Le journal des Stratèges n°28 : septembre 2021

Bienvenue dans la 28e édition du Diarium Strategorum, le Journal des Stratèges consacré essentiellement aux jeux vidéos de stratégie, de tactique et d'histoire, publié en partenariat avec le site internet Le Monde du Captain Sparke, et consacré au mois de septembre 2021. L'occasion pour nous de revenir sur l'actualité du site, de nos plateformes vidéos et du jeu vidéo dans son ensemble. On retrouvera d'abord l'Actu Mundus, puis l'Actu JV du Captain. Bonne lecture !





Total War : Warhammer III


Victoria 3
Crusader Kings 3
HoI4
Stellaris
EU4


I. Gestion

Timberborn
Builders of Egypt
Chinese City Constructor
Project Wunderwaffe
Pharaoh : A New Era
El Dorado : The Golden City Builder
Sumerians
Nebuchadnezzar
II. Stratégie et tactique

Fields of History : The Great War
Field of Glory : Medieval Swords
III. En vrac

Chernobyl liquidators Simulator




I. Le monde véritable (business et défense)

Les plateformes de distribution d’applications et de jeux vidéos, pour maintenir leur modèle économique, ont un système de commission sur toutes les ventes et achats. En 2020, Epic Games a tenté de contourner la commission de 30% demandée par Apple sur son App Store en proposant un système d’achat in-game, entrainant le retrait du soft sur cette plateforme. Depuis, les batailles judiciaires s’enchainent. Dernièrement, tous les chefs d’accusation, notamment sur les questions de monopole, ont été levés pour Apple, Epic Games a été contraint de payer les 30% de commissions datant de l’époque où l’application marchait encore pour les utilisateurs qui l’avaient téléchargé. Le seul changement est désormais qu’Apple va être contraint d’ouvrir son système de paiement pour permettre des achats in-game non visés par cette commission. Apple a ainsi prévu de faire appel de cette décision.



Plusieurs chaines indiennes indiquent que des avions pakistanais ont survolé une zone d’Afghanistan pour soutenir les Talibans. Les vidéos d’illustration sont pourtant erronées, avec des vidéos tournées dans un autre pays, et même l’utilisation de vidéos du jeu vidéo Arma 3 par Hasti TV. Ce n’est pas la première fois que des vidéos d’Arma sont utilisées pour soi-disant illustrer des conflits, dans une bataille de communication et d’image.



II. Du merveilleux à l’animal (Action, Aventure, Hack’n’slash & plateformes)

Kena : Bridge of Spirits d’Ember Labs s’impose comme une merveille visuelle dans un genre très convenu. Le studio est en effet spécialisé dans l’animation, et cela se ressent dans le détail des personnages et des environnements, au sein de décors enchanteurs, au rythme d’une histoire intéressante. Pour le reste, c’est du convenu : phases de plateforme, énigmes qui requièrent différentes capacités qu’on obtient au fur et à mesure de l’aventure, et phases de combat où il faudra enchainer frappes et esquives, notamment face aux redoutables boss.



Lost in Random propose un étrange monde à la Tim Burton où des personnages aussi creepy que ceux d’un Psychonauts règlent leur destinée à coup d’immenses dés, jusqu’au jour où l’héroïne que vous contrôlerez en aura assez. Elle se retrouvera alors à arpenter le monde, à combattre des adversaires en temps réel mais aussi grâce à des cartes qui seront tirées régulièrement grâce à votre compagnon dé pour tirer différents bonus et venir à bout des longues joutes. Sa quête pour retrouver sa sœur est un prétexte pour découvrir un monde perturbant mais très bien écrit, avec une excellente direction artistique.



