Steel Division 2 Front de l'Est : Le futur dans l'évolution de la stratégie.

Voici une traduction (en résumé) d'un article que vous retrouverez ici.

Steel Division 2 tente une évolution tant sur le jeu en lui-même que pour son échelle. Vous devrez gérer une armée au lieu d’une division comme sur SDN44. Ainsi, vous allez manœuvrer des dizaines de milliers de soldats sur des zones de guerre de 150x100 km et ensuite, vous devrez gérer les combats au plus proche de vos unités comme dans le premier opus. Se passant pendant l'opération Bagration, une carte de campagne dynamique relira vos combats en temps réel. Il s’agit d’un RTS intégré à un wargame au tour par tour, tout étant recréé à l’échelle 1: 1, de la taille des chars aux cartes.
Par exemple, prendre Minsk signifiera, trouver un moyen de percer la ligne allemande, en avançant à travers les villages et les passages pour atteindre la ville. C’est un combat qui prendra plusieurs jours de jeu, répartis sur l’immense carte remplie d’objectifs définis par les joueurs.
La campagne solo prend une nouvelle dimension alors que les combats RTS retrouveront le système de jeu de Steel Division Normandy 44. Le système de phase sera toujours présent.

"La phase A signifie qu'ils sont juste à côté du champ de bataille, donc ils peuvent être à votre disposition au tout début", explique Le Dressay. «La phase B signifie qu’ils auront besoin d’une heure pour se rendre sur le champ de bataille et que la phase C leur demandera deux heures. Fondamentalement, le combat que nous simulons dure environ trois heures de combat."

Cela représente environ 30 à 40 minutes de combat en temps réel par bataille RTS, en fonction de la façon dont les contrôles de vitesse sont utilisés. Dans le jeu en solo, la vitesse de l'action peut être modifiée, vous donnant plus de temps pour commander vos unités ou simplement vous poser et regarder les choses se dérouler. Et si vous avez besoin de réfléchir longuement sur votre prochain mouvement, vous pouvez mettre la bataille en pause.

"À chaque instant, vous gérez chaque bataillon affiché sur la carte", explique Pierre-Yves Navetat, responsable des communications d’Eugen. "C’est un jeu de stratégie énorme, mais si vous voulez, vous pouvez le jouer comme un jeu de stratégie au tour par tour classique. Nous avons beaucoup de bataillons à gérer à chaque tour et il y aura beaucoup d'action à réaliser si vous le faites. C'est comme un nouveau jeu dans le jeu."

Des milliers de soldats doivent être envoyés sur tout le champ de bataille, nécessitant un réseau de QG et des dépôts d'approvisionnement pour les maintenir en état de combat. Avant d'envoyer vos troupes dans le feu du combat, il sera possible d'aller voir toutes leurs statistiques, détaillant leur entraînement, leurs armes et leurs munitions dans l'armurerie, à la fois musée militaire et outil de recherche pour vous aider à choisir vos meilleurs éléments dans des combats en multijoueur ou en escarmouche.. Eugen construit essentiellement un wargame opérationnel, comme Unity of Command sans les hexagones.
En campagne, vous pouvez choisir de jouer la bataille en auto ou la prendre en main. Le contrôle manuel laisse la carte de campagne pour un champ de bataille de 3x3 km encore très grand.

Les champs de bataille bucoliques de la Biélorussie ne sont pas radicalement différents de ceux de leurs homologues normands. Eugen continue à faire des jeux de stratégie parmi les plus jolis. Le terrain est cependant plus varié, avec des collines et des plateaux offrant une complexité supplémentaire et des utilisations encore plus nombreuses pour les unités de reconnaissance. Il y a des routes que seule l'infanterie peut prendre. Par exemple, vous ne verrez pas de blindés dans les marais. L'impact du conflit sur l'environnement est également un peu plus prononcé. Des panaches de fumée noire jaillissent dans le ciel au-dessus des vestiges de batailles comme des pierres tombales géantes.
En zoomant de près, il est clair que l’obsession d’Eugen pour les petits détails persiste. Même si vous passez la majeure partie du jeu au-dessus des combats et des explosions, chaque unité d’infanterie et de char semble authentique.

Avec des cartes plus grandes, la distance d'engagement a été considérablement augmentée. L'un des chars soviétiques suit lentement sa proie comme un chasseur de gros gibier paresseux. Tout au long de la bataille, des chars lourds échangent leurs coups avec des ennemis sur toute la carte, dans des fermes et des villages à grande distance.

"Nous voulions faire en sorte que lorsque vous êtes avec une unité, vous ayez le sentiment d’être sur le champ de bataille", explique Le Dressay. "La taille de l’engagement était quelque chose que nous n’avions pas bien fait avec le premier Steel Division. C'était un peu trop court, alors nous voulions le rendre plus réaliste. "

Dans les escarmouches et le multijoueur, où vous pouvez créer des decks d'unités spécialisés, les changements de cartes peuvent avoir un effet encore plus important.
Si tout ce que vous voulez est plus de batailles RTS, il y a 25 nouvelles cartes, 18 nouvelles divisions et des modes qui vont vous permettront de vous plonger directement dans l'action en temps réel. La date de sortie est encore inconnue, mais vous pouvez dors et déjà vous inscrire aux mises à jour sur le site officiel de Steel Division 2.



Et pour plus d'information vous pourrez les retrouver sur le sujet du forum.

Auteur : Templar Kagemusha
Rédacteur : Vilcoyote