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  • GPO - Le blobbeur, le troll et le tyran - Screenshots et AARs

    Topic recensant tous les AARs de la GPO Le blobbeur, le troll et le tyran.

    Liste des participants et de leur nation :
    • Benoît - Empire Ottoman
    • bisthebis - Danemark > Scandinavie
    • BloodyWarrior - Brandebourg > Prusse
    • boomer91 - Bourgogne > Pays-Bas
    • Caulaincourt - Moscovie > Russie
    • Dunke - Angleterre > Grande-Bretagne
    • Historien du Dimanche - Mamelouks
    • Kellermann - Venise > Portugal
    • LeFoureur - Palatinat > Russie
    • Mékaz - Autriche
    • Pachack - Portugal
    • picrouge - Marroc
    • Pierrus21 - Castille > Espagne
    • Radek - Florence > Italy
    • Redtovarich - Pologne > Commonwealth
    • Restif - France
    • Ryurk - La Hanse
    • tyrioneru - Timourides > Moghol
    • lord gg - Japon
    • Dr. Crapule - Pays-Bas


    Maintenant, les cartes et AARs :
    Dernière modification par Restif, 30-11-2013, 06h27.

  • #2
    AAR Français - Première session



    • 1422 - 1453 : Règne du Roi Charles VII dit le Victorieux (4-2-4)

      Spoiler:

      Charles VII dit le Victorieux


      Depuis le sacre de Reims du 17 Juillet 1429, la Guerre de Cent Ans tourne à l'avantage de Charles VII : Paris est repris aux mains des Anglais en 1436 et leurs forces évacuent progressivement le continent.
      Fort de son autorité due à ses récentes victoires, le Roi de France décide néanmoins d'une trêve avec l'Angleterre afin de s'occuper d'une affaire jugée plus pressante (l'expulsion des Anglais étant désormais chose admise, la guerre contre l'ennemi héréditaire n'est plus une priorité) : René Ier d'Anjou, pourtant fidèle à la cause de Charles VII et proche de Jeanne d'Arc, a commencé un rapprochement avec le puissant Duché de Bourgogne ; sous prétexte de dettes non remboursées suite à la guerre de succession de Naples, l'ost du Royaume de France envahit le Maine et l'Anjou en Novembre 1444. Il s'agit de confisquer ces territoires et de les rattacher au domaine royal.
      Nombre de places fortes refusent de se rendre, et ce n'est qu'au bout de deux années de sièges que René Ier d'Anjou finit par se soumettre : du fait de sa résistance, Charles VII s'empare également du Duché de Bar qu'il prend sous sa protection. Il affirme ainsi sa souveraineté sur le Royaume et envoie un message clair à tous ses vassaux.

      En 1449, la trêve avec les Anglais ayant expirée, la guerre est de nouveau déclarée. Le Roi Henry VI a alors perdu définitivement toute volonté de se battre pour le trône de France : l'Aquitaine ainsi que la Normandie sont rapidement reconquises tandis que la ville de Calais est cédée aux Bourguignons. La Guerre de Cent Ans est enfin terminée et Charles VII peut désormais se concentrer sur la consolidation de son Royaume et l'agrandissement du domaine royal. Il entame en effet aussitôt des tractations diplomatiques afin d'y intégrer l'Orléanais.

      Lors des dernières grandes batailles contre l'Angleterre et l'Anjou, un chevalier s'est particulièrement illustré, au point d'être remarqué par le Roi de France lui-même : Gui de la Tour d'Auvergne fait en effet preuve d'une grande maîtrise des arts militaires, et c'est pourquoi il est choisi pour commander les armées françaises contre un voisin hostile au redressement du Royaume de France : le Duché de Bourgogne.

      Spoiler:

      Gui de la Tour d'Auvergne, un des plus grands généraux de son temps


      Les États bourguignons sont divisés : les pays de par-deça au Nord et les pays de par-delà au Sud ; il est prévu de profiter de cette scission territoriale afin d'anéantir rapidement l'armée ennemi. Lorsque la guerre est déclarée, les armées françaises menées par Gui de la Tour d'Auvergne envahissent les Flandres. Pris de court alors qu'il assiégeait un État du Saint Empire, l'ost bourguignon est encerclé et anéanti.
      Le 9 Octobre 1451, Philippe le Bon est contraint de céder à la France la Picardie, Calais et le Duché de Nevers. Afin d'apaiser ses vassaux (inquiets depuis la guerre contre l'Anjou et la tentative d'intégration de l'Orléanais), Charles VII décide néanmoins d'offrir le Duché de Nevers au Duc du Bourbonnais.

