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  • #16
    Chapitre III : La Guerre des Gaules, deuxième tome,La bataille sur le Rhône


    ( Le retour windows m'a fait découvrir la joie qu'est celle de se rendre compte qu'un screen qu'on a utilisé dans un chapitre précèdent n'est plus d'actualité car la recharge de la sauvegarde précède le moment du screen, cas cela tienne, j'en prend acte )




    Récit d'un garde noble du général qui écrivit sous la dictée d'un de ses camarades celtes :
    Avant la bataille que nous attendions tous mes frères et moi, les druides firent un sacrifice pour connaître le résultat de la bataille, et là, tous nos coeurs furent pris de nausées.
    Les signes nous donnaient grand perdants, massacrés jusqu'aux derniers. Nos chefs firent voeux au Général illyrien de ne pas livrer bataille, et avec clémence, il accepta notre demande, nous reprirent routes vers le fort, mais malheureusement, placé sur des hauteurs et l'hiver faisant son oeuvre, nous ne pûmes y accéder et dûment redescendent le Rhône en attendant des temps plus de meilleurs hospices.

    Le général voyant notre honte de ne pas avoir pus combattre, décida de nous envoyer, à la demande des Arvernes, combattre une armée dissidente, les hommes furent heureux, et cette fois les druides nous firent signes que les dieux nous approuvèrent.


    Conseil du Général Genuos sous sa tente:
    Genuos : Les Arvernes nous on annoncés leur intention d'attaquer Viennos, ils nous faut agir.
    Vétéran celte : Les hommes sont enhardis par la dernière victoire, ils vous suivront jusque dans la mort.
    Conseiller grec : Le temps est trop désavantageux, la route pour remonté le Rhône est enneigée, les hommes ne pourront combattre.
    Vétéran celte : Les gaulois ne reculeront pas devant la neige !
    Genuos : Calme toi fidèle camarade, il nous faut de toute façon les aidés, ils nous fournissent des hommes, nous ne pouvons refuser.
    Conseiller grec : Tu t'expose à de grands risques Genuos.
    Genuos : Tribun, fait donner ordres aux troupes, nous remontons le Rhône, une dernière fois.





    A l'aube, les Arvernes arrivèrent de par le fort, annonçant qu'il avait tenu, le Général attaqua alors le général Eduen Belenos, commandant des forces Allobroges et Helvetes, Genuos pouvait compté sur ses alliés Arvernes qui avait envoyé deux armés pour attaqué, la plupart de leur force étant déjà en campagne avec Genuos.






    Enfin pouvait commencer, La bataille sur le Rhône.


    Les gaulois epirotes avait formés une armée qui devait attendre l'arrivé des alliés arvernes et attaqué les ennemis après avoir traversé le Rhône.

    Les grecs eux avait formé une colonne qui devait contournée l'ennemi en prenant un passage que connaissait les alliés gaulois.

    Les massiliotes, liens entre les grecs et les celtes, commandés l'armée celte et suivirent les arvernes qui n'avaient pas attendu les ordres de batailles.
    Ils semblaient pressés de tester leurs valeurs.

    Alors que la colonne grec venait à peine de traverser le fleuve mi-gelé, le général chargea, se qui lui vaut de rencontrer son homologue grec.

    Les gaulois se combattaient dans l'eau gelé et dans la neige, marchant sur les cadavres de leurs frères ou de leurs ennemies, parfois les deux à la fois.

    Le général Belenos détacha des épéistes pour venir le soutenir, ils furent interceptés par les peltastes avant d'avoir pu aider leur commandant.

    Le meilleur equipement des Helvetes, mieux adapté aux combats dans la neige que les Arvernes, Insubres ou autres celtes loyaux à l'Epire, prirent l'ascendant dans la bataille, de plus en plus de corps des soldats epirotes flottés sur le Rhône.
    Mais Belenos tomba, malgré la venu d'Helvetes pour le sauver.
    Malheureusement, un des deux capitaines Arvernes se noya dans le tumulte de la bataille.

