X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • R2sus
    a répondu
    N'oubliez pas ce soir

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Mon Gameplay - Repoussé de Syrie, bientôt la cinquième fournée par Aragox

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Meme revenant sur la partie de ce dimanche, durant laquelle j'ai pensé réaliser un très amusant BIG BRAIN TIME, pour finalement être pour la troisième fois repoussé de la Syrie. Je ne sais pas si ça a été compréhensible, mais je n'en retire aucune rancune et embrasse goulûment R2sus bien qui occupe avec la foi alexandrite illégalement Jérusalem XD

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Dernière fournée de "meme", aujourd'hui je reviens sur un évènement de l'avant-dernière session (je crois, pas sûr XD) durant laquelle la reconquête de Aragox de la péninsule anatolienne fut comique. Egalement afin de parvenir à une grande union des nations contre ces "salauds" égyptiens, je joins un prospectus de la diplomatie mossoulite .

    Laisser un commentaire:


  • Eleris
    a répondu
    Envoyé par Foeurdr Voir le message
    [IMG2=JSON]
    Dans le royaume de Nicée, l'obscure famille Katotikos (Eleris) va devenir un acteur important de la région. A l'origine les Katotikos viennent du peuple, élevés au rang de comte à la suite d'une rébellion paysanne ils s'installe dans les montagnes du coté d'Hadrianopolis. Insatiables, ils forment rapidement une faction pour prendre le duché de Boukellarion. Mais le plus ambitieux de tous c'est sans doute le jeune chef de famille Alexandros, un arriviste sans vergogne qui ne parle que de prendre le trône de Nicée depuis qu'il a atteint la majorité. Il se révèle rapidement être un tyran, meurtrier de surcroit n'hésitant pas à commettre les pires actes de parricide en tuant ses propres fils pour favoriser la succession de son favori Théodotos qui sans surprise était un homme sans cœur, fourbe et ambitieux, en somme le portrait craché des actions de son père, heureusement il est tué lors d'une bataille en 1067 avant d'hériter. Mais revenons à l'ascension d'Alexandros sur le trône de Nicée, d'emblée, il révoque les titres de ses vassaux pour accroitre son pouvoir puis il porte rapidement son regard sur le titre de roi de Nicée. Plutôt bon diplomate il reçoit un large soutien financier de la part de l'Egypte, voir un soutien militaire indirect dans ses guerres. Il commence par se rapprocher de la ville de Nicée vers 1050 puis il manigance pour justifier sa revendication sur le trône et forme sa faction. En 1059 il déclenche une guerre civile dont il sort victorieux et lui permet de prendre la couronne mais son succès est de courte durée, dès 1062 il est déposé par une faction. Mais Alexandros n'en a pas fini, il est suspecté avoir organisé l'assassinat du nouveau roi de Nicée en 1063, puis il rassemble à nouveau ses forces pour déclencher une seconde guerre civile pour reprendre le pouvoir ce qu'il fait avec succès en 1065. Cette fois il en profite pour retirer toutes les terres du duché d'Opsikion aux Melissenos et il établit sa capitale à Nicée. Alors quand même toute ces actions ont un coût sur le stress d'Alexandros, d'autant que sa gourmandise l'oblige à faire des régimes pour ne pas finir en surpoids, ce qui contribue à plus de stress. En plus de sa pratique athlétique, il s'est tourné vers la consommation de hachisch pour se calmer.