Le monde du hack’n’slash, ces jeux de rôle en vue de dessus où votre joueur lutte contre des hordes de monstres avec des clics frénétiques de souris, des compétences et de l’équipement à améliorer, voit le retour d’une légende. La série Diablo de Blizzard Entertainment a en effet été pionnière du genre avec le premier Diablo (1997) et surtout sa suite Diablo II (2000). Si Diablo III (2012) n’a pas su convaincre, face à des séries qui tâchent de renouveler le genre comme Path of Exile (2013) et Grim Dawn (2016), ce n’est pas le cas de Diablo II : Resurrected. Si le gameplay et les sensations restent malheureusement très similaires au soft de 2000, le travail visuel qui a été fait rend le remake de Warcraft III encore davantage ridicule.



Les Anglais d’Odd Bug Studios ont lancé le jeu anthropomorphique Tails of Iron, où vous dirigez en vue de côté un guerrier rat qui combattra différentes bêtes et insectes avec ses armes, enchainant esquives et parades pour venir à bout de ces redoutables adversaires. Pas évident, le jeu sort aussi son épingle du jeu grâce à sa direction artistique, avec le look général des adversaires, les environnements sur plusieurs plans, et un sound design mêlant voix de narrateur aux pépiements des habitants de ce monde.



Fist : Forged in Shadow des Chinois de TiGames nous propose un jeu d’action en vue de côté qui emprunte au genre dit du metroidvania, c’est-à-dire un jeu en vue de côté inspiré de Metroid et de Castlevania où le joueur débloque au fur et à mesure de nouveaux pouvoirs pour se déplacer ou combattre qui permettent de débloquer de nouveaux endroits. Cette fois, ce sera dans un monde futuriste peuplé d’animaux aux commandes d’un lapin qui étoffera son arsenal au fur et à mesure de l’aventure pour vaincre les nombreux adversaires. Si le soft ne s’impose pas spécifiquement par ses graphismes, la direction artistique de la grande ville qu’on arpente reste sympathique, avec un système de combat qui s’étoffe au bout de plusieurs heures seulement.



Unbound : World Aparts des Roumains d’Alien Pixel Studio fait penser dans son traitement graphique des niveaux en deux dimensions avec ses couleurs chatoyantes et son univers enchanteur au beau Ori and the Blind Forest (2015). On y dirige cette fois un petit mage, qui devra avec ses sauts et ses dashs changer de dimensions à la volée pour progresser. Pour ce faire, il peut ainsi ouvrir des portails menant sur une autre réalité pour faire apparaitre d’anciennes plateformes, changer la gravité, voire parfois rameuter des ennemis présents uniquement dans une des réalités.



Paru initialement en 2016, No Man’s Sky de Hello Games ne remplissait pas vraiment les objectifs fixés en amont de sa sortie, frustrant une grande partie des joueurs. Depuis, ce soft qui permet d’explorer des planètes, de collecter des ressources, d’alimenter un vaisseau et de se balader pour rejoindre le centre de la galaxie a connu d’importantes mises à jour gratuites, qui ont même fini par redorer le blason du jeu, avec du multijoueur, des constructions, des véhicules et j’en passe. La toute dernière, Frontiers, rajoute des colonies à gérer. Le soft continue ainsi de grossir.



III. Juste survivre (city-builder & gestion)

Le jeu de gestion dans son ensemble, en incluant à la fois le city-builder et la gestion proprement dite, a été marqué notamment par Dwarf Fortress, qui raccroche la gestion et le city-builder à l’échelle individuelle. Depuis, si RimWorld (2016) lorgne du côté de Dwarf Fortress, il y a des city-builder à la sauce survival à la Banished (2014) mais aussi des jeux de gestion basée sur la construction de salles et la priorisation d’activités à la Prison Architect (2015). Ce soft en a inspiré de nombreux autres, de manière graphique comme RimWorld ou dans ses mécaniques. Honey, I Joined A Cult de Sole Survivor Games LTD fait partie de cette deuxième catégorie. Vous allez mettre en place une secte avec ses règles, en être le prophète, et mettre en place différentes salles pour gérer les besoins de votre secte grâce aux revenus apportés par la foi, tout en évitant d’être repéré par les autorités. On retrouve les caractéristiques individuelles, les besoins des individus, les recherches, l’organisation des salles, des missions à donner à vos fidèles pour propager votre foi et j’en passe.



