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  • Le Film de Monstre de la semaine !

    Le film de monstre de la semaine.




    Le principe de cette chronique est simple présenter un film de monstre par semaine en quelques lignes afin de t’inciter toi public à le dl de manière légale dans l’instant si jamais tu ne l’as pas déjà vu.
    Le but est aussi de réhabiliter le film de monstre, un genre à part du cinéma de plus en plus associé aux nanars mais à distinguer du navet, du mauvais film quoi. Pour commencer je vais partir sur un film étalon qui servira d’échelle pour la suite.
    J’avais pensé Aux Dents de la Mer mais c’était peut-être placer la barre un peu haut.

    Ps : selon la motivation de l’auteur le monstre de la semaine pourrait devenir le monstre du mois



    RAZORBACK







    Bande annonce :

    http://www.allocine.fr/video/player_...ilm=61093.html


    Un film d’horreur australien de 1984, ayant pour monstre un razorback c’est-à-dire un sanglier australien sauf que celui-ci fait la taille d’un rhinocéros.

    L’histoire commence par l’attaque d’une ferme dans le bush australien, un jeune garçon est tué devant son grand père par la bête et celui-ci jure de se venger. Quelques mois plus tard une journaliste américaine arrive dans la région pour enquêter sur la chasse au kangourou. Elle est repéré par les rednecks locaux (les ploucs quoi) et a un accident de voiture en plein bush en voulant leur échapper puis la bête la bouffe. Du coup quelques temps après c’est son mari qui débarque pour la retrouver et va devoir sympathiser avec des locaux tous plus fêlés et dangereux les uns que les autres pour trouver une piste.

    Pourquoi Razorback est un chouette film ? Parce qu’il va au-delà de son propos initiale de simple film de monstre. En fait le Razorback est ici une simple calamité naturelle parmi tant d’autres qui frappe une région sinistrée d’Australie, oublié de tous depuis la fermeture des mines et l’arrivé de la sécheresse et où les gens survive a coup de braconnage et de trafic. Massacre des kangourous, déchéances des zones rurales et dégénérescence de l’homme sont autant de sujets qui apportent un peu d’épaisseur au pitch initial pourtant très basic.

    Dans Razorback on trouve : une bestiole pas dégueu pour l’époque, quelques scènes trashouilles comme il faut, un plan nichon avec une actrice australienne aussi belle qu’inconnue sous nos latitudes (elle fait une apparition dans mad max 2 me dit Balthazar dans l'oreillette), les paysage de l’outback australien, une ambiance qui rappelle Délivrance, une quête de vengeance et un scénario pas du tout honteux dans un cadre grandiose et désolé.
    Que demander de plus à un film de monstre ?

    En tant que mesure étalon, Razorback obtient un 10 razorbacks sur 10






    L’info en plus :
    - La bête du film rappel par sa taille et sa férocité le Daeodon, un ancêtre du sanglier vivant en Amérique du nord il y a 15 millions d’années, Il mesurait 2,2 mètres de haut pour 4 mètres de long et 1,5 tonne et était carnivore, peut être charognard.
    - Sur Nanarland, après débat sur le forum, le film a était refusé de la liste des nanars pour « trop bonne qualité cinématographique » et ça C classe.
    Dernière modification par DiderLord, 30-09-2016, 16h07.

  • #2
    Crocodile fury sera abordé un jour ou l'autre dans cette rubrique?

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    • #3
      Still a better monster story than Independance Day 2.

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      • #4
        J'adore independance day 2 !!

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        • #5
          La série des tremors sera t-elle abordé?
          https://www.youtube.com/watch?v=KcsLaSBWG9k

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          • #6
            A tremors une grande saga, elle viendra sans doute par la suite mais la j'ai déjà mon idée pour le 2 et le 3.

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            • #7
              Ya de sacré films à cité alors ! J'aime bien !
              Un film par personne par semaine ?

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              • #8
                Ba si d'autres veuelnt poster un film de monstre ok mais à deux condition !
                1) avoir vu razorback le maitre étalon et 2) mettre une note de razorbacks sur 10 !!

                Spoiler le prochain sera sur le film "The Relic" !

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                • #9
                  roh noter Razorback, vu dans "Les jeudis de l'angoisse" sur M6 il y a ... mouarf trop longtemps allez, 10, j'étais jeune à l'époque et impressionnable Maintenant, si il n'y a pas au minimum apocalypse et disparition de la race humaine ça m'impressionne plus

                  Commentaire


                  • #10
                    The Relic





                    Relic est un film d’horreur de 1997 en France, adaptation du livre du même nom.