    Visant sans doute désormais le titre d'empereur, il se vassalise à l'empire Byzantin en 1060 peu de temps après avoir obtenu sa couronne pour la première fois et en profite pour proclamer sa famille "le dernier bouclier de l'Empire" alors que celle ci n'a jamais rien fait d'aussi digne. Ingrat, il exhorte à la discorde au sein de l'empire en ciblant les alexandrins auxquels il doit pourtant beaucoup de sa position, à cette fin il épouse même la sœur d'Umaya Yahyide. Parvenu, les Katotikos sont encore loin des autres familles bien établies, son héritage dynastique est d'ailleurs balbutiant et essaie de s'acheter des lettres de noblesse en promouvant le sang. Quelques 5.000 hommes et une escorte encore loin de son potentiel maximum mais qui se dirige déjà pas mal vers de l'infanterie lourde avec un appui d'archer, Alexandros aurait bien voulu se doter d'un ordre sacré mais disons que son impiété l'empêche d'y parvenir. Niveau des finance avec 17 ducats, on est pas trop mal pour une famille qui vient à peine de voler les terres qu'elle dirige. L'autorité de la couronne de Nicée est encore au plus bas pour le moment, mais nul doute qu'un tyran pareil s'empressera bientôt de la monter.
    Calomnie!
    Le royaume de Nicée a toujours assuré sa fidélité à l'empire et la prise de pouvoir de la dynastie Katikos s'est fait dans le seul but de réintégrer la Nicée dans l'empire. Le financement de cette entreprise s'est faite surtout grâce au soutient de ses deux fidèles alliés les royaumes de Samarie et d'Algesiras. L'Egypte n'a assuré aucun soutient militaire et à juste annexé illégalement des parties de la Nicée avant que ma famille accède au trône profitant de la faiblesse de ce royaume qui se serait fait annexer par ses voisins si un nouveau roi fort n'avait pas pris le pouvoir et avait rejoint l'empire. De plus le chroniqueur ci présent choisi sciemment de ne mentionner que les financements Egyptiens sans ceux de ses voisins du caucase sous-entendant que la Nicée est soumise aux vils Alexandrites. Il ne mentionne qu'une alliance prétendue et non officielle là où la Nicée en compte deux officielle parmi les ennemis affichés de l'Egypte ! Alors qu'en grande partie ce financement égyptien provient d'une dot qui n'est dont pas sans contrepartie. Et si la Nicée a accepté un financement ce n'a jamais été au détriment de ses idéaux pour la défense d'un empereur fort.
    Le royaume de Nicée a toujours affirmé sa fidélité à l’empereur et admire le travail fait par la dynastie Melissenos dans son travail de restauration de l'empire , il a toujours affirmé que l’empereur devrait contrôler de lui même la Grèce afin d'être plus puissant, il a de plus toujours affirmé que s'il était acceptable que la Dynastie Julio-Claudienne garde l'Egypte et une partie du proche orient moyennant sa conversion religieuse, sa position de force dans l'Empire était inacceptable. La Nicée n'a de plus jamais négocié sa protection contre la révocation de titre prouvant ainsi sa bonne foi à l'Empereur. Si la Nicée à fait des compromis cela na jamais été au détriment de sa loyauté à l'Empereur et de soin désir de combattre l’influence du royaume d'Egypte qui gangrène l'empire.
    Dernière modification par Eleris, 05-12-2021, 11h39.