    Les troupes ayant pu encercler les forces eduennes, elles furent pris entre l'armée grec, et l'armée gauloise allié.


    La victoire fût difficile, mais elle fût.


    L'armée certes victorieuse mais diminuer deva prendre de vitesse les eduens avant qu'ils ne reçoivent de renforts et décida d'attaquer la ville, aidé par des partisans de l'Epire et des Arvernes.
    La ville fût prise, enfin.



    Genuos avait fait ses preuves,
    il attendra l'arrivé du Printemps pour remettre son armée en marche, mais en attendant il profita de l'hiver pour pacifier la ville,
    et reformées ses forces en vision de prochaines batailles .

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    • #17
      Chapitre III : La Guerre des Gaules, troisième tome, La défense de Viennos et les celtes d'Ibérie .
      Discours de Genuos, général de l'armée phocéenne pendant le siège de Viennos :Soldats ! Nombres de nos frères sont morts pour prendre cet ville, le fleuve transporte encore leurs corps que l'ennemie veut nous y noyer ! Nous devons tenir la place coûte que coûte, les Arvernes nous envoyerons du secours et l'Italie a d'ors et déjà levé une armée pour nous seconder, mais il nous faut gagner du temps !





      Message secret du Sénat pour l'Archistratègos :Numantia prise, nous avons le soutien des celt-ibères, ils nous ont promis de fournir à votre armée des hommes si vous libériez leurs frères Cantabres et Astures, vous devrez donc prendre les Oppidums de Pallantia et Velike, qui sont pour le moment aux mains de la confédération Ibères dominés par les lusitaniens, ils sont nos alliés contre les Carthaginois, mais des espions nous indiquent qu'ils ont perdu des villes dans le Sud de la région et qu'ils risquent de devoir signer la paix avec les Carthaginois voir se battre pour eux, nous devons les prendre de vitesse. Un contingent velliques vous guidera dans les forêts environnantes, des nobles celt-ibères vous aideront également dans cet campagne.






      Les Helvetes et les Allobroges encore loyaux aux Eduens tentèrent de reprendre leur ville, Genuos s'était préparé à la bataille malgré le climat défavorable aux soldats grecs. Les Arvernes avaient envoyé une armée secourir les défenseurs, maigres renforts pour l'armée phocéenne....

      La phalange allai enfin pouvoir être correctement utilisé, les défenseurs se préparai à une âpre épreuve, encore blessés par la dernière bataille.
      Les piquiers ibères défendirent la palissade face aux vagues gauloises.

      Les guerriers Narbonnais défendaient les phalangistes face aux allobroges qui s'approchaient de trop près.
      Les combats faisaient rage entre les huttes celtes.

      Les peltastes et les piquiers celtes furent envoyé soutenir les piquiers ibères en difficulté, pour ensuite encerclé l'ennemi amassé face à la phalange.

      La manœuvre fût une réussite, les assaillants fuirent, poursuivis par les défenseurs. Le général ne souhaitaient aucun survivant, de peur de subir un autre siège.

      Peu d'ennemis échappèrent à la déroute, le général gagna encore de l'estime parmi ses soldats, les Arvernes eux n'ayant atteint la place qu'au moment de la poursuite, ils ne gagnèrent aucun honneur.

      Le gouverneur de Mediolanum, résista héroïquement à un pillage Helvete, mais la frontière des alpes n'était toujours pas sûr, l'hiver fût long dans les chaumières Insubres.
      Les lusitaniens pris au dépourvu par l'attaque epirote tentèrent de rompre le siège, les armées étaient commandés par des vétérans, mais les soldats étaient équipés que pour l'embuscade,
      ils ne pouvaient faire le poids face aux armures lourdes celtes et aux cuirasses grecs.

      Le général décida de défendre une hauteur, ses archers affaibliraient l'ennemi avant qu'il ne s'écrase face aux piquiers grecs et à l'infanterie lourde celte.