                    Un anthropologue américain en pleine jungle amazonienne arrive à sympathiser avec une tribu paumée et envoi au muséum d’histoire naturelle de Chicago des caisses contenant une idole du dieu de la tribu et des échantillons des feuilles à la base de la mixture dont ils se servent pour l’invoquer. Mais l’équipage du bateau est massacré peu avant d’arriver au port. Les caisses sont livrées et la police conclue à un règlement de compte entre trafiquants. Mais peu après meurtres et disparitions commencent à avoir lieu au sein même du gigantesque musée qui accueille une grande exposition sur la superstition.

                    Relic est un film typique de la fin des années 90 sur bien des points, la présence du monstre (car il y en a bien un) est expliqué par la mutation génétique spontané à qui l’ont prêté toute sorte de pouvoir quasiment magique.


                    « Wesh alors si tu fais bouffer à un jaguar des œufs de crocodiles (crocodilus nihilus) accompagnés de pattes de cafards (blatus cradicus) mélangés avec les feuilles de cette arbre (mutator arboricus) un soir de pleine lune sous un cocotier, tu obtiendras dans les jours qui suivent ça :





                    - Un enfant du chaos ?
                    Une créature ORIGINALE du con»



                    Le tout accompagné d’un jargon scientifique de toute beauté et dit avec le plus grand sérieux évidemment. De nos jours ça fait très nanardesque mais à l’époque la mutation génétique et l’adn expliquaient tout depuis Jurassik Park, comme le nucléaire dans les années 50-60.

                    A cela il faut ajouter que le film dispose de quelques scènes en images de synthèses qui ont très très mal vieilli pour faire le tour du contenu nanardesque. Mais sinon il reste un film correct, assez drôle malgré lui.

                    Situer l’action dans un musé dont on voit les coulisses est un petit plus, de même que le parallèle avec l’exposition sur la superstition qui s’y déroule. Les personnages centraux, chercheurs du musé et policiers, verront leur scepticisme bousculé par la présence d’une créature issue des mythes d’un autres âge le tout au milieu des conférences sur la naissance des mythes ancestraux de l’homme.




                    7 razorbacks car c’est un nanar sympathique désormais, un peu comme Mimic que je viens juste de découvrir.


                    l'info en plus : le créateur du monstre est Stan Wiston, chargé de créer et animer les Aliens d'Alien 2 et les Raptors de jurassik park, un air de famille ?
                    Dernière modification par DiderLord, 05-10-2016, 19h27.

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                    • #11
                      C'est pour ceux qui jouent en Asie en gpo?

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                      • #12
                        Jaws alias Les Dents de la Mer !







                        Jaws est l’adaptation du roman du même nom par Steven Spielberg en 1975 et c’est le film de monstre par excellence. Plus ou moins créateur du genre et premier blockbuster de l’été.




                        Sur l’ile d’Amity ou tout le monde est gentil, oui même les poissons, c’est l’été et avec lui l’afflux de touristes, de bières et de baigneurs. Cependant un grand requin blanc se met à décimer ce beau monde et sème la panique, poussant la mairie à mettre ça tête à prix. Le chef de la police, un vieux pécheur ronchon et un océanographe partent alors affronter la bête sur son terrain sans avoir imaginer qu’ils pourraient devenir les proies…

                        Que dire de Jaws 40 ans après, que c’est le pilier du genre ? Incontestablement, on y retrouve tous les gimmicks, tous les clichés en devenir du film de monstre.

                        - Un monstre qui terrorise la population et des autorités incompétentes qui refusent de reconnaitre la réalité du problème avant qu’ils ne soient trop tard.
                        - Le vieux chasseur bourru qui vient prêter un coup de main au héro
                        - Des chasseurs qui buttent une bestiole random et qui refusent de croire le scientifique à lunette qui affirme que non ce n’est pas la bête.
                        - un scientifique à lunette… qui parlent dans un jargon incompréhensible…
                        - un groupe de héros partant affronter la bête en dernier recours mais sans avoir la pleine mesure de sa puissance.

