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  • Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi

    Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi - 2003


    Avant d'entrer dans le vif du sujet, j'aimerais d'abord dire quelques mots sur le premier opus de la série apparu en 2002.


    Préalablement, un œil sur Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau




    La première chose que je dois mentionner concerne ma proactivité : je me trouve actuellement en vacance, par conséquent, une semaine à rien faire. Bon, pour éviter de tomber dans la maladie paresseuse, dans la procrastination totale, je me suis dit qu’écrire sur le forum serait utile. Ensuite, pour le sujet traité aujourd’hui, on remarquera notamment que je débute d’abord avec Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau commercialisé le 8 novembre 2002. Cet opus développé/édité par Vivendi Universal Games et Surreal Software permet au joueur de revivre les prémices du Seigneur des Anneaux avec le tout premier épisode de la Trilogie. Bien entendu, je vais m’attarder fébrilement car je n’ai pas joué énormément à ce titre pourtant symbolique par la suite.

    En effet, ce petit chef d’œuvre encouragera notamment la sortie 1 an plus tard du jeu Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi en 2003. Alors, quelles sont les nouveautés dès 2002 ? Eh bien, je trouve qu’on se glisse aisément dans l’univers Tolkien, les graphismes sont largement passables, aboutis pour l’époque. De plus, la conservation des nombreuses voix du film enrichissent pleinement le jeu et consolident efficacement le résultat final.

    En fait, jouer au tout premier opus, c’est débuter tranquillement le monde perpétré par Tolkien, certes, les effets ne se caractériseront jamais par l’apothéose, mais j’avais le sentiment de passer du temps agréable, une forme d’entrainement avant le grand jeu de 2003, bien mieux structuré et plus complet. Autrement dit, pour débuter, on privilégiera l’univers de 2002, le jeu sera terminé rapidement, mais ce passage demeure obligatoire pour ensuite dérouler le tapis du Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi. C’est un petit divertissement, l’émotion se cristallise certainement et efficacement, on ressent et on suit chaque étape du livre comme du film, on se plonge profondément dans cet espace parallèle.

    Les graphismes répondent présents, les protagonistes illustrent les véritables personnages du film, il n’y a pas de transgression sur l’histoire, il n’y a pas de falsification scandaleuse/extrême. Sérieusement, j’ai été assez surpris sur les conséquences du jeu, restant à ce jour largement positives.


    Quelques images:


    Spoiler:














    Partie Préliminaire

    L’univers Tolkien n’a jamais autant fasciné les joueurs, les lecteurs et plus globalement les passionnés. En l’occurrence, le monde imaginé demeure encore aujourd’hui extraordinaire, atomisant largement la conception des jeux vidéo. Sous cet angle, les développeurs s’inspirent de loin ou de près, directement ou indirectement, des longues descriptions des livres et des films pour matérialiser des projets, des idées, donc créer des jeux vidéo.

    En fait, j’estime que l’univers Tolkien a ouvert la porte à de nombreuses pépites qu’il faudra considérer avec délicatesse, car chaque jeu fabriqué et commercialisé arborera des apports authentiques, nouveaux. Sous cet aspect, je crois que le jeu étudié aujourd’hui mérite un petit sujet car j’ai passé beaucoup de temps dessus, je l’ai notamment terminé plusieurs fois, me procurant une sensation de bonheur tellement imperceptible de nos jours. Bien entendu, je ne vais pas non plus nier que les jeux actuels sont excellents, en fait, je crois que les améliorations ont été provoquées par les pères fondateurs, par des séries qui ont revalorisé l’approche du joueur.

    Cela signifie que le commencement s’extériorise dans les années 2000, et avant les années 2000, on assistait à une montée en puissance des jeux vidéo. Par conséquent, si maintenant, on est forcé de constater des développements prodigieux, majestueux en termes de qualité, de rendu final, on ne doit en aucun cas effacer les premiers opus, les tous premiers apports, le tout début du tout début. Je nuancerai toutefois mes propos car le sujet se glisse parfaitement dans cette évolution sans forcément être le père fondateur des jeux vidéo. Pour situer les pères fondateurs, on doit remonter plus loin sur l’échelle historique de l’informatique.