    Laisser un commentaire:


  • Foeurdr
    a répondu


    En Serbie (Tarlion) Grubana poursuit son sage règne, on finit même par la surnommer Grubana l'éclairée. Avançant dans l'âge elle se laisse malheureusement influencer par des oiseaux de mauvais augures venant d'Egypte et de Nicée qui l'incite à attaquer la Bulgarie ce qu'elle finit par faire en 1046. Après plusieurs années de conflit, elle parvient à soumettre toute la Bulgarie en 1051 mais elle est fatiguée et infirme son état de santé ce dégrade et elle décède en 1053 à l'âge de 85 ans laissant tout un pays en deuil. La Serbie se fracture, le titre principale revient à Nikola Sarko, tandis que les titres de Sicile et de Bulgarie prennent leur indépendance sous la branche cadette des Sarko-Vranje, les deux couronnes sont tout d'abord séparées avec Branimira en Bulgarie et son fils Vuk en Sicile. Hélas, Branimira décède en 1057 à cause de son obésité morbide et les deux couronnes sont réunis à nouveau sous Vuk. Mais coup de théâtre Antiochos Hercegovic, ancien pupille de Grubana et se revendiquant un peu de son héritage, exige les terres de Sicile, justifiant que Vuk a déjà deux couronnes ce qui est beaucoup pour un si mauvais intendant, Antiochos obtient gain de cause rapidement en 1058. Mais revenons en Serbie, là bas Nikola Sarko a bien du mal à se faire respecter de ses vassaux. Il faut dire qu'il confond l'autorité et la tyrannie provoquant notamment la colère des bosniaques des maisons cadettes Hercegovic qui se soulèvent régulièrement. Dans le cadre de ses troubles interne il est même aidé par Antiochos qui vient l'aider mater les rebelles de Calabre et s'occuper de la gestion de la province, après tout quelque part c'est une histoire de famille. Si Nikola doit accepter malgré lui cette aide, il en garde une certaine rancœur envers la dynastie Hercegovic, il se débarrasse de ceux de Sicile en les livrant à leur sort, révoque plusieurs de leurs titres en Serbie et en exécute même deux pour faire bonne mesure.
    En raison de l'éclatement de l'ancien royaume de Grubana et l'importance grandissante de maison cadette, Nikola souhaite que tous se souviennent de la primauté de la maison principale Sarko, de son noble lignage d'une grande pureté ! Cet auguste personnage commande régulièrement des épopées familiales d'excellentes qualités, si on omet que son arbre dynastique fait parfois revenir la même parfois à 4 endroits différents. En tout cas il n'hésite pas en parler à chaque festin, d'ailleurs c'est au détour d'une table qu'il s'est lié d'amitié avec Antiochos, les deux étant de grands diplomates.
    Pour la Serbie on voit la difficulté engendrée par la succession, l'image de Nikola peine à motiver la population à rejoindre et les troupes affluent un peu moins sous les drapeaux avec 12 000 hommes et ce malgré une légère augmentation de 500 engagés supplémentaires au sein de la CdC. C'est surtout les finances qui ont pris un coup dur avec seulement 14 ducats par mois une perte globale aussi bien des terres en propres que provenant des vassaux, elles devraient remonter un peu avec un meilleur contrôle des provinces dans les années à venir mais on est loin de l'ère des 50 glorieuses années sous Grubana.


    Parlons peu, parlons bien, en Sicile la région a connu de grands bouleversements c'est dernières années grâce à l'éveil d'Antiochos. Au début celui ci se reposait trop sur ses lauriers et la tutelle serbe mais à la mort de Grubana en 1053 il est bien forcé de se rendre compte que le nouveau souverain Vuk est un incompétent qui ne doit sa position que par népotisme. Par égard pour les Sarko, Antiochos ne tentera rien les premières années, mais voyant que Vuk a hérité de la Bulgarie et qu'il est incapable de gérer correctement les affaires de deux pays à la fois, il réalise qu'il était temps pour les bosniaques de s'autodéterminer sur cette Sicile où ils sont majoritaire. Ainsi Antiochos met fin au quinquennat de Vuk et c'est le début de la Sicile Bosniaque. Il reste deux-trois affaires à régler, lors de la succession de Grubana quelques territoires de Calabre et de Sicile, bien qu'administré par des Hercegovic, sont restés sous contrôle du royaume de Serbie. Constatant que Nikola Sarko peine à faire respecter son autorité dans ces territoires outre-mer, Antiochos en profite pour se proposer spontanément d'en assurer le contrôle.dès 1070, seule Malte reste à ce jour sous pouvoir serbe. En tout cas on peut constater que la gestion est efficace l'armée à plus que doublé de taille pour atteindre 5 500 et devrait continuer de prendre de l'importance, sans compter sur la création potentiel d'un ordre saint dans les années à venir si tout va bien. Niveau finance on est arrivé à près de 20 ducats par mois ce qui représente une croissance de 150% par rapport à quand Antiochos est arrivé au pouvoir ! Seul soucis pour l'héritage, comme au temps de Vlatko son père, il n'a pour le moment que des filles.