                        Jaws c’est cela, l’armature même du film de monstre avec en bonus les musiques des John Williams et surtout un cadre bien plus réaliste que la majorité des films de monstres. Propice à faire cauchemarder les bambins de l’époque et les hôteliers ! Qui en prenant un bain en mer n’a pas eu à un moment une pensée pour le grand blanc ?

                        Coté visuel il faut s’accrocher, le film est vieux et déjà à l’époque certains critique c’étaient moqués de l’aspect du requin. Mais dans l’ensemble j’ai bien aimé revoir le film, il y notamment quelque passage bien drôle.

                        11 Razorbacks parce que…. Culte quoi !




                        L’info en plus : le livre et donc le film sont inspirés de fait réel, une série d’attaques de requin meurtrière en 1916 aux USA, qui couta la vie à 4 personnes en l’espace d’une semaine.
                        Les attaques furent attribuées à un requin blanc bien qu’aujourd’hui on estime que c’était plus probablement un requin bulldog. Ce fut le début de la légende du requin blanc mangeur d’hommes, perpétué par les films Jaws.



                        Jaws2 , Les Dents de la Mer 2.





                        Film américain de 1978 suite du premier sans Spielberg.

                        Le village d’Amity commence seulement à se remettre du traumatisme occasionné par le grand blanc du premier film. Quatre ans après le drame initial les touristes commencent à revenir lorsque des disparitions inexpliquées surviennent de nouveau. Le chef de la police panique aussitôt et veut fermer les plages mais entre en conflit avec la marie qui réclame des preuves de la présence d’un nouveau requin. Pendant ce temps un groupe d’ados prend le large sur des voiliers pour un picnic…

                        Jaws 2 c’est une quelques sorte l’un des premiers Slasher avec Massacre à la tronçonneuse. Tous deux posent els bases du genre dans les années 70. Un groupe d’ados en chaleur qui sera poursuivi par un monstre, humanoïde ou pas, qui semble inarrêtable et doué d’un instinct infaillible pour les trouver.

                        D’ailleurs puisque c’est un animal et non un fou avec une machette j’aimerais vraiment savoir comment pense ce requin et comment il choisit ses proies. Parce que là j’ai un peu du mal avec le fait que soit une simple bestiole. Vu comment il vadrouille incognito et laisse passer plein de repas offert je m’imagine bien un truc du genre :
                        "Turlututu je suis un gros vilain requin, je vais manger des gens haha. Bon trouvons nous une proie. Espadon ? Trop rapide. Retraité de Floride ? Trop gras, je dois attention à ma ligne. Du thon ? mmh c’est pas la saison. Ho des ados sur des pitis bateaux c’est trop mignon. A table !!"

                        Plus sérieusement Jaws 2 est un classique aussi et reste le père de pas mal de code du film d’horreur devenus des clichés, il est aussi assez drôle par moment mais alors là le requin est vraiment crade. Plus moche que dans le 1 !! C’est pratiquement un exploit à ce stade, et la conclusion manque clairement d’épiquenesse par rapport à celle du 1 et gâche un peu la fin.




                        L’info en plus : Dans le film une orque à moitié mangé par le requin est découverte sur une plage.
                        Un an avant Jaws 2 sortait le film Orca, plagiat du premier Jaws qui mettait en scène une orque tueuse. Orca insistait lourdement sur la force et l’intelligence supérieure de l’orque par rapport aux requins blancs. Jaws 2 riposte à sa manière.

                        Dans la nature l’orque est de par son poids et sa force supérieur du requin blanc dans la chaîne alimentaire même si les deux animaux se croisent rarement.

                        The Shallows alias Instinct de Survie.







                        Une jeune américaine, Nancy, se rend sur une plage perdu du Mexique, mondialement connu pour être un spot de surf secret et légendaire. Elle y rencontre deux surfeurs locaux qui lui proposent de se faire quelques vagues et de copuler. Après quelques vagues Nancy décline la copulation et reste pour se faire un dernier tube avant la nuit. Malheureusement un requin blanc passe par la et fait ce qu’on voudrait tous faire, il croque dans sa cuisse joliment bronzé. Nancy arrive à rejoindre un ilot rocheux à quelques centaines de mètre de la plage mais elle perd du sang et le requin la guette. Holala Nancy est en danger.