    En l’espèce, je ne dirai seulement ceci : Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi concrétise de belles idées, un rendu incroyable pour l’époque et facilite étrangement l’impact de la Trilogie. Il n’entrera pas éternellement dans ce groupe inestimable de jeux vidéo qu’on se souviendra éternellement, mais il ne tarie pas d’éloge pour autant. Autrement dit, j’ai donc décidé de dédier quelques développements à une période efficace et riche en nouveautés : les grandes années 2000. Ainsi, récit d’un jeu ingénieux, les améliorations ne manquent pas, les impressions positives non plus.



    Présentation

    Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi est un jeu vidéo commercialisé en 2003, développé par EA Redwood Shores et édité par Electronic Arts. Il met en exergue l’univers littéraire créé par Tolkien, mais plus généralement, cet opus se fixe comme point de repère la fameuse Trilogie de Peter Jackson. En effet, on retrouvera notamment avec joie les grandes batailles du film basculées efficacement dans le jeu. On verra également une abondance d’effets spéciaux, parfaitement consolidés par des développeurs efficaces, énergiques. En effet, les modifications transmises en l’espace d’un an demeurent gigantesques. Alors que le premier opus restait simplifié mais avec des résultats apparents, ce « troisième volet » relance l’univers Tolkien.

    Dans cette perspective, on pourra incarner chaque personnage du film (tous les protagonistes du bien à une ou deux exceptions près), notre héro verra ses pouvoirs magiques s’accroître similairement à l’avancée dans le jeu. Egalement, on doit noter un grand nombre de missions, les plus intéressantes : ainsi, on mentionnera les grandes batailles du Gouffre de Helm, le siège de Minas Tirith, les Champs de Pelennor etc. On constate subséquemment des graphismes étonnants, à la lumière de 2003, une belle progression, une 3D remarquable, avec des Orcs redoutables (les Uruk Hai sont les mieux réussis et les plus acharnés), la mise en avant des décors.

    Bref, en termes de présentation, on se situe raisonnablement dans l’univers cinématographique de Peter Jackson, fidélité formidable. Il semble opportun d’extérioriser les nombreuses innovations par une impression générale.



    Une Remarque Symbolique

    Ma remarque symbolique aujourd'hui, ou plutôt un aveu. J'ai trouvé le jeu dans une série de cartons à Paris (bien visible en plus). En fait, une personne très méchante avait jeté de nombreux objets dont un sac rempli de jeux vidéo, et par chance, comme je passais par la (bon j'étais gamin donc très curieux, j'avais à peine 10 ans), j'ai fouillé et j'ai découvert avec surprise cet opus.


    Impression

    En l’espèce, on évoquera plusieurs points pour corroborer mon impression positive. En fait, si je m’attarde sur cet opus, c’est parce qu’il apporte de l’originalité et de la fluidité. En effet, on se sent au plus proche des personnages du film : Gandalf, Aragorn, Legolas, Gimli etc. Eh bien, tous ces protagonistes prodigieux, mystifiés par le maître Sauron, devront combattre férocement pour libérer la Terre du Milieu de l’emprise hostile. Les Orcs déferleront par milliers sur les territoires saints de la Comté, détruisant, saccageant, brûlant les maisons, pillant les richesses humaines etc.




    Sous cet angle, entant que joueur, on doit reproduire la bravoure perpétrée dans le film au jeu, on doit en quelque sorte encourager la contre-attaque, la défense. Pour cela, les développeurs se sont appuyés ingénieusement sur les voix des personnages, en les incorporant efficacement dans le jeu. Autrement dit, le joueur pourra évoluer tout en suivant les consignes des personnages réels, du coup, on se situe dans les missions cinématographiques, transférées dans un jeu. C’est propre, on ne s’ennuie pas, à aucun moment, cet opus s’écarte des grands événements matérialisés par Peter Jackson. Sous cet aspect, le joueur débutera la partie au Gouffre de Helm, reproduisant les merveilles humaines, contre un ennemi surabondant, en incarnant un Gandalf solide et astucieux, on devra repousser les assauts des belligérants. Cette première mission nous permet d’entrer irrémédiablement dans le jeu, dès le départ, on se trouve ainsi confronté aux Orcs, à des ennemis impurs, d’ailleurs, qui n’hésiteront pas à s’acharner contre vous.

