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  • Terminator 3 : La Guerre des Machines

    Terminator 3 : La Guerre des Machines - 2003




    Partie Préliminaire

    Argh, cette bonne vieille série des Terminator avec Arnold Schwarzenegger. Comment ne pas dire quelques mots sur ces films qui ont renversé la science-fiction ? On parlera d’un classique du cinéma, car, quand j’avais 11 ans, notre professeur de musique, tout juste avant les grandes vacances, avait déroulé avec émotion tout son speech insurmontable sur l’acteur principal. Eh oui, Terminator, c’est une longue histoire, généreuse pour les créateurs de jeux vidéo. En effet, elle continue d’inspirer de près ou de loin, directement ou indirectement des projets, des idées etc. Parfois, les résultats demeuraient médiocres voir insoutenables, mais je risque de nuancer ma position sur Terminator 3 : La Guerre des Machines, trop souvent, les conséquences finales restaient envisageables et jouables.

    Je reviens d’abord sur la série cinématographique avant de rapprocher mes propos du sujet central. Alors, c’est très simple, en 1984, un réalisateur que l’on connait bien, James Cameron, décide d’œuvrer pour un genre quelque peu particulier : l’invasion par les machines. Dans les années 1980, le cinéma montait en puissance, les films et les genres similairement. Cela se traduit tout simplement par une petite pépite qu’on cite encore, encore et encore. Bien entendu, James Cameron innovait largement, parachevant l’univers de la science-fiction sous un autre angle. Puis, n’est-ce pas un peu plus tard, qu’on assistait à la sortie de la Guerre des Mondes de Steven Spielberg en 2005, reprise d’un roman de science-fiction de H. G. Wells en 1898.

    Par conséquent, la science-fiction est un univers ancien, qui redéfinit les pensées humaines, on se positionne dans un espace irréel mais parfaitement plausible. J’estime en effet qu’en 1984, James Cameron, relançait l’industrie fictive, au cinéma, pour le plus grand bonheur des passionnés. Bien entendu, ce réalisateur, ouvert, toujours généreux en termes d’idée, a poussé davantage la série du Terminator. Toutefois, cette relance n’interviendra seulement 7 ans plus tard, en 1991, avec Terminator 2 : Le Jugement dernier. Et sur ce point, le budget n’était plus de 6 millions de dollars mais bien de 100 millions de dollars. Une claque renversante pour les studios, un budget aussi colossal devait s’observer comme une révolution pour les films de science-fiction. En effet, pour développer un univers éclatant au cinéma, James Cameron réinjectait des fonds énormes, pour la sortie de ce nouvel opus en 1991. En quelque sorte, il réintroduisait le monde des machines dans une nouvelle perspective, avec davantage de moyens, des effets spéciaux progressifs, encore simplifiés pour l’époque.

    Certes, pour les années 1990, je ne pourrai cacher mon extase devant ce chef d’œuvre. On remarquera subséquemment que les rentrées financières ont été multipliées par 8 en 7 ans, passant de 78 millions de dollars à 519 millions de dollars. N’est-ce pas une révolution pour la série ? Il semble que si, puis, James Cameron a déserté entièrement la production, suspendant tout nouvel épisode. Il faudra attendre non plus 7 ans, mais 13 ans pour qu’une Trilogie se constitue. Sous cet angle, en 2003, un réalisateur du Connecticut décide de réaffirmer les Terminator au cinéma, un dénommé Jonathan Mostow se lance dans l’aventure pour un énième rebondissement.

    Alors que les passionnés pensaient que le robot avait rangé ses armes, ils seront bouleversés d’apprendre au début des années 2000 la sortie d’un nouvel opus. Quel plaisir éclatant ! A ce titre, Terminator 3 : Le Soulèvement des machines sort dans les salles en France le 6 avril 2003, provoquant masse de critiques, positives comme négatives. Le film trouvera dans les cinémas une certaine renommée, moins grandiose que ses deux prédécesseurs, souvent oublié, car en général, ce sont les deux premiers qui corroborent, qui structurent l’univers, ce troisième répète finalement une histoire déjà bien connue.