                        Bon alors c’est l’histoire d’une blonde, d’une mouette et d’un requin sur un rocher, la mouette tombe à l’eau….
                        Ok on va faire ça autrement, parce que à ce stade de sadisme et d’acharnement je ne peux pas croire une seul seconde que ce requin soit normale.
                        A la limite le film serait plus cohérent en nous disant directement qu’il est possédé par un démon ou que c’est la nouvelle réincarnation de Jason ! Du coup prenons le film du point de vue du requin un point de vue largement sous exploité.




                        Il était une fois dans le grand bleu,




                        C’est l’histoire de Bernard le grand requin blanc et de son poisson pilote Jules. Bernard et Jules comme tous les jours nageait tranquillement entre deux eaux non loin de la cote lorsque Bernard s’écria :

                        « Hé jules tu vois ce que je vois ! Une baleine dans un sale état ! Tu as vu la taille des morsures ? Ca fait froid dans l’aileron.

                        - Ho putain le morceau, on va becter pendant des semaines la dessus. Y’a qu’une bande d’Orques pour faire ça et laisser trainer le gros de la bouffe ensuite. D’ailleurs comment ça se fait que tu vois la carcasse avant de la sentir ? T’es un mother fucking Shark ou pas ?


                        - Hé Jules je sais je sais ! Je vais dire à tous les potos que c’est moi qui l’ai fumé le cétacé, avec ça je vais me faire toutes les nénettes du coin.

                        - Même le plus crétin des requins marteaux ne pourra jamais croire que tu as eu une baleine de 20 mètres ! Elle doit faire 30 fois ton poids même avec la viande qu’elle a perdue. Va plutôt bâfrer au lieu de penser.

                        - Hé mais Jules faut que je tienne mon rang ! Je suis le plus grand requin blanc de la coté mexicaine depuis que le cousin Jean-Mi c’est fait pécher par des touristes Suèdois !

                        - Ouai ouai, ouvre plutôt les yeux l’ahuri y’a un truc qui se dirige vers notre beefsteak.

                        - Le machin qui bouge ? c’est juste un surfeur, tu crois qu’il veut nous la piquer ?

                        - Aucun risque les humains ne chassent plus la baleine depuis le moratoire de 1985. Sort ton aileron et fout lui la trouille qu’il se barre.

                        - Hé mé c’est une femelle vachement sexy !

                        - Hé ho c’est une humaine.

                        - Mate moi se bronzage, cette peau de velours !

                        - C’est ça c’est ça, montre lui ton gros ailerons qu’elle se casse.

                        - Mate moi se boule putain ! Faut que je croque dedans !
                        le requin accélère vers la nageuse.

                        - Mais mais la baleine du con !! Elle dérive vers le large ! Oubli se sac d’os cramé par le soleil !

                        Quelques minutes plus tard.

                        - Hé ba voilà, elle est sur un caillou, hors de l’eau, bravo le super prédateur. T’es vraiment une cloche Bernard, maintenant elle va crever à la surface et c’est les mouettes qui vont en profiter.

                        - J’étais trop excité j’ai pas pu me retenir et bien lui saisir la jambe. Mais quel tendresse sous la dent, cette chair ! Je te le dis Jules entre moi et cette humaine c’est le coup de foudre totale, le grand amour ! Elle est sous mon charme et elle va bientôt se jeter à l’eau sous le coup d’un syndrome de Stockholm !
                        - ….
                        - Et j’ai juste à attendre la marée haute, dans tous les cas dans 12 heures elle est à moi ! Aller hop on va faire des cercles.

                        - Quoi ? pourquoi tu veux faire des cercles autour d’elle ? elle a nulle part où aller et merde t’es pas un poisson rouge !

                        - Ba je fais le guet, tu m'as toujours dis qu'un grand prédateur devait rester à l'affut.





                        - Ok, ok, restons calme. Ecoute Bernard ; tu nages bien plus vite qu’un humain ; allons manger et si elle saute à l’eau tu pourras la rattraper bien avant la plage.

                        - Mon amour ne saurait souffrir le moindre retard et je ne peux gâcher mon appétit réservé à ma promise avec de la viande faisandé de baleine ! Fut-elle à bosse !

                        - Rho putain je veux changer de requin ! En plus je sens que cette histoire va mal finir.





                        Bon c'est film un peu con on va pas ce le cacher mais en fait je me suis bien marré, je me trouve presque un poil sévère après coup.
                        Par contre la caméra semble inexplicablement attiré par les formes de l’héroïne, je suis pas contre hein mais la on dirait une pub pour des maillots de bains.
                        Dernière modification par DiderLord, 30-12-2016, 13h42.

