesse répondu à l'appel en accord avec son honneur. Le Pape, défenseur du Prince Catholique Bourguignon rejoignit celui-ci ainsi que la Grande-Bretagne protestante face à une France protestante soutenu par la Ligue Hanséatique nouvellement acquise à la foi réformée apparu dans le territoire même du Duché de Hesse, celui ayant alors sous la Régence une période où la foi Réformée fut religion d'Etat, avant de revenir à la foi Luthérienne lors de la majorité du Prince Hessois.

      La guerre fut violente, et si les armées hessoises n'étaient pas de tailles à combattre celle du Roi de France, elles offrirent aux généraux bourguignons un soutien quantitatif ainsi qu'un semi-soutien aux troupes britanniques dans le Nord de l'Allemagne. Les batailles et l'occupation menaçant le Duché, le jeune Duc faisant preuve de sa grande connaissance diplomatique et administrative, accepta une proposition de paix blanche envoyé par la France, et si les armées hessoises ont légèrement souffert lors du conflit, la reprise morale de l'armée et la connaissance du courage rhénan furent largement vainqueur.


      Dernière modification par ludor, 16-07-2015, 16h00.

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      • #4
        Chapitre IV : Le Duc est mort, vive le Duc !


        ( Quand le bâtiment va, tout va. Heinrich II )

        Les chroniqueurs donnaient à la Hesse un futur prospère, la guerre de réadmission contre le Brunswick n'était plus qu'une formalité. Cependant comme les pires craintes pouvaient le dire, notre bien aimée Duc Heinrich I mourut rapidement, ne pouvant donner à son Duché l'expertise qu'il lui promettait. Son successeur, Heinrich II, connu pour être un bien meilleur leader militaire que son prédécesseur monta alors sur le trône, permettant à la Hesse de rattraper son retard technologique abyssal dans le domaine militaire et diplomatique.

        Le nouveau Duc décida alors de prouver son talent militaire en attaquant le Duché de Clèves en accord avec le nouveau Duc d'Hollande, la Hesse conquérant la cité de Berg. Cette guerre rapide permis à la Hesse de remplir ses coffres qui permirent d'investir dans des infrastructures dans le Duché. En effet, l'un des volontés des déjà nombreux ducs hessois étaient de développé les territoires sous leur férules car l'expansion du Duché étant relativement faible par rapport à d'autres pays d'Europe, les seigneurs rhénans décidèrent donc de prendre un certain retard technologique en investissant les ressources du Duché dans l'amélioration des infrastructures et de la production de ses territoires.

        Peu d'actions notables sont jusque là à mettre sous la gloire d'Heinrich II, attendant son heure et des circonstances et propositions venant d'Europe pour donner à la Hesse une plus grande place dans le Monde.



        ( Une représentation du territoire hessois, la Hesse n'ayant donc en frontière que cinq pays,
        les Provinces-Unis, la Ligue Hanseatique, le duché de Brandebourg, la Confédération Helvetique et l'Archiduché Autrichien )

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        • #5
          Chapitre V : L'Empereur-Dieu


          ( Heinrich II, du haut de son palais de Marbug )




          Heinrich II, surnommé le Grand par ses contemporains, aura pleinement rempli les espérances que son père ne put assouvir. En effet le début de son règne vit la destruction de l'ancienne Ligue Hanséatique qui avait dominé le commerce nord-européen pendant des siècles mais qui ne put survivre à la formation d'Etats modernes avec des dirigeants stables. Le démantèlement de la Ligue et l'annexion des villes sous sa protection se fit entre les puissances germaniques du Nord de la Germanie, le Margrave brandebourgois obtenu les villes de la Poméranie et de l'ancien Duché de Mecklemburg, les jeunes Provinces-Unis gagnèrent les territoires de la Frise allemande tandis que le Duc hessois se fut donné les clés de la Ville de Hambourg et de Verden ainsi que le Duché de Luneburg. Un dernier Prince imprévu joignit les combats en Europe du Nord puisque le Roi de Grande-Bretagne, dans sa félonie légendaire viens forcer ses revendications sur la grande ville de Lübeck ainsi que sur l'ensemble de l'ancien royaume de Danemark, ne pouvant rien contre ce nouveau belligérant, les princes allemands durent accepté la mort dans l'âme.

