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  • (AAR) L'ennuie africain éthiopien

    Chapitre préliminaire :

    Alors qu'une révolte juive se déclarait au nord du pays du grand Empire Copte d'Ethiopie, le grand dirigeant, nouvellement arrivé au pouvoir, Zara Yakob, de la magnifique dynastie des Solomid, décida de régler le problème à sa source.

    Après avoir rassemblé ses armées, et celles de Da'mat et Hadiya, les révoltés furent massacrés, selon l'art de tout pays chrétien. Notre grandissime dirigeant décida alors, que les révoltés, et toutes personnes se trouvant dans les régions de leurs infâmes réclamations, se devaient de se convertir à notre grande foi, ou se verraient exécutés.



    Suite à ces mesures, la noblesse éthiopienne pris les armes contre notre dirigeant, dans le but d'obtenir plus de pouvoir. Arrivant à un certain accord, notre grandiose Négusa Négast, décida de leur concéder plus de pouvoirs en échange de la concession de certains de leurs territoires.

    Chapitre 1 :



    Suite à ces nombreuses révoltes, notre grand pays subissait des famines depuis plusieurs années, l'endettant auprès de ses voisins afin de pouvoir acheter de la nourriture, et notre dirigeant pris la décision de repousser les tribus de Kaffa hors de l'Ethiopie, afin de s'approprier les mines d'or de leurs territoires sacrés. Après d’âpres combats contre ces monstres, la mine d'or de Kaffa tomba entre nos mains, permettant au pays un redressement drastique de son économie, bien que les précédents emprunts, aient menés à une inflation sur notre monnaie, inflation que notre dirigeant devrait régler au plus vite.

    Après ces expansions, il apparut vite, que des émissaires devaient être envoyés auprès de la nouvelle théocratie hérétique formée, Yemen, afin de pouvoir anéantir notre voisin commun l'Adal, ayant de grandes prétentions à notre encontre, et de nombreux alliés du côté de la Péninsule Arabique. Après une âpre guerre, l'Adal tomba enfin, et le détroit tomba entre nos mains, afin de garantir l'accès à la Mer Rouge, et surtout d'y imposer un droit de péage.

    Après cela, notre dirigeant, approchant d'un certain âge pieu, décida de mener l'unification de la foie copte en Afrique, au même moment, où des nouvelles d'une autre nation de notre belle religion nous parvenait de l'Asie, un marchand arménien ayant offert de grandioses présents à notre Chef. Cette unification commencée, des nouvelles d'un pays de foi chrétienne, qui malgré notre communauté de foi, refusait toute relation amicale avec nous, s'engagait dans une guerre contre le grand Sultanat occupant l'Egypte.

    Dernière modification par CodeRuby, 10-10-2019, 13h28.

  • #2
    Chapitre 2 :


    Après une session de l'ennui, se fut une session de l'ennui, de blob et de surexpansion qui s'engagea pour notre grand royaume.
    Prenant la décision d'unifier notre groupe culturel et religieux, la Nubie fut envahit, afin de pouvoir protéger nos coreligionnaires de Makourie. Se faisant, arrivant au nord de la région, et à la frontière égyptienne, quelle ne fut pas la surprise de nos armées, d'être frontalière d'un pays catholique, et non de ces infâmes Mamelouk.



    La population nous apprit ainsi, que le Royaume Catholique de Jérusalem, envahit le dit sultanat, aidé de son allié, lointain pays inconnu du nord, le Karamanie. Durant le même laps de temps, un lointain pays de l'ouest les attaqua aussi, résidant dans la région de Tunis, nous apprîmes t-on.




    Notre grandiose Roi décida alors de se diriger vers la passe de Darfour, région montagneuse débouchant sur les grandes plaines des barbares de l'ouest. C'est en se faisant, que nous rencontrâmes ce dit royaume de Tunis, avec lequel nous engageâmes des relations, bien que sans grandes débouchés, du fait de notre différence culturel. En effet, ce royaume se trouvait être très développé, mais il n'en restait pas moins, qu'ils étaient convertis à une infâme religion, et devait être considéré comme tel, des chiens d'infidèles.


    Peu de temps après cela, notre grandiose Roi décéda, et son héritier, bien que moyennement compétent, monta sur le trône, seul et unique héritier de la dynastie. Son fils fut déclaré le prochain héritier. Il ne reste plus qu'à espérer que Dieu le guidera comme il se doit, et qu'il saura suivre les conseils des Hommes.
    Fier de son nouveau pouvoir, il décida d'engager l'Ethiopie dans la plus féroce guerre de son histoire, en envahissant l'Ajuran, dont il fit occuper plus de la moitié du territoire, au nom de notre grand Royaume. Les populations se révoltèrent alors, et notre jeune Roi, vindicatif, et exemplaire, décida de les exterminer, afin d'en faire un exemple.
    Aussi tôt dit, aussi tôt fait, et les populations sunnites d'Ajuran furent passer au fil de l'épée.

    Dernière modification par CodeRuby, 12-10-2019, 10h31.

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    • #3
      Chapitre 3 :

      En ce beau début de XVIème siècle, de nombreux événements prirent place en Ethiopie.
      Pour vous narrer ces récits, laisser moi prendre le temps de vénérer notre nouveau et jeune dirigeant, menant le royaume d’une main de maître, depuis son acquisition au trône, à un âge trop jeune, malheureusement.

      Tout d’abord, fier de sa victoire contre le terrible ennemi Ajuran, qu’il avait partagé, notre dirigeant avait fait massacrer une grande partie de la population rebelle. Conséquence de ces actes, les populations des territoires encore libres se révoltèrent contre l’Ajuran, de peur de l’occupation Éthiopienne, et tuèrent la famille royale. Néanmoins, cette révolte n’arrêta en rien notre Roi, qui en profita pour occuper tout le reste de l’Ajuran révolté, et unifié la pointe d’Afrique.
      Après ces lourds événements, des nouvelles nous vinrent de la découverte d’un nouveau pays catholique, au grand ouest, avec lequel nous espérons pouvoir engagés de nouvelles relations futures !


      Dans le même temps, d’autres nouvelles bien moins agréables nous vinrent aussi de l’ouest, apprenant l'infamie Marocaine.


      Notre grand dirigeant, apprenant l'infamie du grand sultanat de Tunis, qui, fier de son approche, soutint l'infamie des actes marocains, et décida même d'en reporter la faute vers le richissime Mali, fier pays d'Afrique, que notre dirigeant considérait sous notre férule, fut terriblement choqué.





      Ainsi, fier d’être le garant de l’unité de l’Afrique, notre grand Roi rassembla ses armées, qui rejoignirent celle du Mali maltraité par ces hommes à la peau claire, et nous marchâmes sur Tunis. Après quelques mois, un diplomate tunisien vint à nos portes, et malgré nos demandes disproportionnées, afin qu’il refuse la guerre, et que nous puissions imposer une paix africaine, Tunis se rendit sous nos conditions. C’est ainsi, que d’une guerre afin d’établir la paix, notre royaume obtint une part du Yao et tout le Darfour, l’équivalent de 8 hommes en bonne santé, en pesant d’or, et des réparations suites aux dommages causés par la guerre pour plusieurs années. Mais ce que notre royaume obtint surtout lors de cette grande guerre, fut gloire et renommé, et un ennemi inconditionnel.

      Mais la conséquence principal de cette guerre fut la mort d'un grand royaume, ne laissant place qu'à son petit et faible frère, qui s'était repue de sa carcasse, telle une charogne.


      Dernière modification par CodeRuby, 19-10-2019, 08h54.

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