      Les soldats étaient rompus à la bataille, les archers enflammèrent leur flèches pour saper le moral de l'infanterie légère ennemie.

      La garde légère lusitanienne fit face au cavaliers grecs, la bataille se passai selon le plan du général.

      Les piquiers se firent une joie de désarçonner les cavaliers lusitaniens, l'ennemi était décidément mal préparés pour une bataille rangé. Se qui n'étaient pas le cas des soldats epirotes et de leurs alliés.

      Les généraux ennemis tombèrent, présomptueux de pouvoir faire face à la puissance de la Ligue Epirote.
      Se fût une réussite total, les armés ennemis étaient anéantis et sans commandant, alors que l'armée macédonienne n'avait subi que peu de perte, l'archistratègos fût acclamé par ses soldats pour ses talents de guerriers et de commandement .

      La ville tomba d'elle-même, sans défenseur et les celtes libres de rejoindre la Ligue.


      Velika, prochaine cible, était défendu par une armée assez importante et à prendre en compte.

      Mais avant, il fallait vaincre les armés venu punir les celtes de s'être rallié à l'Epire.
      L'arichistratègos préparé déjà les batailles à venir avec l'aide des éclaireurs celt-ibères,
      le problème étant les forêts, la majeur partie de son armée était entraîné à combattre en plaine .

      L'armée macédonienne et ses alliés celt-ibères allaient faire couler beaucoup de sang cette année.....

      L'armée suivit une route traversant les forêts ibères, le général comptai beaucoup sur les soldats celtes, mieux disposé que ses soldats hellènes à se battre en forêt.

      Les tirailleurs lusitaniens firent face aux soldats lourds celt-ibères, le sang coula à flot, les corps s'entassaient sous la cime des arbres.

      Les ibères tentèrent de fuire les forêts, les cavaliers grecs n'attendaient que sa, la forêt sera leurs tombes.

      La bataille fût encore une victoire, les ibères avaient subi une défaite, et les celtes étaient devenu des guerriers respectés au camps epirotes.
      Genuos recruta des soldats ibères pour garder la ville, il devai libérer Numantia et la garnison qui faisait parti de son armée avant que le commandant celt-ibère loyal aux lusitaniens ne prenne l'oppidum.

      La bataille s’annonçait encore difficile, l'ennemi ayant pris place sur une colline boisée .
      La garnison de la ville attendait les ordres du général, il les utilisera en réserve.

      La formation epirote attendu le choc venant de la forêt, la bataille allai être éprouvante et brutal.
      Le général et sa cavalerie venant d'attaquer celle ennemi avait subi des pertes,
      mal adapté au combat en forêt contrairement à l'ennemi, il alla chercher les renforts lui-même et resta avec une unité de piquier en arrière.
      La bataille faisait rage,
      les cavaliers ennemis chargeaient les formations en plein combat, chaque soldat défendait sa vie avec vaillance.
      A la vue des renforts grecs,
      les guerriers ibères pourtant en voie de prendre l'avantage fuyèrent comme des pleutres, il était temps que les renforts arrivèrent.
      Le général ennemi fut tué par la cavalerie du général alors qu'il tentait de fuir.

      Des cris furent entendu pendant tout l'après-midi dans la forêt, les soldats avaient reçu l'ordre d'exterminer les ennemis qui se cachaient....



      Numantia fut libéré et l'armée pris ses quartiers dans la ville, il fallait reformer ses forces avant l'attaque de Velika,
      heureusement, les messagers du Sénat annonçai la venu prochaine d'une troisième armée pour soutenir les intérêts épirotes.
      L'avenir s'annonçai sanglant,
      les lusitaniens à l'Ouest et les Carthaginois au Sud pour l'Archistratègos Kalidromos,
      les Eduens et les Helvetes au Nord et à l'Est pour Genuos,
      les généraux épirotes ne manquaient pas d'adversaires.

      Dernière modification par ludor, 17-06-2012, 15h28.