    Dans le royaume de Nicée, l'obscure famille Katotikos (Eleris) va devenir un acteur important de la région. A l'origine les Katotikos viennent du peuple, élevés au rang de comte à la suite d'une rébellion paysanne ils s'installe dans les montagnes du coté d'Hadrianopolis. Insatiables, ils forment rapidement une faction pour prendre le duché de Boukellarion. Mais le plus ambitieux de tous c'est sans doute le jeune chef de famille Alexandros, un arriviste sans vergogne qui ne parle que de prendre le trône de Nicée depuis qu'il a atteint la majorité. Il se révèle rapidement être un tyran, meurtrier de surcroit n'hésitant pas à commettre les pires actes de parricide en tuant ses propres fils pour favoriser la succession de son favori Théodotos qui sans surprise était un homme sans cœur, fourbe et ambitieux, en somme le portrait craché des actions de son père, heureusement il est tué lors d'une bataille en 1067 avant d'hériter. Mais revenons à l'ascension d'Alexandros sur le trône de Nicée, d'emblée, il révoque les titres de ses vassaux pour accroitre son pouvoir puis il porte rapidement son regard sur le titre de roi de Nicée. Plutôt bon diplomate il reçoit un large soutien financier de la part de l'Egypte, voir un soutien militaire indirect dans ses guerres. Il commence par se rapprocher de la ville de Nicée vers 1050 puis il manigance pour justifier sa revendication sur le trône et forme sa faction. En 1059 il déclenche une guerre civile dont il sort victorieux et lui permet de prendre la couronne mais son succès est de courte durée, dès 1062 il est déposé par une faction. Mais Alexandros n'en a pas fini, il est suspecté avoir organisé l'assassinat du nouveau roi de Nicée en 1063, puis il rassemble à nouveau ses forces pour déclencher une seconde guerre civile pour reprendre le pouvoir ce qu'il fait avec succès en 1065. Cette fois il en profite pour retirer toutes les terres du duché d'Opsikion aux Melissenos et il établit sa capitale à Nicée. Alors quand même toute ces actions ont un coût sur le stress d'Alexandros, d'autant que sa gourmandise l'oblige à faire des régimes pour ne pas finir en surpoids, ce qui contribue à plus de stress. En plus de sa pratique athlétique, il s'est tourné vers la consommation de hachisch pour se calmer.
    Visant sans doute désormais le titre d'empereur, il se vassalise à l'empire Byzantin en 1060 peu de temps après avoir obtenu sa couronne pour la première fois et en profite pour proclamer sa famille "le dernier bouclier de l'Empire" alors que celle ci n'a jamais rien fait d'aussi digne. Ingrat, il exhorte à la discorde au sein de l'empire en ciblant les alexandrins auxquels il doit pourtant beaucoup de sa position, à cette fin il épouse même la sœur d'Umaya Yahyide. Parvenu, les Katotikos sont encore loin des autres familles bien établies, son héritage dynastique est d'ailleurs balbutiant et essaie de s'acheter des lettres de noblesse en promouvant le sang. Quelques 5.000 hommes et une escorte encore loin de son potentiel maximum mais qui se dirige déjà pas mal vers de l'infanterie lourde avec un appui d'archer, Alexandros aurait bien voulu se doter d'un ordre sacré mais disons que son impiété l'empêche d'y parvenir. Niveau des finance avec 17 ducats, on est pas trop mal pour une famille qui vient à peine de voler les terres qu'elle dirige. L'autorité de la couronne de Nicée est encore au plus bas pour le moment, mais nul doute qu'un tyran pareil s'empressera bientôt de la monter.