    En l’occurrence, ce qui est intéressant et ce qu’on doit avant tout retenir, c’est la sauvagerie des monstres du Mordor et de Saroumane. J’ai particulièrement aimé cette brutalité entièrement reproduite dans le jeu, ainsi on constate que les missions muteront en termes de difficulté. On remarquera alors l’arrivé des trolls, des maîtres Orcs (plus difficile à abattre car ils détiennent une protection solide, leur barre de vie est souvent multiplié par 3 !), ou encore des Nazguls. Plus on avancera dans le jeu, plus on se rapprochera du but ultime, la destruction de l’anneau. Comme l’évidence essentielle se manifeste par la fidélité envers le film, on devra bouleverser notre tactique en incarnant plusieurs personnages.




    En d’autres termes, on est amené à permuter ce qui se traduit par un renouvellement des armes, des pouvoirs. Ainsi, parfois, on devra jouer un Aragorn d’une puissance extraordinaire, on écrasera alors tout sur notre passage, et temporairement, il faudra se plier à la volonté du porteur de l’anneau. Ce qui signifie que le joueur doit jouer tous les personnages à un moment donné soit : Sam, Frodon, Aragorn (ou Legolas, ou Gimli) et Gandalf. Bien entendu, cela s’accompagne adroitement de capacité affectée à chaque rôle. Sous cette perspective, on notera que le plus puissant en termes de tir à distance est sans aucun doute Gandalf (quoi que, Legolas le rattrape avec son dernier niveau). En combat au corps à corps, on privilégiera la hache de Gimli ou la fameuse épée d’Aragorn.

    Pour infiltrer minutieusement les territoires Orcs, on misera sur le génie de Sam ou de Frodon. Chaque personnage pourra évoluer en tuant des Orcs, les niveaux commencent à 0 et s’achèvent à 10, notre héro se transformera alors en un monstre assoiffé de sang aussi puissant que les trolls et Nazguls rassemblés. Bien entendu, pour atteindre un tel niveau, le joueur devra massacrer, massacrer et encore massacrer. Autrement dit, il faut éliminer tous les Orcs qui interviennent sur votre chemin. En augmentant le rang individuel, on pourra obtenir certaines facultés propres à chaque personnage.




    Ainsi, le bâton de Gandalf deviendra une arme destructrice avec la possibilité de jeter à distance des boules de feu. Legolas, à distance, nous amusera férocement en projetant des flèches multipliés par deux etc. Ce qu’on doit retenir, c’est l’évolution progressive des personnages et des missions. D’ailleurs, concernant ces dernières, on distingue une variation graduelle, ainsi, plus on avance dans l’histoire, plus les difficultés tendent à stopper notre progression. Comme je le disais, dès la cinquième mission, on affrontera des Trolls, des monstres puissants, d’une cruauté sans limite, mais tellement idiots. En effet, on observera aisément leur faiblesse soit leur lenteur, une épaisseur qu’on peut éviter agilement. Legolas est le champion sur ce point. Les décors assurent une aisance incroyable. Sous cet aspect, on distingue chaque petit détail, parachevant l’univers de Peter Jackson.

    Les personnages sont fidèles au film, comme les Orcs, comme tout ce qui apparaît à un moment clé du jeu. Exactement la totalité suit les événements du film, c’est impressionnant, particulièrement jubilatoire pour un passionné du livre. Ainsi, je dois mentionner immédiatement le siège de Minas Tirith, amplement efficace. Le seul défaut que je constate, et cela, qui apparaît malheureusement pour chaque mission, c’est le cloisonnement du jeu. En fait, on aimerait aller au-delà des missions proposées, pouvoir réellement se promener dans cet environnement parallèle.

    Comme les décors demeurent fidèles au film, j’avais ce sentiment de liberté, liberté qui restera à jamais limitée. Car, comme je le disais, le jeu ne permet pas de découvrir entièrement l’univers de Peter Jackson. En d’autres termes, je prends l’exemple du siège de Minas Tirith. On ne peut malheureusement se déplacer librement, on doit protéger les murailles, sans plus, on ne peut même pas descendre combattre les ennemies, on doit toujours se positionner en haut. Je prendrai un point plus clair : la bataille du Gouffre de Helm. L’espace de bataille s’extériorise par une liberté limitée, on ne peut sa battre de partout, on est constamment enfermé, en ce sens, on ne peut rentrer dans la forteresse, on doit effectuer nos missions qu’à l’extérieur (univers rigide).