          Si les campagnes militaires furent rapide se fut en effet car l'ensemble de ses belligérants possédaient une ferveur religieuse nouvelle grâce l’éphémère mais conflictuelle Guerre de 30 Heures lors de laquelle l'Empereur Hasbourg catholique accepta les revendications des princes allemands, car étant devenu le seul îlot de l'ancienne religion papale dans le Saint Empire Romain, l’Archiduc d'Autriche se convertit donc ensuite au Protestantisme et obtenu le rang de Prince-Electeur de la part de l'Empereur Germanique protestant, Heinrich II Von Hessen, le Grand. Les Von Hessen entrant donc l'histoire par le glorieux titre de Roi des Romains et Empereur de Germanie, donnant au Duché de Hesse la gloire qui lui est dût.




          ( Heinrich II, l'omnipotent vainqueur de l'Hérésie Catholique en Germanie, à gauche l'Archiduc Autrichien )


          L'Empereur Heinrich II décida, dans sa grandeur de redonné le goût de la Justice en Terre d'Empire, il décida donc après la disparition de la corporation hanséatique du nord de la Germanie de libérer les territoires impériaux sous domination Britannique, déclarant le Roi Britannique apporteur du Chaos en Europe et ennemi de la Justice après son expansion en Prusse. La Guerre commença quand soudainement la magie noir provenant du Sataniste Britannique frappa Heinrich II qui laissa ses armées dans le combat après avoir disparu dans les ténèbres. Mais l'Empereur reviendra et apportera la Justice dans les provinces corrompu par la félonie Britannique.


          ( Heinrich II, soutenu par les princes allemands ( les casques à pointes le confirme ) confrontant le Roi Britannique venant d'abattre le Duc Prussien pour la cité de Danzig )


          ( Les conséquences de la perfidie Britannique, empêchant la présence d'Heinrich II lors du commencement de la libération de la Germanie,
          mais que les Justes se rassurent, l'Empereur reviendra )
          Dernière modification par ludor, 01-08-2015, 15h43.

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          • #6
            Tu te proclames Seigneur du Rhin, mais qui contrôle vraiment le Rhin, hein? Qui?

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            • #7
              Envoyé par Halzum Voir le message
              Tu te proclames Seigneur du Rhin, mais qui contrôle vraiment le Rhin, hein? Qui?
              Parce qu'un alsacien ne rigole pas avec le Rhin je suppose ?

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              • #8
                J'avais mis le titre AVANT que tu ne me vole les provinces Rhénanes, donc si il y a un soucis de titre, c'est totalement de ta faute Puis le Rhin est notre frontière donc c'est en partie vrai !

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                • #9
                  Tu devrais te renommer le seigneur de la Weser, certes c'est très moche comme titre mais ça correspond mieux à la réalité
                  (Et sérieusement qui connaît la Weser comme fleuve. Pour info j'ai du chercher sur wikipédia pour trouver le fleuve qui traverse ton pays )
                  D'ailleurs tu sais pourquoi il y a une statue brisée sur ta capitale sur le screen plus haut ?
                  Dernière modification par Revok, 02-08-2015, 16h00.

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                  • #10
                    Les statues brisés signifie qu'il y a un centre de conversion ( en l’occurrence réformé ), mais j'ai fait disparaître celui de Hesse et du Holstein donc il n'y en aura plus sur les prochains screens.
                    Seigneur de la Weser et du Lahn...... Nan, le Rhin c'est mieux, ca permet de faire des jeux de mots avec rein et rien

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                    • #11
                      Chapitre VI :



                      Alors qu'une nouvelle période s'ouvrait, l'Ogre Britannique arriva pour négocier sa reddition, la région allemande du Holstein retourna dans le giron impériale, et Heinrich II put profiter de la paix pour reconstruire son pays. Il mourut peu de temps plus tard après avoir grandement aider la Hesse à entrer dans l'Histoire de l'Europe, permettant au Roi de Hongrie d'accéder au Rang d'Empereur et par extension l'intégration d'une nouvelle marche Orientale au Saint-Empire.


                      Cependant, alors que la paix en Germanie était installé, l'Empereur redevenu Autrichien envoya un diplomate à Marburg. Le Brandebourg voisin et la Pologne profitant de la déchéance de la Prusse, commencèrent à peser une menace pour l'équilibre de l'Empire, l'Empereur Autrichien, ainsi que le Syndic Helvétique, assemblèrent ainsi un plan avec le nouveau Duc de Hesse pour affaiblir le Duc du Brandebourg.