    En pratique, il est difficile d’une part, pour un nouveau réalisateur, de reprendre les restes de son propriétaire, James Cameron à l’origine, mais il est encore plus ardu de continuer une série en apothéose au bout du troisième épisode. Soit, le résultat terminal sera controversé, passionnant les spectateurs, renversant l’opinion une fois de plus. On retrouvera en revanche pour notre plus grand plaisir un casting riche notamment le fidèle Arnold Schwarzenegger.

    En parallèle, quelles sont les conséquences dans l’univers informatique ? Eh bien, la même année, des développeurs se lancent dans la commercialisation d’un jeu vidéo, Terminator 3 : La Guerre des Machines, un FPS redoutable, agitant les approches les plus futiles comme les plus clairvoyantes à l’égard du jeu. Les développeurs ne sont pas sans intérêt, car ils prennent le nom très controversé Atari et Clevers Development.

    La bonne chose qu’on retient, c’est un bouillonnement informatique provoqué par les livres et les films. D’abord, les livres, car les premières grandes pépites de la science-fiction datent des années 1900, l’homme se projetait dans un univers grandiose, incertain, surpassant le savoir humain. Puis, le cinéma a suivi, reproduisant les histoires écrites à l’écran, car, le marché se manifestait positivement, attirant foule et convoitise. Entre temps, de nombreux producteurs se lançaient dans l’aventure, témoignant un réel intérêt pour la matière. Ce sera le cas de James Cameron dans les années 1980, avec la série Terminator.

    Aujourd’hui, le film progresse, pas forcément positivement, avec Terminator Renaissance en 2009, et un projet récent, du réalisateur Alan Taylor du film Thor : Le Monde des ténèbres en 2013, décide, notamment, en 2015, de redéfinir la série par un Terminator: Genisys. Arnold Schwarzenegger sera de nouveau de la partie, le modèle T-800, alors, je ne sais pas comment analyser une série aussi controversée, pourtant, on distinguait deux épisodes époustouflants, James Cameron à la lumière des années 1980-1990, puis, on assistait ensuite à une controverse déséquilibrée entre les idées prodigieuses et les résultats décevants (troisième et quatrième épisode).

    Ce cinquième opus renversera t’il les critiques confuses de ses deux prédécesseurs ? La question indomptable risque de se poser à sa sortie. La réponse aussi, peut-être inversera t’elle les tendances ? En attendant, retour à l’espèce, en 2003, le film s’accompagnait d’un jeu vidéo, RPS pour les amateurs, mais cette ouverture a sensibilisé une fois de plus les critiques négatives. J’observe une reconduite divergente Atari, les producteurs n’ont pas forcément réalisé le jeu de l’année, mais il semble opportun de l’étudier minutieusement. On s’attardera dessus car, les avis risquent encore d’être bien agités, certains, même un grand nombre diront que le jeu est une blague inutile pour la science-fiction, *on pouvait s’en passer*, d’autres, comme moi, accueilleront le jeu plus favorablement/avec neutralité.



    Présentation

    Terminator 3 : La Guerre des Machines est un jeu développé/édité par le duo Atari et Clevers Development, commercialisé le 5 décembre 2003. Cet opus est un first-person shooter, soit un FPS, à la première personne, en ce sens, le joueur incorporera un protagoniste armé, défiant des machines infernales. Toutefois, il sera possible de choisir entre les envahis ou les envahisseurs. Il s’inspire de la future pentalogie, en 2015, de l’univers Terminator.

    Terminator se cristallise en une lutte fracassante entre les hommes et les machines. Bien entendu, la série Terminator est source d’abondance pour les développeurs de jeux vidéo et tout particulièrement de films. Pour les jeux vidéo, on assiste à une explosion dès les années 2000 des jeux de science-fiction, mettant en exergue un ou plusieurs héros dans un monde parallèle, confrontant le plus souvent des machines, des monstres etc.