      En dehors de cette politique de reconquête, Charles VII s'attelle également à relever les finances de la France : il faut bien pouvoir financer cette armée qui prend de plus en plus des allures d'armée permanente. Les sujets du Royaume finissent par être tenus à une participation financière plus importante et l'Administration est progressivement modernisée, permettant une meilleure collecte des taxes.

      Charles VII s'éteint à Paris le 2 Janvier 1453, ayant réussi tout ce qu'il avait entrepris ; son fils Louis lui succède à l'âge de 30 ans.


    • 1453 - 1464 : Règne du Roi Louis XI dit le Prudent (4-3-2)

      Spoiler:

      Louis XI dit le Prudent


      Louis XI est rapidement préoccupé par la remontée en puissance du voisin bourguignon, enhardit par la mort de Charles VII ; c'est pourquoi il rappelle Gui de la Tour d'Auvergne afin qu'il mène à nouveau les troupes françaises au combat.
      N'ayant pas oublié sa cuisante défaite quelques années plus tôt, l'armée bourguignonne préfère fuir, laissant ainsi la France libre d'assiéger le Charolais : celui-ci est finalement cédé le 2 Juillet 1458. Comme l'avait fait son père, Louis XI décide d'offrir le comté au Duc du Bourbonnais : il s'agissait avant tout de contenir la Bourgogne, non pas d'étendre déraisonnablement les frontières du Royaume.
      La cession du Charolais rassure également les autres vassaux du Royaume, permettant l'intégration de l'Orléanais au domaine royal le 2 Février 1460. La même année, Gui de la Tour d'Auvergne est fait connétable de France ; grâce au soutien de ce dernier, le Roi prépare l'intégration future du Duché d'Auvergne.

      Spoiler:

      Gui de la Tour d'Auvergne reçoit l'épée de connétable


      Ne souhaitant pas s'engager dans un nouveau conflit, le Roi poursuit la politique de redressement économique de son prédécesseur : la construction des infrastructures du Royaume est rationalisée, permettant un développement accrue de ces dernières, et la Banque de France est créee afin de préserver le pays d'une inflation galopante.
      Louis XI doit également face face à une révolte des Basques dans le Sud de l'Aquitaine : si celle-ci est rapidement écrasée, elle permet au Souverain de prendre conscience qu'une unité culturelle doit suivre à l'unité territoriale. Le développement de la culture et de la langue française est encouragé, et les nobles locaux du Labourd sont progressivement francisés, dans l'espoir qu'ils fassent ensuite de même avec leurs sujets.

      Mais malgré leurs différends liés au Saint Empire, la Bourgogne et l'Autriche finissent par signer un traité d'alliance. Louis XI percevant une menace venir de l'Est, il décide de sécuriser sa frontière Sud et parvient à forger une alliance défensive avec le Royaume de Castille ; au Nord, un débarquement Anglais n'est pas à exclure, bien que ces derniers soient occupés à soumettre les îles Britanniques.

      A suivre...
    Dernière modification par Restif, 14-10-2013, 12h56.

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    • #3




      Chroniques du sultanat Mamelouk.


      Le règne de Jamack I : 1438-.....

      Inauguré le 4 Juin de l'anné 1438 , le règne personnelle de Jamack commença en réalité en 1444 , sa prmière action fut d'envoyer un espion revendiquer Tarbuk territoire contrôlé par l'Hedjaz.
      Suite a cela 1 ans d'attente , de paix et de prospérité attendaient les mamelouk alors que le reste du monde s'embrasait et guerroyer.


      Portrait du Sultan.

      En 1445 les efforts de l'espion envoyé a Tarbouk ayant porté leurs fruit la guerre contre l'Hedjaz fut déclarer.
      Le lendemain 20 000 mamelouk passait la frontière.
      Le point culminant de la guerre fut la bataille de la Mecque ou toute l'armé de l'Hedjaz fut détruite. Après 2 ans de guerres et plusieurs sièges tout le territoire de l'Hedjaz était occupé, la paix fut conclue par le traité de Médine selon les thermes suivant:

      Traité de Médine:
      Tarbouk et médine seront rattaché au terre Mamelouk et ne dépendent plus de l'Hedjaz.
      Le sultan de l'Hedjaz deviendra émir d'Hedjaz et devra prêter serment d’allégeance au sultan Jamack.
      La moitié des revenues ira au sultan Jamack.