En 2014, Banished donne une touche survival au city-builder : vos habitants vivent et meurent, construisent vos maisons, travaillent pour récolter des ressources et ont froid en hiver, et il faut faire attention à l’équilibre entre les naissances, la formation et la vieillesse. Le city-builder s’est aujourd’hui bien développé dans cette branche, et Timberborn de Mechanistry en est un de ses descendants. Exit les humains, on dirige désormais des castors qui ont acquis le sens de l’organisation et construisent désormais des bâtiments, notamment de grands barrages pour avoir toute l’eau nécessaire et tout ce qu’il faut pour héberger et nourrir votre population.



Dice Legacy de DestinyBit propose un city-builder où les actions sont réalisées par des dés, qui représentent vos citoyens, qui se fatiguent et finissent au gré des tirages par mourir, se reproduisent, peuvent prendre froid et geler à moins qu’ils ne se réchauffent avec de l’alcool. En fonction du tirage, les dés peuvent être placés dans divers bâtiments ou lieux de ressources pour commencer à les collecter ou à construire diverses choses. Après un certain temps, ils reviennent dans votre main avec un nouveau tirage. Si vous les refaites tirer avant de les placer, vous les épuiserez encore plus vite. Le jeu en lui-même impose de passer les saisons avec cette contrainte. L’hiver sera la saison la plus complexe, et il faudra également parer aux attaques. Il y a également de quoi fusionner des dés pour aller au bout de l’aventure et la recommencer en cas de décès prématuré. Plutôt original.



City State 2 d’Andy Sztark reprend le principe de son ainé de 2018 en mêlant cette fois de biens meilleurs visuels : il s’agit encore d’un city-builder dans la veine d’un SimCity ou d’un Cities : Skylines, dans lequel l’aspect gestion est bien plus prononcé par le biais de lois, de la gestion plus fine de l’économie, de l’immigration, du commerce ou encore de la sécurité, avec un sens de la progression. Une alternative qui peut être intéressante.



Le city-builder Lords & Villeins de Honestly Games est plutôt original, avec sa gestion de familles à qui on attribue terres et rôles par le biais de zones, avec des graphismes qui restent plutôt sommaires.



IV. L’art des boucles temporelles (FPS)

On ne présente plus les Français d’Arkane Studios, qui sont responsables notamment de la série d’assassin dans un monde steampunk Dishonored (2012-2017) et du FPS Prey (2017), rendant hommage aux immersive sims à la System Shock. Après avoir participé au développement de Wolfenstein : Youngblood (2019) avec MachineGames, ils reviennent ainsi avec Deathloop. C’est un FPS sur une grande carte avec quatre districts à écumer, remplis d’ennemis et avec un boss à abattre à chaque fois, avec un personnage qui essaye de comprendre ce qu’il fait là, et faisant face à Julianna qui le traquera chaque jour pour l’empêcher d’arriver à ses fins. C’est une immersive sim qui nécessite de gérer les multiples opportunités qui se présentent pour réaliser les assassinats de différentes façons, avec des opportunités et des secrets qui se présentent en fonction d’une des quatre périodes de la journée dans laquelle vous visitez un des districts. C’est enfin un jeu à boucle temporelle à la Outer Wilds, puisque chaque mort vous renverra au début de l’aventure, mais avec de plus en plus d’informations sur les lieux, sur les boss et sur les opportunités. Le soft garde la multitude de pouvoirs à débloquer de Dishonored, avec le style grimaçant des boss et des minions.



Lemnis Gate est un FPS multijoueur très particulier, dans le sens où les joueurs jouent l’un après l’autre sur la même boucle temporelle. Le premier joueur fait spawner une de ses classes, récupère des points sur le terrain et se déplace jusqu’à la fin du timer de la boucle. La boucle repart au début pour le second joueur en conservant le déplacement du premier, et il va s’agir alors d’essayer de récupérer des points et d’abattre le personnage de l’autre joueur. A chaque fois qu’on rejoue, une autre classe rejoint la partie, et c’est un vrai ballet qui se met en place entre éliminations successives et récupérations de points. Très original.