    Autre exemple encore plus flagrant, la forêt de Fangorn avec la fuite des Orcs. On doit suivre une trajectoire, on ne peut se promener comme on veut ce qui signifie que sur notre droite comme sur notre gauche, on perçoit des Orcs et des Ents luttant férocement, mais … on ne peut que les regarder. Donc, le gros point négatif du jeu, c’est le cloisonnement, on est sans arrêt enfermé. Je déplore cruellement cette liberté qui nous est enlevé, pourtant un monde ouvert permettrait tellement au joueur de revivre les moments clés du film. Non, les développeurs ont préféré s’axer sur quelques missions, en restant stricte, on ne peut outrepasser les diverses campagnes, c’est bien dommage. Car, à ce titre, des Orcs, j’en aurai tué non pas mille mais cent mille !




    Je veux en venir sur une impression générale et récurrente. Soit, une fois qu’on a terminé le jeu, on débloque quelques personnages, des codes de triche, et deux parties en plus et de nombreux bonus et c’est tout. Du coup, la déception arrive au bout et fracasse les ambitions du joueur. J’aurai aimé davantage de surprise, de suspens, comme l’éventualité de se battre sur les champs du Pelennor dans un espace ouvert, gigantesque, histoire de revivre pleinement le film. Avec bien entendu les autres héros, les Gandalf, Gimli et Legolas et tous les autres soldats. Une énorme bataille concluant le jeu, dans un territoire décloisonné, dé-cantonné.

    Sur ce, je n’obtiendrai jamais ce rêve puisqu’après avoir terminé maintes fois le jeu, dans l’espoir de découvrir une option que je n’avais pas remarqué, on finit par tourner en rond et connaitre chaque obstacle survenant dans le jeu. Il semble opportun de traiter rapidement l’atmosphère proposée par les développeurs dans cet opus.

    C’est toujours pareil, parler de l’atmosphère, on s’attarde alors sur la musique (bande sonore fidèle au film, de qualité), les voix des personnages (géniales, on rentre aisément dans l’ambiance du film), les bons graphismes (la qualité m’a agréablement surpris), le mode de jeu (les différents niveaux, les nombreuses possibilités offertes au joueur) etc. En fait, au final, je suis un peu indécis. Cet opus demeure d’une très bonne qualité, on peut enfin revivre les grands événements du film sous une autre dimension. Mais je reste perplexe sur un point : le cloisonnement des missions.

    Il est dommage de constater d’une part que le jeu se termine (très) rapidement et d’observer cette rigidité, on ne pourra jamais aller au-delà ce qui est proposé. En fait, j’aurai largement préféré un univers à la GTA tout en maintenant les grandes lignes du Seigneur des Anneaux. Soit, pour prendre un dernier exemple, les ruines d'Osgiliath, dans cet opus, on doit incarner Sam, j’aurai aimé pouvoir visiter pleinement les lieux ravagés par l’ennemi, me battre sur un espace démesurément ouvert, sur cette perspective, les développeurs n’ont pas été généreux !



    Conclusion

    Pour achever mes propos, j’estime que l’univers Tolkien a parfaitement été consolidé dans cet opus, certes ancien aujourd’hui, voire même révolu en comparaison des jeux actuels. Toutefois, Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi en 2003 à sa sortie marquait une opportunité considérable pour les passionnés de la Trilogie et plus précisément des livres. En fait, on pouvait se transformer et revivre les plus grands événements du Seigneur des Anneaux, pour un plaisir revanchard, féroce. Autrement dit, le joueur détenait une occasion incroyablement fidélisé au film, soit, en pratique, on ne pouvait la manquer à l’époque.

    Cet opus revitalise la mémoire du Tolkien qu’on connait si bien, revalorise Peter Jackson par ses créations inaccoutumées et casse-gueule d’un univers fantastique et dangereux. En l’occurrence, quand je dis casse-gueule, c’est tout simplement parce que retranscrire à l’écran un livre ne sera jamais chose aisée, la tâche étant une fois de plus titanesque, mais au final, les résultats demeuraient à mon goût éblouissants, éclatants au Cinéma (surtout le dernier épisode de la Trilogie).