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      • #18
        Bah écoutes, toujours aussi sympa à lire !

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        • #19
          Chapitre III :La Guerre des Gaules, quatrième tome, la légion d'Italie.


          Ordre de l'archistratègos Kallidromos au capitaine de la garnison de Pallantia :
          Les autochtones semblent encore loyaux aux lusitaniens, ramener vos hommes à Numantia, nous devons rassembler nos forces en vus des prochaines batailles à venir, inutile de garder la ville, prenez se que vous pouvez mais ne faîtes aucun mal aux habitants, nous devons revenir en libérateur quand nous reprendrons la ville, ils seront, je l'espère, enfin enclin à rejoindre notre Ligue.





          Kallidromos demanda des renforts ibères d'Emporion et renvoya ses soldats blessés, il ne pouvait s'offrir le luxe de perdre des contingents entiers, le Sénat ne lui pardonnerai pas.
          L'armée gardant la place forte celt-ibère était donc composé d’autochtones, de celtes de Gaule et d'ibères servant dans l'armée epirote, de grecs d'Epire,
          la cosmopolite armée correspondait à celle de la Ligue, c'était sa force car chaque soldat, d'où qu'il vienne, défendait sa patrie en servant dans l'armée Epirote.

          Message de l'émissaire Arverne au commandant et gouverneur epirote de l'oppidum de Viennos :

          Chers alliés, nous savons votre détresse en tant que défenseur dans un énième siège, nous vous proposons donc de vous aidez à vous libérez de se dit-siège.
          Vos chefs du Sénat nous on promis en échange de notre aide dans la région de votre soutien dans la région des Alpes, cependant, nous n'avons toujours pas de nouvelles dans cet région faisant référence à une aide militaire de votre part, nous souhaitons donc vous parlez après la bataille...




          Sedullos, capitaine de l'armée aquitaine et émissaire du conseil Arverne.










          Les ordres furent à peine donné de tenter une sortie que l'ennemi tenta de quitter ses positions, voyant notre redoutable alliance avec les Arvernes encore une fois en marche contre elle, les pleutres tentèrent de fuir, malheureusement, Genuos souhaitait en finir avec les forces ennemies dans la région car le Sénat lui avait donné l'ordre de diminuer au maximum les forces ennemis pour une prochaine mission.
          Le général voyant les gaulois fuirent malgré la poursuite de ses hommes,
          il choisi de leur barrer la route, les allobroges scandèrent le courage de se général illyrien toute la soirée.

          Les soldats ennemis, déstabilisaient par la charge des cavaliers grecs, commencèrent à perdre du terrain.

          Quelques contingents ennemis purent être attaqué....

          .....malheureusement, cela ne suffisait pas pour le général grec qui avait perdu plus d'hommes qui ne l'aurai voulu.







          Mediolanum et Bononia envoyèrent des guerriers pour renforcer les défenses de Viennos,
          Genuos en avait besoin car les éclaireurs avaient fait part d'une armée ennemie conséquente.







          Le commandant de Numantia reçu un diplomate égyptien lui lançant un ultimatum,
          le représentant du Sénat alors présent lui fit part de la réponse:
          Kyrène étant une citée de la Ligue Epirote, ses citoyens faisant partis des citoyens Epirotes,
          nous ne pouvons accéder à votre requête.

          Le diplomate repartit furieux...









          L'armée provenant de Rome, de Capoua et d'autres cités latines, et italiotes arriva enfin à sa destination après un long passage par les Alpes, le Sénat lui avait confié la mission de vaincre les Helvètes pour permettre à la Ligue d'avoir accès aux mines des Alpes, et à l'armée phocèenne de ne plus subir les attaques incessantes des Helvètes, et accessoirement contentés les Arvernes. L'armée était commandé par Kallistratos Onopermos, un général illyrien fidèle au Sénat, comme tous les membres de la famille royal encore en vie. Il était gouverneur de Patavium avant de prendre le commandement de la légion levée par les cités latines et italiotes. Son instruction à la fois latine et grec lui avait permit de connaître la tactique et l'art de la guerre.