      Suite a quoi l'armé Mamelouk rentra au pays.

      C'est aussi pendant cette guerre que notre sultan c'est rapproché du sultan Ottoman en concluant une alliance entre nos 2 nations.



      Pendant plusieurs années la paix dura , l'art de développa , la noblesse Mamelouk commença a émerger.
      C'est aussi pendant cette période que le Sultan de la Tripolitaine se sentant menacé par les espagnols prêta serment d'allégence au sultan Jamack.


      En 1462 le sultan reçu ce message de son homologue ottoman :" Mon ami je part en guerre contre les infidèles vénitiens pour les chasser de crête , de Chypre et de Naxos , suivez moi dans cette guerre et nous auront la supériorité sur les mers , nous pourront détruire nombres de leurs navires et mettre a mal leur commerce! Allah est grand et nous sommes ses prophètes!"
      Le lendemain toute la flotte Mamelouk quittait le port d’Alexandrie pour rejoindre la flotte ottomane.

      Nos navire arrivèrent au large de la crête alors qu'une bataille navale était d'ors et déjà engagé , grâce à notre aide la flotte vénitiennes du se replier et les ottomans purent débarquer sur l'île.
      Pendant les mois qui suivirent 10 navires de commerce vénitiens furent détruit par notre flotte au large de l’Italie.
      La paix fut conclue lors de l'historique traité de Venise ou la république marchande céda la crête , la Chypre et Naxos au sultanat ottoman.

      A l'aube de l'an 1465 une nouvelle guerre se prépare.......

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      • #4
        Le duché de Toscane



        Cosimo I de Medici 1438-....

        À la mort de Giovanni I de Medici la lignée des Medici est assuré par Cosimo I de Medici. Ce dernier, ayant participé longtemps aux affaires de son père devient un duc on ne peut plus efficace et avec de grands projets.Son premier objectif fut d'unifier l'Italie pour ce faire il va d'abord tenter d'utiliser des moyens diplomatiques il va forger plusieurs alliances avec le Royaume de Ferrare les différents états de petite taille entourant la Toscane . Mais voyant que ces derniers furent réticents à l'idée de payer des taxes plus élevés notre duc va donc devoir utiliser la manière forte...

        Le duc Cosimo I de Medici en équipement militaire

        Cosimo I par des arts peu avouables fini par obtenir une revendication pour annexer le Royaume de Sienne.Divers états vont se joindre à la Toscane les combats ne sont pas très rudes et les batailles se font vite remplacer par le siège de Sienne . Mais coup du destin le duc fou de Venise va entreprendre une conquête folle face à Ferrare qui fait encore parti des alliés de la toscane et du saint empire . 6000 hommes de Venise débarquent sur les côtes de Pise, Bien heureusement l'empereur autrichien va vite venir mettre une termes à ces âneries et la conquête de Sienne va être un franc succès tandis que la conquête de Ferrare va être un bel échec


        Bataille entre le duché de Toscane et le royaume de Sienne

        Cette conquête va signer le début de beaucoup d'autres Modéne,Ligurie,Ancône(qui malheureusement s’avère un échec à cause d'un allié qui ne voulait pas me laisser faire le siege) Malheuresment toutes ces conquêtes sont stoppé par un royaume de Castille préparant ses futures conquêtes du sud de l’Italie . La toscane est donc stoppé par une alliance Castille,états pontificaux et une Naples trop robuste pour l'instant . Heureusement Venise et son duc fou refait parler de lui en se lançant à la conquête de Naples ce qui pourrait ouvrir de nouvelles possibilités à Notre bon duc Cosimo

        A Suivre...
        Dernière modification par Radek, 29-09-2013, 11h48.

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        • #5
          Royaume de Pologne
          Spoiler:


          Conseil de régence (Mort du Roi Władysław III dit Władysław de Varna)

          La mort du Roi Władysław, en 1440 durant la sanglante bataille de Varna, plongea le royaume de Pologne dans l'incertitude dynastique. Mort à l'âge de 20 ans, le monarque n'avait laissé aucun héritier, obligeant le Conseil a cherché auprès des membres encore vivant de la Maison Jagiellon et seul survivant des cinq enfants de Władysław II, n'était que Kazimierz Jagiellon, actuel Grand Duc de Lituanie. En 1440, avec l'accord de l'ensemble des nobles polonais, une délégation se présenta auprès du jeune "Roi" de 17 ans, à Vilnus, pour lui proposer de monter sur le trône polonais, comme son père avant lui.