V. Baston en ligne (MMO & Battle royale)

La société américaine Amazon, une des plus puissantes du monde et appartenant aux fameux GAFAM désignant les leaders américains du numérique, souhaite investir le jeu vidéo depuis 2012 et la création d’Amazon Game Studios. Cette branche s’est d’abord concentrée sur des jeux mobiles, et a tâché de se lancer dans le jeu vidéo sur les grandes plateformes. Après l’échec de Crucible en 2020, New World s’est imposé cette fois dans le monde du jeu de rôle en ligne massivement multijoueur ou MMORPG pour les intimes. Tout comme les Guild Wars, New World préfère l’achat du soft à un abonnement mensuel, et a pour principale caractéristique de s’attacher au PVP avec des guerres mobilisant jusqu’à cent joueurs, avec un système de combat sans ciblage automatique et un net-code permettant d’éviter tout lag abusif. Le système de jeu est ainsi solide, avec différentes armes à maitriser avec lesquelles monter en niveau pour débloquer trois compétences actives et de multiples passifs, un niveau de jeu qui se monte avec quelques caractéristiques, le tout dans un monde divisé en plusieurs provinces, chacune surmontée d’une capitale dans laquelle les joueurs pourront ramener leurs ressources pour crafter ou vendre différents objets dans le marché local. Ces capitales seront le témoin de la lutte entre trois factions principales à rejoindre au niveau 10 avec des bonus accolés quand vous êtes dans une capitale tenue par votre faction. Le joueur pourra faire tous les métiers de craft à la fois, du minage à la coupe de bois, jusqu’aux métiers de transformation, et alternera entre une petite quête principale et surtout des quêtes assez génériques de faction, de capitale et PVP. Par ailleurs, l’univers qui mélange un monde de magie avec un ersatz de XVIIe siècle avec force mousquets et looks de trappeurs est plutôt original dans un monde porté par la science-fiction ou la fantasy pure. Le lancement a attiré en quelques jours pas moins d’un million de joueurs sur Steam, ce qui a occasionné de graves problèmes de serveurs, qui ont mis quelques semaines à se résorber avec des files d’attente interminables. Reste à voir si le soft peut continuer de se maintenir dans un genre très compétitif, tenu d’une main de fer par des softs comme World of Warcraft (2004) et Final Fantasy XIV (2010), et dans lequel beaucoup ont échoué.



Nous parlions le mois dernier des battle royale avec Naraka : Bladepoint et la mode pour le genre qui ne s’est pas encore tarie. Et nous avions raison, puisqu’un nouveau battle royale pointe le bout de son nez avec Bloodhunt de la licence Vampire : The Masquerade, développé par les Suédois de Sharkmob. Vous vous retrouverez dans une ville tchèque à vous massacrer soigneusement, seul ou en équipe, aux commandes d’une des six classes disponibles du jeu, chacune ayant deux compétences actives et un passif, comme la capacité d’être invisible ou de poser des pièges. Le gameplay est aussi horizontal que vertical, vous pouvez courir sur les toits, consommer des humains sur le chemin pour regagner de la vie, mais aussi vos adversaires mourants, avec toutes les armes possibles de tir ou de corps-à-corps. Le soft est plutôt joli.



VI. Fantasy ou post-apo ? (RPG)

La série des Tales of est bien connue des fans de JRPG depuis le premier Tales of Phantasia (1995) jusqu’au Tales of Berseria (2016) en passant par le mythique Tales of Symphonia (2003). Cette série nous emmène dans des mondes de fantasy, dans lesquels on suit la destinée de plusieurs héros, avec cinématiques endiablées et combats en temps réel. Vingt-cinq ans après le premier Tales Of et cinq ans après le dernier, Tales of Arise point le bout de son nez, toujours développé par les Japonais de Bandai Namco. Le soft fait très fort au niveau des graphismes, avec un niveau de détail du cell-shading impressionnant, mais aussi avec un gameplay bien plus dynamique que ses ainés, toujours au milieu d’un scénario mêlant de nombreux rebondissements.