          Le gouverneur de Mediolanum avait envoyé un coureur Insubre d'urgence traversé les Alpes pour informer le commandant de l'armée d'Italie qu'un noble Insubre avait formé une armée au nom des Eduens, c'était l'occasion rêvée pour le général de mettre en pratique ses leçons latines.








          Le Sénat s'attendait à que l'Empire Ptolémaïque soit vexé par le refus de son représentant, et il s'attendait à que la nouvelle tombe,
          mais pas aussi rapidement....






          Kallistratos pris l'hiver à traverser à marche forcée les alpes, les soldats italiotes étaient guidés par les Insubres , mais ils subirent quelques pertes. Le général pouvait enfin faire face à l'armée Insubre dissidente, elle était 5 fois moins nombreuse que la légion, et ses guerriers n'étaient que des paysans levés rapidement par un seigneur payé par les Eduens pour retarder leur défaite.
          Le général positionna ses troupes à la latine, selon son éducation militaire.

          Les guerriers insubres avaient reçus l'ordres de ne pas prendre part à la bataille, pour éviter de ne devoir tuer un frère ou un ami.

          Les hoplites italiotes firent face au guerriers celtes alors que les lucaniens firent pleuvoir une volée de javelots sur les têtes des ennemis de l'Epire.

          La bataille fût courte, le général et sa cavalerie firent la chasse aux dissidents.


          Les dissidents à peine vaincu, Kallistratos retourna rapidement à sa mission principale....

          La première grande bataille de l'armée d'Italie allai pouvoir avoir lieux.

          La discipline faisait face à l’intempérance.

          Les soldats ennemies se contentèrent de charger les formations epirotes, ne récoltant que la mort et la défaite .
          La cavalerie campanienne acheva l'ennemi.
          Premier éclat de la légion d'Italie et de son commandant.






          Genuos, commandant une partie de l'armée phocèenne, reçu le message du Sénat lui donnant l'ordre de porter soutien à l'armée d'Italie dans sa campagne en Helvétie....

          ...mais un envoyer de Kallistratos lui fît savoir qu'il fallait mieux garder ses forces en réserve et lui demanda de préparer un camp dans la région si la situation le demandé,
          les épirotes savaient que les Eduens ne laisseraient pas tombé leurs alliés Helvètes si facilement....



          ( Merci pour vos commentaires, étant en vacances je compte poster chaque jour ou presque un nouveau chapitre ou mini-chapitre, si vous avez des demandes ou des conseils à faire pour le gameplay, le scènario, ou la mise en page, ne vous gênez pas )( Les évènements militaires ou tactiques sont vers la gauche, ceux à droites sont les diplomatiques et ce centrés sont ceux importants ayant rapports avec l'histoire )
          Dernière modification par ludor, 18-06-2012, 14h45.

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          • #20
            Chapitre III : La Guerre des Gaules, cinquième tome, l’Helvétie .


            Message du Sénat à Kallistratos et Genuos, commandants des armées Epirotes en Gaule Chevelue :
            Messieurs, la situation en Libye devient critique, quand à celle en Gaule Moustachue, le général de l'armée Macédonienne, Kallidromos, commence à manquer d'hommes et les Carthaginois pourraient se faire menaçant quand ils rassembleront leurs armées. Nous avons donc décidés que la guerre au nord devait se terminer, des émissaires secrets ont été envoyés aux Eduens pour signer la paix, mais leurs alliés Helvètes empêchent touts traités de se faire, vous devez donc mettre un terme à la guerre face aux gaulois en soumettant le peuple Helvète, les pourparlers de paix pourront alors être envisagé. Pour l'Epire .



            Kallistratos après avoir reçu les ordres attaqua Aventicos, capital des Helvètes, la garnison avait été lourdement affaibli par les campagnes militaires Epirotes et Arvernes mais Kallistratos s'avait qu'il ne devait pas faire d'erreur si près du but. Un espion volque avait été envoyé infiltré la veille de l'attaque en se faisant passé pour un réfugié gaulois, il devait permettre à l'armée epirote d'attaqué rapidement l'oppidum.