          Après plusieurs années de tractations et de négociations, la noblesse des deux pays arrivèrent à un accord et en 1446, Kazimierz, avec une partie de la noblesse lituanienne, fit le voyage jusqu'à Cracovie où il fut sacré Roi de Pologne à la cathédrale Wawel, comme une bonne partie des rois précédents, prenant ainsi le nom de Kazimierz IV, Roi de Pologne et Grand Duc de Lituanie.

          Ainsi commença ce que les chroniqueurs contemporains appelleront l'Union Cracovie-Vilnus qui permettra à Kazimierz IV d'assumer son rôle de souverain en Pologne et d'assurer la loyauté des sujets lituaniens vis-à-vis la couronne polonaise. Mais Kazimierz savait que la Lituanie et sa noblesse devait être ménager pour éviter une rupture ou une guerre civile qui pourrait être fâcheux pour la Pologne. De nombreux actes politiques furent décrétés, comme l'égalité en la noblesse polonaise et lituanienne, assurant une bonne base pour entamer les mouvements diplomatiques nécessaires vers un objectf... Celle de museler l'Ordre Teutonique!

          Kazimierz IV, Roi de Pologne et Grand Duc du Lituanie (1427-...)
          Spoiler:


          Fort de sa nouvelle autorité, Kazimierz entama à un vaste mouvement de modernisation du Royaume. Des nombreuses ambassades furent envoyé en Europe pour obtenir des accords avec les différentes puissances européennes pour assurer une certaine autonomie dans les prochaines conflits qui risqueraient de secouer cette partie de l'Europe. Avec l'assurance d'avoir obtenu des accords de bonne entente avec ces voisins les plus proches, la Pologne entama des actions à l'encontre de l'Ordre Teutonique, ennemi héréditaire de la Pologne et de la Lituanie depuis plusieurs décennies!

          Les multitudes batailles victorieuses des armées polo-lituaniennes, les années précédentes, avaient certes affaibli l'ordre religieux, mais il était encore un adversaire redoutable, avec ses chefs militaires et ses armes. De plus, il disposait d'alliances avec l'Ordre Livonien et la Hongrie, autre voisin de la Pologne. Si une guerre devait avoir lieu, elle sera âpre et longue et l'Union était nécessaire pour assurer la victoire. Rapidement, il entreprit de commencer des revendications contre la province de Chelmno où de nombreux polonais vivaient sur ces terres. En 1448, la Pologne et la Lituanie attaquèrent l'Ordre Teutonique, profitant d'un conflit entre ce dernier et le Royaume de Brandebourg pour la province de Neumark. La Hongrie et l'Ordre Livonien suivirent l'Ordre... Ainsi commença le conflit qui solda par une défaite de l'Ordre et de ses alliés. Et en Octobre 1448, Chelmno intégra le Royaume de Pologne et obligea, par traite, à céder définitivement le Neumark à Brandebourg. De retour à Cracovie, les troupes polonaises et lituaniennes furent acclamer par la population cracovienne et solidifia, encore un peu plus, l'Union Cracovie-Vilnus dans l'esprit des polonais, comme des lituaniens.

          Spoiler:

          Réunion des nobles de Mazovie pour statuer sur son intégration à la couronne polonaise


          Cette victoire permit de reprendre les démarches nécessaire à la réintégration de la Mazovie dans le Royaume de Pologne. Entamé en 1447, elle se termina définitivement qu'en Octobre 1456 donnant à la Pologne, Varsovie, Plock, Wizna et Beltz.

          A suivre/Terminer

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          • #6
            La République Marchande de Venise


            Les Débuts de Venise

            Au début du XVème Sièce, le Doge de la République Marchande de Venise Francesco Foscari régnait tel un Roi sur les provinces conquises par ses prédécesseurs. Il était dux Veneciarum (« chef des Vénitiens »), dux Croatorum (« chef des Croates »), dux Dalmatinorum (« chef des Dalmates »), totius Istriæ dominator (« souverain de toute l'Istrie »), dominator Marchiæ (« souverain des Marches »). Il va très vite commencer à développer le commerce de la ville notamment par la création d'une puissante flotte marchande et d'une puissante flotte de guerre pour défendre celle-ci et se préparer aux futures conquètes dans la méditerranée. Il passe commande à l'Arsenal de La République Sérénissime, le premier complexe industriel au monde, d'une dizaine de Galères, la flotte vénitienne s'agrandit !