    Le Royaume d'Algesiras des Yahyides (Barveiro) a essayé tant bien que mal de réduire l'influence des Julio-Claudiens sans succès. En 1040 Yahya remporte une victoire éclaire lors de la guerre sainte pour le royaume de mésopotamie possédé alors pas une branche cadette abbasside ce qui lui permet d'obtenir le très riche duché de Bagdad et sa fameuse maison de la sagesse. Il se prépare aussi à un conflit de grande envergure contre le roi et pape alexandrin d'Egypte Titus. Il est conscient que son adversaire se prépare à faire de même. Yahya rassemble donc une grande coalition samaritaine pour arracher le royaume de Syrie à l'emprise Titus et déclenche son plan en 1050, la guerre mémorable par son envergure marque les esprits.
    La grande guerre sainte Byzanto-Yahyide pour le royaume de Syrie a duré de 1050 à 1053. Le royaume Yahyide peut compter principalement sur son fidèle allié de Samaria Giorgi Attali. Si la guerre est déclaré à l'empereur byzantin, le réel adversaire est bien entendu Titus Julio-Claudien. Les armées samaritaines se divisent et font tomber les comtés d'Edesse, de Samosate, une troisième armée entreprend le siège d'Alep qui tient bon. Aussitôt avertit du danger, le pape Julio-Claudien commence rapidement à lever ses forces à Acre confiant le commandement au Stratigos Touma de Thrace. Cette armée est ensuite rejointe à Tripoli par 2.500 vagabonds engagés pour la modique somme de 1.300 pièces dont le chef prendra le commandement. L'armée désormais de 19.000 hommes, avance sans s'arrêter vers le nord où elle fond sur les samaritains, les premiers parviennent à s'enfuir mais les forces assiégeant Alep sont prises de court et l'armée Yahyide de 7.500 hommes est vaincue décisivement à la bataille d'Halab, les survivants se dispersent. Fort de son succès le général Julio-claudien poursuit sa lancée en attaquant l'armée de Samaria qui s'était rassemblé trop tard pour porter secours. C'est la bataille de la plaine aride d'Halab toujours près d'Alep. Elle oppose les 19.000 soldats Titus à 15.000 hommes de Giorgi, les deux armées engagent le combat à court de vivre. En sous nombre avec un commandant plus habitué à se battre en montagne, les forces de Samaria sont rapidement mises en déroute laissant derrière près de 5.000 contre à peine 1.000 pour les romains.
    En position de force désormais et souhaitant occuper les terres voisines, le pape Titus rejoint formellement la guerre. Grâce à ses nouveaux mangonneaux, la forteresse de Dausar s'effondre comme un chateau de carte devant son armée. C'est aussi à cette période qu'il décide de lever un impôt de guerre exceptionnel lui permettant de continuer à faire des bénéfices malgré la solde de son armée tout en bénéficiant de l'engouement des pratiquants alexandrins qui achètent de nombreuses indulgences pour soutenir l'effort de guerre.

    En 1051, les samaritains qui ont réussit à rallier leurs armées décident de reprendre l'offensive en assiégeant Aintab près d'Edesse, mais l'armée de Titus à nouveau complète les menace et les samaritains battent en retraite. Une partie des forces ne parvient pas à reculer à temps et doit accepter le combat, c'est la bataille des plaines d'Al-Bira près d'Edesse. Le commandant Yahyide essaie de tenir tant bien que mal avec 10.000 hommes jusqu'à l'arrivée des renforts, espérant pas moins de 13.500 alliés venant des provinces voisines. Mal positionnés, les renforts arrivent en désordre et malgré leur nombre théoriquement supérieur, c'est bien l'ost Julio-claudiens qui est en supériorité numérique tout le long de la bataille. La bataille s'achève avec moins de 2 000 morts pour les alexandrins, contre 10.000 pour ses adversaires. Voyant la débâcle de leurs alliés une force de 5 000 hommes supplémentaires provenant de provinces plus éloignées rebroussa même chemin.
    Titus libère les comtés d'Edesse et Samosate, et entreprend le siège d'Haran qui tombe au début de l'année 1052.

    1052 est aussi le point culminant de la guerre. Une nouvelle fois les forces Yahyides et de Samaria se rassemble pour livrer bataille, mais ils sont divisés sur la marche à suivre et une partie des troupes commençant à court de vivre. Finalement ce sont les romains qui prennent l'initiative et ils engagent le combat favorablement à la bataille de Tall Mauzan à 19.000 contre 8.000, cependant Titus tremble en réalisant que 29.000 hommes arrivent renfocer son ennemi dans la bataille. Cette fois les samaritains arrivent dans de meilleurs délais. Au total à Tall Mauzan ces 19 000 romains menés par 16 chevaliers qui affrontent 38.500 samaritains et leurs 29 chevaliers qui les commandent. Les troupes s'affrontent est l'issue semble incertain. Malgré leur avantage numérique les samaritains n'ont pas la qualité des romains et subissent une défaite retentissante avec près de 15.000 pertes. Si beaucoup de romains ont brisés les rangs durant la bataille c'est au final moins de 4.000 morts pour leur armée. TItus en profite pour faire tomber Amada qui ne résiste pas longtemps.