    Donc, redéfinition du film par un jeu complet retraçant les grandes périodes du livre. Enfin, en termes d’ouverture, il faudra se poser la question si un jour, peut-être, on assistera à la sortie d’un opus (re)dynamisé du Seigneur des Anneaux avec les avancées prodigieuses actuelles : les graphismes, une 3D éblouissante et quasi-réaliste, une bande sonore de très haute qualité, un visuel HD etc. Bref, un jeu repoussant les limites du film, parachevant ainsi la trilogie de Peter Jackson sous une version 2015.



    Quelques Aperçus

    Quelques vidéos pour appuyer mes développements (un grand merci à TheLeboucrt - La chaine des campagnes de jeux-video pour ses nombreuses vidéos):










    La toute dernière mission (du même auteur):




    Dernière modification par Strabon, 25-03-2015, 12h59.

  • #2
    Ta dernière vidéo ne provient pas du bon jeu. C'est Le seigneur des Anneaux : l'Age des Conquêtes.

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    • #3
      Jeu sympathique que j'ai fini sur ps2 à l'époque (si ma mémoire ne me fait pas défaut), mais je garde un horrible souvenir de la caméra et surtout en coopération où c'était vraiment injouable.

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      • #4
        Envoyé par Halzum Voir le message
        Ta dernière vidéo ne provient pas du bon jeu. C'est Le seigneur des Anneaux : l'Age des Conquêtes.

        On va corriger ça rapidement, désolé, j'ai fait ça tôt ce matin, j'avais la tête dans **

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        • #5
          J'ai du le finir 350 fois notamment la porte noire en coop, tellement de délires ! Oui la caméra était atroce, mais le jeu avait un tel niveau d'epicness !

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          • #6
            Je me souviens plus si j'y ai joué, les vidéos me disent un truc mais sans plus , c'est que si j'y ai joué , il m' a pas vraiment marqué.

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            • #7
              Je l'ai toujours, et c'est pas mal du tout.
              Mais pour le multijoueur je dois dire que je ne suis pas tout à fait d'accord : pour l'avoir finit il y a quelques jours avec un ami, je pense qu'il faut surtout un minimum de coordinations (càd pas tenter de se casser à des kilomètres) pour éviter les moments où l'on reste bloqué à cause de la caméra (qui est d'ailleurs le GRAND défaut du jeu).

              J'ai aussi trouvé la difficulté plus importante dans cet opus que dans Les Deux Tours sur PS2, où on pouvait faire tout le jeu en difficile sans problème jusqu'aux derniers niveaux.

              Ici la difficulté est tout autre puisque assez rapidement, les ennemis deviennent très nombreux dans le jeu et l'on est facilement vaincu si l'on ne fait pas assez attention (les Champ du Pelennor m'ont mit une de ces dérouillées !).

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              • #8
                j'ai adoré ce jeux la aussi tout comme la coop fait et refait, bah tant qu'on gerait l'esquive sa se passait , la caméra c'était tout un livre a elle toute seule mais en y réfléchissant c'était loin d'etre la pire des caméra des jeux de cet époque, au niveau champs de pelennor ce qui me posait problème c'était les rhun en armure avec 2 armes qui venait soit te bloquer pour que les autres te massacrent bien soit te charge facon tu me tuera mais je te toucherais aux moins une fois pour te grapiller ce que sa pouvait en vie sans que tu puisse rien faire souvent a cause de cette bonne caméra d'ailleurs

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                • #9
                  Un pote avait une PS2 et ce jeu à l'époque, la mission sur les remparts de Minas Tirith en coop nous en a fait énormément baver : entre la caméra et notre volonté de tuer absolument tout le monde on a dû s'y reprendre un grand nombre de fois...

                  Commentaire


                  • #10
                    Ça me rassure de ne pas avoir été le seul à être traumatisé par cette caméra infernale

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                    • #11
                      Moi je me souvient surtout que Gandafl était complètement cheat une fois améliorer à fond...

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                      • #12
                        J'y joue toujours sur PC ... Oh c'est si bon.

                        Commentaire


                        • #13
                          @Melcor :
                          C'est un perso équilibré... dans l'abusé !