            La Conquète de Chypre et les problèmes Diplomatiques :


            Le Doge se sentant menacer par ses voisins Autrichiens et Ottomans décide d'entrer en relations avec ces derniers. L'Empereur d'Autriche et du Saint-Empire Romain Germanique ne cache pas ses intentions d'actions militaires envers la République. Le Doge fait tout pour empêcher cela et cherche un éventuel allié en Europe. Tous ces ébats Diplomatiques ne l'empêchent pas , par des procédés douteux il est vrai, d'obtenir des revendications sur l'île de Chypre. Le Doge affrête la puissante flotte vénitienne qui s'éloigne déjà des côtes de Venise. Quelques jours plus tard, 8000 braves hommes de la République Sérénissime débarquaient et prenaient le contrôle de Chypre.



            La Défaite en Italie :


            Peu après la victoire de Chypre, Venise décide de continuer son expansion, mais cette fois-ci en Italie. Le Doge se prépare donc à attaquer Ferrare, petit état insignifiant proche de Vérone... (Suite après)

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            • #7

              Chroniken von Erzherzogtum Österreich

              Session 1 ( Octobre 1444 - Octobre 1468 )

              • Première partie du règne de Friedrich III von Habsburg , Saint-Empereur des Germains et Roi des Romains, Archiduc d'Autriche, Duc de Carinthie, de Styrie et de Carniole, Comte de Sundgau et Tirol , Maître de Vérone et Seigneur d’Augsbourg et Salzbourg.

              Spoiler:



              Friedrich III von Habsburg, Très Saint Empereur Romain Germanique et Archiduc d'Autriche.


              Le règne de Friedrich III von Habsburg commence en 1440, date à laquelle il est élu Roi des Romains par les princes électeurs du Saint-Empire. Son règne débute dans le trouble, et le jeune Empereur est emporté par les tumultes qui secouent ses deux principaux voisins, les Royaumes de Hongrie et de Bohême. Très vite, il scelle une alliance avec les deux Royaumes, ramenant un semblant de stabilité à ses frontières. Pourtant, l'apaisement fut plus que bref. En 1448, le Duc de Bourgogne entreprend la vassalisation de l'Archevêché de Liège, membre du Saint Empire. Décidé à régler ça de manière courtoise, le Duc de Bourgogne, Phillipe III, approche Friedrich III afin de lui demander l'autorisation de procéder à l'intégration du petit archevêché. Compte tenu de la proximité des terres bourguignonnes et de Liège, mais aussi soucieux d'entretenir de bonnes relations avec la Bourgogne, l'Empereur accepte la demande, précisant tout de même qu'une pareille autorisation ne peut être qu'exceptionelle. L'accord trouvé, le Duc de Bourgogne déclare donc la guerre. Pour la forme, l'Empereur s'engage officiellement à défendre le prince-archevêque qui l'appelle naturellement à son secours. Bien évidemment, les armées bourguignonnes ne rencontrent aucune résistance, les armées impériales restant en retrait. Pourtant, la fourberie de Philippe III vint tout remettre en cause. En effet, alors que leur accord ne stipulait que l'annexion de Liège, les armées bourguignonnes profitent du conflit pour assiéger d'autres petits états du Saint Empire, Gelre et Clèves, que le Duc vassalise sans en avertir l'Empereur. Furieux, ce dernier ordonne à ses deux ost de faire marche sur les troupes bourguignonnes. La seule échapattoire pour le Duc de Bourgogne est de signer une paix blanche sur le champ, mettant fin à ses agissements et l'obligeant à renoncer à l'Archevêché de Liège.