    Concernant les films, on constate avec effervescence un repositionnement des réalisateurs, en fait, chaque année, on découvre des nouveaux projets, souvent décevants, parfois éclatants. Je ne citerai que deux films : La Guerre des Mondes en 2005 et World Invasion : Battle For Los Angeles en 2011. Ces deux opus tellement proches exposent l’invasion de la planète terre par des martiens. C’est exactement le sujet principal extériorisé par James Cameron dans les Terminator. On étend, on s’inspire intelligemment, on fabrique, on crée des nouveaux projets pour le plaisir du spectateur. En parallèle, pour les créateurs informatiques, on s’ambitionne sur un univers virtuel, relatant avec efficacité les grands événements cinématographiques.

    Autrement dit, on cherche à plonger le joueur dans une guerre opposant les hommes et les extraterrestres. En l’espèce, on parlera des robots machines, sous une forme démesurément jubilatoire, les fameux « squelettes robots ». Bien sûr, il est évident de confronter négativement les films aux jeux, car, souvent, ces derniers s’inspireront banalement, parachevant un jeu médiocre, trop mou, pas assez passionnant. Ce fut le cas notamment du remix de World Invasion : Battle For Los Angeles, un saccage du film en jeu (FPS), une blague glauque, un rendu tellement mauvais qu’on se demande encore comment des studios ont pu s’écraser aussi lamentablement.

    En 2003, Atari tenta l’aventure avec un FPS ouvert, Terminator 3 : La Guerre des Machines, on s’en souviendra, pour le pire comme pour le meilleur. Les plus révolutionnaires diront que ce jeu n’a jamais eu d’existence, les plus sages mentionneront une simple erreur de style.

    Pour les neutres, c’est mon cas, on constatera un jeu situé entre deux eaux, entre le bon et le mauvais. Par conséquent, en termes de présentation, Terminator 3 : La Guerre des Machines prévoit un passage dans l’univers Terminator, afin notamment de revivre les grandes confrontations du film. Le joueur interviendra par le biais d’un personnage, s’attaquant aux machines avec vigueur, violence et rapidité. Dans la pratique, il n’en sera pas ainsi, car le jeu s’insinuant comme un puissant FPS n’interviendra que modestement. Récit d’un jeu controversé.



    Deux Remarques Préalables

    Ma première remarque concerne ma proactivité sur le forum. En effet, je me trouve en vacance, et malheureusement, je n'arrive pas à me remettre au travail, pourtant, un partiel de droit administratif approche dangereusement (mardi). Donc, je développe des sujets sur le forum pour le plus grand malheur des lecteurs.

    Ma seconde remarque englobe le jeu. Comme je l'ai mentionné plusieurs fois, beaucoup prétendront que cet opus demeure médiocre, nul, à ***, mais je nuancerai mes propos, je ne vais pas suivre le troupeau comme un mouton. Car, on trouve quand même des choses positives, certes, elles sont rarissimes, mais on ne peut les écarter.



    Impression

    Je ne cesserai de le répéter dans ce sujet, il y a du bon et du mauvais. En fait, mon expérience de joueur m’a surpris dans le cas de l’espèce. Je n’ai jamais autant été divisé, car on pourrait développer un jeu prolixe ou on observe quelques améliorations, mais subsidiairement, on constate un opus nié, qui désavoue essentiellement la vitalité de l’univers James Cameron.

    En termes d’amélioration, je ne mentionnerai malheureusement que peu de choses, tous comme les défauts. En fait, c’est un peu du 50/50. Toutefois, le mauvais surpassera au final les quelques exploits attisés par nos fameux développeurs. Quel dommage ! Je ne pensais pas d’ailleurs qu’une entreprise comme Atari se lancerait dans la science-fiction.