            Le général avait réparti ses troupes autour de la ville pour l’investir le plus rapidement possible? Les défenseurs n'étaient pas une grande menace mais Kallistratos ne voulait rien laisser au hasard.
            Les soldats Helvètes,
            bien que valeureux ne pouvaient rien faire face à la supériorité epirote, le nombre, l’expérience, la tactique, tout les condamnés .

            Le général, dans un instant de désespoir, se jeta sur un contingent d'Hastatis latins, son sort fût vite scellé.
            Les campaniens dispersèrent les défenseurs sur la place,
            ils ne devaient rester aucuns guerriers helvètes.
            La victoire fût réglé selon les plans du général,
            rapide et sans aucunes chances pour l'ennemi.

            La loi Epirote se fît entendre en Helvétie...



            Le roi Helvète voyant que ses alliés Eduens l'avait trahis,se réfugia dans une forteresse dans les montagnes,
            Kallistratos sachant se qui allai arriver, demanda l'aide au gouverneur de Mediolanum d'intercepter le roi exilé,
            il ne pût que l'empêcher de s'enfuir de Veldideno , dernière cité Helvète.
            L'espion Volque en suivant le roi Helvète, réussi à entrer dans la forteresse, Kallistratos pouvait donc mener rapidement l'attaque qui devait mettre un terme à la guerre face au Helvètes .


            Le général de l'armée d'Italie avait détaché un contingent de campaniens pour poursuivre le roi Helvète, ses cavaliers rapides avaient arpentés les montagnes des Alpes et faisaient face au dernier bastion ennemi pour la gloire de l'Epire.
            Attidas Bruanios, avait amené ses soldats Insubres avec lui,
            ils allaient pouvoir venger leurs familles massacrées par les pillages Helvètes.

            Le roi Helvète souhaité défendre chèrement sa vie royal, il ne fallait pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
            Kallistratos, passant les murailles fortifiées à brides abattus, se rua lui et ses soldats sur la place où la garde du roi se battait désemparement, Attidas entendit même un des nobles helvètes criai " La garde meurt mais ne se rend pas !" Le ton était donné, il ne pouvait avoir de survivant.




            Le glaive avait parlé.



            Les derniers résistants étaient mis au pas.


            L’Helvétie était devenu epirote, la paix pouvait enfin être signée.

            Les Eduens acceptèrent leur défaite face à la Ligue Epirote et ses armées et ses alliés Arvernes,
            les peuples Belges passèrent sous souverainetés Arvernes, les Helvètes étaient maintenant soumis à l'Epire,
            la Gaule Chevelue était maintenant en paix.


            Le Sénat pouvait maintenant se tourné vers le Sud,
            le Sénat de Carthagène et l'empire ptolèmaïque s'était allié face à leur ennemi commun, et les lusitaniens n'allaient probablement pas attendre longtemps avant de rejoindre cette coalition.
            Les généraux epirotes et leurs soldats n'étaient pas arrivés aux bouts de leurs peines....
            Dernière modification par ludor, 19-06-2012, 18h28.

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            • #21
              Chapitre III : La Guerre des Gaules, sixième tome, le soulèvement des Arvernes.