              En 1450, sur l'idée de son conseiller et ami Leopold Johann Stichsenstein, Friedrich III, déjà duc de Carinthie, de Styrie et de Carniole, entreprend d'augmenter le nombre de ses possessions au sein de l'Empire. C'est le petit évêché de Salzbourg qui attire l'oeil du Roi des Romains, car sa proximité et sa richesse en font une cible de choix. Soucieux d'apparaître comme raisonnable aux yeux des princes-électeurs du Saint Empire, Friedrich III choisit de vassaliser le petit état. Très vite, l'ost de seize milles hommes envoyés par l'Empereur vient rapidement à bout de la petite armée de l'évêque Friedrich IV, qui n'a guère le choix que de prêter allégeance à son homonyme. En parallèle, un autre conflit attire l'attention de Friedrich III. En effet, alors qu'une partie de l'armée impériale est occupé au Salzbourg, la République de Venise décide de s'en prendre à Ferrare, membre du Saint-Empire. Contraint par ses obligations, l'Empereur décide évidemment d'intervenir en faveur de Ferrare. Visiblement, le Doge vénitien n'avait pas vraiment considéré une éventuelle intervention pourtant évidente de l'Empereur - sa maladresse lui valut d'ailleurs d'être appelé « le Sot » pendant longtemps à Vienne. Mal informés, mal préparés et en sous nombre, les six milles vénitiens n'ont d'autre choix que de déposer les armes devant l'ost impérial. Dans sa clémence, l'Empereur se contenta cependant d'intégrer unqiquement la province de Vérone à son domaine, la faisant réintégrer l'Empire par la même occasion.
              Spoiler:



              La prise de Vérone par les troupes impériales, qui aboutira à son intégration au domaine de Friedrich III qui s'en proclamera le Maître.


              En 1452, Friedrich III confirma sa volonté d'accroître son domaine au sein de l'Empire. Encore une fois, c'est un évêché, celui d'Augsbourg, qui attise son intérêt et, encore une fois, il choisit la voie de la vassalisation plutôt que de l'intégration. Bien sûr, le petit évêché ne peut qu'opposer une résistance minime, et la ville tombe rapidement. L'évêque Heinrich n'a d'autre choix que de se soumettre à son tour. Désireux de montrer aux yeux du Monde que le Saint-Empire et les Habsbourg ne font et ne doivent faire qu'un, Friedrich III officialise son titre d'Archiduc d'Autriche, qui devint par la même occasion son titre principal, après celui d'Empereur. Il proclame d'ailleurs « Alles Erdreich ist Oesterreich untertan »
              ce qui signifie « toute la terre est sujette à l'Autriche », dont il fera la devise de l'Archiduché, le plus souvent signifiée par un A.E.I.O.U aux bas des armoiries de l'Archiduché.

              Bien vite pourtant, l'Empereur fut rappelé loin de ses considérations mégalomaniaques par ses obligations. En effet, un nouveau conflit éclate dans l'Empire. Le Palatinat, allié de l'Archiduc, entreprend la conquête de Koblenz, appartenant à un autre membre de l'Empire. Très vite mis à mal par son adversaire et ses alliés, le Palatinat appelle Friedrich III à l'aide, le priant de venir à son soutien. Malgré son désir de rester neutre, l'Archiduc accepte et vient débarasser le territoire palatin des troupes ennemies qui l'envahissaient. Ses terres à nouveau libres, les troupes de son allié palatin purent reprendre leur guerre, et finirent par l'emporter. Encore une fois pourtant, le repos n'est que de courte durée. Cette fois, c'est le Pape qui, sans doute prit de folie dans l'embrasement de la péninsule italienne mis à feu et à sang par les guerres incessantes des petits états italiens - florentins notamment -, crut qu'il put attaquer impunément la province de Modène, appartenant à l'Empire. Bien mal lui en prit, car il fut rapidement vaincu, et il ne fallut que sa qualité de Pape pour lui épargner quelques réparations de guerres.

              Spoiler:

              La situation en Italie en 1464.

              Dire que l'Italie est la seule préoccupation de l'Empereur serait pourtant terriblement faux ... A l'ouest, l'acharnement du Roi de France à s'étendre au détriment du Duc de Bourgogne a poussé Friedrich III a mettre de côté, pour un temps du moins, sa rancœur envers le Duc, une alliance ayant été formé entre le Duché de Bourgogne et l'Archiduché d'Autriche. A l'est, le péril Ottoman est plus que jamais d'actualités, en témoigne l'annexion du petit royaume orthodoxe de Serbie et, plus triste encore, la chute de Constantinople ... Autant de questions qui obtiendront, sans nul doute, une réponse avant la fin du règne de Friedrich III.
              Dernière modification par Mékaz, 01-10-2013, 12h53.