    En 1053 Yahya décède. Brisé le royaume de Yahyide signe la paix. L'empereur Byzantin remporte la guerre sans même être intervenu personnellement
    Le jeune Umaya succède à son père à seulement 12 ans dans une situation difficile, son armée est affaiblie, le trésor vide suite à la guerre et les clans n'en font qu'à leur tête, pour les calmer Umaya et contraint de faire preuve de cruauté et il fait exécuter plusieurs de ses prisonniers, des abbassides pour la plupart. Pour ne rien arranger à la situation le pape Titus, dénué de toute honte, attaque cet enfant dans l'incapacité de lui faire faire face et lui dérobe le duché de Palmyre. Pour évite de faire couler le sang Umaya négocie immédiatement la paix. Mais depuis Umaya a bien repris les rênes de son pays, les clans l'écoutent et le respectent, fournissant beaucoup d'or et d'hommes pour ses armées, avec le temps l'autorité de la couronne devrait même passer en absolu. Le pays est à nouveau prospère et il a récupéré depuis 1056 de nombreuses provinces du duché de Bagdad qui appartenait à son frère, malencontreusement décédé dans des circonstances suspectes à 5 ans seulement. La mortalité infantile est si forte. Pour asseoir davantage son contrôle sur la région il créé le titre de royaume de Mésopotamie. Il renoue l'alliance traditionnelle avec la Samaria et trouvé un nouvel allié chez les Katotikos. Erudit avant tout Umaya a fait progressé les Sami vers le Moyen-âge classique et dispose maintenant des fiers ghulams, ce qui devrait lui permettre de compléter son escorte encore très largement incomplète mais qui s'oriente vers un mélange d'infanterie et de cavalerie aussi lourde l'une que l'autre. Pouvant lever une force de 13.000 grâce à des gardes étrangers embauchés lors d'un pélerinage, plus 6.000 des guerriers de Hèrem principalement doté de chameaux, les Yahyides restent donc une force militaire considérable. A 37 ducats par mois on vit confortablement à la cour, si bien que les projets de construction s'enchaine, Umaya est cependant un avant tout citadin et il investit peu dans les campagnes qu'il possède.


    En Samaria ( @Redbear ), Giorgi, tout juste agé de 8 ans, succède à son grand père Konstantine le fou en 1041. Tout juste majeur en 1050, il est entrainé dans la guerre contre l'empire byzantin par Yahya, le vieux de Mossoul. Le conflit est désastreux malgré son investissement en hommes important, toutefois, il ne semble pas avoir été particulièrement affecté par les conséquences de celui ci. Il parvient même à épouser la petite fille du premier empereur Melissenos, également petite fille par sa mère de Yahya, c'est dire le lignage de haut rang de la belle, une génie dont il aura 4 enfants tous remaquables par leur intelligence. Cependant par soucis de succession, il a déshérité son second fils et il pourrait peut être faire de même pour le troisième. Il n'y a pas grand chose à dire de son règne, qui même si il a connu quelques petites révoltes, et plutôt calme dans l'ensemble, étonnant quand on sait le trait de caractère ambitieux de Giorgi. Pour la politique extérieur il semble s'aligner sur la diplomatie du Yahyides en s'alliant lui aussi au Katotikos. C'est un homme très pieux qui entreprend des pélerinages dont il est revenu mystique et dernièrement il a même adopté le célibat. Maître philosophe, c'est un érudit accompli qui s'intéresse dernièrement à la médecine. Ainsi son développement culturel n'est pas en reste de celui des grecs et il a lui aussi atteint le Moyen-âge classique. Cependant, négligeant le développement des remparts, il est dans l'incapacité de développer un bon nombre de ses terres. Ne vous y trompez pas, la Samaria est un pays prospère et son intendant rapporte tous les mois près de 40 ducats de ses domaines et des vassaux. Les vassaux sont d'ailleurs la grande force de Samaria, un pays basé sur la loi et où les sujets doivent contribuer au pouvoir royal, c'est ainsi deux tiers du revenu et de l'armée qui en proviennent. Niveau armée, on a une escorte complète et à la possibilité de lever 14.000 hommes. L'ordre des zélés de Poti est aussi redoutable avec près de 5.500 et formidable élite de cataphractes ! Un pays solide avec bien peu de rivaux en somme.