Eastward, développé par les Chinois de Pixpile, est un hommage aux RPG japonais en vue de dessus alternant balades dans un monde post-apocalyptique, mini-jeux amusants, exploration, énigmes et combats en temps réel. Vous y dirigez deux personnages, un homme bourru et une jeune fille aux importants pouvoirs psy, dans une histoire loin d’être cliché et dans un monde cohérent. Le look général et le gameplay du jeu rappellent les premiers Legend of Zelda ou même la série EarthBound ou Mother. En somme, un bel hommage.



Encased des Russes de Dark Crystal Games propose un jeu de rôle à l’occidentale en vue isométrique à l’ancienne, dans un monde post-apocalyptique, avec force dialogues, compétences, façons d’interagir avec l’environnement et combat au tour par tour où vous pourrez utiliser vos armes et compétences pour triompher des adversaires.



VI. En vrac (Stratégie/tactique et contemplatif)

Après le succès non démenti de la série Total War : Warhammer, on pourrait se demander quel est l’avenir des Total War historiques. Total War : Three Kingdoms (2019) est ainsi revenu sur une période légendaire de la Chine, mais en donnant aux joueurs la possibilité d’activer un mode héroïque où les généraux sont capables de hauts-faits extraordinaires. La sous-série Total War : Saga nous a quant à elle emmené à Thrones of Britannia (2018) et l’Antiquité grecque avec Troy (2020). Ce dernier a davantage tiré son épingle du jeu en étant tout simplement proposé gratuitement le jour de sa sortie sur l’Epic Games Store. Les développeurs ont finalement décidé avec le DLC Mythos de sortir de l’aspect historique de Troy en proposant de vraies créatures mythologiques, mêlant géants, cyclopes, sirènes, centaures au milieu de l’Hydre de Lerne ou du Minotaure. Cela ajoute des sorts et des unités mythologiques à jouer en bataille, et quelques mécaniques supplémentaires en campagne par des bâtiments ou des expéditions, sans non plus transformer complètement l’expérience de jeu. Mais ce soft ravira potentiellement les fans de mythologie : peut-être le système pourrait s’étendre à la mythologie égyptienne, nordique et j’en passe ?



Dans le style méditatif d’Islanders et de Dorfromantik, Cloud Gardens propose de petits niveaux dans lesquels vous allez combiner plantes et accessoires humains pour proposer des dioramas post-apocalyptiques où la nature a repris ses droits. Vos plantes donneront des fruits qui rempliront votre barre d’eau pour continuer à en poser. Une fois le niveau suffisamment vert, vous passez à un autre modèle. Le soft est développé par Thomas Van Der Berg alias Noio, qu’on connait pour le hit de gestion Kingdom (2015) et ses extensions New Lands (2016) et Two Crowns (2018).



Développé par les deux personnes de Shadeworks, Sable propose une expérience contemplative dans la lignée des softs à la Journey (2012). On se retrouve dans un monde ouvert avec une patte graphique unique pour explorer ses montagnes et ses ruines avec quelques compétences comme la grimpette et une bulle qui permet de ralentir la chute, résoudre des énigmes et s’y balader en hoverbike. Malgré tout, les critiques font état d’une poignée de bugs et d’énigmes pas toujours passionnantes, rendant l’expérience plutôt poussive au bout de plusieurs heures. La direction artistique sauve néanmoins les meubles avec ce protagoniste masqué dans un monde dévasté.



Conclusion

Nous espérons que cette édition du Diarium Strategorum pour le mois de septembre 2021 vous a plu. N'hésitez pas à nous faire part de vos retours sur le topic dédié. Pour plus d'actualité vidéoludique, vous pouvez continuer de jeter un oeil sur nos articles, notre chaine YouTube, ou bien sur le site de notre partenaire Le Monde du Captain Sparke ou sur la chaine Captain Sparke. Rendez-vous le mois prochain pour le prochain numéro !

Rédacteurs :
  • Captain Sparke
  • Foeurdr