    Nous avons en effet observé au mois de janvier dernier qu’Atari produisait de belles choses, je pense bien entendu à la Série des RollerCoaster Tycoon. L’entrée en matière restait difficile mais les développeurs avaient progressé raisonnablement, arrivant dans les années 2005 à un jeu crédible, défiant toutes les critiques négatives. Ainsi, ils reviennent cette année avec RollerCoaster Tycoon World. Pourquoi je fais référence à cette petite série des parcs d’attraction ? Car, Atari possède un esprit revanchard, je pense notamment à l’objet analysé, peut-être qu’avec la sortie imminente Terminator: Genisys, on assistera à un rebondissement du Terminator en mode FPS ? Qui sait d’ailleurs, l’homme reste tellement imprévisible en termes de résultat.

    Sur ce, je laisse une chance à Atari de concrétiser un jeu fiable, corroborant le monde Cameron, renouvelant le grand Terminator dans les prochaines années.

    Toutefois, entre-temps, on rappellera l’éventualité du Terminator : Renaissance mis en exergue en 2009 par Warner Interactive et GRIN. Il fera notamment l’objet d’une prochaine analyse de notre part. Par conséquent, on distingue qu’après chaque film, du moins, depuis les deux derniers épisodes, un jeu est survenu, tentant malencontreusement de redimensionner le Terminator, sans succès. En 2003 comme en 2009, deux jeux très moyens sur la durabilité, l’aspect offensif qu’on attend énormément d’un jeu, il n’y avait rien. Pourtant, en 2003 comme en 2009, on trouvera quelques points renversants.

    Je pense notamment aux nombreuses cartes offertes au joueur, aux différentes armes, au mode FPS bien utilisé, à des graphismes passables. Mais le gros défaut qui ressort est bien la durabilité, on fait vite le tour du jeu, une fois qu’on a tué quelques robots, on s’ennuie.




    Pourtant, quand j’ai commencé dans les années 2006 mon expérience de Terminator 3 : La Guerre des Machines, d’ailleurs entier passionné des Terminator, j’appréciais largement cet opus, j’aimais tout particulièrement jouer ce rôle de shooter de robots, malgré cette répétition insoutenable.

    J’aimais également débuté une partie avec un certain plan tactique, j’élaborais de nouvelles stratégies, je variais mes armes, parfois, je m’initiais au mal absolu en incarnant une machine. Sous cet angle, quand j’avais 12 ans, j’appréciais aisément cet opus, le réinstallant à plusieurs reprises. Néanmoins, cette phase positive s’est tarie avec le temps. Aujourd’hui, j’ai 19 ans, toutes mes dents, et j’observe cet opus avec un autre intérêt, celui de la tristesse et de l’incompréhension. Par conséquent, on distinguera deux grandes périodes. D’abord, celle de la renommée, ou j’ai passé pas mal de temps sur un opus très controversé, puis, il y a maintenant quelques années, ou j’ai complètement cessé de songer à relancer une partie du Terminator de 2003.

    Le gros problème, c’est qu’il ne met pas en valeur la série, l’impact a été irrémédiablement négatif. Pour autant, je ne suivrai pas foule, et je tendrai plutôt sur ce point. En 2003, les développeurs ont préfabriqué un jeu original mais décevant, c’est un peu la bête noire. Cependant, en 2003, après sa sortie, les développeurs ont peut être compris les erreurs commises. J’espère en particulier qu’une preuve d’intelligence sera mise en œuvre pour le cinquième opus de la série cinématographique, je souhaite de tout cœur un jeu jouissif, fort, en 2015 ou 2016. Pas un truc inachevé ou étanché à la va vite.

    Quitte à ce que les développeurs prennent davantage de temps pour créer une suite aux opus de 2003 et 2009. Car, en 2009, le second opus se plaçait sous un angle similaire à son prédécesseur, un jeu rigide, flasque, terne, incomplet. Toutefois, ce second volet ne s’attribuera pas pour propriétaire Atari. Atari semble avoir changé de point de repère, peut-être l’entreprise ne se redirigera pas de sitôt dans l’univers science-fiction après un jeu troublant pour un univers riche en émotion.