    Les Julio-Claudiens ( R2sus ) n'ont jamais été aussi puissant que sous le grand Titus. Le souverain d'Egypte semble particulièrement investi dans l'aggrandissement de l'empire byzantin, par la guerre ou la diplomatie. Dans les années 1040, il repère rapidement l'obscure famille des Katotikos au sein du royaume de Nicée, il en favorise l'ascension la finançant régulièrement dès que celle ci le demande. Quand les Katotikos tente d'augmenter leur puissance dans des guerres internes à Nicée il intervient pour l'aider tout en étendant sa propre influence c'est ainsi qu'il déclare la guerre à Nicée en 1041 prétextant la conquête légitime de la Carie. Durant ces années là il expérimente également une nouvelle arme de siège, les mangonneaux et réforme profondément son escorte, la dotant des meilleurs cavaliers lourds que son argent puisse lui fournir en préparation pour attaquer la Samaria ou le Yahyide. Cependant il découvre avec surprise que ses adversaires ont pris les devants, au cours de cette guerre, il se distingue en écrasant tour à tour toutes les armées que ses ennemis alignent et en remportant le conflit seul sans jamais avoir besoin du soutien de l'empereur, de toute façon absent, son ordre saint, considérant la guerre déclaré envers les orthodoxes refusera de participer. A l'issue de cette guerre, il en profite même pour conquérir le duché de Palmyre augmentant encore une fois son importance. La suite de son règne est calme. Grâce à son choix judicieux de favoriser la prise de pouvoir par les Katotikos, la Nicée rejoint l'empire en 1060. Mais ce dernier se montre immédiatement d'une ingratitude sidérante, appelant à éliminer les alexandrins de toutes les terres de l'empire ! Mais Titus sait bien qu'il s'agit là d'un chien qui aboie plus qu'il ne mord, la dynastie Katotikos est encore bien insignifiante. On dit que sous le règne de Titus, même le Nil charrie de l'or tant les provinces d'Egypte sont riches, que les toits de Jérusalem sont entièrement recouvert d'or et de pierres précieuses, que plusieurs fois par an, les riches de ce royaume viennent acheter des indulgences à leur pape qui consigne religieusement chaque pièce dans un registre. La fortune de Titus pourrait bien faire pâlir de jalousie Midas et faire passer Crésus pour un mendiant. Avec ses 92 ducats par mois, le grand pape a amassé un trésor de 12 733 pièces et son pays est si développé qu'il n'a même pas de projet de construction pour les dépenser. Concernant sa formidable armée, grâce à son statut de maréchal il peut déployer 22.500 hommes, son escorte est de loin la plus forte qu'on ait vu, doté de puissant pseudo-cataphractes et d'une infanterie lourde redoutable les gardes la maison et 160 mangonneaux pour faire tomber n'importe quelle forteresse. Il semble que le pape ne puisse par contre plus utiliser à sa guise les 6.000 hommes de son ordre saint, ceux ci étant souvent engagés par ses ouailles. Mais qui sait pour encore combien de temps Titus sera encore en vie. A 66 ans, sa santé est mauvaise, ses deux fils sont déjà morts et il n'a que 3 petits enfants en droit d'hériter. Il leur laissera cependant en héritage la culture la plus avancée, la seule qui a découverte toutes les innovations du haut Moyen-âge avant d'entrer dans le Moyen-âge Classique.
    Dernière modification par Foeurdr, 05-12-2021, 04h14.