                      Alors que les combats faisaient rage, que l'Armée Hessoise provoqué de grands succès militaire, un imbroglio diplomatique fit que l'Archiduc d'Autriche décida un cessez-le-feu avec le Brandebourg alors que l'Armée Suisse était sur le point de se réformer et que les batailles tournés à l'avantage de l'Alliance de l’Équilibre. Alors que le Saint-Empire pansait ses plaies, la solution militaire s'éloigna, prouvant son inutilité et le danger d'un Saint-Empire désuni et affaibli face à des menaces extérieures. En effet, si la situation dans le nord du Duché semble chaotique, les craintes restent concentré sur les possessions Britanniques, menaçant l'ensemble des Princes Allemands.



                      ( Les revendications hessoises sur les territoires brandebourgeois visant à conquérir les territoires nécessaire à la Réforme du Duché. La conversion des derniers fortins calvinistes dans le Duché virent la disparition des centres théologiques du Holstein et de Hesse, visant à maintenir l'unité religieuse derrière le trône des Von Hessen . )

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                      • #12
                        c'est vrai que l'Angleterre est terrifiante pour les puissances continentales

                        Commentaire


                        • #13
                          Chapitre VII





                          Les guerres, le Duché en avait eu déjà assez, certaines bêtes assoiffés de sangs diront trop peu, mais l'histoire retenu que l'histoire et la gloire de la Dynastie des Von Hessen ne c'est pas construite par la guerre, mais par la diplomatie et les négociations. En effet, si la guerre précédente fut stérile, elle avait pourtant pour but d'apporter la gloire et les terres nécessaires à une réforme du Duché, cependant l’imbroglio survenu mena à la fin de la voie militaire. La sagesse rhénane vit alors une oreille attentive dans l'adversaire d'alors, le Prince Brandebourgeois, un accord, que les diplomates appelèrent le Traité de l'Apaisement fut alors signé. La région de Lüneburg fut acheter ainsi que la région de Magdeburg, mais celle-ci dans le seule but de permettre aux juristes Rhénans et Westphaliens de s'accorder à une réforme politique et administrative du Duché : en effet, la puissance du Duc, son rôle de Prince-Electeur ainsi que son influence sur la région permit au Duché de Hesse de s'adapter aux nouvel idées politiques issue de la Renaissance, le Duché de Hesse fut donc érigé en Royaume de Westphalie et le système féodal abolie pour s'adapter à une prépondérance de l'administration royale. Le Roi-Electeur de Westphalie pris donc une nouvelle et méritée importance dans le Saint Empire Germanique et en Europe.





                          Les années qui suivirent continuèrent sous les auspices de la Paix et du Développement, le Roi de Westphalie continua sa politique d'assainissement des relations avec ces voisins, le Brandebourg n'étant plus perçu comme un ennemi. Les regards se tournèrent pendant un instant sur les Provinces-Unies, en effet un complot fut ourdi par des Princes proches qui entraînèrent la Westphalie dans une courte guerre, l'intervention de l'Empereur vit la mise en place d'un Statu Quo. Alors que les comploteurs préparaient une nouvelle offensive, le Roi Heinrich IV décida de continuer de négocier pour régler les différents et accepta de protéger les Provinces-Unies face à l'Hérétique Confédération Helvétique et au Grand Duché de Bourgogne en échange de la mise sous la tutelle du Royaume des territoires Westphaliens faisant partie des Provinces-Unies, les territoires de Hoya, de Munster et d'Osnabruck agrandir alors le Royaume Westphalien, maintenant garant de la stabilité dans cette région du Saint-Empire .

                          Malheureusement, malgré la menace Helvète grandissante, l'absence momentané du Roi empêcha l'action du Royaume contre la Belliqueuse Suisse dont on rapporte des actions contre les peuples rhénans et swabes . Le Roi de Westphalie, dans son rôle de protecteur des peuples annonça donc sa volonté de protéger les peuples frères Rhénans et Westphaliens des tyrans et le soutien aux Généreux Rois Voisins ainsi qu'une volonté de prospérité du libre-commerce en Allemagne.

                          Dernière modification par ludor, 17-08-2015, 21h15.

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