    A ce titre, je souhaite uniquement des développements plus poussés, un jeu véritablement complet, avec une extrême jouissance, d’une finesse clairvoyante, avec les effets de surprise qu’on ne mentionnera jamais assez, une qualité sonore et graphique à en découdre, etc. Tous ces avantages demeuraient absents en 2003, on ne gardera que la bande sonore, on retiendra également les personnages et les machines, les nombreuses cartes, mais sans plus.

    Un jeu quelque peu paradoxal, j’ai encore beaucoup de mal à comprendre sa sortie. Mais cela ne m’a pas empêché pendant une certaine période de ma vie de m’y plonger totalement, avec jouissance. Dorénavant, je porte un regard froid et assez critique, car il y a le recul qui provient, agitant mon esprit à la lumière de 2015. Je le répète une dernière fois, un jeu entre deux eaux, qui ne m’a jamais rendu autant perplexe, entre deux grandes époques, une jouissance pendant mon enfance, une déception aujourd’hui.



    Conclusion

    En guise de conclusion, mon approche restera à jamais ambiguë. Paradoxalement, je ne m’introduis pas dans ce groupe d’insurgé, de révolutionnaire, qui inspire une conception violente autour du jeu. Non, en fait, je suis plus vif, car, j’ai réussi à rentrer dans cet univers, difficilement, je ne peux écarter ce point, mais ce jeu garde une certaine aisance, qu’on qualifiera avec désespoir de « minime ». J’ai, entre autre, retrouvé le Terminator des années 1980, dans un jeu d’une qualité semblable, même si de loin, le film transcende largement les développements informatiques.

    Plutôt, j’estime ce jeu ordinaire, banal, simplifié, pas tellement inutile, car il permet aux développeurs de prendre conscience des erreurs commises, et peut être, de reproduire un jeu digne des Terminator avec la sortie imminente du film Terminator: Genisys. Malheureusement, on n’éloignera pas cette pensée controversée, car je sens étrangement un gros navet en gestation. Toutefois, on peut espérer en parallèle que les développeurs relanceront la machine de guerre Arnold Schwarzenegger dans un jeu nouveau, revalorisant, parachevant fidèlement l’univers des robots.

    On ne le sait pas pour l’instant, on se contentera uniquement de faire un point sur un jeu ancien, vieux de 12 ans, un premier projet indécis, l’impression décevante d’un jeu inachevé. En effet, malgré des heures parfois hésitantes passées sur ce jeu, je sors à la lumière de cette époque très perplexe, car cet opus apporte de la fraîcheur, mais davantage d’obscurité. Autrement dit, je resterai objectivement sur cette position incohérente, comme un malentendu.

    C’est bien dommage car l’univers en lui-même se manifeste avec richesse, le Terminator, quoi, c’est un chef d’œuvre du cinéma, un peu comme la Guerre des Mondes de H.G. Wells en 1898 dans le milieu littéraire. En revanche, les développeurs ne se sont pas positionnés assez férocement, ils n’ont pas jeté tant d’huile sur le feu, le résultat demeure singulièrement flottant, on ne sait pas pourquoi un projet aboutit en 2003 sur une espèce de jeu défiant.

    Comme je le répète, on ressent de la tristesse, car Terminator 3 dans les années 2000 relançait l’industrie des jeux vidéo, et fâcheusement, les résultats n’ont pas suivi aussi positivement que le film. Certes, le film en lui-même se concrétise par des critiques intermédiaires, mais le jeu ne remonte pas sa cote de popularité. En un mot : Paradoxal.



    Quelques Aperçus

    J'appose dans cette dernière section un lien unique:




    Alors, Astuce Man commente le jeu, bon, je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est assez pourrave. Je suis un peu comme Bombur, mais façon informatique. Alors que ce dernier apprécie tout particulièrement les films lourds, pesants, insoutenables, je cite: Conan le Barbare (Version 2011), eh bien, moi, durant une certaine période, j'ai apprécié paradoxalement ce bon vieux Terminator 3 : La Guerre des Machines. C'est comme ça, je ne changerai pas ma position.


    Dernière modification par Strabon, 25-03-2015, 12h35.
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