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                        • #13
                          Tu as oublié une grande nouveauté apporté par instant de survie au cinéma américain, pour une fois le black est pas le premier à mourir ! si si !

                          Commentaire


                          • #14
                            Sympa

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                            • #15
                              Cette semaine on donne dans le film de Serpent.



                              11 avril 1997


                              Anaconda le prédateur : pitit serpent deviendra grand !

                              Au plus profond de l’Amazonie se tapit une tribu légendaire et une équipe de tournage tout ce qu’il y a de plus classique s’embarque dans une expédition pour les filmer pour la première fois. Il y a un guide sud-américain qui s’appelle Matéo, une bombe brune, un noir sympa, un présentateur vedette chiant, une bonasse blonde et son mec caméraman et enfin un leader pas charismatique !

                              Tout ce petit monde embarque sur un rafiot miteux qui ferait passer le Titanic post iceberg pour un navire fiable et remonte donc l’amazone.

                              Mais en chemin il tombe sur un navire en difficulté et embarque son unique occupant, un type louche, qui se propose comme guide vers la tribu cachée.
                              Bon et à partie de la ça part en couille, le serpent et l’homme louche se comparant le kikimeter du kill.

                              Anaconda c’est du très (trop ?) classique, une bestiole random (un anaconda) est possédé par un esprit démoniaque (je suppose) et va poursuivre un groupe de voyageur sans se lasser tandis qu’un traître se cache au sein du groupe cible.

                              En parlant du serpent celui-ci a plutôt bien vieilli et ça c’était la bonne surprise du film surtout après avoir rematé pas mal de film des années 90. Il est d’une taille relativement normale mais d’une agilité et d’une agressivité spectaculaire.



                              Bizarrement anaconda rempli globalement tous les critères pour faire un bon film mais… sans plus et du coup il lui manque quelque chose. D’un côté il n’a pas le petit grain folie qui ferait un bon nanard et de l’autre il lui manque le contexte et la densité d’un Razorback pour être plus qu’un simple film de monstre.

                              Il ne va jamais plus loin que son propos initial et ne fait preuve d’aucune originalité mais reste plaisant à voir.





                              L’info en plus : l’anaconda est effectivement un prédateur redoutable même pour l’homme… mais dans l’eau uniquement. Sa taille et surtout son poids le rende malhabile sur terre contrairement à d’autres serpents constricteurs.
                              Anaconda a eu 3 suites d’une grande médiocrité.




                              Des Serpents dans l’Avion



                              30 août 2006




                              Un p’tit con, Sean, est témoin d’un assassinat à Hawaii, après avoir tout fait pour qu les tueurs le retrouvent il passe sous la protection du FBI. Nick Furry est chargé de l’escorter jusqu’à Los Angeles et va prendre un avion de ligne pour cela parce que le SHIELD overcraft est en maintenance. Du coup le méchant va essayer d’éliminer le témoin dans l’avion, avec une caisse, qui contient :
                              • a) Une bombe
                              • b) Un commando armé
                              • c) Un huitième passager
                              • d) 450 serpents venimeux (et 1 python géant) excités par des phéromones sexuelles dispersées sur les fleurs des touristes.

                              Vous l’avez compris c’est le plan d) qui est retenu pour sa simplicité et son efficacité... pardon un python géant ?!?




                              A partir de là c’est le chaos, les serpents se répandent dans l’avion, coupent l’électricité et la climatisation et mordent les passagers. Ils s’acharnent aussi sur les pilotes tandis que Nick Furry balance des punchlines d’une grande subtilité. Et comme d'hab les serpents sont possédés par un ancien démon sumérien sinon je vois pas comment justifier leurs comportement.

                              Un peu film catastrophe un peu film de monstre et beaucoup nanard, des serpents dans l’avion et un chef d’œuvre de crétineries, une ode au nanard incontournable, portée par un Mace Windu déchainé. On prend plaisir à voir les passagers se faire bouloter tout en ayant les réactions les plus crétines possibles et la palme d'or revient au plan final de jackson.

                              Contrairement à nombre de films avec des bestioles tueuses présente dans un avion, un bateau ou un train, la réalisation est ici de qualité, loin devant les téléfilms scyfy. Donc c’est du tout bon pas grand-chose d’autre à dire.





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