                          Mais pour le coup sa route était assez agréable.

                          Commentaire


                          • #14
                            Avec sa boule blanche qui tue tout sur son passage ! Merry était aussi vachement bon.

                            Commentaire


                            • #15
                              Roh ce jeu !

                              A noter que dans les films, les haradrims sont sur-représentés par rapport aux Orientaux et qu'ici c'est plutôt l'inverse
                              Oh et puis les contraires entre ce jeu et "Les Deux Tours" : Dans ce dernier, les hommes avaient des boucliers, les elfes, des épées à 2 mains : Seuls les gobelins et les orques pouvaient avoir des boucliers (bien fait aux Uruks ! è_é ). Dans le Retour du Roi les alliés avaient tous des épées à 1 main, pas de bouclier (-mais leur vie semblait plus conséquente), là tous les ennemis avec un bouclier avaient une lance et tous les types d'ennemis avaient un bouclier

                              Que de souvenirs sur les remparts de Minas Tirith :
                              -Quand je prenais des heures a pousser les deux soldats du Gondor au mur droit pour les amener plus vers le centre : En effet, la dernière Tour de Siège venait plus ou moins à l'improviste sans qu'on ai le temps de la détruire : Le problème est que pour contenir les uruks, des vingtaines de soldats gondoriens étaient déployées mais ces derniers étaient fantomatiques : (prennent pas de dégats et n'en infligent pas)... Les premiers a mourrir étaient toujours les 2 trouff*ons de base .
                              -Je rassemblais toujours tous les soldats au centre en les poussant comme un mongol pendant des heures : Là bas il n'y avait pas de projectiles de catapultes qui atterissait, du coup pas de "mort bête". De plus je m'imaginais une place forte d'où les archers tiraient sur Grond en esperant le voir détruit avant qu'il n'atteigne la porte
                              -Rah la porte, je m'arrêtait au niveau des escaliers pour voir l'infinité de soldats descendre, je m'imaginais une mission plus facile lors de la defense des portes

                              AU niveau des portes ils ont un peu abusés : Faire replier tous les civils du Premier niveau de Minas Tirith en les faisant passer a 10 pas d'une porte enfoncée lors d'un siège --' En plus être aidé que par 4 ARCHERS HYPER VULNERABLES n'est pas vraiment une stratégie efficace, surtout quand 3 trolls apparaissent...

                              Ah oui, les deux persos surcheatés que furent Gandalf et Legolas lorsqu'ils étaient améliorés a fond (surtout Gandalf grâce à son onde de choc)
                              Les persos marrant dans leur mouvements de fléau mais hyper faibles que furent les hobbits !

                              L'utilité des développeurs d'avoir désigné des Uruks Lances+Bouclier JUSTE pour les mettre dans un des modes palantir sans les incorporés nulle part ailleurs...

                              Ma préférence des uruks qui m'a amené a ne tuer QUE des orcs lors de la mission de Cirith Ungol
                              et aussi a ne tuer aucun uruks lors de la mission de Fangorn (a noter que seuls les uruks de Saruman sont dotés de boucliers avec autre chose qu'une LANCE)

                              Ma préférence des archers qui m'a contraint de n'en blesser aucun :'c

                              Ma sur volonté de vouloir avoir une compagnie d'hommes avec moi qui m'a pousser a les bousculer des heures a chaques missions pour voir une grosse bataille hommes/orcs a certains endroits (Osgiliath) : Des heures gaspillées a pousser des boulets ! D:

                              La volonté de faire des batailles épiques qui m'a forcé a ne pas faire des objectifs de missions (s'enfuir à la Porte Sud : Ennemis quasi infinis mais pas infinis)
                              , Ne pas tuer tous les capitaines à la Porte Noire)

                              Ce Rodeur a Osgiliath que l'on voit se battre en descendant d'une echelle mais qu'une fois arrivé là où il se battait, on ne retrouvait rien. UNE fois j'ai pu le sauver (grâce à un bug où je n'ai pas descendu à l'echelle : je suis tombé

                              PS : Toutes ces tares se retrouvaient également dans "Les Deux Tours"


                              Bref que de souvenirs ce jeu c:
                              Dernière modification par Just_legeek, 07-03-2015, 14h41. Motif: Faute de Grammaire

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