              Conversation entre trois gardes sur un des guets du fort de Viennos :
              Peltaste grec : Il paraît que Kallistratos a vaincu les helvètes ?
              Peltaste ligure : Ouai, il devrai retourné à Syracuse pour son triomphe maintenant.
              Peltaste grec : Et nous on garde un fort inutile dans se pays de barbares .....
              Peltaste massiliote : Et oh, fait attention à se que tu dis le grec !
              Peltaste ligure : Calmez-vous les gars, pensez à vos familles et aux terres qui vous attendent chez vous.
              Peltaste grec : Et mais c'est les gaulois qui arrivent de la colline ?
              Peltaste massiliote : Pourtant le capitaine ne nous avait pas dit qu'ils devaient venir aujourd'hui.
              Peltaste ligure : Je vais demandé au capitaine .
              Peltaste grec : Vas-y, je reste avec l'outragé .
              Peltaste massiliote : En attendant, l'outragé sent que y'a quelque chose qui cloche, les gaulois préviennent toujours à l'avance quand ils viennent aux forts, et ils sont venus sans les caravanes de ravitaillement.....
              Peltaste grec : .... et ils sont en ordre de bataille.....
              Peltaste massiliote : Toi aussi tu l'a remarqué...?
              Peltaste grec : Qu'est-ce que ? !...
              Le soldat massiliote plonga sur son camarade grec pour lui éviter une fléche celte qui se planta dans la palissade.
              Peltaste grec : AUX ARMES ! FERMEZ LES PORTES !
              Peltaste massiliote : Toi qui voulais de l'animation !
              Le capitaine de la garnison envoya un coureur marathonien vers la cité de Viennos pour informer Genuos de la situation.




              A Kyrene, la situation était tout aussi grave, le siège de Kyrene arrivait à sa fin, les égyptiens montaient à l'assaut.

              Les égyptiens n'avaient qu'un bélier que les archers s’empressèrent de viser et des échelles.Les égyptiens étaient taillés en pièce quand ils arrivaient aux murailles.
              Rapidement, il ne resté que le capitaine pour monter à l'assaut, mais la bataille était déjà gagnée.

              Les grecs et les libyens avaient bravement défendu leur cité,
              mais ils ne pourraient la tenir longtemps face à une plus grande armée.

              Kallistratos, commandant de l'armée d'Italie,
              avait redescendu les Alpes et vaincu un soulèvement dans la plaine massiliote avant de traverser le Rhône pour affronter les gaulois traîtres.
              Genuos, commandant lui de l'armée phocèenne,
              rompis le siège du fort près de la ville de Viennos et dispersa les armées Arvernes qui menaçaient la Narbonnaise .
              Kallistratos, avant d'attaquer l'oppidum des Aquitains, repoussa une armée gauloise qui tentait de prendre Tolosa, il la vaincu sur le fleuve Garumna avant de se mettre en marche vers Burdigala.


              A l'hiver de l'an 248 avant J-C,
              les commandants des armées phocèenne et d'Italie avaient atteint leur missions respectives et avait mis le siège sur les villes aquitaine et Arvene,
              la Gaule chevelue n'était pas encore prête pour la paix.

              En Ibérie, les ibères avaient attaqués par surprise la cité d'Emporion et l'avaient pillés,
              Kallidromos maudissait les Arvernes d'avoir retardés les renforts et priai pour que la campagne soit définitivement pacifié avant que les Ibères n'attaquent Numantia,
              dernier bastion epirote en Ibèrie.




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              • #22
                Chapitre III : La Guerre des Gaules, septième tome,le siège de Burdigala et la soumission des gaulois.

                Correspondance entre Genuos et Kallistratos :
                Kallistratos, vous devez prendre Burdigala, oppidum des aquitains et venir ensuite me soutenir pour l'assaut final sur la capital Arverne. Pour l'Epire.



                Kallistratos, commandant de l'armée d'Italie, devait prendre l'oppidum aquitain, pour empêcher toute retraite au Arverne et pour asseoir définitivement la puissance Epirote en Gaule, ses soldats n'étaient pas à leur première bataille, ils étaient devenus des vétérans, mais la campagne face au Helvète avait creusé de graves séquelles dans les rangs, beaucoup d'hommes ne rentrèrent pas dans leurs foyers à la fin de la guerre.



                Les guerriers gaulois fédérés à l'Epire faisaient partis des troupes d'assauts,
                les latins et autres italiotes devaient les soutenir quand les murailles seraient prises.
                Les aquitains attendaient vaillamment sur les murs, la bataille allai être âpre.
                Le bélier envoyai enfoncé la porte avait été détruit par les défenseurs,
                la fin de cette guerre était décidément très attendu dans les esprits des soldats.