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Schématisation du gameplay de R2sus XD

    Laisser un commentaire:


  • Tarlion
    a répondu
    Foeurdr Vous osez parler du Bénévent alors que vous avez usurpé le trône de Sicile à son légitime dirigeant! Vous osez parler De la grande Serbie et de Grubana l'éclairée alors que vous profitez d'une manifestation de la racaille des membres de votre dynastie afin d'attaquer la Serbie pour des territoires dans sa frontière naturelle!
    Laissez moi vous dire monsieur que maintenant que la racaille bosniaque a été pacifiée dans notre noble pays, nous risquons d'envoyer les forces de sécurités CDC à l'internationale afin d'apporté paix et prospérité de l'autre côté de la mer si vous continuez votre dissidence.
    Le temps des tempêtes approche…

    Laisser un commentaire:


  • Foeurdr
    a répondu
    Envoyé par Tarlion Voir le message

    La faute aux bosniaques à se rebeller tout le temps, ils m'empêchent de tryhard la beauté véritable!
    Je démens toute accusation en bloc ! J'ai d'ailleurs mis mes plus grands généalogistes et experts en déchiffrage pictural sur le coup pour remonter à l'origine du problème. Ils sont remontés jusqu'au vénérable Bartolomeus fondateur de la dynastie et on s'aperçoit que déjà il y avait un problème remontant à sa 1ère épouse, une serbe auquel il manquait les plus nobles traits de la maison Sarko. Bon malgré ce loupé les deux générations suivantes exposeront toute la beauté naturelle qu'on attend d'un Sarko digne de ce nom. Puis rebolote, ça contrôle pas correctement sa famille, les enfants sont laissés libre de leur choix, commencent à développer des goûts déviants et paf ! ça fricote avec une concubine sortie dont ne sait où ! Le voilà votre problème mon brave monsieur, on s'amourache d'une femme du peuple et ça donne naissance à Grubana qui a certes été la plus grande des souveraines de Serbie, mais bon, ça se voyait que c'était pas un canon de beauté !
    Et maintenant, hein ! ça va pas aller en s'améliorant mon brave Nikola Sarko. Ah ça, non ! Parce que c'est pas en épousant la première lombarde ou germaine venue qu'on va retrouver les nobles traits de la Serbie de jadis. Avant les dirigeants se mariaient entre frère et sœur comme il se doit alors qu'aujourd'hui, bon ben tout fout le camp, c'est évident, on épouse des inconnues, des étrangères au pédigrée contestable. Regardez votre ancienne épouse, Monsieur Sarko, une certaine Desiderata Radelchisidi, c'est quoi ce nom d'abord ! Desiderata ? N'importe quoi, bientôt on verra des Désirée, je vous jure ! en plus elle vient de l'exécrable famille du Bénévent. Ah ! C'était bien la peine de se donner tout ce mal pour leur piquer les terres à la guerre si c'est pour les faire revenir officiellement dans la famille régnante. J'vous jure aucun égard pour les valeurs des anciens. Mais ça se permet de rejeter la faute à ses vieux amis Hercegovic et de critiquer leurs soulèvements. Non franchement, c'est honteux !

    Laisser un commentaire:


  • Tarlion
    a répondu
    Envoyé par Barveiro Voir le message
    Bonjour Tarlion est à l'honneur, avec sa dynastie qui a bien changé perdant de fait son charme originel
    La faute aux bosniaques à se rebeller tout le temps, ils m'empêchent de tryhard la beauté véritable!

    Laisser un commentaire:


  • Tarlion
    a répondu
    l
    Dernière modification par Tarlion, 01-12-2021, 20h39.

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Bonjour Tarlion est à l'honneur, avec sa dynastie qui a bien changé perdant de fait son charme originel

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Un bonus, pour illustrer la stratégie de (lb) Pyrus, une si belle occasion manquée

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    Bonjour, je rends hommage à Varstein, qui même avec un petit royaume a fait trembler les plus grandes dynasties face au cachot

    Laisser un commentaire:


  • Barveiro
    a répondu
    @Foeurdr Yes, des lignes, des lignes, de si jolies L I G N E S

    Laisser un commentaire:

Chargement...
X