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              • #8
                J'aime les AARs

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                • #9
                  Normalement AAR demain, en attendant des chiffres!
                  Les timourides ne sont pas compris dans ces stats.

                  Classement par revenus:



                  Classement par nombre de technologies:



                  Classement par idées:



                  Classement par total d'armées:



                  Classement par total de navires:



                  Evolution des revenus:



                  Centres de commerce européens:

                  Commentaire


                  • #10
                    Mon reve se réalise je suis au sommet d'un classement

                    Commentaire


                    • #11
                      Chroniques de l’Empire Ottoman


                      Octobre 1444 – Octobre 1468

                      Règne du Sultan Mehmet II Fatih Osmanlis, serviteur d’Allah, commandeur des croyants et plus grand dirigeant du monde connu



                      Le sultan Mehmet II monte sur le trône le 1 janvier 1444 et se voit confier, par la grâce d’Allah, la manifeste destinée de gouverner selon les préceptes du Coran et unifier les terres des infidèles au très saint royaume de l’Islam.
                      Homme d’une grande piété, le sultan gouverne selon les préceptes religieux et ne manque pas une occasion de se comporter en vrai fidèle des préceptes d’Allah. Sa cour, qui siège à Edirne, est composée d’hommes qui partage sa foi et ses armées d’exaltés sont prêtes à obéir au moindre de ses ordres.


                      Imposer l’Empire aux principautés limitrophes

                      Le Royaume d’Albanie fut toujours un voisin colérique, incapable de vivre en harmonie avec son voisin. De nombreux raids frontaliers ont lieu et en octobre 1444, le sultan décide d’en finir avec ces infidèles qui ont trop longtemps défiés ses prédécesseurs.
                      Les armées ottomanes sont envoyées, commandées par le Grand Vizir Halil Koprülü.


                      Le grand vizir Halil Koprülü

                      L’armée Ottomane commence alors un siège qui va durer plusieurs années. Les albanais ne comptaient pas se rendre sans se battre jusqu’aux derniers, ayant vent des rumeurs disant que l’armée ottomane était commandée par Satan en personne.


                      Les albanais se défendent férocement

                      Alors que le siège avance, le Sultan décide d’en finir avec son voisin et ennemi héréditaire depuis de nombreuses années, l’Empire Byzantin. Ses conseillers tentent de l’en empêcher, faisant valoir que l’Empire est déjà en guerre contre un ennemi, mais le Sultan ne pouvait se résoudre à vor la situation perdurer.
                      L’armée ne servent pas pour le siège fut directement envoyée faire le siège de Constantinople et de la Grèce. L’armée Ottomane est galvanisée par ce projet et le Sultan commande en personne le siège de la ville après avoir défait l’armée Ottomane une semaine avant.

                      Malgré ses succès et l’avancée des sièges, le sultan n’est pas satisfait. Souverain spirituel, il est aussi un serviteur temporel d’Allah et voit d’un mauvais œil le présence de princes musulmans ne remplissant pas leurs devoirs envers Dieu. Le Grand Vizir lance alors de nouvelles opérations aux frontières pour punir ces chiens qui ne sont pas de bons croyants.
                      Après de nombreux mois, les cités tombent les unes après les autres devant les armées de fidèles galvanisés par le sultan. Reconnu comme le dirigeant le plus pieux du monde musulman, il est également un homme tolérant qui ne lance pas de pourchasses contre les orthodoxes et catholiques sur son territoire en échange d’une taxe.


                      La prise de Constantinople

                      Constantinople finit par tomber aux mains des Ottomans et le sultan la déclare comme sa nouvelle capitale, Istanbul. La cour est déplacée et les dignitaires religieux locaux qui ne se soumettent pas sont priés de partir. Les marchands, juifs et chrétiens qui se soumettent aux nouvelles lois sont libres de continuer leur commerce sous la protection de Mehmet.


                      Renforcer le territoire et laisser l’armée se reposer

                      Pendant dix ans, le royaume connaîtra la paix, dix années durant lesquelles le sultan gouvernera avec une efficacité redoutable l’Empire. Simples paysans, chrétiens, tous peuvent demander une audience au sultan pour se plaindre des méthodes d’un seigneur local.