                Les allobroges et les Volques arrivèrent à monter leurs échelles sur les murs pendant se temps-là.
                Les guerriers gaulois se faisaient face, les piques et les glaives s'entrechoquaient.

                Les guerriers équipés de pilums les lancèrent sur les ennemis en contre-bas, pour préparer les affrontements à venir et faire le plus de victimes possibles.
                Malgré les pilums, les épéistes étaient toujours une plaie pour les rangs plus légers de l'Epire.

                Le second corps d'assaut gardé en réserve rentra quand les gaulois prirent la porte et encerclèrent les défenseurs sur les murailles.

                Les hoplites de Capoua se préparent à se faire charger par le commandant gaulois, second dans la hiérarchie Arverne.
                La place ne tarda pas à être encerclé, la victoire approchai....
                Le commandant abattu, la victoire ne faisait maintenant plus aucun doute.




                Malheur aux vaincus...






                Des maraudeurs ibères probablement venu d'Emporion furent détruit sur la route de Kallistratos vers Gergovie.
                L'attaque qui devait scellé le sort de la guerre en Gaule allai avoir lieu à Gergovie.

                La traîtrise face à l'Epire fut virulente, que sa soit un avertissement pour touts les ennemis de l'Epire.

                Les Arvernes envoyèrent une dernière armée pour tenter de renverser la guerre, mais c'était déjà trop tard.




                Les Arvernes furent vaincus tout comme les Eduens, leurs sorts furent le même.
                Ils étaient maintenant dans l'air d'influence Epirote.
                La Gaule chevelue était enfin en paix, les armées avaient bien besoin de repos, car toutes les Gaules n'étaient pas encore en paix.
                Dernière modification par ludor, 23-06-2012, 16h56.

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                • #23
                  Il n'y aura pas de nouveaux chapitres avant un certain moment, la raison est que par faute de temps, de concentration et de nombreux retours windows chamboulant les screens et les évènements ( et accessoirement me dégoûtèrent plus d'une fois de relancer Europa Barbarorum ), je n'ai pas screené une partie des actions se déroulant après le septième tome de la Guerre des Gaules, les évènements étant trop nombreux à expliquer ( et la léthargie vacancière n'aidant pas ), et me rendant compte que je risquai de faire une liste de batailles souvent identiques, que se soit face aux lusitaniens, aux carthaginois, aux rebelles numides, aux grecs et aux gaulois. Je vais donc reprendre le cours du récit à partir de l'évènement le plus marquant, le coup d'état et la mise en place de l'Empire. Je comprend que vous vous disiez qu'en ayant commencé la partie en trichant pour mettre en place la trame, j'aurai pus au moins faire l'effort de jouer toute l'histoire et de la retranscrire en entier, du moins autant que possible mais je dois avouer que ayant souvent du mal à finir les parties Europa Barbarorumesque à cause de certains défauts imputables au jeu de base (Les piles infinies d'ennemies, les Huge Cities trop rapidement arrivés, et , bien qu'étant encore moins imputables au mod, ni même au jeu de base, les factions qui se n'adaptent que très peu à leur expansion) et n'ayant aucun talent pour le modage et même un mauvais souvenir de tentative, je vais attendre d'avoir atteint un certain point d'avancement dans l'expansion de l'Epire, et à partir de là, je continuerai le récit, et je vous promet encore de belles batailles à venir, car pour que l'Epire fasse mieux que Rome, elle devra elle vaincre les germains, les gètes et les puissances orientales. J'aurai aimé faire un chapitre concernant une guerre civile avant la mise en place de l'Empire, ayant vu dans des AARs des guerres dans le genre, mais comme dit plus haut, le modding n'est pas pour moi. Je détaillerai donc plus encore mes futurs chapitres et tenterai d'y glisser des références cinématographies et historiques à la place.

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