                      Le Sultan et sa cour

                      Il rend la justice conformément à la loi coranique et sait se montrer juste à l’égard des faibles. Ceux qui ne respectent pas les écritures saintes sont exécutés, ceux qui se rebellent contre le très saint commandeur des croyants sont pendus en place publique.

                      Mais très rapidement, le sultan a d’autres projets pour son pays.


                      L’alliance avec les mamelouks et le projet d’unifier tout ce qui est sous le soleil


                      Voyant les progrès de son voisin du sud, Jamack Ier, le sultan demande à son Vizir de négocier un rapprochement entre les deux pays. Le projet est alors lancé d’unifier tout ce qui est sous le soleil sous le règne d’Allah.
                      Les infidèles doivent être conquis et soumis, la chrétienté devient l’ennemi héréditaire et les musulmans doivent s’unir. C’est la grande alliance de l’Islam, le projet de créer un seul empire islamique qui déferlera sur l’Europe.


                      Le sultan et sa cour avant sa rencontre avec Jamack Ier


                      Le conflit vénitien et l’hégémonie musulmane en Méditerranée

                      Depuis une dizaine d’année, la république de Venise mène une politique d’expansion en Méditerranée. Chypre, l’Italie, elle multiplie les théâtres de guerre pour assurer sa suprématie sur le commerce.
                      Voyant son projet d’attaquer Rhodes, le Sultan déclare l’île sous protection ottomane. Toute agression sera donc une déclaration de guerre à l’Empire. Loin d’être isolé, l’empereur est même soutenu pendant quelques mois par le royaume de Castille qui ne supporte pas la politique vénitienne. La République est obligée de renvoyer sa flotte dans ses ports, la crise est passée.

                      Conscient que l’expansion ottomane nécessite un contrôle des mers, le sultan lance un vaste projet de construction navale. En trois ans, il devra pouvoir aligner une flotte supérieure à celle de la république et pouvoir l’envoyer dans les fonds.
                      Affronter la République sur les mers sera le prochain grand projet, l’île de Crète, point stratégique de la méditerranée est la cible. Tout l’empire va se préparer à ce conflit qui doit déboucher sur une hégémonie menant à d’autres conquêtes.


                      Le sultan supervise la construction des galères

                      La flotte prête, la guerre est déclarée. Peu de temps avant, le sultan s’est entretenu avec Kamak Ier sur une collaboration entre les deux pays et les retombées que peuvent avoir les deux pays de cette défaite chrétienne.
                      C’est d’abord sur terre qu’ont lieu les premiers affrontements. Venise est soutenue par ses alliés de Naxos et de Corfu, mais leurs armées ne sont pas de taille face à celles du Sultan. C’est sur mer que la guerre se jouera lors d’une bataille navale voyant la flotte vénitienne affronter la coalition des ottomans et des mamelouks.


                      La bataille qui consacra la suprématie musulmane et scella le destin de la République

                      La république subira de nombreuses pertes navales qui vont ruiner son commerce. Elle sera incapable d’empêcher le siège des îles par les armées ottomanes et devra se replier dans l’adriatique.


                      L'armée ottomane est la plus impressionnante d'Europe

                      Le sultan, secondé de son vizir, prendra personnellement les commandes du siège de Crête et sera rapidement victorieux. Sa présence sera une grande inspiration pour les fidèles de la vraie foi. A la fin du conflit, Venise laisse le Levant entre les mains des musulmans, ne conservant que Corfu comme poste avancé à la sortie de l’Adriatique.

                      Nous sommes en octobre 1468 et Mehmet II a encore de nombreux projets pour son peuple.


                      Le territoire Ottoman en octobre 1468
                      Dernière modification par Benoît, 04-10-2013, 20h02.

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                      • #12
                        Benoît n'ayant pas participé à la dernière session, quelques stats (dont le Moghol est malheureusement absent) :

                        Classement par revenu :

                        Spoiler:


                        Carte des technologies en Europe :

                        Spoiler:


                        Classement des armées :

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                        Classement des flottes :

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                        Cartes des nœuds commerciaux en Europe :

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                        • #13
                          Regarder le manpower rzt révélateur

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                          • #14
                            Un sacré paquet de jeunes hommes morts dans la fleur de l'âge !
                            Surtout des polonais et des lituaniens d'ailleurs

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                            • #15
                              Mon armé doit se reconstruire , elle perdu beaucoup d'hommes au Maroc mais au moins les terrible barbares venu d’Europe n'ont pas eu Casablanca!

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